Partie I - Les causes
I. Préambule/Introduction
II. Contexte historique (sémitisme/judaïsme/talmudisme)
III. Portalis sur l'état civil/Roumanie sur l'état civil/Pas de patrie, pas de
loyauté
IV. Le Talmud/Le Talmud réinterprété/Le règne de la liberté
V. En savoir plus sur le Talmud/Talmud vs. Christianisme
VI. Avant JC. l'aversion pour le judaïsme/l'usure pour le pouvoir/ Conversion
des frères Lemann
VII. 1869 Synode de Leipzig
Partie II - Les effets
I. Source du pouvoir
II. L'usure, arme d'assujettissement/domination financière
III. Extorsion de biens / Immobilier dans les Balkans et à Rome
IV. Révolution française/Banque et Algérie
V. Journalisme et éducation
VI. Pouvoir parlementaire
VII. Alliance juive mondiale/Alliance vs. Jésuites
VIII. D'où vient la franc-maçonnerie ?
IX. Liberté et judéo-maçonnerie/Abus de la liberté aux États-Unis
X. Objectif de Puissance Globale/Prophétie pour l’an 2000.
Partie III - Les recours
I. Révolution/Décimation/Tollé pour la défense
II. Comment défendre ?/Défense impossible ?/Droit des victimes neutralisé
III. Propositions de défense/Défense sans guerre/Complications/Plus de
complications
IV. Défense par expulsion
V. Le concept d'étranger/respect égal, droits différents/une défense ultime
TOI. Conversion au christianisme ?/Pas un cas solide/Réalité philosophique
VII. Apostasie et châtiment/Exemple 1 : France/Exemple 2 : Italie/Fléau de la
justice/Prophéties pour une résolution.
Partie I: Les causes
I. Préambule/Introduction
Le XIXe siècle se refermera bientôt sur l'Europe, laissant derrière lui une bien triste question, à cause de laquelle, au XXe siècle, il en résultera peut-être des conséquences si calamiteuses qu'elle sera définitivement résolue et menée à son terme. Nous faisons allusion à la « question sémitique » mal formulée, ou plus strictement à la « question juive », qui est intimement liée aux questions économiques, morales, politiques et religieuses de l'Europe chrétienne.
La ferveur qui entoure actuellement cette situation est démontrée par le tollé collectif contre l'influence des juifs sur tous les secteurs de la vie publique et sociale. Pour arrêter cette invasion, des lois ont été votées en France, en Autriche, en Allemagne, en Angleterre, en Russie, en Roumanie et ailleurs ; de plus, les parlements discutent de quotas d'immigration stricts. De plus, cette question a été et continue d'être traitée dans un grand nombre de journaux, de livres et de brochures, dont le but est de démontrer la nécessité de réduire et de combattre ce fléau, ainsi que de fournir des preuves de ses dégâts les plus pernicieux.
Ici aussi, nous avons tenté de réfléchir et de poser des questions d'ordre plus critique, historique, scientifique et social, afin d'identifier la véritable cause des effets lamentables qui sont aujourd'hui de plus en plus déplorés. Ainsi, pour nos besoins ici, nous souhaitons passer en revue et compiler, en quelques pages, le matériel que nous espérons que les Italiens considéreront, puisque, déjà en Italie, où le judaïsme règne sur la classe moyenne, il n'y a pas encore grand-chose de disponible , et toujours pas d'ouvrage complet, comme celui d'Edouard Drumont en France, dont on pense qu'il trouvera ici un accueil enthousiaste.(1)
(1) Ici, liste des principaux ouvrages publiés, ces dernières années, notamment en France : La France juive, 2 tomes — La fin u'un monde "], 1 volume, par Edouard Drumont, Marpon et Denta, Paris — Le juif, par G. des Mousseaux, 1 volume, Watelier — Études historiques, par Van der Ilaeghen, 1 volume, Palme — L'entrée des Israélites dans la société française, 1 volume, Lecoffre — Les juifs nos maîtres, par le père Chabautey, 1 volume — Rome et les juifs, de Lémann, 1 volume — La question juive, de R. P. Ratisbonne, 1 volume, Douniol — Les juifs, rois de l'époque. l'Epoque"], par Toussenal, 2 vol., Marpon . ---- La France n'est pas juive ["La France n'est pas juive"], Reynaud, 1 vol., Marpon — Le juif ["Le Juif"], de Kraszewki, 1 vol., Dentu — Pavore Moshko [" Pauvre Moscou"], par Franzos, 1 vol., Floro - Christian Blood in the Jewish Rites of the Modern Synagogue ["Christian Blood or "The Christian race.." in the Hebraic Rites of the Synagogue"], 1 vol., Floro , Toscana, Giachetti and Co. — La juiverie ["Judaïsme"], par G. de Pascal, 1 vol., Blériot — La piaga ebrea ["La peste juive"], Prof. Giov. De Stampa, 1 volume, Trévise — Le juif, voila l'ennemi, de Martinez, 1 volume, Savine — La prépondérance juive, de l'abbé Joseph Lémann, 1 volume, Lecoffre — La politique israelite ["Israelite Politics"], par Kimon, 1 volume, Savine — Socialismo, discussions ["Socialism: Discussions"], par le professeur Sebastiano Nicotra, 1 volume, Rome, Tip. Della Pace — La haute Basque et les Révolutions ["Les Basques fiers et les Révolutions"], d'Auguste Chirac, 1 volume, Savine — La Russio juive ["La Russie juive"], de Kalixt Wolski, 1 tome, Savine — L'Algérie juive ["L'Algérie juive"] de Georges Meynié, 1 tome, Savine — Le mystère du sang chez les juifs ["Le Mystères du sang ou, Race parmi les Juifs"], partie II, par Desportes, 1 volume, Savine.
