jeudi 17 avril 2025

L'Arabie saoudite bombarde les zones frontalières du Yémen quelques heures après d'intenses frappes aériennes américaines.

Des milices soutenues par les Émirats arabes unis dans le sud du Yémen prépareraient une « offensive terrestre » contre Ansarallah, avec le soutien des États-Unis.

L'armée saoudienne a lancé des attaques de missiles et d'artillerie sur les zones frontalières du gouvernorat de Saada, au Yémen, le 16 avril, selon un reportage de la chaîne TV Al-Masirah.

Aucune victime civile n'a été signalée suite à l'attaque saoudienne contre ce bastion historique d'Ansarallah. L'attaque est survenue quelques heures après que l'aviation américaine a lancé plusieurs frappes aériennes sur le district de Majz à Saada et le district de Mefaa Anas dans le gouvernorat de Dhamar.

Mardi, l'aviation américaine a lancé plus de 25 frappes aériennes sur les gouvernorats d'Al-Bayda, Hodeidah, Amran et Saada. Le 16 mars, Washington a étendu sa guerre illégale contre le Yémen afin de mettre un terme aux opérations des Forces armées yéménites (FAY) contre le génocide israélien des Palestiniens à Gaza, tuant des dizaines de civils à travers le pays et détruisant des infrastructures civiles vitales.


Mardi, le Wall Street Journal (WSJ) a rapporté que des milices financées et armées par les Émirats Arabes Unis préparaient une offensive terrestre pour reprendre la ville portuaire de Hodeidah aux FAY, avec le soutien de Washington et de Tel-Aviv.

« Des sociétés de sécurité américaines privées ont conseillé ces milices proxies yéménites sur cette opération terrestre », ont déclaré des personnes impliquées dans la planification. « Les Émirats arabes unis, qui soutiennent ces factions, ont évoqué ce projet avec des responsables américains ces dernières semaines », indique le rapport.

Des responsables américains interrogés par le journal ont indiqué que Washington avait lancé plus de 350 frappes au cours de sa campagne actuelle contre le Yémen. Néanmoins, l'intensité de la guerre n'a pas réussi à dissuader les opérations pro-palestiniennes de Sanaa.

Des responsables saoudiens ont déclaré en privé qu'ils ne participeraient ni ne contribueraient à une offensive terrestre au Yémen.

En 2018, le royaume saoudien a lancé trois opérations contre Ansarallah pour tenter de s'emparer de Hodeida, mais sans succès.

Les forces d'Ansarallah ont riposté en lançant des missiles balistiques et des drones sur des villes saoudiennes, notamment en frappant un site de stockage de pétrole de Saudi Aramco à Djeddah, menaçant ainsi de dévaster la production et les exportations pétrolières du royaume.

News Desk   16 avril 2025   The Cradle

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Le Yémen va-t-il braquer ses missiles sur les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite ?

Alors que la dernière campagne militaire de Washington entre dans son deuxième mois, les lignes de front du Yémen restent clairement définies, avec des interrogations croissantes quant à savoir si Riyad et Abou Dhabi ne seront pas les prochains à être entraînés dans une guerre qu'ils ne peuvent ni contrôler ni gagner.

La guerre israélo-américaine contre le Yémen, qui en est à sa deuxième phase, a franchi le cap du premier mois sans gains clairs ni calendrier de réussite. Ce qui émerge, c'est un risque croissant d'escalade, qui pourrait contraindre les acteurs régionaux, notamment l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, à une confrontation directe contre le Yémen.

