Voici la liste des noms des
responsables de l’appareil parallèle liée au parti islamiste EnnahDaech au
sein du Ministère de l’Intérieur impliquées dans la vague terroriste
dans le pays ainsi que les assassinats de Chokri Belaïd et Mohamed
Brahmi. Cette liste a été révélée par Walid Zarrouk, du syndicat de la Sécurité
Républicaine lors d’une conférence de presse tenue à la salle
de cinéma « Le Colisée », à l’avenue Habib Bourguiba à Tunis.
للبدوي
والفار ما توريش باب الدار
Au bédouin et au rat,
ne montre pas la porte de ton habitat |
La liste
se présente comme suit :
- Fathi El Beldi du Mouvement islamiste Ennahdaech
- Lotfi Alzerli, commandant de Régiment BOB ( Unité d’intervention de Nabeul)
- Abdel Karim Azizi, un proche de Rached Ghannouchi, président du mouvement islamiste Ennahdaech
- Amara Argoubi, directeur régional de la Sécurité Publique
- Taher Bobahri, un conseiller à la sécurité auprès du Ministère de l’Intérieur
- Oussama Bouthelja, conseiller du Premier ministre et responsable de la vague de nominations des gouverneurs nahdaouis au ministère de l’Intérieur
- Lotfi Sguaeir, directeur du service des étrangers et des frontières
- Riad Laamari, colonel dans l’Administration Pénitentiaire, aurait commis des malversations financières en 2001, responsable d’une agression contre Abdelkarim Harouni (il lui aurait cassé la mâchoire)
- Zouheir Al-Hajji, Commandant de Régiment à Sousse
- Mehrez Zouari, le Directeur des services spéciaux
- Imed Touzri, colonel et directeur de l’école des inspecteurs de Bizerte
- Riad Bellatif, directeur général chargé de la formation au sein du Ministère de l’Intérieur (cousin maternel de Seif Allah Ben Hassine alias Abou Ayadh
- Habib Sboui, directeur de l’Administration pénitentiaire, accusé de corruption et de malversation.
- Hassan Zahi, colonel et directeur de la Sûreté Publique au service des unités d’intervention
- Hamza Ben Aouicha, directeur général aux services spéciaux chargé du recrutement et gendre de Mehrez Zouari
- Eliès Harouni, frère du ministre des Transports Abdelkarim Harouni
- Lotfi El Houdoudi, conseiller de communication au Ministère de l’Intérieur proche du mouvement islamiste Ennahda
- Mustapha Ben Amor, directeur général de la Sécurité Publique et ami proche de Mehrez Zouari
- Zine El-Massoudi ingénieur agronome, nommé directeur à la prison d’Aguareb (ville située à 20 km de Sfax). Ancien président du bureau Ennahda à Ben Arous. Nommé par Noureddine Bhiri
Par la rédaction de Tunis Tribune (Mardi, 30 Juillet)
Commentaires d'Hannibal GENSERIC
1- Les rats
véhiculent la peste noire comme les islamistes véhiculent la mort, c'est pour cela que l'islamiste est un rat
La peste est une
maladie à multiples facettes qui est mortelle pour l'homme.
Principalement
véhiculée par le rat noir (aussi noir que le drapeau islamiste) qui la transmet à l’homme par l’intermédiaire de
puces
infectées (puce du rat Xenopsylla cheopis, dans les pays chauds). Les rats constituent le réservoir naturel de la maladie.
En 2014, un
ordinateur portable, appartenant à des membres de l'Etat islamique, a été
retrouvé par deux journalistes américains. A l'intérieur, un document de 19
pages contenant des méthodes de réintroduction
de la peste bubonique auprès des populations du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord.
On sait
depuis un certain nombre d’événements qui se sont produits au cours de ces
vingt dernières années que les risques posés par le bioterrorisme sont réels. Il
y a eu d’abord des tentatives terroristes avec le virus Ebola, puis avec de
l’anthrax, avant finalement de se tourner vers des armes chimiques, beaucoup
plus simple d’utilisation.
Puis au fil
de l’essor du terrorisme fondamentaliste islamiste, on a pu observer un certain
nombre de faits, ou du moins de l’intérêt de la part de ces mouvements
terroristes pour ce type d’armes. On se rappelle des armes chimiques employées
en Syrie par les djihado-sionistes et que l’Occident a essayé d’attribuer au
gouvernement syrien.
Les terroristes djihado-sionistes s’intéressent
aux armes biologiques car ils pensent avoir trouvé dans ces agents pathogènes,
des agents susceptibles de leur faire accéder à la destruction massive des
populations musulmanes « hérétiques », c'est-à-dire non salafistes et
non wahhabites, et à un retentissement international très important.
Mais où est donc la société civile ?
Existe-t-il encore des patriotes tunisiens ?
Tunisiens : êtes-vous morts ou vivants?
Uu bien êtes-vous des morts-vivants, des zombies ?
Votre pays part à la dérive, les niqabs et les kamis envahissent de nouveau les rues, une Police des mœurs veille, la trique dans une main et le sexe dans l'autre (à quoi le kamis sert-il, sinon à dissimuler la masturbation frénétique de l'islamiste à la vue d'une gamine ou d'un mignon), sur les plages de Sousse et du Cap-Bon. Pas de bikini, les femmes doivent être complètement couvertes comme des scaphandriers, afin de stimuler l'imagination porno du frérot. Plus une femme est couverte, plus le frérot bande.
Avec quelques bombes et une Kalach, le frérot a fait fuir les touristes.
Comme les rats et les cafards, l'islamisme ne prospère que sur la merde et la misère. C'est le cas en Tunisie.
Pendant ce temps, BCE et Ghannouchi doivent fumer un "calumet (sebsi) de la paix" en se congratulant mutuellement sur la façon magistrale dont ils ont baisé les Tunisien(nes)s. Après, ils viendront nous embobiner en citant quelques versets abscons afin de noyer le poisson, manière de dire que tout ce qu'on subit, c'est la volonté du Tout Puissant, et que Inch'Allah, demain ça sera pire.
Adieu La Troïka ! Bonjour Duo de vieux pépés !!
Adieu La Troïka ! Bonjour Duo de vieux pépés !!
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