Le Vicomte Léon de Poncins (1897-1976) un
intellectuel Catholique français fut l’auteur de 30 ouvrages qui révélèrent la
conspiration Juive Franc-maçonne qui tient à présent l’humanité sous son joug à
son insu.
Les juifs eux-mêmes ne sont pas conscients
que le Judaïsme se réfère au Talmud & à la Kabbale, et non à l’Ancien
Testament. Ainsi le Judaïsme s’avère être un culte satanique qui utilise les
Juifs (et les francs-maçons) comme des pions pour réduire l’humanité en
esclavage politiquement et spirituellement.
Dans « Le Judaïsme et le
Vatican » (1967), de Poncins se réfère aux sources juives
pour démontrer que le Judaïsme (utilisant la Franc-maçonnerie et le Communisme)
a toujours cherché la ruine de la Chrétienté. Rendu puissant par le monopole
sur le crédit des gouvernements, ce pouvoir occulte se trouve derrière le
féminisme et les « droits de gays », afin de détruire le genre
sexuel, le mariage et la famille. Il se trouve également derrière le 11/09, les
massacres de Newton et de Boston, tous des prétextes pour la mise en place d’un
état policier. Il est le véritable pourvoyeur de « haine » qui mène
une guerre secrète contre l’humanité et Dieu.
Karl Marx a écrit : « Le Juif s’est émancipé lui-même… en se
rendant le maitre de la création monétaire… à travers lui, l’argent est devenu
l’auxiliaire du pouvoir mondial, et l’esprit pragmatique juif a été adopté par
les peuples chrétiens. Les juifs se sont émancipés
en proportion et à mesure que les chrétiens devenaient de plus en plus Juifs
eux-mêmes. Ainsi, ils ont considérablement contribué à
faire de l’argent, le moyen, le critère de mesure et la finalité de toute
activité humaine. » (Cité par de Poncins p.76)
Ajoutez à cela le sexe [1] et le pouvoir
et Marx aurait eu tout bon. L’humanité a été intronisée à un culte satanique.
Par
Léon de Poncins
Au matin du 9 février 1923, les citoyens
de Londres qui lisent les journaux n’ont certainement pas remarqué quelques
lignes figurant dans le périodique hébreu Jewish World,
lignes effrayantes et prophétiques pour ceux qui surent en saisir le sens.
Le Jewish World déclarait :
« La dispersion des Juifs n’a pas fait d’eux un peuple cosmopolite.
En fait, (la Juiverie) est le seul peuple véritablement cosmopolite, et en tant
que tel, il doit agir – et en fait il agit déjà – comme le dissolvant de toute
distinction de race et de nationalité. Le grand idéal du Judaïsme n’est pas
qu’un jour les Juifs se rassembleront en un coin de la terre dans un but
séparatiste, mais que le
monde entier soit imprégné des enseignements juifs, et alors dans un
élan de fraternité universelle de toutes les nations – en réalité un Judaïsme
plus vaste – toutes les
races et les religions distinctes disparaitront. Ils […] vont même plus
loin. Par
leurs activités littéraires et scientifiques, par leur suprématie dans tous les
secteurs de l’activité publique, ils s’emploient graduellement à dissoudre les
pensées et les systèmes non-juifs ou qui ne correspondent pas au modèle Juif. » Cf. Jewish World, 9 février 1923. Au
British Museum, j’ai personnellement eu l’occasion de vérifier l’exactitude de
cette citation.
Ce rêve messianique peut prendre
différentes formes, mais le but final reste inchangé : le triomphe du Judaïsme, de la loi Juive
et du peuple Juif.
Sous des apparences universelles, il s’agit en fait d’un impérialisme juif qui a l’intention de
gouverner le monde et de le réduire en esclavage.
Élie Faure, un Juif, écrit : « Le
peuple Juif, dès l’époque de Jésus Christ… se considérait comme le peuple élu,
instrument d’un pouvoir supérieur. En ce qui concerne les autres nations, il se
croit toujours aujourd’hui le peuple élu parce qu’il représente une force
surnaturelle. Car pour lui la vie après la mort n’existe pas. Bien qu’il en ait
souvent parlé, Israël n’y a jamais cru. L’Alliance avec Dieu n’est qu’un
contrat bilatéral précis et positif. Si le Juif obéit, il le fait de façon à
gagner la domination sur le monde. Israël est un terrible réaliste : il
veut la récompense ici-bas pour ceux qui font le bien et la punition pour ceux
qui vivent dans le mal. Même aux plus sombres moments de leur histoire – et de
l’histoire universelle – ces perdants éternels ont préservé au sein de leur
cœur fidèle la promesse d’une victoire éternelle. » Cf. E. Faure, « L’âme
Juive ; cité dans La question Juive par vingt-six éminentes personnalités
Juives » Paris, 1934.
La divinité de
Jésus Christ est un obstacle au messianisme Juif
Mais pour parvenir à ce but, il est
nécessaire d’abolir le Christianisme, qui représente un obstacle
insurmontable sur la voie de l’impérialisme Juif.
