C’est le journaliste le mieux payé en 2021
Dans le monde se disant libre et démocratique, la critique d'Israël ou bien une remarque désobligeante pour le lobby juif peut vous conduire à la ruine et à la déchéance; par contre le racisme anti immigrés (noirs ou arabes et assimilés) peut vous rapporter gros. EZ en est un parfait exemple.
Selon le magazine économique américain People With Money et sa très attendue liste des « journalistes les mieux payés du monde » publiée dimanche (19 septembre), EZ aurait amassé entre les mois d'août 2020 et août 2021 la prodigieuse somme de 82 millions d'euros, sonnants et trébuchants. Une hausse de quasiment 50 millions par rapport à l'année précédente, de quoi lui remonter le moral.
Pour établir le montant de sa
fortune, le magazine People With Money tient compte des gains directs
mais également des revenus issus des partenariats publicitaires, des royalties
et tout autre investissement.
D'après les calculs, le journaliste-bonimenteur pèserait près de 245 millions
d'euros. Outre ses gains professionnels il doit son immense fortune à de
judicieux placements boursiers, un patrimoine immobilier conséquent et le très
lucratif contrat publicitaire avec les cosmétiques CoverGirl. Il
possèderait également plusieurs restaurants à Paris (dont la chaîne « Chez
l'gros Éric »), un club de Football à Montreuil, et serait également
impliqué dans la mode adolescente avec une ligne de vêtements « Zemmour
Séduction » ainsi qu'un parfum « L'eau d'Éric »,
autant de succès financiers.
Il est plus que probable que les millions de gogos qui achètent ses livres et
applaudissent ses discours racistes sont loin de se douter qu’ils sont, directement et indirectement, sa principale
vache à lait.
Aidé
et financé par d’ex-banquiers de chez Rothschild
Nous apprenons, grâce à un travail de la cellule investigation de Radio France, qui est derrière le financement de la candidature à la présidentielle d’EZ. Il s’agit d’un certain Julien Madar et d’un Jonathan Nadler, les deux sont évidemment juifs quit ont travaillé pour Rothschild ! Ça nous rappelle un certain Macron, qui était lui-même un ex-bankster de chez Rothschild. Il en avait profité à l’époque justement pour réaliser une très jolie vente pour le compte de Pfizer ! Il y a très peu de hasard dans cette pandémie vaccinale covidienne. On retrouve toujours les mêmes : les concepteurs de la pandémie, les producteurs des faux vaccins, les actionnaires des Big Pharma, la Grosse Finance Juive, les Grands Médias Menteurs…et à tous les niveaux de l’arnaque, " « peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur » (comme disait Charles de Gaulle, en constatant que la France est tombée dans l’escarcelle juive, et non pas, comme on le prétend souvent, en pensant à la Palestine. L'épisode actuel des sous-marins vendus à l'Australie puis interdits par l'Oncle Sam nous rappelle l'épisode des porte-hélicoptères vendus à la Russie puis interdits par le même oncle Sam prouvent, si besoin est, que, depuis de Gaulle, et surtout que depuis que la France a réintégré l'OTAN et a vendu son âme à Bruxelles, la France n'existe plus en tant que puissance ni en tant que pays indépendant maître de ses décisions).
Alors qu’il venait de la gauche socialiste française,
Macron n’est rien d’autre qu’une poupée de la finance. Aujourd’hui, cette même
finance magouille en coulisses pour miser sur Éric Zemmour et son discours raciste,
qui fait passer l’extrême droite de Marine Le Pen pour une humaniste de gauche
! En réalité, des USA [2] à l’ensemble
de l’Europe, les financiers juifs sont derrière tous les candidats de
l’échiquier politique car ils sont adeptes du proverbe pile je gagne,
face tu perds !
Selon un proche d'Éric Zemmour, les rôles seraient en fait bien répartis.
