Tous les vols en provenance de Russie vers des destinations étrangères disponibles ont été vendus mercredi après que le président Vladimir Poutine a déclaré une mobilisation « partielle » des 25 millions de réservistes du pays.
Les vols de Moscou vers les capitales de la Géorgie, de la Turquie et de l'Arménie – qui ne nécessitent pas de visa pour les Russes – pour le 21 septembre n'étaient pas disponibles quelques minutes après l'annonce de Poutine, selon le principal site Web russe de planification de voyages, aviasales.ru.
À midi, heure de Moscou, les vols directs de Moscou vers l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan et le Kirghizistan avaient également cessé d'apparaître sur le site Web.
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Situation militaire au 21/09
Un député de la Douma d'État russe menace la Grande-Bretagne de frappes nucléaires...
Introduction
Les
Britanniques doivent comprendre que la Russie est irritée par ce qu'elle
considère comme des tentatives occidentales de la saper en utilisant l'Ukraine
comme proxy.
La
Grande-Bretagne et les États-Unis ont dépensé des milliards au cours des sept
dernières années pour renforcer méthodiquement les forces armées ukrainiennes,
au point qu'en Europe, elles se classent deuxièmes
derrière la Russie en termes d'effectifs et d'armes.
L'intention
était de renforcer les forces armées ukrainiennes afin qu'elles puissent être
utilisées comme mandataires pour affronter et finalement affaiblir la Russie.
L'Occident,
et les États-Unis en particulier, ont une longue histoire dans ce domaine. Au
fil des ans, il a soutenu des escadrons de la mort du Salvador au Nicaragua et
des terroristes islamistes dans plusieurs pays arabes (Algérie, Tunisie, Libye,
Égypte, Irak, Syrie, Soudan) et en Afghanistan pendant la présence soviétique.
Moscou
a reconnu cela, c'est pourquoi les russes ont lancé leur opération militaire
spéciale pour anticiper la menace potentielle que représentait l'Ukraine.
Les
lecteurs occidentaux doivent comprendre que leurs dirigeants politiques ont
contribué à créer la guerre en Ukraine. En armant, en entraînant et en équipant
largement les forces armées ukrainiennes en vue de les utiliser comme
mandataires contre la Russie, ils les ont effectivement préparées pour une
frappe préventive de la Russie.
La
Grande-Bretagne a joué un rôle clé mais secret dans ce domaine, tout comme elle
l'a fait lorsqu'elle a secrètement
soutenu des islamo-terroristes en Syrie [1].
La Russie a vu le même processus se dérouler de l'autre côté de sa frontière en
Ukraine alors que la Grande-Bretagne et les États-Unis préparaient
subrepticement les forces armées ukrainiennes à affronter la Russie.
Encore
plus exaspérant est le fait que rien de tout cela n'a été fait avec
l'approbation des électeurs aux États-Unis ou en Grande-Bretagne.
C'est
pourquoi la Russie est en colère contre une guerre inutile et pourquoi les
avertissements de Moscou ne sont pas de vaines menaces. La Russie sait que le
problème n'est pas en Ukraine en tant que tel, mais à Londres, Washington et Tel-Aviv.
La
Russie est synonyme de business et les politiciens occidentaux doivent tenir
compte des signaux venant de Moscou. S'ils ne le font pas, nous nous dirigeons
vers un conflit beaucoup plus vaste et potentiellement catastrophique.
De
toute évidence, personne en Grande-Bretagne ou en Amérique n'a voté pour cela,
mais si un conflit majeur se produit, ALORS NOUS DEVONS TENIR NOS DIRIGEANTS
POUR RESPONSABLES. Et cela inclut leurs complices dans les MSM (Grands
Médias Mensteurs). Éd.
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Un député de la Douma d'État menace la Grande-Bretagne de frappes nucléaires...
Gurulyov
n'est pas le seul Russe de premier plan à faire des avertissements inquiétants
sur ce qui va arriver à la Grande-Bretagne. [2]
Un ancien conseiller de Vladimir Poutine a affirmé que les villes britanniques pourraient être une cible nucléaire pour le président russe et a imputé la guerre en Ukraine à l'Occident alors qu'il se lançait dans une diatribe bizarre à la radio britannique.
Sergey Markov a fait une foule d'affirmations– notamment que les pays occidentaux utilisent des soldats ukrainiens « comme esclaves ».
Il a menacé l'Occident d'une guerre nucléaire avant qu'on ne lui pose des questions sur l'émission Today de la BBC mercredi matin.
"Bonjour à vous", a déclaré le présentateur, auquel l'ancien conseiller de Poutine a répondu: "Bonjour. Eh bien, ce n'est pas bonjour… pour tout le monde. »
Il a poursuivi : « Pour les pays occidentaux, pour vous, auditeurs britanniques, je dirais que Vladimir Poutine nous a dit qu'il serait prêt à utiliser des armes nucléaires contre les pays occidentaux, y compris des armes nucléaires contre la Grande-Bretagne. »
M. Markov a déclaré "vos villes seront ciblées .." avant d'être interrompu.
M. Poutine a averti qu'il serait prêt à utiliser des armes de destruction massive pour "protéger" son pays dans un discours à la nation mercredi.
