vendredi 10 février 2023

La Russie modifie sa politique nucléaire pour permettre une première frappe "préventive" - ​​Mentionne des bases américaines en Europe et dans les "États-Unis continentaux"

La Russie change sa doctrine publique sur les armes nucléaires à la suite d'actions "agressives" des États-Unis, du Royaume-Uni, de l'OTAN, etc. La nouvelle politique en cours d'élaboration reconnaîtra les États-Unis comme un « co-belligérant » dans la guerre d'Ukraine !

Hier, il est apparu dans les médias britanniques que l'Ukraine est prête à utiliser des missiles britanniques à longue portée pour frapper la péninsule annexée de Crimée.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky fait pression pour que l'Occident fournisse des jets et des missiles à plus longue portée, avertissant que la guerre pourrait "stagner" sans eux.  

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a répondu à son appel en admettant que "rien n'est sur la table" en ce qui concerne l'aide militaire du Royaume-Uni pour aider à lutter contre l'invasion russe.

Des discussions auraient eu lieu concernant la fourniture potentielle de missiles anti-navires Harpoon – qui ont une portée de 150 milles et coûtent environ 1,2 million de livres sterling.

Des missiles de croisière sol-air Storm Shadow, d'une portée d'environ 250 miles et d'un coût de 2,2 millions de livres sterling, seraient également sur la table, rapporte le journal The Times (de Londres).

Des sources de la défense ont déclaré au journal que Kiev était prête à utiliser les missiles pour frapper la Crimée, la péninsule qui a fait sécession de l'Ukraine en 2014 après que l'Occident a renversé le président ukrainien démocratiquement élu et installé un régime fantoche "pro-occidental".

Des pourparlers sont en cours sur le nombre de missiles à longue portée que le Royaume-Uni pourrait potentiellement fournir – malgré les craintes que des frappes transfrontalières ne conduisent à une escalade du conflit.

RÉPONSE DE LA RUSSIE

À la télévision nationale russe plus tôt cette semaine, il a été révélé que la Russie se dirigeait vers une politique de frappes nucléaires tactiques « préventives », similaire à celle des États-Unis. 

De plus, si l'Ukraine cible la Crimée et le cœur de la Russie, la Russie répondra selon les plans en cours d'élaboration.

Ces plans prévoient des contre-attaques contre les installations militaires américaines en Europe et contre les États-Unis continentaux à l'aide de missiles hypersoniques. 

Cette menace de contre-attaques en Europe et aux États-Unis est rendue publique et explicite, de sorte que personne ne doute de ce qu'il faut attendre du Kremlin.

Donc nous en sommes là. Les Russes dépouillent la fiction d'une guerre par procuration et révèlent le statut de co-belligérant des États-Unis et de ses alliés de l'OTAN en vue d'une guerre cinétique avec l'OTAN. 

PIRE

La législature ukrainienne, la Verkhovna Rada, travaille sur une législation permettant  aux troupes de l'OTAN d'entrer en Ukraine !

Des sources en Russie disent que si l'Ukraine adopte une législation pour inviter des troupes de l'OTAN dans le pays, ces troupes seront immédiatement engagées et tuées par les forces russes.

Des sources aux États-Unis me disent "C'est ce que nous recherchons - parce que tous les gants se détachent à ce moment-là."

5 commentaires:

  1. Là ça commence à devenir intéressant, on rentre dans le dur.
    Mais les Russes auront ils le courage d'appuyer sur le bouton, comme les Iraniens après l'assassinat de Souleymani?
    Pas sûr...

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    1. Pour la Russie, ce n'est pas une question de courage, mais de survie. Les occidentaux ne l'ont pas encore compris (ou ils ne veulent pas le comprendre pour une sorte de refoulement psychologique, car les conséquences d'une intervention russe de grand envergure sont inimaginables) et quand ils le feront il sera trop tard. Comme d'habitude.

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  2. L'étau se resserre sur la population européenne.

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  3. Quel intérêt de continuer à commenter ce merdier ?. Cela fera bientôt un an que cette histoire a commencée. De deux choses l’une, soit on nous prend pour des cons, soit on nous prend vraiment pour des cons.Considérons que l’Occident-mordor est ce qu’il est, c’est à dire la contrée qui a élévé au rang de modèle suprême le terme « abruti », de là quoi qu’il puisse se passer cela ne modifiera que peu cet espèce de nirvana dont semble frappé l’ensemble de ce monde déjà en partance vers l’ailleurs et surtout vers nul part. Quant à la Russie, elle essaie de se rappeller à notre bon souvenir, la téloche-cerveau des orques de l’occident-mordor ne la faisant plus exister qu’au travers de ce territoire dont le principal représentant vêtu comme un garde forestier défile dans les différentes capitales « abruties ». Bien évidemment tout ceci est très pathétique et relève du caractère (conjugué au pluriel) cité un peu avant. A ce stade même si une montagne de la taille de l’Everest venant de l’espace et se fracassant sur ce caillou nommé Terre ne passerait peut-être pas comme une lettre à la poste mais on n’en serait pas loin, alors une conflagration nucléaire.... fastoche. Tout ce qu’il nous reste à nous , gens de peu, de presque peu ou de pas grand chose, c’est d’applaudir...peut-être vers 20 heures...
    J.K

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  4. Une guerre rapide par la Russie serai ineficace pour faire tombé l'OTAN et l'économie de l' EU.
    L'auteur ne comprend pas le but du jeu.

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