Alors que les
«nouvelles réalités» de l'empire anglo-sioniste (du faux empoisonnement des
Skripal à la fausse attaque chimique en Syrie) arrivent au bout du chemin,
un nouveau rapport très intéressant du Conseil de sécurité russe déclare que
les États-Unis viennent de s'engager dans un autre exercice de
"masturbation militaire" d’adolescent, en attaquant la Syrie en violation de toutes
les lois internationales. Mais cette attaque a laissé l'Occident dans l'horreur
car 70% de ses missiles lancés ont été
descendus par les unités de défense aérienne syrienne, et que l'état-major général russe a rapporté qu'aucune
mort n’est à déplorer.
Les forces militaires américaines, britanniques et françaises dépensent plus de 163 millions de dollars pour détruire le bâtiment scientifique du gouvernement syrien d'une valeur inférieure à 1 million de dollars qui devait être démoli |
En effet, dans l'un des événements les plus bizarres jamais
enregistrés dans l'histoire militaire mondiale moderne, les Américains ont
plaidé avec la Russie au cours
des dernières 72 heures pour leur permettre de lancer une attaque de
missiles contre la Syrie. Ils
ont dit que ce "coup
unique" (il ne sera pas réédité) était destiné à protéger le président
Trump contre ses
ennemis de "l'Etat profond" qui cherchent à l'évincer dans une "révolution
de palais" en prétendant absurdement qu'il
est une marionnette de Moscou.
D'abord en faisant remarquer aux Américains qu'il n'y avait pas de
cibles réelles qu'ils pourraient atteindre en Syrie, car ses avions de
combat, hélicoptères et ses dirigeants politico-militaires ont déjà été évacués
vers l'Iran.
Cependant, l'état-major russe
a présenté pour aux États-Unis une "Liste cible acceptable" qui
incluait le bâtiment du centre de recherche Barzeh du gouvernement
syrien, qui, de toute manière devait être démoli plus tard cette année pour
faire place à des blocs de logements, et les bases aériennes syriennes Mezzeh
et Dumayr qui sont destinés à être totalement reconstruits en raison des
dommages causés par les terroristes islamiques lorsqu’ils occupaient les lieux.
En offrant cette «liste de cibles acceptables» aux Américains, l'état-major
russe a averti les États-Unis et leurs alliés qu'ils devraient rester à l'écart
des unités de défense aérienne russes en Syrie, ce qu'ils ont fait. - les Américains étant en outre prévenus que
si des missiles tirés par l'USS Donald Cook se rapprochaient d’un
quelconque bien russe en Syrie (dont la
proximité de la base navale russe en Syrie, fait que l'état-major général russe
considèrerait comme une menace de «première frappe»), les
forces navales russes torpilleraient immédiatement et détruiraient ce navire
américain. Les Américains ont également été prévenus que la Russie avait déployé en Iran ses bombardiers lourds qui
frapperaient immédiatement les «cibles d'opportunité» américaines dans toute la
Syrie si n'importe quelle déviation à ce «plan» était vue.
Les bombardiers lourds russes attendent à la base aérienne de l'Etat de Hamedan en Iran les ordres de frapper des cibles militaires américaines en Syrie le 13 avril 2018 |
Les Américains et leurs alliés acceptant les "conditions de
contrainte de guerre" imposées par l'état-major général russe, le rapport
indique qu'à environ 04h00 (GMT + 3) heure de Moscou le 14 avril 2018, les navires
de guerre américains Porter, Donald Cook et Higgins avec les bombardiers
américains B-1 et les avions de combat britanniques Tornado et Mirage français,
ont tiré un barrage de 103 missiles de croisière en Syrie, repoussés instantanément par les
contre-attaques syriennes des systèmes de défense antiaérienne S-125, S-200,
Buk, Kvadrat et Osa, qui a rapidement détruit 71 de ces missiles de croisière
occidentaux, ce qui signifie que 70%
des missiles tirés sur la Syrie ont été détruits.
Les types d'armements utilisés par les États-Unis et leurs alliés
pour attaquer illégalement la Syrie, notamment les missiles Tomahawk, les bombes guidées
GBU-38 et les missiles «Storm Shadow» Scalp EG, dont 32 missiles ont
survécu aux défenses aériennes syriennes ont
détruit un bâtiment de recherche du gouvernement syrien qui était
destiné à être détruit, et ont causé des dommages minimes aux bases syriennes
de Mezzeh, tandis que la base aérienne syrienne
de Dumayr n’a pas été visée car elle aurait pu détruire totalement les 12
missiles tirés sur elle.