Pour ces volumes et d'autres similaires, nous voudrions suggérer aux écrivains italiens qu'ils pourraient rendre un grand service à l'Italie, en faisant un résumé du très beau volume du professeur Martinez, Voici l'ennemi, les juifs, un appel aux catholiques. Celui-ci contient les meilleures sélections des auteurs les plus récents et les plus célèbres; il est argumenté avec une doctrine et une logique rares. Le faire serait une opportunité notable pour l'Italie, et nous sommes convaincus qu'il aurait une large diffusion et serait d'une très grande aide pour ouvrir les yeux sur la révolution qui subvertit, pervertit et inquiète notre malheureuse Péninsule. Nous prions également pour qu'il réveille le vaillant Italien et l'inspire à une action salutaire.
II. Contexte historique
La question juive de notre temps ne diffère pas beaucoup de celle qui se pose dans le peuple chrétien du Moyen Age. Le mosaïsme en lui-même ne peut être argumenté comme étant odieux envers les chrétiens, puisque, jusqu'à la venue du Christ, il était la seule vraie religion, préfigurant et préparant la voie au christianisme, qui, selon la loi de Dieu, en fut le successeur. Mais le judaïsme des siècles a tourné le dos à la loi mosaïque, la remplaçant par le Talmud, dont un cinquième est pharisaïque et qui, en grande partie, fulmine contre le Christ, la Rédemption et le Messie. Et puisque le talmudisme entre beaucoup dans la question juive, on ne peut pas dire que cette désapprobation du judaïsme s'exprime sous une forme intrinsèquement religieuse, car dans le talmudisme, les nations chrétiennes sont méprisées, mais pas d'abord d'un point de vue théologique. Au contraire, les chrétiens sont réduits à une sorte de néant moral, ce qui contredit les principes fondamentaux de la loi naturelle.
Sémitisme/Judaïsme/Talmudisme
La question ne trouve pas non plus son origine dans le dégoût de la race, comme l'implique l'adjectif mal appliqué, sémitique. En premier lieu, la famille israélite n'est pas la seule au monde à porter le noble sang de Sem ; on ne comprend pas non plus la raison pour laquelle les Aryens, issus de Japhet, nourrissaient une haine générationnelle pour la tribu de Sem, dans le tabernacle de laquelle, cependant, la profession solennelle de Noé a été faite, par laquelle ils étaient destinés à vivre dans une paix fraternelle . Ainsi, nous ne respectons pas irrationnellement la désignation sémitique, lorsque nous traitons de la question juive. Et le sémitisme, appliqué au judaïsme, en surcharge le sens, substituant le tout à une partie, et par conséquent, réussissant à véhiculer un faux concept.
Néanmoins, l'aversion pour les Juifs, fondée sur la race, est impliquée dans la question, et constitue l'un de ses principaux aspects, c'est-à-dire comment un élément différent est introduit à travers le codex religieux du Talmud. Pourtant, la race juive, dans laquelle il y a aussi une nation, quoique sans patrie fixe et sans organisme politique, vit dispersée parmi les nations, mélangée entre elles. Bien qu'abrités dans le tout, les Juifs forment encore une union sociale. Ils considèrent leurs hôtes comme des ennemis et s'en prennent avidement à eux, même lorsqu'ils sont assis à leur table. C'est ainsi que la grande famille israélite, dispersée parmi les gentils du monde, forme une nation étrangère au sein des nations où elle réside, et est son ennemi juré, puisque le point cardinal du talmudisme est l'oppression et la spoliation de des gens qui offrent l'hospitalité à leurs disciples. A propos duquel saint Paul, à la fin de ses jours, a dit que les Juifs étaient le déplaisir de Dieu et des répulsifs pour tous les hommes, Deo non placent, et omnibus hominibus adversantur. ["qui ne plaisent pas à Dieu et sont les adversaires de tous les hommes"] (I Thess. ii. 14).
Les règles du codex secret du Talmud prescrivent une morale exécrable, celle qui exige la haine de tous les hommes qui n'ont pas de sang juif, et particulièrement des chrétiens. Le Talmud rend licite de les déprécier et de les battre ils seraient des brutes nocives. Ce ne sont là que quelques-uns des points doctrinaux qui ne peuvent être niés. Ainsi, non seulement le travail de Rohling, l'auteur romain et collectionneur de citations fantaisistes, mais aussi les études plus sensées et sérieuses de la Mischna et de la Guemarah, incluant de nombreux rabbins, parmi lesquels les plus notables d'hier et d'aujourd'hui, qui ne laissent personne dans le doute.
Il suffirait de consulter l'ouvrage d'Achille Laurent, que les Hébreux ont retiré de la circulation parce qu'il a révélé les secrets du Talmudisme en termes d'extermination de la civilisation chrétienne, et qui est ainsi capable de persuader même les plus douteux. (2) On pourrait ajouter à cette liste irrécusable, mais ce serait superflu.