Julien Madar dirigerait la partie opérationnelle du financement de ce qui
s’apparente à une précampagne, tandis que Jonathan Nadler se concentrerait
plutôt sur le programme économique. Jusqu’ici ces deux hommes le faisaient en
toute discrétion, la question des finances reste taboue dans l’entourage d'Éric
Zemmour. Ils préfèrent rester dans l’ombre, et laisser la lumière médiatique aux
réseaux traditionnels de financement de la droite nationale. Notamment à
l’entrepreneur ultralibéral et identitaire Charles Gave, qui pourrait , lui
aussi, faire profiter Éric Zemmour de
son carnet de chèques et de son réseau londonien.
Depuis qu’il est revenu en France en 2015, l’homme d’affaires,
assis sur une fortune faite dans la finance, s’investit
généreusement dans la course au pouvoir. Charles Gave est l’un des principaux
soutiens de Zemmour «Il arrive du fin fond du Sahara et parle de la France
avec les accents de Bernanos», s’est enflammé le multimillionnaire à propos
de Zemmour dans Paris Match début juillet. «Sa campagne ne
coûtera pas cher, on lancera une chaîne YouTube depuis la Russie et on se
débarrassera des sangsues, des brigands, de cette haute fonction publique»,
a-t-il annoncé. Charles Gave a fièrement exposé son philosémitisme en
écrivant « Jean-Jacques Netter l’arrière-petit-neveu de Charles Netter
l’un des fondateurs de l’Alliance Israélite Universelle est l’un de mes
associés dans l’Institut des Libertés depuis le début. Mon dernier fils, à New
York, a épousé une juive et sa femme attend un petit garçon pour cet été, qui
donc sera juif, et je m’en réjouis. »
Un
Zemmour peut en cacher un autre
Pour
comprendre de qui Eric Zemmour est le nom, on peut se référer à l'excellent
essai de Youssef Hindi, L'autre Zemmour, paru chez
Kontre Kulture. Un ouvrage refusé par plusieurs éditeurs, pourtant bien
argumenté et très incorrect envers le polémiste préféré des médias, qui nous
permet de mieux cerner l'œuvre du personnage. Hindi nous rappelle le
parcours du personnage, ses origines berbères, l'histoire tumultueuse du clan
Zemmour [3], ses diatribes
anti-système de façade. Entre ses anniversaires de gala fêtés avec Mélenchon,
Cambadélis et autres joyeux drilles, son enfance dorée en école privée
confessionnelle, ses réunions communautaires à la synagogue de la victoire
et son soutien sans faille à la politique atlantiste, on a effectivement
du mal à comprendre en quoi Zemmour serait un rebelle proche du petit peuple de la France profonde. Il est certes intégré
par et pour ses affaires juteuses et ses
contrats TV, mais, comparé à sa dévotion israélienne, son patriotisme gaulois est à relativiser.
Hindi nous rappelle que Zemmour est salarié de C-News où il est omniprésent,
fait contradictoire pour quelqu'un qui se prétend anti-système. Son principal
employeur est le milliardaire pro-israélien Bolloré. Il combat l'islamisme mais
se fait plus discret sur les autres communautarismes, dont le sien. Zemmour a
toujours soutenu les actions de l'OTAN, les agressions d'Israël en
Palestine ; il dénonce les terroristes en omettant que les jihadistes islamistes
furent armés par les occidentaux pour combattre Bachar El Assad et Saddam
Hussein, et sont (encore aujourd’hui) soignés en Israël lorsqu’ils sont blessés.
Si Eric Zemmour n'a pas connu l'école publique qu'il incite à plus d'audace
pour "intégrer", il oublie de témoigner des discriminations qui régnaient dans
son école privée. Repas communautaires sans porc à la cantine, collège fermé le
samedi pour raison religieuse, insultes envers ceux qui y trouvaient quelque
chose à redire (sales goys etc.), rejet de la culture traditionnelle
française par des élèves qui dessinaient des drapeaux israéliens sur les tables
de cours.
La campagne pour l'élection présidentielle devrait se
jouer sans lui, à moins que ses employeurs et ses chefs du Mossad le mandatent
pour justement couler les vrais candidats souverainistes, ce qui est peut-être
le véritable moteur de leur démarche...
Zemmour a pour mission de détourner l'attention du peuple français de ses véritables exploiteurs vers des boucs émissaires sans défense : les immigrés.
A-t-on jamais vu un Zemmour travailler sur un chantier ou aux champs ?