Pourtant, plusieurs facteurs pourraient retarder, voire empêcher, un tel scénario, à l'image de ce qui s'est produit l'année dernière. Comprendre la direction que pourrait prendre cette guerre nécessite une compréhension claire du terrain : la perception du Yémen par le conflit, la réaction de ses voisins du Golfe Persique et ce qui pourrait déclencher une escalade plus large ou un retour en arrière négocié. Sanaa lie sa stratégie militaire à la résistance de Gaza

Même dans les cercles occidentaux, il est incontestable que la guerre au Yémen est désormais étroitement liée à la guerre génocidaire d'Israël en Palestine. Washington a tenté, sous l'ancien président américain Joe Biden, de dissocier les deux. Mais la réalité sur le terrain est toute autre : les opérations militaires de Sanaa sont synchronisées avec les événements en Palestine.

Ce lien est devenu encore plus évident après le cessez-le-feu de janvier 2025 entre le Hamas et Israël, qui a entraîné une pause dans les attaques yéménites, jusqu'à ce que Tel-Aviv, comme prévu, revienne sur ses engagements. Le retour du président américain Donald Trump à la Maison Blanche a entraîné une reprise des frappes sur le Yémen, sous prétexte de défendre le transport maritime international.

Pourtant, ces attaques n'auraient pas eu lieu si les États-Unis ne s'étaient pas déjà engagés à protéger les navires israéliens. La nouvelle administration, contrairement à la précédente, ne tente pas réellement de dissimuler le chevauchement entre les deux fronts.

La stratégie du Yémen est claire dès le départ : son activité militaire est calibrée en fonction de ce qui se passe à Gaza. Les factions palestiniennes déterminent le rythme de l'escalade ou du calme, tandis que le Yémen reste prêt à en absorber les conséquences.

Sanaa a payé un lourd tribut à cette position. Washington a gelé les négociations économiques entre le Yémen et l'Arabie saoudite, punissant ainsi le premier pour son refus d'abandonner son soutien militaire à Gaza. Les États-Unis ont fait miroiter des incitations économiques en échange de sa neutralité – des offres acceptées sans hésiter par les États arabes compradores de la région – mais Sanaa a refusé de céder.

Confronté à un choix binaire – maintenir son soutien à la Palestine et accepter un gel des accords internes, ou ouvrir un second front avec Riyad et Abou Dhabi – le Yémen a choisi de maintenir le cap.

Cette décision reposait sur trois convictions fondamentales : 1) la Palestine doit être soutenue sans condition, même si cela implique de sacrifier des intérêts nationaux urgents ; 2) l'identité politique d'Ansarallah est fondée sur l'opposition à l'hégémonie israélienne et est donc incompatible avec tout alignement sur la normalisation des relations dans le Golfe Persique ; et 3) le Yémen doit empêcher Washington et Tel-Aviv de le distraire par des guerres parallèles visant à affaiblir son orientation stratégique.

La frustration des pays du Golfe s'accroît face à la défiance du Yémen.

L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, partenaires de la coalition des traîtres arabes, n'ont pas bien accueilli la décision du Yémen. Les deux pays pro sionistes ont profité de l'occasion pour revenir sur la trêve signée en avril 2022 et imposer des sanctions à Sanaa pour son soutien à Gaza.

Cette trêve n'a favorisé aucune des deux monarchies du Golfe. Abou Dhabi a pleinement normalisé ses relations avec Israël, tandis que Riyad s’en rapproche de plus en plus. Le Yémen, quant à lui, encore marqué par des années d'agression saoudo-émiratie, a rapidement soutenu la cause palestinienne. Le contraste est on ne peut plus frappant : l'État arabe le plus pauvre, et qui est brutalisé par Riyad et Abou Dhabi défend désormais la Palestine, pendant que ces pseudo arabo-musulmans, non seulement détournent le regard devant les atrocités américano-israéliennes, mais y contribuent indirectement.

La position du Yémen entre également en conflit avec l'alignement géopolitique plus large des deux États du Golfe, qui restent profondément ancrés dans l'orbite de Washington/Tel-Aviv. Mais leur frustration est restée essentiellement rhétorique.