(2) Relation des affaires de Syrie, Paris, 1846
III. Portalis sur l'état civil
Reportons-nous à deux documents qui établissent clairement la véritable condition de l'Israélite dans les pays qui lui offrent refuge ; et la puissante raison des maux qui lui arrivent; et donc la malveillance qu'il exerce partout où il va. Le premier document est celui du célèbre jurisconsulte Portalis, rédigé au début de ce siècle, lorsque Napoléon Ier envisagea de recommander la pleine égalité civile des Juifs, c'est-à-dire égaux aux chrétiens Français. A cette époque, Portalis prolongeait ses observations dans le futur, avec meminisse iuvabit (cela aidera à se souvenir). Au sujet des Hébreux, il observe qu'il ne faut pas confondre tolérance religieuse et octroi de l'état civil :
"Les Juifs ne sont pas simplement une secte, mais un peuple. Ce peuple, qui dans les temps anciens avait sa propre terre et son propre gouvernement, s'est dispersé, mais ne s'est pas fusionné (intégré). Ils sont allés partout dans le monde, afin de trouver un refuge et non une patrie. on les trouve dans toutes les nations, sans se confondre avec aucune ; ils vivent comme des étrangers dans un pays étranger. Cela tient à la nature des institutions juives. Comme la conquête était la spécialité du pouvoir romain, et la guerre pour la république spartiate, la culture pour l'état d'Athènes, le commerce pour les Carthaginois, ainsi la religion est la spécialité de la race hébraïque, pour qui la religion est tout, la base et la loi de leur société. Il faut donc bien comprendre que les Juifs forment partout une nation dans une nation, et que, bien qu'ils vivent en France, en Allemagne, en Angleterre, ils ne deviennent jamais ni français ni allemands ni anglais. Au contraire, ils restent juifs et rien que des juifs. "
Plus tard, cette même réalité fut plus cruellement et franchement affirmée en public par Crémieux, le principal publiciste du conseil intérieur juif, et il était aussi un éminent de l'Alliance juive et de son périodique. Dans ce dernier, il définit l'Hébreu comme l'homme d'un universalisme inexorable.
Ainsi concluait justement Portalis, en expliquant et en appuyant ses vues sur les lois civiles traitant de cette hétérogénéité qui, en vertu de ses institutions vigoureuses et de ses principes, reste à la fois séparée, mais toujours partie de la société commune.
La Roumanie sur l'état civil
L'autre document est le manifeste de trente et un membres du corps législatif de la Roumanie, dans lequel en 1868, des tentatives ont été faites pour faire passer une loi accordant l'égalité civile aux Hébreux :
" Les Juifs, qui, en substance, se disent membres de la nation, sont nécessairement contraints d'obéir ostensiblement à l'autorité de l'État non juif ; mais ils ne peuvent jamais consentir à en faire partie intégrante, parce qu'ils sont incapables de se défaire de l'idée de leur propre État. Ainsi, ils ne forment pas une secte religieuse, mais un complexe indélébilement racial avec une croyance figée qu'ils entretiennent au sein du mélange des autres peuples, et qui est toujours juive. À cause de cela, il leur est impossible de s'unir dans le sang avec d'autres peuples, et impossible de partager leurs sentiments, qui sont directement opposés en toutes choses à ceux des chrétiens. Et l'obstacle le plus fort est dans le domaine de la religion, qui est à la fois légiféré par eux comme étant à la fois religieux et civil, constituant ainsi un culte et un organisme politique et social. A cause de quoi, où qu'ils s'installent, par nécessité, le judaïsme établit un État dans l’État."
Quant à la reconnaissance témoignée au peuple qui leur offre l'hospitalité, les Israélites les considèrent comme un ennemi, puisqu'ils croient qu'il va les usurper. Pour éviter cela, ils usent de toutes sortes de moyens, afin d'obtenir la suprématie sur eux, qu'ils pensent pouvoir accomplir par la conversion. Ils passent leur temps dans le sein des autres, qui est pour eux un temps d'expiation, d'épreuve et d'exil. Bientôt, les habitants des pays qui les abritent reçoivent un décompte, qui tient désormais la promesse d'un peuple juif universel dans le monde, qui les subjuguera enfin.
Pas de patrie, pas de loyauté
Le corollaire de cette situation est que les Juifs n'ont nulle part de patrie, et donc leur imposture ultime est leur vantardise continuelle de patriotisme, par laquelle ils prétendent être des loyalistes et des partisans, afin d'étendre la portée de la ruine qu’ils engendrent, dévorant les nations qui leur ont accordé le droit de cité. D'une telle situation émerge leur métier le plus inné, le plus odieux, celui de traître et d'espion. Comme l'a noté Bismarck, "Dieu a créé l'hébreu afin de servir ceux qui ont besoin d'espions". Et Cavour disait de son confident hébreu : " Il m'est utile, pour dire au public ce que je veux. Dès que j'ai fini de lui parler, il m'a déjà trahi. " En juillet, la Gazette de la Croix de Berlin publie ce récit d'un officier de l'armée :
"Pendant la guerre de 1870, j'ai été affecté au 10e régiment, commandé par le général Voigts-Rhetz. Il a reçu 100.000 thalers pour payer des espions. Mais il est revenu à Berlin avec tout l'argent, car il n'a trouvé aucun Français disposé à être espion. Mais en 1866, dans la lutte contre l'Autriche, la situation est tout autre : les Juifs se présentent en grand nombre et pour un certain prix, ils vendaient des nouvelles des mouvements de l'armée impériale. Ces Juifs étaient des sujets autrichiens et donc des espions volontaires."
