En islam, une fatwa
est un avis juridique donné par un spécialiste de la loi islamique sur une
question particulière. En règle générale, une fatwa est émise à la demande d'un individu ou d'un juge pour
régler un problème où la jurisprudence islamique n'est pas claire.
Un spécialiste pouvant donner des fatwas est appelé un
mufti. L’idée de la fatwa est devenue célèbre en 1988. A l’époque,
l’Ayatollah Khomeiny voulait faire assassiner Salman Rushdie pour son roman Les
Versets sataniques. Depuis, c’est la mode. Des cheikhs intégristes, des
imams salafistes et autres muftis intégristes se lancent dans l’émission de
fatwas : c’est le fatwa-shopping. Quelque chose ne va pas ? Fatwa. Un chef
islamiste veut abattre un ennemi ? Fatwa. Interdire un livre ou une œuvre
artistique ? Fatwa. Faire fortune en vendant de la viande pourrie ?
Fatwa. La fatwa est devenue une « machine à blanchir » les crimes les
plus odieux, un outil d’autodestruction d’une religion islamique aux prises
avec une modernité avec laquelle elle peine à s’adapter.
Cette inflation de fatwas est due, d’une part, à l’inexistence
d’un véritable droit musulman au sens scientifique du terme, et d’autre part à
ce que l’islam ne dispose pas d’une autorité spirituelle centralisée et
reconnue. Chaque rite, chaque école, chaque mufti et chaque jurisconsulte le
conjugue à sa manière. Ainsi selon Mary Zwahlen « le droit musulman ne
contient aucune théorie générale, aucune généralisation conceptuelle. Loin de
former dans leur ensemble un système cohérent, les prescriptions du Coran et de
la Sunna et celles qui ont été déduites par la doctrine, ne constituent pas des
règles de droit, mais une suite décousue de jugements, donnés dans des cas
d’espèces et au fur et à mesure que ceux-ci sont présentés ». Cela pose, en
particulier, le problème du recrutement des muftis dans les mosquées.
La liste de ces fatwas choquantes, insolites ou même ridicules
est interminable. En voici un florilège.
1- La carotte
La
carotte a tout vu avec ces muftis, de ceux qui interdisent aux femmes de
toucher les carottes car elle pourrait raviver les fantasmes les plus enfouis,
à ceux qui, comme le prédicateur marocain Zamzami, permettent aux femmes
d’utiliser ce légume comme sex-toy. Il assure, que, du point de vue religieux,
le recours aux sex-toys est parfaitement légitime. Il se justifie ainsi :
« La masturbation est une solution provisoire pour les jeunes
musulmanes et musulmans, le temps qu’ils puissent se marier. Autoriser la
masturbation a donc un objectif religieux : c’est de faire éviter à notre
jeunesse de tomber dans le grand péché. Cette même règle a été adoptée par
l’Imam Malek.... » (Malek est le juriste musulman qui a fondé l'école
malékite, l’une des quatre écoles juridiques de droit musulman sunnite).
2- La banane et le concombre
Contrairement
au cheikh précédent, le « Cheikh Concombre » (alias Al-Qardawi) a émis une
fatwa interdisant aux femmes musulmanes le droit de toucher une banane ou un
concombre à cause de leur ressemblance avec le pénis masculin. Par contre, si
elles veulent en manger, pas de problème ! Il suffit que leur mari coupe
préalablement l’objet du délit en petits morceaux avant de le servir à ses
dulcinées (généralement plusieurs). A la suite
de cette histoire, aux Maldives, la télévision publique a censuré le mot concombre
par crainte de représailles. Cette fatwa fait suite à une ancienne fatwa d'Al-Qaïda en Irak, qui exigeait que les
vendeurs séparent les tomates et les concombres sur leurs étals sous prétexte
que ces légumes seraient de sexe différent, et qui avait décrété que seuls les hommes pouvaient
acheter des concombres.
Curieusement,
Al-Qardawi ne parle pas des carottes : serait-il d’accord avec
Zemzami ? On attend des fatwas pour les glands et autres fruits et légumes
dont la vue ou le toucher pourraient s’avérer suspects aux yeux de ces cheikhs lubriques.
