C’est ce qu’a déclaré le président syrien à l’attention des pays
exportateurs de djihadistes, dont principalement la Tunisie, devenu
après la « révolution du jasmin » premier pays pourvoyeur en main
d’œuvre terroriste, le second pays côté occidental étant la France.
Consternation chez le gouvernement tunisien, qui, depuis 2011, lutte aux côtés du Qatar, de la sinistre Arabie, des USA et de la Turquie pour détruire la Syrie et l'Irak. Comment ? En y envoyant des milliers de terroristes (des égorgeurs et des mangeurs de chair humaine, des violeurs et des voleurs, de la racaille de la pire espèce) dont la majorité est issue des prisons tunisiennes. Ils ont été libérés par Marzouki, à la condition qu'ils s'engagent dans les milices islamistes tunisiennes, et pour les "meilleurs" d'entre eux, c'est à dire les criminels endurcis, de partir en Syrie, moyennant un gros pécule pour leur famille (pétrodollars saoudiens et qataris), et des houris au paradis. Naturellement, toute la chaîne d'intermédiaires du recrutement, dont certaines composantes sont citées ci-dessous, se sucre au passage. Plus vous êtes haut placé, plus grosse est votre commission. Ce qui explique pourquoi le recrutement continue jusqu'à ce jour, et continuera demain, tant que le terrorisme islamiste perdurera. Hannibal GENSERIC
Selon les médias officiels syriens, le président Bachar Al-Assad a
récemment déclaré que « les terroristes faits prisonniers par l’armée
syrienne ne seront pas livrés à leurs pays d’origine afin qu’ils n’y
reproduisent pas ce qu’ils ont fait en Syrie », et selon d’autres
sources, « afin qu’ils ne détruisent pas leurs propres nations ». En
d’autres termes, la terre qu’ils ont souillé et sinistré par leurs
crimes abominables sera leur tombeau.
Dès janvier 2011, après avoir ébloui le monde par leur « civisme » et leur « éducation », les Tunisiens ont été les premiers à prendre le large, les uns vers Lampedusa, où ils ont laissé un souvenir affligeant, les autres en direction de la Syrie via la Turquie, devenue la plaque tournante du terrorise islamiste mondial. Au bout d’une année (janvier 2011 à janvier 2012), ce qui n’était d’abord qu’un phénomène spontané, essentiellement dû à l’écroulement de l’Etat national, est devenu une stratégie politique de l’Etat islamiste collabo, inféodé au Qatar qui est le principal soutien financier, logistique et médiatique de l’Internationale islamo-terroriste.
C’est effectivement sous la présidence de l’usurpateur Moncef Marzouki [1] et le premier ministère du mercenaire de John McCain, Hammadi Jebali, que des centaines de jeunes tunisiens ont été recruté, endoctriné, formé puis expédié en Syrie pour abattre le « régime » de Bachar Al-Assad. Plusieurs réseaux associatifs et politico-mafieux, notamment l’association « Hourriya wa insâaf » qui est dirigée par Imen Trigui, se sont constitués sur l’ensemble du territoire tunisien et des millions de dollars ont été versés par le Qatar et l’Arabie Saoudite dans des comptes anonymes d’Ennahdha et du CPR. Les candidats au martyr était d’autant plus important que leur mission barbare en terre syrienne n’était pas gratuite : salaire de base 3000 dollars, outre l’assouvissement à volonté de leurs plus bas instincts criminels et sexuels.
Selon un article du New York Times publié le 26 septembre 2015 sur la base des services de renseignement américains ( !), près de 30 000 djihadistes étrangers se seraient rendus en Syrie et en Irak depuis 2011. Sur ces 30 000 terroristes étrangers venus de 100 pays différents y compris européens, les Tunisiens arrivent en tête avec un contingent de 3000 terroristes [2]. Le 11 octobre 2015, le Washington Post a mis en ligne une carte assez saisissante indiquant les différentes origines des étrangers rejoignant les rangs djihadistes en Syrie. Premier pays pourvoyeur : la Tunisie (3200 criminels), devant l’Arabie Saoudite (2500), la Jordanie (2089), le Maroc (1500), le Liban (890)… et la France (498) ! Mi-septembre 2015, Manuel Valls avait estimé à 1.880 le nombre de Français enrôlés dans les filières djihadistes dans le monde, dont 491 se trouveraient en Syrie et en Irak et 133 auraient été éliminés par l’armée arabe syrienne.
Le 24 juin 2014, le ministre tunisien de l’Intérieur, Lotfi Ben Jeddou, estimait à 2400 le nombre de djihadistes partis de Tunisie. Selon ce ministre compromis, 80% d’entre eux combattraient dans les rangs de l’organisation Etat islamique. Tandis que le reste aurait rejoint les rangs d’Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda, qui est considérée par certains Américains et Français comme étant la plus « modérée » parmi les unités islamistes armées !
Pourtant, d’après un rapport de l’ONU daté de juillet 2015, il y aurait 5600 terroristes tunisiens éparpillés entre la Syrie, l’Irak et la Libye. Selon Damas et sur la base de témoignages des victimes syriennes récemment libérées du joug islamo-fasciste, les Tunisiens n’impressionnaient pas uniquement par leur nombre mais aussi par leur sauvagerie inégalée. Ils l’emportent ainsi sur les Afghans et surtout sur les Tchétchènes dont la sinistre réputation n’est plus à démontrer.