De plus, l'histoire est pleine de trahisons commises par les Hébreux pour les pouvoirs publics et privés. Le Juif, Goldsmith, a volé et vendu des secrets d'État prussiens. Le Juif Klotz a trahi le général anglais Hicks et ses troupes, qui ont été tués par les barbares du Mahdi au Soudan. Le Juif Adler abusa de la confiance de son employeur Krajewski pour le livrer aux Prussiens. Le juif Deutz a trahi la duchesse de Berry pour 500.000 francs. Et au siècle dernier, la juive Sedecia a empoisonné Carlo il Calvo, qui a été trahi par la juive Païva. Plus tôt, à Paris, c'est elle qui a réussi à vendre les plans de bataille de l'armée française.
IV. Le Talmud
Un autre élément qui rend l'organisme juif dans les pays chrétiens si dangereux, et au centuple et de manière abominable, c'est la foi superstitieuse innée du Talmud, qui soutient que les Juifs ne forment pas seulement une race supérieure d'êtres humains, toutes les autres étant composées de races inférieures à eux, mais qui, par un droit tout divin, leur donne droit à l'univers entier, qui sera un jour le leur. A cause de cette croyance insensée, le judaïsme s'insinue partout ; c'est donc la plus haute expression de ce qu'ils appellent leur religion. C'est ce qui constitue la doctrine dépravée du messianisme qu'ils professent depuis le IIIe siècle de l'ère chrétienne, lorsque fut compilé le Talmud babylonien. Au fil du temps, des commentaires ont été ajoutés par les rabbins les plus vénérés, toujours avec la même portée, comme le Juif Disraeli, devenu Lord Beaconsfield et chef du gouvernement britannique, exposé à notre époque. Afin d'accéder au pouvoir en se convertissant à l'anglicanisme, dans son célèbre roman, Conigsby, il fit exprimer ce qui suit par le principal protagoniste juif du roman :
"Aucune loi pénale, aucun supplice physique d'une race inférieure infligé à une race supérieure ne peut être toléré. Les bâtards et les persécuteurs (i.e. les chrétiens) disparaissent, mais ceux de sang pur qui sont persécutés (les juifs) règnent et perdurent. Ils envahissent les juifs et leur tombent dessus, les contaminant et les humiliant, génération après génération : l'âme du Juif se lève et reprend la route, prend de l'avance. Aujourd'hui, l'influence du Juif en Europe est écrasante ; sa marche prodigieuse est en effet étonnante. "
Disraeli a souligné que "le monde moderne est gouverné par des personnes bien différentes de ce que l'on suppose; elles sont invisibles et restent dans les coulisses". Il voulait dire par là les Juifs, qui dirigent tout dans l'ombre. Il faut accumuler les preuves de cette fière déclamation, cueillies à travers les siècles. En fait, cela entraînerait beaucoup de preuves, et même de façon excessive. La falsification de la tradition prophétique concernant le Messie et son règne sur le peuple, qui est l'Église qui s'est élevée à partir de l'époque de la destruction de Jérusalem, a entraîné la dispersion ou la réduction du peuple juif en esclavage par les conquérants romains. Suétone a enregistré, dans ses Vies des 12 Césars : Percrebuerat Oriente toto vetus et constans opinio, esse in fatis, ut eo tempore Judei profecti rerum potirentur : (Dans tout l'Orient avait commencé à se répandre l'opinion ancienne et constante qu'il est (était ) parmi les destins qu'à cette époque les juifs sortiraient pour tout commander :) et dans son histoire, Tacite corrobore ceci : Pluribus persuasio inerat, antiquis sacerdotum literis contineri eo ipso tempore fore ut valesceret Oriens, profectique Judei rerum potirentur (beaucoup de gens étaient d'avis qu'il était contenu dans les anciens écrits des prêtres que ce serait le moment même où l'Orient deviendrait fort, et les Juifs étant sortis contrôleraient les choses). De même, saint Jérôme a également traité des questions vraies et fausses concernant les Juifs.
Drach, converti au christianisme et connaissant profondément le Talmud et les mystères juifs, a expliqué la doctrine de l'Israël ancien et moderne :
"Le Messie devait être un grand conquérant qui soumettrait les nations à un état d'esclavage par les Juifs. Ils reviendraient en Terre Sainte en vainqueurs et prendraient les richesses des infidèles. Le but de la venue de ce Messie serait de libérer les Juifs dispersés, de les rassembler en Terre Sainte et d'y établir un royaume temporel jusqu'à la fin du monde. Alors chaque peuple sera sujet des Juifs, et il leur paiera tribut avec leurs personnes et leurs biens. Les savants rabbins de la Synagogue terminent systématiquement leur discours en invoquant ce triomphe, ainsi que toutes les bénédictions promises avec la venue de celui qui est annoncé comme le Messie. Parmi ces bénédictions promises figure le moment tant attendu et tant espéré du massacre des chrétiens et de la fin complète de la secte du Nazaréen.(3)
(3) L'Église et la Sinagogue, page 18, 19.