3. Le vélo
Messieurs,
méfiez-vous de la bicyclette de votre femme : c’est sûrement un sex-toy. En
effet, « Enjamber la selle du vélo suscite chez la femme une excitation
sexuelle » d’après le cheikh Kamel Al-Faïdy. De ce fait, il interdit la
pratique du vélo aux femmes musulmanes (interdiction encore plus sévère si leur
panier est rempli de bananes ou de concombres). Cette fatwa a bien sûr soulevé
un tollé sur la toile. Et attention la contre-attaque est rude, l’argument
percutant : « Durant les conquêtes musulmanes des premiers siècles, les
femmes contribuaient au jihad à dos de chameaux, dont la monte et la bosse sont
bien plus excitantes sexuellement que le vélo. ». Grâce à cette fatwa, on comprend pourquoi les touristes
européennes qui viennent en Tunisie, au Maroc ou en Egypte, en houris perverses,
adorent la promenade à dos de chameau.
4. L a fellation et le cunnilingus
Le cheikh Al-Qardawi, encore lui, en maître à penser des
islamistes tunisiens et égyptiens, avait explicité que les «caresses
bucco-génitales» étaient permises par l’islam, à la condition que la femme
n’avale pas le sperme, «liquide
impur». Il déclare reprendre
d'autres théologiens de l’Islam, qui «ont
autorisé le baiser génital (entendez :), aussi bien celui de la femme pour son
mari que celui du mari pour sa femme, et il n’y a aucune honte à cela»,
précisant que «si une
personne prend son plaisir par la bouche, c’est un comportement qui sort de
l’ordinaire, mais on ne peut l’interdire, surtout si c’est avec l’accord de la
femme et qu’elle aussi y prend du plaisir.»
5. Viol et "prostitution halalʺ
Cheikh Mohammed
al-Arifi, un dignitaire religieux Saoudien a émis une fatwa intitulée "ouverture
de la porte du djihad par le mariage en Syrie”. Cette fatwa a
légalisé la dépravation et la débauche et soumis à la prostitution des milliers
de jeunes filles et de femmes syriennes (enlevés de force, et de ce fait,
violées en tant que prises de razzia) et des femmes et des filles venues
d’autres pays pour “le jihad par le mariage”. Al Arifi a rendu
« licite » d’un point de vue religieux, ces rapports sexuels pour les
mercenaires islamistes en Syrie, qui pourront contracter « mariage »
pour une durée ne dépassant pas
quelques heures. Après avoir assouvi ses bas instincts, le djihadiste se
doit de prononcer trois fois la fameuse formule de répudiation (tu es répudiée)
et le tour est joué. Dès que la répudiation est prononcée, un autre mercenaire “épouse” la ʺdivorcéeʺ et ainsi de suite. Le nombre de mariages
par jour n'est pas précisé dans la fatwa. Les promoteurs de cette fatwa
affirment que ces « mariages licites » ont pour objectif "de
permettre aux combattants d’exercer leur droit aux rapports sexuels, ce qui
renforce leur courage et augmente leur capacité et leur moral dans le combat”.
6- La pédophilie
Une
jeune fille est prête à se marier à 10 ou 12 ans a déclaré
Abdul-Aziz Al-Cheikh, un cheikh saoudien, selon le journal Al Hayat basé
à Londres, ajoutant : “Ceux qui
appellent à élever l’âge du mariage à 25 ans sont dans l’erreur absolue”
lors d’une conférence à l’Université Islamique de Riyad. Il a ajouté: “Nos mères et nos grands-mères se sont
mariées quand elles avaient à peine 12 ans. Avec une bonne éducation
une fille est prête à remplir toutes les tâches conjugales à cet âge.”
Malheureusement, la pédophilie est assez ancienne en islam. Ainsi, Al-Boukhâri, célèbre érudit
musulman sunnite (810 - 870), écrivit : « Les pères sont autorisés à
donner en mariage leurs filles, même si elles sont au berceau, mais leurs maris
ne peuvent les pénétrer que quand elles sont aptes à cela et aussi quand elles
peuvent supporter le poids du mari … ».