Depuis que Poutine a pris les choses en main en Syrie en dévoilant au passage l’implication des Turcs, des Qataris et des Saoudiens, et la compromission des Américains et des Britanniques, les daechiens tunisiens fuient les territoires syriens par centaines, soit en direction du pays de Bouazizi et du prix Nobel, soit vers la Libye pour rejoindre leurs frères en secte. Ainsi, près de 800 dangereux terroristes ont pu revenir en Tunisie et "disparaître" dans la nature.
Dès janvier 2011, après avoir ébloui le monde par leur « civisme » et leur « éducation », les Tunisiens ont été les premiers à prendre le large, les uns vers Lampedusa, où ils ont laissé un souvenir affligeant, les autres en direction de la Syrie via la Turquie, devenue la plaque tournante du terrorise islamiste mondial. Au bout d’une année (janvier 2011 à janvier 2012), ce qui n’était d’abord qu’un phénomène spontané, essentiellement dû à l’écroulement de l’Etat national, est devenu une stratégie politique de l’Etat islamiste collabo, inféodé au Qatar qui est le principal soutien financier, logistique et médiatique de l’Internationale islamo-terroriste.
C’est effectivement sous la présidence de l’usurpateur Moncef Marzouki [1] et le premier ministère du mercenaire de John McCain, Hammadi Jebali, que des centaines de jeunes tunisiens ont été recruté, endoctriné, formé puis expédié en Syrie pour abattre le « régime » de Bachar Al-Assad. Plusieurs réseaux associatifs et politico-mafieux, notamment l’association « Hourriya wa insâaf » qui est dirigée par Imen Trigui, se sont constitués sur l’ensemble du territoire tunisien et des millions de dollars ont été versés par le Qatar et l’Arabie Saoudite dans des comptes anonymes d’Ennahdha et du CPR. Les candidats au martyr était d’autant plus important que leur mission barbare en terre syrienne n’était pas gratuite : salaire de base 3000 dollars, outre l’assouvissement à volonté de leurs plus bas instincts criminels et sexuels.
Selon un article du New York Times publié le 26 septembre 2015 sur la base des services de renseignement américains ( !), près de 30 000 djihadistes étrangers se seraient rendus en Syrie et en Irak depuis 2011. Sur ces 30 000 terroristes étrangers venus de 100 pays différents y compris européens, les Tunisiens arrivent en tête avec un contingent de 3000 terroristes [2]. Le 11 octobre 2015, le Washington Post a mis en ligne une carte assez saisissante indiquant les différentes origines des étrangers rejoignant les rangs djihadistes en Syrie. Premier pays pourvoyeur : la Tunisie (3200 criminels), devant l’Arabie Saoudite (2500), la Jordanie (2089), le Maroc (1500), le Liban (890)… et la France (498) ! Mi-septembre 2015, Manuel Valls avait estimé à 1.880 le nombre de Français enrôlés dans les filières djihadistes dans le monde, dont 491 se trouveraient en Syrie et en Irak et 133 auraient été éliminés par l’armée arabe syrienne.
Le 24 juin 2014, le ministre tunisien de l’Intérieur, Lotfi Ben Jeddou, estimait à 2400 le nombre de djihadistes partis de Tunisie. Selon ce ministre compromis, 80% d’entre eux combattraient dans les rangs de l’organisation Etat islamique. Tandis que le reste aurait rejoint les rangs d’Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda, qui est considérée par certains Américains et Français comme étant la plus « modérée » parmi les unités islamistes armées !
Pourtant, d’après un rapport de l’ONU daté de juillet 2015, il y aurait 5600 terroristes tunisiens éparpillés entre la Syrie, l’Irak et la Libye. Selon Damas et sur la base de témoignages des victimes syriennes récemment libérées du joug islamo-fasciste, les Tunisiens n’impressionnaient pas uniquement par leur nombre mais aussi par leur sauvagerie inégalée. Ils l’emportent ainsi sur les Afghans et surtout sur les Tchétchènes dont la sinistre réputation n’est plus à démontrer.
Depuis que Poutine a pris les choses en main en Syrie en dévoilant au passage l’implication des Turcs, des Qataris et des Saoudiens, et la compromission des Américains et des Britanniques, les daechiens tunisiens fuient les territoires syriens par centaines, soit en direction du pays de Bouazizi et du prix Nobel, soit vers la Libye pour rejoindre leurs frères en secte. Ainsi, près de 800 dangereux terroristes ont pu revenir en Tunisie et "disparaître" dans la nature.
Pour certains mercenaires des droits de l’homme dont Radhia Nasraoui,
Samia Abbou et Naziha Réjiba, les terroristes de retour en Tunisie
doivent être bien traités et bénéficier d’un procès équitable. Pour
celui qui les a expédié en Syrie, Rached Ghannouchi, ils doivent être
pardonnés et retourner à la vie normale. Pour nous, en éliminant
physiquement ces daechiens ainsi d’ailleurs que la « racaille »
française, Bachar Al-Assad rendra un énorme service aux peuples tunisien
et français. C’est qu’aucune thérapie n’est possible avec des
psychopathes qui ont déjà égorgé au nom d’Allah.
Mounir Chalabia
http://www.tunisie-secret.com/Bachar-Al-Assad-aux-Tunisiens-vos-terroristes-ne-vous-seront-pas-rendus_a1467.html
[1] VOIR :