Malgré leur rôle au sein de l'alliance dite des « Gardiens de la prospérité », ni l'Arabie saoudite ni les Émirats arabes unis n'ont entrepris d'opérations militaires majeures contre le Yémen depuis le début de la nouvelle série de frappes aériennes américaines. Riyad a d'abord tenté de lier les opérations maritimes yéménites en mer Rouge à la guerre de Gaza, mais ce cadrage a rapidement cédé la place à de vagues propos de menaces pour la navigation commerciale – un code pour faire marche arrière.

Le message politique saoudien a radicalement changé en janvier, lorsqu'il a refusé de participer aux bombardements conjoints américano-britanniques. Son ministère de la Défense a rapidement démenti les informations selon lesquelles l'espace aérien saoudien avait été ouvert aux frappes américaines, et a ensuite pris ses distances avec toute implication israélienne. Le message de Riyad était clair : il ne veut pas être entraîné dans une nouvelle guerre à grande échelle avec le Yémen – pas maintenant.

Le Yémen riposte par une politique d'endiguement

Malgré le retrait de l'Arabie saoudite de ses engagements antérieurs, le Yémen a activement encouragé  Riyad et Abou Dhabi ont activement à maintenir une posture de neutralité. Ce n'est pas par optimisme, mais par pragmatisme : éviter une guerre plus large avec le Golfe Persique permettrait d'éviter une dangereuse explosion régionale. L'objectif de Sanaa a été d'éloigner les décisions saoudiennes et émiraties de la confrontation militaire, de la mobilisation par procuration ou de l'escalade économique.

Ce dernier point a failli faire pencher la balance en juillet 2024, lorsque Riyad a ordonné à son gouvernement fantoche d'Aden de délocaliser les banques centrales du Yémen de Sanaa. Il s'agissait d'une provocation économique manifeste – et d'une ligne rouge à franchir.

En quelques jours, le chef d'Ansarallah, Abdul Malik al-Houthi, a lancé un avertissement sévère, présentant la décision saoudienne comme un élément d'une stratégie israélo-américaine.

« Les Américains tentent de vous piéger [l'Arabie saoudite], … Nous ne pourrons jamais accepter une escalade agressive contre notre pays », a-t-il révélé dans un discours du 7 juillet 2024.

Il a averti Riyad que tomber dans ce piège serait « une terrible erreur et un échec retentissant, et nous avons le droit naturel de contrer toute mesure agressive ».

Sanaa a réagi par une équation dissuasive sans équivoque : « banques pour banques, aéroport de Riyad pour aéroport de Sanaa, ports pour ports

La manœuvre saoudienne a peut-être mis à l'épreuve la détermination du Yémen, peut-être en partant du principe que Sanaa était trop débordée – confrontée à une coalition menée par les États-Unis la Grande Bretagne et Israël  et à une spirale de difficultés intérieures – pour réagir de manière décisive.

Si tel est le cas, Riyad a commis une erreur de calcul. La réponse des Houthis fut sans détour :

« Il ne s’agit pas de vous laisser détruire ce peuple et le pousser à l’effondrement total afin qu’aucun problème ne surgisse. Laissez mille problèmes surgir. Laissez la situation s’envenimer autant qu’elle le peut

Riyad et Abou Dhabi n’ont pas envie d’une guerre sans garanties.

Le lendemain de l’avertissement des Houthis, des manifestations massives ont éclaté dans tout le Yémen. Des millions de personnes ont manifesté pour condamner les provocations saoudiennes, offrant le signal le plus clair à ce jour que l’opinion publique était fermement alignée sur la résistance d’Ansar-Allah– et prête à l’escalade.

Riyad le sait. Même avant la dernière crise, une grande partie de la société yéménite tenait l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis pour responsables de ce que l’ONU elle-même a qualifié de pire catastrophe humanitaire au monde. Tout nouveau conflit ne ferait qu’exacerber cette colère.

Face à la menace de représailles directes, Riyad a reculé dans son pari bancaire. Le souvenir des précédentes frappes yéménites contre des installations pétrolières saoudiennes – notamment celles de 2019 à 2021 – hante encore les dirigeants saoudiens.