Donc, le mariage d’une enfant de 5 ans, de solide constitution, si elle peut supporter le poids d’un homme de 60 kilos et de 90 ans, est parfaitement licite. C’est de la pédophilie. C’est ce même Boukhâri qui avait promu le pipi de chameau comme remède miracle, grâce à une citation qu’il attribue au Prophète Mahomet. Dernièrement, une centaine de décès ont été enregistrés en Arabie Saoudite, suite à un virus contre lequel aucun vaccin n’existe : le coronavirus. Le coronavirus MERS serait transmis par les dromadaires et pourrait passer directement des animaux aux humains, selon une étude publiée mardi 25 février aux Etats-Unis, dans la revue médicale mBio. Une fatwa interdisant la zoophilie avec les chamelles ainsi que la consommation de leur pipi et de leur lait serait salutaire. Inch'Allah.
Donc, le mariage d’une enfant de 5 ans, de solide constitution, si elle peut supporter le poids d’un homme de 60 kilos et de 90 ans, est parfaitement licite. C’est de la pédophilie. C’est ce même Boukhâri qui avait promu le pipi de chameau comme remède miracle, grâce à une citation qu’il attribue au Prophète Mahomet. Dernièrement, une centaine de décès ont été enregistrés en Arabie Saoudite, suite à un virus contre lequel aucun vaccin n’existe : le coronavirus. Le coronavirus MERS serait transmis par les dromadaires et pourrait passer directement des animaux aux humains, selon une étude publiée mardi 25 février aux Etats-Unis, dans la revue médicale mBio. Une fatwa interdisant la zoophilie avec les chamelles ainsi que la consommation de leur pipi et de leur lait serait salutaire. Inch'Allah.
7- Le voile pour les fillettes de deux ans
"école maternelle" islamiste en Tunisie |
Lors d'une
intervention sur la chaîne d'émissions religieuses Al-Majd, le prédicateur
saoudien Abdallah Al-Daoud a estimé qu'il fallait « imposer le hijab
aux fillettes à partir de deux ans ». « Si la fillette
peut susciter un certain désir, ses parents doivent lui couvrir le visage et
lui imposer le voile (...) pour ne pas tenter les pervers», a
estimé le prédicateur. Effectivement, pour être excité par une gamine de cet
âge, il faut être un sacré pervers, comme ce prédicateur. Et comme cet autre
Saoudien, l'imam Fayhan al-Ghamdi qui a violé, brûlé, brisé les côtes et tué sa
fille de cinq ans.
Il a été relâché moyennent une amende de 36.000 euros
(environ). Je trouve cette fatwa un peu laxiste, on devrait aussi voiler les
images des embryons de sexe féminin lors des échographies.
8- La zoophilie
Dans
Fatawa Qadhi Khan, Page 820, le ʺsavantʺ
hanafite, Hassan bin Mansoor Khan (12ème siècle), énonce les actes
qui n’invalident pas le jeûne du mois de Ramadan. Il écrit : “Le sexe
avec des animaux, avec les morts et la masturbation, n’invalident pas le jeûne
à condition que l’éjaculation ne se produise pas». Ce « savant » autorise donc la zoophilie
et la nécrophilie.
Dans
son Petit livre vert, Proverbes, (Politique, Phylosophica, Social et
Religieux, page 47), l’Ayatollah Khomeïny écrit « L’homme peut
avoir des rapports sexuels avec des animaux tels que les moutons, les vaches,
les chameaux et ainsi de suite. Cependant il doit égorger l’animal après avoir
eu son orgasme. Il ne doit pas vendre la viande aux gens de son village,
cependant la vente de cette viande à un village proche est acceptable ».