Le Talmud réinterprété
Le même concept, bien que légèrement modifié, rend hommage aux Juifs modernisés, qui n'accordent aucun poids à cette interprétation rance du Talmud. Le vrai Messie est remplacé par un peuple messianique, c'est-à-dire les Juifs, prédestinés (bien que rien ne mentionne ni comment ni pourquoi) à régner sur toutes les autres générations humaines. Un tel concept, parmi d'autres récents, vient de l'apôtre Crémieux, l'un des principaux fondateurs du pouvoir juif actuel, qui a dit : " Les Juifs n'auront pas de fin. La petite famille est et reste la grandeur de Dieu. Un messianisme pour le nouvel âge naîtra et se déroulera. Une Jérusalem d'un nouvel ordre, située entre l'Orient et l'Occident, sera plus grande que les villes des Césars et des Papes. "
Règne de la liberté
Stann, un juif allemand, a publié son livre qui annonçait au monde que "Le règne de la liberté universelle sur tout le monde sera instituée par les Juifs. " Et nous avons vu le visage de cette liberté dont ces fous rêvent pour les chrétiens. Un autre homme, natif de Francfort, fin 1858, écrivait : " Rome, qui Il y a 1800 ans, écrasa les Juifs sous ses pieds, tombera, ruinée. L'œuvre des Juifs répandra sa lumière sur l'univers et apportera le plus grand avantage à l'espèce humaine." Ainsi, c’est toujours la même engeance : le judaïsme est toujours une force étrangère et ennemie dans les pays où il prend racine, il est aussi une force qui tend à dominer tous les habitants sur terre et à prédominer, en vertu de leurs constitutions dogmatiques et civiles, juridiques et nationales. Et ils le font par vilénie et par infidélité.
V. Pour en savoir plus sur le Talmud
Les théories ne manquent pas, dont les fondements se manifestent de plus en plus chaque jour. Par exemple, il existe d'importants principes religieux doctrinaux, énoncés et inculqués par le Talmud, le codex suprême de toute cette race. Le premier principe de la morale juive, contenu dans les lois traitant des règles de conduite envers le prochain, énonce que les autres hommes, par rapport aux Juifs, ne sont que des bêtes animales. « Ô semence d'Abraham, s'écrie le Talmud, le Seigneur t'a sûrement choisi, comme dit Ezéchiel ; tu es ma bergerie ; je veux dire que tu es des hommes, tandis que les autres peuples de ce monde ne sont pas des hommes, mais des bêtes. » (4) Le Juif qui insulte une femme non juive et l'agresse est absous de tout jugement, parce qu'il a fait du mal "à une jument" (5). Maïmonide, qui, dans les ghettos, est considéré comme infaillible, dans son traité sur l'homicide , dans une phrase traitant d'un Juif qui tue un goy, a écrit que le Juif ne peut pas être puni, précisément parce que le Goy n'est pas un Juif. Quoi d'autre? L'un des livres juifs faisant autorité affirme sérieusement que "les non-juifs sont des animaux noirs", qui sont également décrits comme des sangliers. (6) C'est ainsi que cette tribu est hors de la nation par son refus de s'assimiler, et ainsi les Juifs dégoûtaient les Romains des Césars, ou comme l'écrivait Tacite, proiectissima ad libidinem gens (tribu accro à la luxure).
(4) Traité, Baba-Metsigna, f. 114.f.
(5) Traité, Barakout, f. 88.f.
(6) Salkutro-Ubéni, f. 10.3.
Est-ce suffisant? Non : Le Talmud élève le Juif au-dessus de toute l'humanité ; et enseigne qu'un Juif est plus agréable à Dieu que les anges du paradis; que frapper un Juif, c'est Le frapper ; que le non-Juif, celui qui bat un fils de Jacob, est réellement digne de mort.
Un autre livre de morale juive est celui qui concerne la loi. Les Juifs qui siègent aux Tribunaux ont le pouvoir de dissoudre ou d'annuler toutes les décisions judiciaires et d'accorder la libération des contrats signés. Drach explique bien ce protocole, qui s'appelle Koi-Nidraw. Le Talmud affirme que ces trois hommes, qui composaient le Tribunal, possèdent la même autorité que le Tribunal de Moïse. (7)
(7) Traité, Rosch-Ilaschshaun, fol. 25, f.
Talmud contre christianisme
En dehors de cela, les Juifs ont varié leurs pratiques extérieures et leurs paroles, de manière à invalider la loi, qu'ils font aussi. Tout cela équivaut à des malversations, qu'eux et leurs loyalistes ont calomniés contre les disciples de Jésus, et l'ont fait avec une religiosité sans scrupule. Mieux encore, la veille de la fête de Kippour, ils s'absolvent, par leurs cérémonies et leurs serments, de tout lien de conscience à toutes les négociations qu'ils ont engagées et qui les lient formellement. Ainsi, pour eux, toutes les obligations de conscience, présentes et futures, sont dissoutes ; c'est-à-dire celles déjà entreprises et celles qui ne sont pas encore entreprises, tout cela pour leur seul avantage et selon leur propre plaisir.
De plus, selon le Talmud, dans une affaire entre un chrétien et un Juif, le juge juif doit toujours donner l'avantage à son coreligionnaire juif.
En moyenne, les codex de cette morale rendent licite, voire obligatoire, que le Juif s'approprie les biens perdus des non-Juifs ; et voici l'incroyable raison : « rendre le non-juif honteux aux yeux de la miséricorde de Dieu. »(8) Et à titre d'obligation stricte, Maïmonide affirme que le sale tour est une obligation stricte : « Celui qui rend [les biens] , écrit-il, commet un péché, car il renforce la main de l'impie. » (9)
(8) Traité, Baba-Koummah', fol. 29, 50 ou Traité, Sanhedra, fol. 76, 5.