Aujourd'hui, les capacités du Yémen se sont accrues. Il possède désormais des missiles hypersoniques et des drones de plus en plus sophistiqués. Et c'est précisément grâce à ces avancées que Washington n'a pas réussi à forcer ces pays compradores du Golfe à reprendre la guerre. Aucune garantie de sécurité américaine significative n'est sur la table – rien qui protégerait les champs pétroliers, les infrastructures critiques ou les voies de navigation commerciale saoudiennes ou émiratis d'un retour de flamme.

Les échecs sont déjà évidents. La coalition « Gardiens de la prospérité » n'a pas fait grand-chose pour arrêter les frappes yéménites contre des navires liés à Israël, et les frappes aériennes israélo-américano-britanniques n'ont pas réussi à endiguer la capacité du Yémen à frapper profondément en Israël. Ces réalités du champ de bataille ont changé la donne à Riyad et à Abou Dhabi. L'escalade est, pour l'instant, hors de question.

Les lignes rouges du Yémen se creusent

Cela ne signifie pas que Washington a renoncé à essayer d'entraîner l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis dans le conflit. L'administration Biden n'y est pas parvenue. L'équipe ultra-sioniste de Trump, en revanche, est perçue comme plus agressive et plus susceptible de fournir des systèmes d'armes avancés qui pourraient inciter Riyad et Abou Dhabi à franchir le pas.

Les élites compradores du Golfe perçoivent également cette ouverture stratégique : l’effondrement de la Syrie, le déclin supposé du Hezbollah et l’évolution des dynamiques régionales pourraient offrir une rare occasion de redessiner la carte.

Mais pour les Saoudiens, le Yémen reste la préoccupation centrale. Un État libéré et idéologiquement révolutionnaire et anti-sioniste à leur frontière sud constitue une menace existentielle, non seulement pour la sécurité, mais aussi pour le projet de refonte culturelle dans lequel le Royaume a tant investi. Les Émirats arabes unis partagent des inquiétudes similaires. La montée de l’Axe de la Résistance yéménite menace son image soigneusement entretenue d’acteur régional en phase avec les intérêts israéliens et occidentaux et en opposition avec la majorité de leurs populations.

C’est pourquoi Sanaa a placé ses forces en état d’alerte maximale. Ansarallah surveille chaque mouvement de Riyad, d’Abou Dhabi et de leurs proxies locaux, dont beaucoup sont impatients de rejoindre la guerre. Ces groupes se sont déclarés prêts à participer à une coalition internationale pour « protéger le transport maritime » et ont déjà tenu des réunions directes avec des responsables militaires et politiques américains.

Mais le gouvernement de Sanaa sait que ces factions n’agiraient pas sans ordre. Si ces proxies se mobilisent pour une offensive terrestre de grande envergure, le Yémen ripostera en ciblant les puissances qui les soutiennent. Toute guerre terrestre sera perçue comme une initiative saoudo-émiratie, et non yéménite . La même logique s'applique à de nouvelles frappes aériennes ou à une guerre économique plus intense. Telles sont les lignes rouges de Sanaa.

Un avertissement à l'Axe de la normalisation

Abdul Malik al-Houthi l'a clairement exposé lors de son discours du 4 avril : Je vous conseille à tous [États arabes voisins du Yémen], et nous vous mettons en garde simultanément : ne vous associez pas aux Américains pour soutenir les Israéliens. L’ennemi américain agresse notre pays en soutien à l’ennemi israélien. La bataille se joue entre nous et l’ennemi israélien.

Les Américains le soutiennent, le protègent et le soutiennent. Ne vous associez pas à l’ennemi israélien… Toute coopération avec les Américains pour une agression contre notre pays, sous quelque forme que ce soit, constitue un soutien à l’ennemi israélien, une coopération avec l’ennemi israélien, une conspiration contre la cause palestinienne.