Ces exploiteurs possèdent Big Pharma, Big Media, Big Finance, Big Cinéma, Big TV, ...? Ils gagnent en un jour ou un mois ce qu'un Français moyen ne gagne pas durant toute sa vie.
NOTES
[1] Adolphe
Crémieux, les juifs algériens et l’Alliance Juive universelle
- L’affaire
Mokrani et la révolte algérienne de 1871
- Pourquoi
les juifs sont-ils partis du Maghreb ?
- La
clé du Mystère (Partie 1/5)
- France.
" L’Arabe ! Voilà l’ennemi. L’Islam, voici le Diable !..."
- Pour
comprendre le monde, lisez les Protocoles des Sages de Sion (1ère partie)
- L'Histoire
suit le plan directeur maçonnique juif (I)
- La
Clé du Mystère (Partie 2/5). Le Terrible Complot
- La
hargne obsessionnelle, pro-israélienne et pro-étatsunienne de Tristan Mendès
France
[2] USA. Un regard direct sur le lobby juif
[3] Les Zemmour, seigneurs de la pègre
Annexe : Rothschild – « Vous êtes juif Jacob ? »
James de Rothschild est Nucingen de Balzac, banquier sans scrupule, financier internationale au fort accent allemand, personnage influent de la vie politique. Les banquiers juifs ont longtemps financé les rois et leurs armées dans l’édification des États-Nations. L’antisémitisme moderne est né de l’opposition populaire à l’arbitraire des monarchies. Les Rothschild, petits commerçants et prêteurs sur gage de Francfort, étendirent leurs affaires à toute l’Europe. Un membre de la famille fut envoyé dans chacune des grandes villes d’affaires : Londres, Paris, Vienne, Naples. Gagnant la confiance des rois et des communautés juives, ils incarnaient pour les antisémites les banquiers cosmopolites et les rois des Juifs.
Les Rothschild financèrent la coalition européenne contre Napoléon. Informés avant tout le monde de la défaite française inattendue de Waterloo, ils investirent sur le marché londonien avant que la nouvelle ne se répande. Ils aidèrent ensuite au retour de la monarchie française. Leur opposition à l’Empereur venait en grande partie du fait qu’ils ne voyaient pas d’un bon œil l’émancipation des Juifs dans les pays conquis par la Grande Armée : accédant à la citoyenneté, l’esprit communautaire risquait de s’estomper et avec lui l’influence de leur famille.
A Paris, Jacob devenu James de Rothschild, œuvra discrètement pour limiter le développement du système bancaire français sur lequel Napoléon III comptait pour développer l’industrie et enrichir le pays.
Dans les États industrialisés comme l’Angleterre et l’Allemagne, l’ennemi du prolétaire était le patron, le bourgeois. Dans la France peu industrialisée du XIXe siècle, l’esprit populaire, patriotique et anglophobe, avait trouvé une autre cible : le Juif, assimilé aux Rothschild, aux banquiers cosmopolites. Pourtant, la France était un paradis politique pour les Juifs. Devenus citoyens comme les autres, ils n’eurent de cesse de s’imprégner de la culture et de l’esprit méritocratique français. Mais leur réussite individuelle alliée à un attachement identitaire fournirent un angle d’attaque à l’antisémitisme.
Avec la IIIe République, les Rothschild entrèrent dans l’opposition et perdirent peu à peu de leur influence et de leur prestige. Discrets pendant l’Affaire Dreyfus, seul leur nom reste aujourd’hui un repère, un symbole, pour les antisémites comme pour les Juifs.
Hannibal GENSÉRIC
Bainville et sionisme en 1920 Hannibal : https://nicolasbonnal.wordpress.com/2021/09/21/on-a-rarement-et-avec-autant-dimprudence-prepare-plus-vaste-incendie-jacques-bainville-et-la-vision-prophetique-du-sionisme-en-1920/
RépondreSupprimerhttps://reseauinternational.net/ces-communes-privees-de-leurs-medecins-refractaires-a-lobligation-vaccinale/
RépondreSupprimerNe pas oublier le Big Chimie et l'autre génocide via l'alimentation
RépondreSupprimerLe breton ("galette") Bolloré est un Goldschmidt
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