Jusqu’à l’avènement de Jésus Christ, la
position d’Israël était simple et claire : d’après les Prophètes, par la grâce de Yahvé,
Israël était destiné à gouverner le monde ; si les peuples
serviteurs d’Israël avaient acquiescé aux nécessités divines, le temps où
Israël aurait régné sur toute la terre serait advenu.
Mais là de manière inattendue un Prophète
naquit en Galilée : un Prophète – Homme-Dieu – lui-même issus de la
race de David, et ainsi fils de l’Alliance. « . » (Matt.
5:17) Et comme preuve de sa mission, il accompli une série de miracles sans
précédent ; les foules fascinées le suivirent…
Mais – en cela réside l’énorme gravité de
sa mission – il interprétait la promesse d’une manière complètement différente
et dans un sens nouveau, au point de détruire le fier édifice hébreu en le
spiritualisant et l’universalisant. La réalisation des promesses furent
transférées du plan matériel au spirituel ; surpassant le cadre national,
elles n’étaient plus désormais seulement adressé aux Juifs, jusqu’alors les
seuls bénéficiaires, mais furent étendues au monde entier.
… ce n’était pas une question de
suprématie de race ou de nation, ou le triomphe d’une nation privilégiée :
le peuple élu fut réduit au rang de peuple ordinaire, un parmi les autres.
La fierté religieuse et le nationalisme
des Juifs ne permirent pas cet abaissement ; il était contraire aux
promesses messianiques, et annulait la soumission de tous les royaumes de la
terre à Israël. Les Grands Prêtres et les Pharisiens ne pouvaient pas tolérer
un tel blasphème et une telle attaque sur leurs privilèges, et donc afin de se
débarrasser de ce dangereux agitateur, le livrèrent aux Romains et le firent
condamner à mort.
Mais Jésus Christ ressuscita et son
enseignement se répandit au sein du monde ancien tel un feu embrasant tout. Les
Juifs dénoncèrent ses disciples aux autorités romaines, les présentant comme
des rebelles à l’Empire ; Rome les persécutait sans cesse, les offrant
comme nourriture aux bêtes sauvages, les brulant, les écorchant et les
crucifiant. Néanmoins, la vague Chrétienne progressa sans répit, triomphant du
pouvoir impérial ; puis soudain le monde vacilla et s’inclina en faveur de
l’Église du Christ…
Les israélites n’ont jamais accepté et
n’accepteront jamais cette défaite. La rupture fut totale et définitive ;
le conflit devint à présent inévitable des deux côtés.
« Si les Juifs ont raison, le
Christianisme n’est rien d’autre qu’une illusion. Si d’un autre côté, les
Chrétiens ont raison, les Juifs ne sont, dans la meilleure hypothèse, qu’un
anachronisme ou rien de plus qu’une image qui n’a plus aucune raison d’exister.
Pour le Juif, le Christianisme représente la renonciation à un monopole, et le
rejet de « l’interprétation nationaliste » – pour ne pas dire raciste
– de « l’élection » ; la Chrétienté est l’ouverture à la
fraternité humaine, et, dans le même temps, un grand « amen » à Dieu,
et à tout ce que Dieu décide… Et nous touchons ici à l’autre raison (ou
excuse), qui justifie le refus des Juifs de Jésus, qui ne correspondait pas à
l’idée que les Juifs s’étaient fait du Messie et du salut. » Cf. F. Fejto, Dieu et son Juif,
pp. 34, 190, 192.
« La manière dont la foi
Chrétienne a gagné son indépendance, devait rapidement et inévitablement
l’entrainer dans une guerre contre Israël « selon la chair », car
l’Église se proclame elle-même le seul Israël selon l’Esprit. Mais la pleine
gravité de cette prétention est-elle comprise ? Elle est pire que la
diffamation du peuple Juif, et signifie qu’elle lui confisque toute étincelle
de vie, tout feu sacré, et jusqu’à son âme même. Plus encore, cela signifiait
d’enlever à Israël sa place au soleil et de lui arracher son statut privilégié
au sein de l’Empire, tant sont étroits les liens qui unissent le spirituel et
le temporel. » Cf. J. Isaac, Genèse de l’Antisémitisme, p.
150.
Nous en revenons alors au même
point : renverser
la religion Chrétienne, née en son sein, s’avère d’une nécessité vitale pour
Israël qui la considère comme son plus formidable opposant…
Source : henrymakow.com
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RépondreSupprimerA travers le courage de ce site,qu'il me soit possible décrire aux lecteurs des cet article que Dieu n'abandonnera ni chrétiens,ni musulmans. Cependant, le mal peut s'atténuer lorsque ces gents sachent qu'ils peuvent être bien informés par des élus mal connus. A vous d'assouvir votre curiosité sur le site almahdyoon.com. Vos n'allez pas être déçus d'apprendre qui sont Jésus, Mohammed, Moïse et leur
RépondreSupprimerdescendance. Bonne lecture. Merci.
le peuple elu de satan
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