Il a ajouté :

« Si vous coopérez avec les Américains : soit en les autorisant à nous attaquer depuis des bases situées dans vos pays. Soit en leur fournissant un soutien financier. Soit en leur fournissant un soutien logistique. Soit en leur fournissant un soutien informationnel. C’est un soutien à l’ennemi israélien, une défense de l’ennemi israélien et un soutien à l’ennemi israélien

Ce n’était pas un simple avertissement. C’était une déclaration stratégique. Tout pays franchissant ces lignes sera traité comme un participant actif à la guerre et passible de représailles.

Le message ne s'adresse pas seulement à Riyad et à Abou Dhabi, mais aussi à d'autres États arabes et africains qui pourraient être tentés de se joindre à la bataille sous prétexte de « protéger la navigation internationale ».

Le Yémen se prépare à tous les scénarios. Il ne sera pas pris au dépourvu. Et cette fois, il ne combattra pas seul.

Bandar Hetar    15 AVRIL 2025     The Cradle

7 commentaires:

  1. Ainsi donc pour quelques "SCUD" lancés aussi vainement qu’inconsidérément à contretemps sur Israël , la population CIVILE Houtis en particulier, va se faire écrabouiller par les frappes US et les attaques de leurs frères arabes au sol.....Et l'IRAN pas plus qu'au Liban ou en Syrie ne lèvera le petit doigt contre cette attaque qui s'annonce.....

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    1. Leurs frères arabes ????? Quelle fourberie !!

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    2. Les Houthis en particulier sont un modèle mondial pour un monde digne des vraies valeurs humaines, contrairement aux envahisseurs hypocrites d’Isis du cartel khazar d’Israël, qui sont les masses de l’Occident.
      Cette fois, ces petits néonazis peau noire, masques blancs ces représentants locaux des maisons blanches des harems de femmes blanches d'incestueux, d'incestueuse d'esclavagiste gréco-romaines au service de la sous-traitance endocolonat des masses collectivistes occidentales
      Qui seront dirigés par des êtres élevés par les porteurs du peuple yéménite, descendants directs des prophètes sémitiques noirs.
      Ils feront de leur mieux pour prédire leur mythe légendaire d'incestueux gréco-romaines.
      La seule vraie règle que les faux gangs du Reich khazar ne pourront jamais changer est la Victoire Divine.
      Ceux qu ils tentent de faire avec leurs colons mercenaires néonazis dirigés par leur prince psychopathe néonazi Hérode, qui a décidé de poursuivre une politique de la terre brûlée et un génocide généralisé en larguant des bombes sur l'espace de vie palestinien contre tous les nouveau-nés et les femmes palestiniennes selon leurs récits historiques et leurs écrits basés sur leurs livres messianique d’Isaïe blancs que sont ces persécuteurs néonazis.

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    3. Les Houtis risquent de bientôt,,découvrir une amère vérité ,que connaissent déjà très bien les Palestiniens à savoir, que dans le malheur PERSONNE ne viendra au secours.....Sinon avec des discours.....

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  2. Se focaliser uniquement sur l'internationale n'est pas une bonne chose. Il y aurait de quoi faire pour chaque pays européen.
    À titre d'exemple, le pass numérique européen débarque et ce n'est pas "le sauveur sioniste Trump" qui viendra à votre aide.

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  3. Il est temps de remplir la cuve de Gas oil. Les prix vont monter

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  4. CALMOS.....gégé !!! Du pétrole dans le monde,il y en a, à GOGO: Le simple retour de la Russie pourrait faire descendre le prix du baril à 40$, chose que les ricains ne veulent pas , idem pour le GNL.....: Ne pas oublier que sur ORDRE des US les Saoudiens pourraient ouvrir grand les vannes.....et faire baisser encore plus le cout du baril et ainsi réduire les ressources russes de la vente de ses hydrocarbures,mais aussi celles de l'Iran .

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