«Après
ce genre de nuage en forme de champignon qui rappelle beaucoup les
explosions nucléaires, les « anneaux thermiques » sont visibles
dans les vidéos dans les moments suivants, qui ne se transforment en
explosion que lorsqu'elle est provoquée de haut en bas et pas quand il
s'agit d'une simple explosion à partir du sol. Cela rend très probable que l'explosion dans le port de Beyrouth ait été causée par une bombe ou un missile à charge nucléaire ».
Le vernis de la confusion s’est envolé : une remise en
cause de la suprématie du dollar se soldera par des milliers de champignons
atomiques, type Beyrouth, tout le reste n’est que du show-business…
Cette déclaration a été faite par un officier des carabiniers italiens à la retraite qui, pour des raisons évidentes, souhaite garder l'anonymat. Mais il est expert en explosifs, possède le brevet d'urgence NBCR (Nuclear Bacteriological Chemical Radiological), et surtout il a longtemps travaillé dans des missions au Moyen-Orient.

Sur
la catastrophe de Beyrouth, le président libanais Michel Aoun soutient
cette possibilité, même avec toute la prudence qu'exige la diplomatie. Comme
le rapporte le radiodiffuseur libanais MTV, le chef de l’État libanais a
déclaré que «la cause des explosions n'a pas encore été déterminée, car
il est possible que des interférences extérieures aient été produites
par un missile, une bombe ou toute autre action» .
«Une
déclaration d'une extrême pertinence, étant donné qu'Aoun lui-même a
confirmé que lors de la rencontre avec Emmanuel Macron, il avait demandé
à la France de fournir au Liban des images aériennes de l'explosion. «S'ils
ne les ont pas, nous demanderons à d'autres pays de déterminer s'il
s'agissait d'une attaque extérieure», a conclu le dirigeant chrétien, en
exprimant une fois de plus la volonté de Beyrouth de ne pas s'arrêter à
une enquête inutile » écrit le site
géopolitique anglais du journal Il Giornale.
Jusqu'à
présent, tous les grands médias, en particulier en Europe, ont accusé le
Hezbollah d'avoir gardé les quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium
saisies il y a quelques années dans un cargo étranger dans un entrepôt
au centre d'une ville. Mais
ceux qui le disent ne connaissent pas vraiment la situation économique du
Liban, dévasté par les sanctions américaines émises sans raison,
uniquement parce que le Hezbollah est allié aux Pasdaran, les gardiens
de la révolution islamique d'Iran, et miné par des insurrections
continues qui apparaissent piloté par CANVAS, le centre anti-violence autoproclamé, qui a en fait été utilisé par le contre-espionnage américain de la CIA
pour les coups d'État sanglants au Liban
(Révolution du Cèdre, 2005), en Géorgie (Révolution des Roses,
2003) et en Ukraine (Révolution orange, 2004 puis 2014) dont la même
organisation se vante sur son site officiel. Lebanon-Iraq: Christian religious leaders bless US-CIA, Zionist and Sunni coups under CANVAS acts
Dans un tel contexte, il n'est pas facile de transporter et de sécuriser tant de matières explosives que, de plus, dans un port, il est facile de transporter à l'étranger pour le Hezbollah qui, il ne faut pas l'oublier, en dépit d'être une organisation paramilitaire déclarée terroriste par les États-Unis, a donné une contribution fondamentale au président syrien Bashar Al Assad dans la défaite de l'Etat islamique , car ils sont de confession musulmane chiite comme le gouvernement de Damas et sont donc des ennemis des terroristes extrémistes islamistes salafistes sunnites.
Le vernis de la confusion s’est envolé : une remise en cause de la suprématie du dollar se soldera par des milliers de champignons atomiques, tout le reste n’est que du show-business…
Par Strategika51 07/08/2020
L’état-major des armées russes vient d’accuser réception du changement de paradigme stratégique entrepris de façon concrète par les États-Unis et certains de leurs alliés/vassaux. Les militaires russes soulignent que toutes les initiatives à la fois cohérentes et contradictoires prises par Washington depuis deux décennies relèvent toutes d’une stratégie unique, implacable et déterminée visant en priorité la mise en place d’un mécanisme de frappe globale rapide utilisant aussi bien des armes conventionnelles que nucléaires.
Ce mécanisme universel de frappe rapide inclut l’usage d’armes nucléaires tactiques dans un environnement de guerre hybride à très haut niveau de confusion et à brouillage cognitif constant.
Cette stratégie de frappe globale continue les efforts de guerre hybride multiforme et à intensité faible à moyenne en veillant à diluer des actes de guerre extrêmes par la médiaguerre et la guerre psychologique asymétrique à destination de sa propre opinion publique (exemple : Beyrouth). Cela veut dire que désormais, une guerre biologique en cours (Covid, SRAS, etc.) ou des attaques de missiles à charge nucléaire de faible puissance (type Beyrouth) peuvent être réduits à des incidents ou de simples faits divers à travers un consensus et une uniformisation de tous les moyens de communication.
Les voix divergentes seront systématiquement traitées comme des comploteurs et par conséquent réduites par le bruit de fond ambiant entretenu par l’appareil de propagande. Celui-ci achevant sa mainmise absolue sur le cyber-espace en neutralisant toute autre partie perçue comme concurrente.
Cette inquiétude russe face à une stratégie souterraine déguisée par une autre stratégie d’ingénierie par le chaos a été reflétée par le Conseil de sécurité russe de vendredi dernier et durant lequel le président russe a abordé la situation actuelle dans le monde avec une focalisation sur les manœuvres hostiles affectant ce que les officiels russes désignent comme l’espace post-soviétique. La nouvelle posture hostile de la Biélorussie, un allié stratégique de Moscou, inquiète la Russie bien plus qu’un éventuel conflit entre l’Azerbaidjan et l’Arménie, l’Ukraine, le renforcement des bases de l’Otan dans les pays Baltes ou encore la Géorgie.
Dans les faits, la crise de la pandémie du COVID-19, récupérée dans le cadre d’une opération de guerre psychologique, l’usage de plus en plus fréquent d’armes prohibées et par dessus tout la disparition de toutes les barrières, laissent entrevoir la guerre nucléaire comme une option de guerre conventionnelle sont désormais perçus comme les résultats d’un acteur poursuivant des objectifs hégémoniques invariables sous couvert d’une sorte de libéralisme à haut degré d’instabilité systémique et donc de confusion.
Il aurait donc suffit que la Chine et la Russie réduisent leur dépendance au dollar USD, lequel demeure une des principales armes de la guerre hybride générale, pour que la stratégie de diversion de l’Empire anglo-sioniste révèle son être sous-jacent: un monstre froid qui n’hésitera pas à détruire l’humanité si le show de télé-realité entretenant les masses d’esclaves accrochés aux écrans de leurs appareils fabriqués en Chine.
Plus la suprématie du dollar est remise en cause et plus on verra de nouvelles armes et plus de guerres hybrides. L’éventuel requiem du dollar ne saurait être qu’un florilège de champignons atomiques s’élevant au-dessus des villes et des mégalopoles d’un monde abruti par le mensonge permanent.
VOIR AUSSI :
- Ce que des hommes de renommée mondiale ont dit à propos des juifs (suite et fin)
- Journaliste israélien : Les pires meurtriers du XXe siècle étaient Juifs !
- LECTURE ESSENTIELLE. La Controverse de Sion
Hannibal GENSERIC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.