L’effet positif du président élu Donald Trump [1], combiné à la popularité sans
égale du président Poutine, ont libéré deux nations européennes de l'emprise
satanique tyrannique des mondialistes occidentaux : la Moldavie et la
Bulgarie. Les deux élections ont de quoi mettre du baume au cœur des présidents
russe et américain (Trump), chose qui était rarissime avant l’élection de Trump.
La Bulgarie, une République membre de l'Union européenne, a
élu hier le major général Rumen Radeven tant
que nouveau président. Ce dernier a
félicité le président élu Trump pour "avoir plus de dialogue" avec le
président Poutine Le Premier ministre Boyko
Borisov a subi une défaite cuisante et a immédiatement démissionné. Vladimir
Poutine a félicité les deux nouveaux chefs de l'État, et a souhaité
l'approfondissement des relations de son pays avec la Bulgarie et avec la
Moldavie.
La Bulgarie est l'un des 28 États membres de l'Union
européenne (UE) dont les citoyens (comme les États-Unis et la Grande-Bretagne) se
sont révoltés lors de leur élection présidentielle de dimanche contre la corruption, l’immigration
illégale, et la pauvreté, qu’imposent les mondialistes sur chaque nation qu’ils
contrôlent.
L’élection du président Trump commence à répandre « une
vague de liberté » à travers le monde occidental. Les dirigeants
mondialistes de l'UE, de Berlin à Bruxelles, ont
demandé une réunion d'urgence après le vote bulgare sur la manière de stopper
l’effet Trump, mais la
Grande-Bretagne, la France et la Hongrie ont refusé d'y assister, montrant
ainsi que le bloc mondialiste commence à se fissurer. Contrairement à la
plupart des campagnes conventionnelles, qui maintiennent un contact de base
avec les ambassades de partenaires américains avant les élections, les
conseillers de Trump ont rejeté les efforts des diplomates de l'UE pour se
rencontrer, ce qui a causé encore plus de frayeur chez les mondialistes.
Nous sommes tous d'accord : quelle que soit le problème, c'est la faute aux Russe |
La fureur et la déception des mondialistes est visible à
travers deux exemples récents. (a) dans une tirade stupéfiante, le secrétaire
général du bloc militaire mondialiste appelé OTAN, Jens Stoltenberg, a
osé publier un
avertissement sans précédent au président élu Trump déclarant que
" Aller
seul n’est pas une option"; (b) Le secrétaire à la Défense du
régime Obama, Ash Carter, « ordonne » à Trump de ne pas
coopérer avec la Russie.
On a la nette impression que l'OTAN et le Pentagone du régime
Obama essayent
de commencer la Troisième Guerre mondiale avant que le président élu Trump ne
prenne le pouvoir.
Ceci est conforté par la décision de la Grande-Bretagne,
membre de l'OTAN, annonçant soudainement qu’elle pointait
sur la Russie ses batteries de missiles de haute précision et de longue portée,
pour la première fois depuis la guerre froide.
Il est clair que ces élites mondialistes sont incapables de voir ou de
comprendre le «vrai pouvoir» du président élu Trump. Elles
refusent de vivre dans le monde réel, qu’elles pensent, à tort, contrôler.
Leur plus grande crainte de Trump vient de sa
capacité à «dire la vérité aux puissants», comme en témoigne sa
campagne électorale, durant laquelle il a fustigé les bellicistes, les
traitant, à plusieurs reprises, de menteurs et de monstres trompeurs.
Pour empêcher le président élu Trump de prendre le pouvoir, ces
monstres mondialistes occidentaux cherchent non seulement à provoquer la
troisième guerre mondiale, mais ils ont aussi lancé la "Révolution
pourpre" d’Hillary Clinton, dirigée par son principal partisan George
Soros. Les actions de cet individu contre les États-Unis sont une
trahison pure et simple, car il a déchaîné son armée de mercenaires contre le
peuple américain. Les grands médias
qu’il contrôle ont délibérément dissimulé son rôle néfaste.
Un seul exemple (parmi tant d’autres) des armées mercenaires
louées par Soros, et qui se sont déchaînées contre le peuple américain,
s'est
produit dimanche à Chicago, où des
milliers de manifestants-mercenaires, payés par Soros, ont été transportés vers d'autres régions de l'Amérique pour semer le chaos et la
confusion.