9- La nécrophilie
La
carotte n’est pas la seule sortie du tristement célèbre, le "cheikh"
marocain Zamzami. En effet, il a signé une autre fatwa qui concerne un sujet
plus macabre que les sex-toys. Cet "imam" n’a pas hésité à rendre
légale la nécrophilie, déjà autorisée ci-dessus. Il est ainsi permis, selon ses
prétentions, que le musulman puisse avoir des rapports intimes avec sa défunte
femme. Ce prédicateur prévient tout de même que cette autorisation nécrophile
ne dure que quelques heures (6 heures au maximum) après le décès de l’épouse.
Ses adeptes islamistes attendent maintenant des précisions. Est-ce le cas
uniquement pour des morts naturelles, ou pour toutes les morts, mêmes les plus
violentes. En cas d’accident de la route, faut-il attendre de recoller les
morceaux ? Probablement, les prochains médecins islamistes bon teint
seront les seuls habilités à rafistoler le cadavre avant de le rendre au veuf
éploré, et qui attend la main sur la braguette. On demandera aussi aux
"experts Manhattan" de rafistoler vite fait bien fait le cadavre de
toute défunte musulmane "niqabée" et de la rendre à son mari barbu, afin
qu'il puisse lui dire adieu une dernière fois, conformément au rire zamzamien.
Mais faisons confiance à l’intelligence et au grand savoir de ce
"savant" en islam : il saura préciser tous les détails de la
nécrophilie, il saura trouver les réponses dans la tradition, et si cela n'est
pas possible, ils saura interpréter la charia.
10- Le cannibalisme
Cela se passe en
direct, sur une chaîne de télévision égyptienne. L’invité est un intellectuel
égyptien, historien et spécialiste en droit musulman. Entre ses mains, un livre
introduit en 2011 dans le programme universitaire de l’université islamique d’Al-Azhar. Il lit :
« Puisque nous avons autorisé la consommation de la viande humaine, il
est cependant interdit de la faire cuire ou de la griller ». On se
demande alors de quelle manière, selon la charia, le bon musulman va-t-il
consommer et déguster cette viande si rare ! Notre intellectuel
égyptien qui n’en revient pas continue à lire : « S’il a faim, le
musulman a pour obligation de tuer un nom musulman, ou un apostat et de le
manger… sans en référer à une autorité religieuse ». Tombé des nues,
le journaliste pose la question à son invité : « Et cela, on
l’enseigne à nos enfants à l’université Al-Azhar ? ». Et au
professeur égyptien de citer la référence exacte de ce manuel d’enseignement
tout à fait récent, en indiquant la page de ce texte qui légifère l’anthropophagie islamique. Toujours en se référant
à cette œuvre magistrale, l’invité lit : « Tuer quelqu’un qui est
coupable d’adultère, ou un ennemi, ou quelqu’un qui ne fait pas la prière, est
un devoir qui se passe d’une autorisation judiciaire ou religieuse ». Mais ce livre éminemment spirituel ne
précise pas si, en l’occurrence, il faut le manger ou non !
11- La tétée
Bien que datant de
quelques années (2007), cette fatwa avait provoqué un tollé dans le monde
musulman. Elle avait quand même été reprise l'année dernière par des religieux
fanatiques.
Selon deux fakihs (savants
religieux) d’Al Azhar « La seule façon de se retrouver seul avec une
collègue de travail dans un bureau est de l'avoir tétée ». Selon ces
théologiens juristes «la femme pourrait désormais enlever son voile et être
seule avec son collègue dans un bureau, à condition de l'avoir allaité à cinq
reprises, en lui donnant «directement son sein ». Le Dr Izzat Al-Attiyah
(ou Ezzat Attia), auteur de ce décret religieux, explique que « le fait
qu’elle lui donne le sein est considéré comme un acte maternel qui empêcherait
tout acte sexuel entre les deux ». Personnellement, je comprends
pourquoi Ségolène Royal, ministre française de l'Écologie, aurait édicté un
"code de conduite" à respecter
dans son ministère, dont, en particulier, l'"interdiction des
décolletés". Elle sait, la coquine, qu’un décolleté est une invitation à
peine déguisée à une tétée « à la bonne franquette » entre collègues.