"Lorsque l'intégrité territoriale de notre pays sera menacée, pour protéger la Russie et notre peuple, nous utiliserons certainement tous les moyens à notre disposition", a déclaré le président russe.
On a demandé à M. Markov s'il croyait que le dirigeant russe avait clairement menacé non seulement d'utiliser des armes nucléaires tactiques en Ukraine, mais aussi de déclencher une guerre nucléaire générale qui tuerait tout le monde.
Il a répondu "pas tout le monde" mais a ajouté que cela "pourrait tuer beaucoup de gens dans les pays occidentaux".
L'ancien conseiller de Poutine a déclaré : « Je dirais que chacun dans le monde… pense à la guerre nucléaire. Cette guerre nucléaire pourrait être le résultat du comportement fou du président des États-Unis, Joe Biden, et des premiers ministres de Grande-Bretagne, Boris Johnson et Liz Truss. »
Il a affirmé que la Russie "ne veut pas que tout le monde meure" dans une guerre nucléaire, mais qu'elle voulait résoudre la guerre en Ukraine, qui, selon lui, était menée par des pays occidentaux "utilisant des soldats ukrainiens comme esclaves".
Après avoir affirmé que la Russie voulait la paix, M. Markov a été interpellé par le présentateur de la BBC qui a déclaré : « Vous n'avez pas beaucoup parlé de paix, n'est-ce pas ? Vous venez de nous menacer tous de destruction complète, des missiles nucléaires arrivent à Londres, vous avez dit, et maintenant vous parlez sur la paix. »
M. Markov a répondu: "Si la Grande-Bretagne continue d'être l'agresseur contre la Russie, si le Premier ministre britannique, Liz Truss, a toujours un plan pour détruire la Russie, les gens à Londres devraient comprendre que cette menace vient de Liz Truss qui est l'agresseur."
Il a conclu l'interview en criant sur le présentateur, affirmant que la Russie n'avait pas envahi l'Ukraine et blâmant l'Occident pour la guerre.
On a demandé à une ministre des Affaires étrangères, qui était la prochaine invitée de l'émission Today, ce qu'elle pensait de l'interview.
« Encore des mensonges de Poutine. Une réécriture complète de l'histoire. Un peu de bruit de sabre », a déclaré Gillian Keegan. « Et parler de guerre nucléaire est très inutile et nous exhortons au calme »
Elle a ajouté: "C'est une menace sérieuse mais c'en est une qui a déjà été faite."
M. Markov a déclaré à Sky News que Volodymyr Zelensky était une "marionnette" des États-Unis et que la Russie a envahi l'Ukraine pour la libérer des "néo-nazis".
Il a également déclaré que le présentateur de Talk TV, Jeremy Kyle, était "probablement désinformé" lorsqu'on lui a demandé si M. Poutine était responsable des décès en Ukraine.
Commentaire
Bien sûr, ce n'est pas une "affirmation sans fondement" de prétendre que Zelensky est une "marionnette". Après tout, avant de devenir président ukrainien, Zelensky avait joué un rôle principal dans une émission télévisée ukrainienne à succès dans laquelle il incarnait le président.
Il est toujours acteur, même s'il joue maintenant le rôle du président ukrainien dans la vraie vie. Il n’y qu’à lire des discours scénarisés qui ont été préparés pour lui par ses maîtres. Il n'est donc pas exagéré de décrire Zelensky comme une "marionnette" jouant son rôle dans un drame politique. Éd
Par Zoe Tidman - L'indépendant 21 septembre 2022
NOTES de H. Genséric
[1] Depuis le début du 20 ème siècle et l’avènement de la secte des Frères Musulmans, Londres a toujours été le siège central et secret de la secte. Elle continue à l’être à ce jour. À titre d’exemple, le capo de la branche tunisienne de la secte, Rached Ghannouchi, a été longtemps résident à Londres, protégé par le MI-6 et financé par le vilain petit Qatar. Depuis le « Printemps Arabe », qui est une révolution de couleur initiée et soutenue par les états voyous occidentaux (en particulier les USA, et la G.B.), ce sinistre individu a pris le pouvoir réel en Tunisie, faisant faire à ce pays un formidable « bond en arrière » de plusieurs décennies, sinon plusieurs siècles. Il en est de même pour les autres pays arabes cités ci-dessus, à part l’Algérie et la Syrie, qui, au prix de centaines de milliers de morts, ont pu résister à cette engeance. C’est pour cela que ces deux pays continuent de rester dans le collimateur de l’Occident qui cherche à les détruire pour les piller, comme il l’a fait en Libye, et comme il se propose à le faire pour la Russie.
[2] Liz Truss sait-elle que la Russie peut détruire l’Angleterre avec une seule torpille?
Hannibal Genséric
S'il est possible de mobiliser en Russie 25 millions de soldats, il doit aussi être possible de faire appel pour l'armée de réserve à des volontaires pour 1,2 % des 300'000 soldats nécessaires.
RépondreSupprimerÊtes-vous sûr que c'est la Russie et non l'Ukraine ?? C'est une tactique bien connue des "Vous savez qui" "La lumière sur les nations" d'accuser les autres de ce qu'ils font ?
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