Combiné avec les 59 missiles de croisière américains tirés
illégalement en Syrie l'an dernier, dont 34 ont été immédiatement abattus par
les défenses aériennes syriennes, et le coût moyen de ces missiles occidentaux
est de 1,5 million de dollars. Les
missiles en Syrie, dont 71 ont été détruits, font passer le coût total de ces
deux frappes à plus de 243 millions de dollars - dont 157 millions ont été
dépensés pour les voir exploser inutilement dans le ciel - que l'Occident
célèbre pourtant de façon absurde ... et
dont la seule comparaison dans la vie réelle, estime l'état-major général russe,
est comparable au "frisson bon marché" d’un adolescent après s’être masturbé devant des photos de femmes nues dans
les magazines pornographiques.
Pour le monde adulte dans lequel vit la Russie, cependant, cette
attaque «à masturbation militaire» menée par les Américains contre la Syrie est
un acte flagrant d'agression contre un État souverain dont le but était
d'empêcher les experts internationaux d'enquêter sur les
fausses nouvelles qui prétendent que la Syrie a utilisé des armes chimiques. Ce
qui démontre que les Américains (et leurs vassaux anglais et français) sont, de
facto, l'armée de
l'air de Daech en Syrie. Tout cela s'oppose aux preuves irréfutables
présentées par la Russie prouvant que les Britanniques ont organisé cette
attaque chimique sous faux drapeau. D’ailleurs, le ministre russe des Affaires
étrangères, Sergueï Lavrov, a
cité aujourd'hui des données du laboratoire suisse que c’est de la toxine BZ qui
a été utilisé dans l'empoisonnement des Skripals. Or ce produit chimique a été
en la possession des États-Unis et du Royaume-Uni, mais n'a jamais été produite
en Russie.
Les peuples en Syrie, en Iran et en Russie inondent les rues pour célébrer l'humiliation de l'attaque de la «masturbation militaire» américaine |
Notons par ailleurs qu'un accord consensuel entre tous les membres
du Conseil de sécurité a été conclu pour permettre, pour une seule fois, cette
attaque occidentale sur la Syrie en échange d'un retrait total des États-Unis
de tout le territoire syrien au plus tard en octobre 2018. A
présent, des gens dansent dans les rues de Russie, de Syrie et d'Iran pour
célébrer la victoire de l’Axe de la Résistance contre l’Empire du Mal et ses États
Voyous.
Hannibal GENSERIC
Quel patience mr poutine.. 😉
RépondreSupprimerC'est un rapport tres interessant qui parait tres plausible et est coherent avec les positions des uns et des autres.
RépondreSupprimerEn un mot, ces explications font du sens.
Mais en meme temps, elles sont toutes aussi inquietantes, car a la prochaine seance d'attaque chimique, que va faire Trump encore une fois?
Si il est dans une aussi mauvaise posture, il l'est tout autant maintenant qu'avant, car le travail n'est pas fini.
Et ses maitres chanteurs n'ont aucune raison de ne pas continuer.
Mr Trump a juste achete un petit repis supplementaire, mais il va falloir qu'il donne des gages supplementaires.
Jusqu'a quand cela peut il continuer a durer ainsi?
Les Russes ont interet a accepter tant qu'ils gardent la main.
Mais il suffit d'un petit derappage, et comme ils ont le doigt sur la gachette, que se passera t il si un avion ou un bateau de la coalition venait a etre touches? L'escalade devient immediatement inevitable.
Cette operation qui vient de se derouler ne peut pas se reproduire indefiniment.
Quant au deal consistant a evacuer la Syrie en Octobre 2018, comme on dit, les promesses n'engagent que ceux qui y croient!
Si j'etais les Russes ou les Syriens, je n'y croirais pas une seule seconde...
Soyez béni Monsieur Poutine, J. Dubois
RépondreSupprimerA ALEP, PALMYRE, RAQQA…, HYPOCRISIE, LARMES DE CROCODILES, MENSONGES ET MANIPULATIONS, DE LA PART DES CRIMINELS* QUI ONT CREE ET ARME LE TERRORISME de A à Z.
RépondreSupprimer* TOUTEFOIS, DEPUIS ILS PERSISTENT ET ILS PERSISTERONT, AUSSI LONGTEMPS QU’ILS EN AURONT LES MOYENS.