(9) Dans son traité, della rapina e delle cose perso ["Du pillage et des objets perdus"], ch. IX, art. 3, 4.
La légitimation du vol aux goyim est professée avec impudence par les écoles rabbiniques. "Puisque la vie des idolâtres (c'est ainsi que les juifs appellent les chrétiens) a été donnée aux juifs pour décider, c'est aux Juifs de décider combien leur est du." C'est ce qu'enseigne le rabbin Giusseppe Albo.(10) " Les biens des chrétiens, selon Bova-Baria, sont ou doivent être jetés dans le désert ou la mer ; le premier [qui les trouve] en sera le propriétaire, car le premier sera un Juif." C'est l'enseignement du rabbin Pfeffer Pfefferkorn. (11)
(10) Principes fondamentaux de la foi, partie III, c. 25.
(11) Mémoires. Philosophe, ["Thèse de doctorat"] p. 11
"Il est permis, autant que possible, de tromper un chrétien. L'usure imposée à un chrétien n'est pas seulement permise, c'est plutôt une bonne action; et il est permis de l'imposer même les jours de fête. A tel point que vous devez tromper un chrétien de manière à s'assurer qu'il reste ruiné." (12) Ces exemples sont tirés de documents rabbiniques considérés comme saints.
(12) Shólchan Aruch Chshen Mispat. F. 348, n. I jore d’cáss. 159 n. i.
Ainsi sont les fleurs doctrinales morales, embrassant toutes les turpitudes, dans lesquelles baignent nos pensées, et qu'on impose au peuple de tout pays infecté par cette race. L'illustre Maxime du Camp des Juifs prospères de Paris, a publié une monographie, qui mérite d'être publiée dans toutes les langues. (13) Le colonel Cerfbeer, juif de naissance, dans une étude de 1847, faite en France, sur des juifs reconnus coupables de vol, a constaté que leur nombre était le double de celui des Français condamnés pour le même crime. Il a ajouté cet avertissement :
"Ce qui différencie les délinquants Juifs des autres, c'est que leurs crimes relèvent d'une perversité plus maligne car ils sont le résultat d'une préméditation. Ces crimes comprennent l'épongeage, le mensonge, l'usure, le vol, la banqueroute préméditée, la contrebande, la contrefaçon, l'extorsion, le vol, et toutes les formes de tromperie et toutes sortes d'agressions.(14)
(13) Voir fleuve des deux mondes, 1er juin 1869.
(14) Les Juifs .
C'est ainsi que quarante ans plus tard l'éthique talmudique a fait des progrès, et le prix en est, grâce à l'égalité civile que le judaïsme connaît désormais dans toute l'Europe, le grand nombre de crimes commis par les juifs qui, d'une manière ou d'une autre, restent impunis; mieux encore : les Juifs ont été régalés de rubans, de croix de chevalier et de titres baronniaux.
VI. Avant J.C. l'aversion pour le judaïsme
Qui donc, sans passion, après avoir enquêté sur les faits et les documents, ne peut que conclure qu'il n'y a jamais eu d'ambition plus folle, plus tenace, et plus franchement affirmée que celle des Juifs. Ils s'arrogent la conquête du monde, de régner sur toutes les nations en les renversant, en s'assujettant tous les peuples. Et ils s'approprient le droit de revendiquer toutes les bénédictions de l'univers, et leur droit d'aînesse légitime que Dieu leur a donné. Il est étonnant de lire et d'entendre parler de ce terrible défi lancé par une poignée d'hommes, environ 8 millions d'entre eux, qui courent parmi cinq cents millions d'autres, et qui souhaitent sérieusement les asservir, et rêvent de le faire ! Il n'y a pas de fin aux persécutions des Juifs qui ont été menées auparavant, encore et partout. Mais ces persécutions étaient et sont la conséquence de leur folle méchanceté. Tout cela se manifeste par la cupidité de leur ambition ; par sa légitimation en vertu de leur supériorité affichée et pratiquée; par leur sentiment de privilège sur les personnes parmi lesquelles ils vivent maintenant et auparavant. Ils se sont révélés être des malfaiteurs intraitables et hostiles envers les nations qui les ont tolérés et les tolèrent encore, leur accordant avant tout la bénédiction du droit de cité.
L'effet universel correspond toujours à une cause égale. L'aversion pour le judaïsme n'a pas été initiée par les chrétiens, parce que des Juifs qui ont tué Christ au Calvaire. Cette aversion existait et était enregistrée par les Moulistes, les Arabes, les Perses, les Grecs, les Égyptiens et les Romains.
Le célèbre P. Ratisbonne, Juif de naissance, qui s’est converti, devenant un fervent serviteur du Christ, déduit des persécutions des Juifs qui se produisirent en tout temps et en tout lieu :
"Le mal des Juifs est qu'ils ne veulent pas ouvrir les yeux, afin de reconnaître la véritable cause de leur persécution, menée au cours de tous les siècles et sans équivalent dans l'histoire. Au cours des siècles, de nombreuses personnes ont été persécutées par d’autres. Ces tortures ont cependant pris fin. Cependant, la persécution des Juifs est marquée par sa perpétuité et son universalité. C'est donc un cas unique, qui ne peut être humainement expliqué. " (15)
(15) La question juive. ["La question juive"]
L'usure du pouvoir
En raison de ces faits, les commentateurs ont attribué la poursuite de la persécution des Juifs au dessein de la justice de Dieu, qui, à travers leur persécution, reconstitue sur terre la rébellion satanique inexorablement manifestée contre le ciel. Les causes humaines de ce fait, unique dans l'histoire, sont attestées par l'insatiable appétit des juifs à recourir à l'usure pour accéder au pouvoir par la trahison afin de dominer, et chaque fois que possible, de s'emparer et de renverser l'État.