Ceci nous rappelle exactement les « manifestations
spontanée
s » qui avaient eu lieu en Tunisie durant le funeste « Printemps
arabe » de 2011, durant lesquelles des milliers de jeunes costauds,
habillés quasiment à l’identique (mêmes jeans, mêmes chaussures, ..), parlant
un sabir incompréhensible des Tunisiens, manifestaient à Tunis en saccageant
tout sur leur passage, devant une police absente ou spectatrice. Quelques
heures après, les mêmes énergumènes, manifestement des mercenaires, sont transportés
dans des bus, vers d’autres villes comme Nabeul, Sousse, Kairouan etc. Le
manège de cette « révolution » mondialiste continua jusqu’au départ du
président élu Ben Ali, et son remplacement par l’agent des mondialistes
sataniques occidentaux. Qui était cet agent ? Tout simplement, le gourou
des Frères Musulmans, Rached Ghannouchi, qui coulait, depuis des années, des
jours tranquilles de milliardaire à Londres, protégé par ses employeurs, la CIA
et le MI6. Depuis lors, la Tunisie se clochardise de jour en jour, pendant que
les Islamistes s’enrichissent de plus en plus en pillant le pays, et en vendant,
pour une poignée de dollars, les meilleures sociétés nationales aux
mondialistes, représentés dans le pays par leurs valets arabes : le Qatar
et l’Arabie. Le même schéma a été exécuté en Égypte, mais ce pays a l’avantage
de disposer d’une véritable armée nationale, qui veille sur le pays, et qui a
mis fin à cette triste et ruineuse mascarade de « printemps arabe ».
La Syrie, de son côté, s’est avérée un os encore plus coriace, puisqu’après
cinq années de guerre d’extermination, et près de 400.000 morts, la Syrie n’est
pas tombée. Poutine et Assad y sont pour beaucoup.
Notons, pour finir, que le scientifique russo-américain,
Peter Turchin (professeur à l'Université du Connecticut) a
développé le modèle
statistique de 2012 montrant qu'il faut trois
conditions sociales en place peu avant toutes les épidémies majeures de
violence sociale:
-
Une augmentation de la
population des élites;
-
Une diminution du niveau de
vie des masses;
-
Des niveaux énormes
d'endettement de l'État.
Tous les trois existent actuellement en Amérique montrant une vague
majeure de bouleversement social et de violence révolutionnaire qui pourraient
durer jusqu’en 2020.
Tout ce qui reste à voir est : qui va gagner du peuple
américain, représenté par Trump, ou des mondialistes sataniques représentés par
les Clinton.
Poutine et Trump discutent de la Syrie et des relations américano-russes
Le président russe Vladimir Poutine et le président élu
américain Donald Trump ont discuté du développement des liens entre les deux
pays et de la lutte contre le terrorisme lors de leur première conversation
téléphonique.
Au cours de l'appel téléphonique, les deux dirigeants ont
discuté de la Syrie et ont convenu d'améliorer et de développer les relations
bilatérales, a déclaré le Kremlin dans un communiqué publié lundi.
Ils ont convenu qu'ils partagent une opinion commune pour
«unir les efforts dans la lutte contre l'ennemi commun numéro un - le
terrorisme international et l'extrémisme» et ont également discuté des moyens
de régler le conflit en Syrie.
"Poutine et Trump ont accordé une attention particulière à
l'importance d'établir une base stable pour les relations bilatérales en
développant les relations commerciales et économiques entre les deux pays et en
travaillant à une "coopération constructive", a déclaré le Kremlin.
Le président et le président élu ont convenu de rester en
contact par téléphone et ont discuté de l'idée de se rencontrer en personne.
L'année prochaine, la Russie et les États-Unis célébreront
la 210 ème année de leurs relations diplomatiques, ce qui pourrait les
inciter à "inverser vers une coopération pragmatique et mutuellement
bénéfique qui satisfera les intérêts des deux pays, à promouvoir la stabilité
et la sécurité dans le monde".
Le président du Parlement russe, Vyacheslav Volodin, a
déclaré dimanche à la chaîne NTV que Poutine et Trump partagent en commun des
points de vue sur un large éventail de sujets qui pourraient "changer
radicalement la situation" dans les relations américano-russes.
Il a noté que le président sortant Barack Obama avait ignoré
les initiatives de la Russie et a délibérément «aggravé les tensions, contribuant
ainsi à l'animosité croissante» entre les deux pays, alors que Trump pourrait
adopter une attitude très différente envers la Russie.
"Si Trump réalise ses promesses, il va radicalement
changer la situation. Nous
avons seulement vu Trump comme un candidat, mais nous devons encore voir quel
[genre de] président, il sera ", a déclaré le président de la Douma.
Note
[1] Traductions de trump : (1) Atout (asset, trump);
(2) carte maîtresse (master card, ace, trump) ; (3) Trompette (trumpet, trumpeter, trump, trumpet player)
Hannibal GENSERIC
Sources :
- http://yournewswire.com/putin-trump-discuss-syria-and-us-russia-relations/
- Europe Plunges Into Chaos After Bulgaria Praises Donald Trump For Freeing Their Nation