Dans le même
registre, le Cheikh Abd As-Sattâr As-Saïd vient de déclarer licite par une
nouvelle fatwa les implants mammaires. «Si
une femme, victime d’une émaciation considérable du sein, induisant une
souffrance physique et psychologique chaque fois que son mari la voit, alors
elle peut traiter ce défaut de manière à éliminer cette gêne qui lui empoisonne
la vie». Le silicone est donc autorisé, avec un bémol : «si cela est fait en vue d’un excès
de plaisir ou de séduction envers son mari», précise-t-il.
12. L’amour nu
«Être
complètement nu pendant l’acte de coït annule le mariage » a
décrété le cheikh Rachid Hassen Khalil. Son confrère, Abdallah Megawar, plus
modéré, suggère aux couples de se couvrir d’un drap lors des rapports sexuels.
Ce n’est pas sans rappeler la lutte moyenâgeuse du catholicisme contre la
nudité. A l’époque, les cathos ont inventé des chemises de nuit conjugales. Des
habits complètement hermétiques qui ne ménageaient qu’une ouverture : celle
fonctionnelle au devoir de reproduction. Si vous voulez créer votre business et
vous faire un max de Dollars, il ne vous reste plus qu’à reprendre
ce principe pour kamis et niqab halal pour la copulation.
13- Le soleil et la terre
" Par sentence, nous déclarons que toi, Galilée, t'es rendu fort suspect d'hérésie, pour avoir tenu cette fausse doctrine du mouvement de la Terre et repos du Soleil. Conséquemment, avec un cœur sincère, il faut que tu abjures et maudisses devant nous ces erreurs et ces hérésies contraires à l’Église. Et afin que ta grande faute ne demeure impunie, nous ordonnons que ce Dialogue soit interdit par édit public, et que tu sois emprisonné dans les prisons du Saint-office. ».
14. Manchester United
« Les
musulmans ne doivent pas porter de maillot de Manchester United »
ont décrété de hauts responsables religieux en Malaisie. La raison de cette
interdiction ? Un petit diable représenté sur l’écusson du club. « Le diable
est notre ennemi. Porter son image ne fait que le promouvoir».
Encore une bonne raison pour justifier le marché des maillots contrefaits. Tant
pis pour les « Red Devils », les Malaisiens soutiendront l’aigle doré de ManCity.
Etant moi-même supporter d’Arsenal, je suis halalement d’accord avec cette
fatwa, et je propose donc aux gouvernements islamistes de tous les pays de
l’adopter fissa.
Une
fatwa pour se faire sodomiser halal Vidéo
Un "cheikh" islamiste enseigne à ses
auditeurs que, pour la bonne cause (se faire sauter en kamikaze), il faut
d'abord se faire défoncer l'anus (par un cheikh, comme cela on ira au paradis
des houris) afin de l'élargir suffisamment pour y insérer une bombinette, suffisamment
puissante pour tuer les gens alentour. Il enseigne qu'ainsi, insérée dans le
cul, la bombe est indétectable par les méchants flics (non islamistes), ce qui
est complètement faux. Mais pour les cheikhs pédérastes, rien ne vaut une bonne
fatwa pour convaincre les ados de baisser leur froc, ensuite l'ado ira se faire
kamikaze, et l'affaire est enterrée. Pas de scandale du genre de ceux de
l'église catholique, qui n'a pas pensé à cette méthode radicale.
Cette vidéo est un échantillon de ce que diffusent les
TV saoudiennes à l’intention des « bons musulmans ».
Pour les amateurs, je recommande d’effectuer des
recherches sur Internet : ils y trouveront des dizaines d’autres fatwas
qui leur permettront de justifier n’importe quel méfait par une fatwa émise
récemment ou il y a des siècles, par des pervers se drapant sous la bannière de
l’islam : les intégristes islamistes. On y trouvera des fatwas
relatives : à l’OTAN, aux USA, au terrorisme, à l’apostasie, aux Pokémons,
à Mickey Mouce, aux ralentisseurs sur les routes…et à n'importe quoi.
Voir
aussi :
Hannibal Genséric