Dans tous les pays, cette loi immuable de la prospérité hébraïque dans tous les pays se fait toujours au détriment du bien-être et de la liberté des habitants. De nombreuses années avant que Rome ne tombe dans les griffes de l'histoire, les célèbres frères Lemann, qui se sont convertis du judaïsme et sont devenus prêtres de l'Église catholique, dans l'une de leurs œuvres, ont écrit:
« Ô Juifs de Rome, nous comprenons l'attitude de notre peuple. Si on vous accorde le droit de possession que vous invoquez, nous gageons que, d'ici trente à cinquante ans, Rome sera entre vos mains. (16)
(16) Rome et Juin. ["Rome et les Juifs"]
Et ainsi la prophétie s'accomplit. La ville de Rome tomba rapidement dans l'abîme, et fut économiquement et matériellement soumise aux Juifs, car ils étaient dans toutes les grandes villes des grandes nations d'Europe. Et à la mesure de cet assujettissement, qui ne cesse de s'envenimer dans les sphères morales, politiques et économiques, les peuples européens y voient le noyau de la question juive de notre temps.
VII. 1869 Synode de Leipzig
Au siècle dernier, dans toutes les nations, les révolutions ont bouleversé la vie des chrétiens ordinaires moyens. Qui nous a amenés à cet état de fait ? Pas les gens qui en ont été opprimés ; pas la monarchie qui en a été évincée.
Tout le monde sait que cela a été fait uniquement par le judaïsme, qui, en vertu des principes mensongers de la liberté, de la fraternité et de l'égalité, a tenté de colorer, avec la main tendue, leur désir volontaire de prédominer, dans une mesure jamais atteinte auparavant, et parce que l'épée de la colère de Dieu a dispersé ses partisans sur toute la terre. Ou comme disent les juristes : Is fecit cui prodest (Celui qui l'a fait profite/Celui qui profite de l'acte est coupable, car il avait le mobile).
Le 29 juin 1869, un synode des juifs se tient à Leipzig. Les participants venaient de toute l'Europe et il était présidé par Lazare de Berlin. Bien que certains soient plus traditionnels, d'autres plus modernistes, ils s'accordent sur le rationalisme, ainsi que sur leur haine des chrétiens, un sujet dont ils débattent longuement. Enfin, ils ont approuvé à l'unanimité la proposition avancée par le Professeur Philipson de Bonn, et fortement soutenue par Astrue, le Grand Rabbin de Belgique :
"Le Synode reconnaît que le choix et la pratique des principes modernistes offrent la sécurité la plus solide pour le présent et l'avenir du judaïsme et de ses adeptes. Ces principes contiennent les graines les plus efficaces pour une vie fructueuse et pour l'expansion la plus large."
Et en effet, les principes modernistes, c'est-à-dire ceux qu'on appelle les droits de l'homme, ont été inventés par les juifs, pour dépouiller les peuples et leurs gouvernements de leurs défenses contre le judaïsme, et pour multiplier l'avantage de cette faction, qui forme la force offensive. Ayant acquis la liberté civile absolue et l'égalité dans tous les domaines avec les nationalités chrétiennes, ainsi le barrage fut ouvert, et ainsi, un torrent dévastateur se déchaîna ; en peu de temps ils pénétrèrent tout, s'emparèrent de tout : l'or, les affaires, la bourse, les plus hautes fonctions dans les administrations politiques, l'armée et le corps diplomatique ; l'instruction publique, la presse, tout tombait entre leurs mains, de sorte que tout dépendait d'eux. Le résultat est que notre société chrétienne rencontre des obstacles majeurs pour leur avoir donné accès aux mêmes lois et aux droits constitutionnels de l'État, et elle est jetée dans le précipice de l'impuissance, provoquée par l'audace hébraïque, sous couvert de liberté.
Le prince Metternich a décrit la méthode par laquelle avance l'audace du judaïsme : « Les révolutionnaires de la première phase ont assuré leur triomphe final sur le christianisme. A Paris, Stern, un Juif, peut lancer cet avertissement : « Dans dix ans, je ne sais pas comment un chrétien pourra vivre. » Et considérez que Crésus, qui, parmi les Juifs éminents, est Hirsch, debout en haut de l'escalier de son palais royal, regardant les nobles élus de France monter les marches pour une fête, a dit à sa fille : « Vois-tu ces gens "Dans vingt ans, ils seront notre peuple ou nos serviteurs. Et je n'exagère pas." Telles sont, en somme, les causes de la question juive. Dans un autre article, nous démontrerons les principaux effets.
Hannibal Genséric
En Israël la situation bouge également suite à la destitution du Ministre de la défense opposé à la réforme de la Cour constitutionnelle. La foule est maintenant aussi dans la rue pour protester contre une dictature des religieux juifs.
