Qu’ont-ils fait en Afghanistan ? Ils ont abandonné démocratie et démocrates aux mains des Talibans et des forces maléfiques sans bouger le petit doigt. Au contraire, ils refusent d’accueillir les fuyants comme réfugiés. Ces pays du G7 sont certes démocratiques mais foulent aux pieds les droits, les libertés et les principes constitutionnels quand il s’agit d’un péril imminent ou survenu. De plus, ils créent des zones de non-droit, comme Guantánamo, pour pouvoir pratiquer torture, sévices, séquestrations et même exécutions sommaires à leur guise et sans être redevables à personne.
On sait que ce communiqué est le fruit des artisans d’un travail de sape qui ont orchestré une vaste campagne de dénigrement à l’encontre des mesures annoncées le 25 juillet. Ils tentent ainsi de porter un coup au nouveau tournant que connaît le pays et à jeter une ombre sur l’espoir fondé sur ce sursaut populaire. Mais cette campagne menée au service des ennemis du peuple qui ont saigné à blanc ses ressources et clochardisé des institutions, ne fait que renforcer la foi et l’engagement déterminé des Tunisiens à défendre sans relâche la Patrie et ses intérêts suprêmes. Cet esprit de corps est palpable dans le refus catégorique manifesté par les partis et les acteurs de la société civile de toute forme d’ingérence dans les affaires internes de notre pays. Même nos amis n’y ont pas droit. Les Tunisiens sont déterminés à maintenir résolument le cap, n’en déplaise aux amis agacés et aux envieux consumés par la haine vouée à notre pays.
Si vous voulez une démocratie façonnée à votre image et vous êtes à la recherche d’un label démocratique qui ne prend pas en compte l’intérêt du peuple et ses aspirations, allez voir ailleurs. La Tunisie n’est pas un laboratoire d’expérimentation du modèle du Printemps arabe et les Tunisiens ne sont pas des cobayes. Nous tracerons notre propre voie, avec ou sans votre aide.
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La Tunisie comme le Mali, la Guinée ces pays font peur aux dirigeants de l'Europe et des Etats-Unis. Ces politiciens craignent la contagion militaire chez eux. Le risque pour ces corrompus c'est retour à la case prison. Ces politiciens ne viennent pas en Tunisie pour le bien du pays, mais pour tenter de sauver leurs avantages. Marzouki était réfugié en France et Ghanouchi en Grande-Bretagne avant le départ de Ben Ali. La fin de cette caste mafieuse internationale n'est plus très loin.
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