RépondreSupprimerQuitte à le répéter inlassablement, ceux sont les juifs ashkénazes, qui n'ont pas un gramme de sang sémite, qui nous manipulent à la manière des pervers narcissiques, avec l'accusation d'antisémitisme dès qu'on met le doigt sur leur maladie.
RépondreSupprimerPar contre Jésus, Mohammed, paix sur eux, l'étaient vraiment, sémites.
Le Coran les a dénoncés, spécialement leur prétention à être un peuple élu.
La haine des hommes est la marque de Satan, ce qui signifierait qu'ils ont été élus par Satan pour être son peuple en se qualifiant avec la même spécificité.
Inversement les grands saints réalisés veulent tous le bien pour l'humanité. Vouloir la miséricorde pour autrui est le signe d'un rapprochement avec Dieu.
Le dernier des prophètes, Mohammed, paix sur lui, a dit : "Ce qui distingue les hommes entre eux, ce n'est ni la couleur, ni la race, c'est leurs degrés de rapprochement et de piété envers Dieu".
Il va sans dire que ce degré n'est connu que de Dieu et de certains parmi les très grands saints.
Islam de paix ! www.torah-injil-jesus.com lire article At Tawbah - Arabe-français
Supprimerlslam veut dire soumission. Et nul ne peut soumettre quiconque pacifiquement. L'islam est avant tout la religion de la guerre et de la domination. Cette domination diffère de celle des Juifs, mais pour les chrétiens, le résultat est le même. Et Mahomet fut l'un des plus grands massacreurs de toute l'histoire.
SupprimerIslam veut dire soumission des musulmans à Dieu et non pas ce que vous interprétez à l'envers. Du vivant de Mahomet, les Arabes étaient quelques milliers, comment auraient-ils pu massacrer des millions de personnes, comme Scipion (génocide des Carthaginois), Genkhis Khan, Tamerlan, Napoléon , Hitler, Staline ? Il ne faut pas dire n'importe quoi, par ignorance ou par racisme.
SupprimerJe considère que les juifs ne forment pas un peuple comme il n’ y a pas de peuple Chrétien, Musulman ou Bouddhiste mais plutôt une secte politique de consanguins pratiquants le suprématisme religieux …
RépondreSupprimerProverbes, bible
RépondreSupprimer14.31
Opprimer le pauvre, c'est outrager celui qui l'a fait; Mais avoir pitié de l'indigent, c'est l'honorer.
16.5
Tout coeur hautain est en abomination à l'Éternel; Certes, il ne restera pas impuni.
Et aussi de mémoire : le nombre de saints fait le bonheur de la terre.
De toute évidence ils n'appliquent pas ce qui est dans leur livre. On est dans l'imposture, ils trouveront mille raisons, mille interprétations tordues pour ne pas appliquer. Une chose est sûre, ils ne font pas le bonheur de la terre, c'est plutôt l'inverse.
POURQUOI MES COMMENTAIRES SONT BANNIS ?
RépondreSupprimerDevine.......
SupprimerLES JUIFS SONT LE PEUPLE ELU DE SATAN QU'IL UTILISE POUR SE VENGER DES FILS D'ADAN C'est pourquoi ils ont tous cette grande haine contre les êtres humains ,comme satan d'ailleurs
RépondreSupprimerVotre manière de formuler est trop carrée à mon sens. Ce sujet demande de la nuance et un langage détaillé. La Thora étant un livre révélé par Dieu, au même titre que l'injil, l'évangile, il faut faire la distinction entre, par exemple, les juifs convertis ashkénazes et le livre révélé à Moïse. De plus le livre révélé à Moïse est corrompu par des rajouts propre aux savants, vous pouvez comprendre cela par la remise à l'ordre lors de la venue de Jésus. Il existe forcément des juifs qui sont pieux, ne les cherchez pas dans les doctrines frelatées talmudiques. Le visionnement de cette vidéo des juifs karaïtes d'Israël peut donner une idée différente de comment étaient les juifs avant le rouleau compresseur ashkénaze :
Supprimerhttps://m.youtube.com/watch?v=KG9Ax17U3Oo
Il ne faudrait pas oublier les nuances, ce qui peut être qualifié de satanique ceux sont les déviances, dépassant tout orgueil, apparues dans le talmud. Il ne faut pas oublier que la Thora est une révélation divine au même titre que l'injil, l'évangile, donc à ne pas confondre avec les monstruosités apparues dans le talmud, plus précisément le courant rabbinique ashkénaze. Dans cette vidéo les juifs karaïtes en parlent très bien, du rouleau compresseur ashkénaze :
Supprimerhttps://m.youtube.com/watch?v=KG9Ax17U3Oo
https://m.youtube.com/watch?v=KG9Ax17U3Oo, vous pouvez voir dans cette vidéo que les juifs étaient différents avant le rouleau compresseur ashkénaze.
RépondreSupprimerle monothéisme (abrahamique) est en soi une hérésie née dans la tête malade d'un pharaon malade Akhenaton qui l'avait imposé pat 40 ans en Egypte. Quand les pharaons sont revenus au polythéisme, certains prêtres arrogants n'ont pas voulu et ont été chassés. Ils sont partis a qques km en Palestine ou ils sont rentres en contact avec d'autres mythologies. ils ont fait un patchwork de tout ca et ont crée le judaïsme en Palestine. Il faut détruire le monothéisme patriarcal abrahamique, juif, chrétien et musulman qui n'est rien d'autre que de la politique à des fins de dominations.
RépondreSupprimertout a fait juste
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