jeudi 14 octobre 2021

« Les fils de Zem », mise au point sur Zemmour par François-Xavier Rochette

 « Les Juifs furent longtemps l’élément le plus sûr de la société, puisqu’ils n’en faisaient pas vraiment partie. » Eric Zemmour.

Un agent d’influence, pour être efficace, doit savoir être percutant et durer. C’est un exercice très difficile, tout simplement impossible pour celui qui ne peut compter sur de nombreux et puissants soutiens extérieurs, visibles, discrets et anonymes, ceux de l’ombre en particulier. Un agent d’influence efficace doit asséner quelques idées simples, et pour ce faire, il doit nécessairement éviter que son discours sombre dans une sorte de routine rhétorique. Il doit garder l’appui d’un public convaincu tout en poursuivant son entreprise de séduction envers un public plus large. L’agent d’influence doit faire parler de lui, régulièrement, incessamment via la presse, la télé et Internet, et relancer chaque semaine, au moins chaque mois, le processus de médiatisation axé autour du buzz. L’agent d’influence est donc un provocateur. Pour frapper l’opinion, et pour durer. Eric Zemmour est incontestablement l’agent d’influence le plus visible, le plus présent, le plus bruyant, le plus agité mais aussi le plus soutenu de tout le microcosme médiatique.

Eric Zemmour n’est ni un génie d’érudition (ses livres le prouvent radicalement, ses connaissances sont fort limitées et il les étale sur de trop grandes tartines), ni un tribun charismatique. Eric Zemmour est d’abord un bavard avec de l’expérience, un professionnel. Il est d’abord, surtout, un personnage médiatique. Et c’est en tant que personnage médiatique qu’il déroule son discours redondant aux accents provocateurs. C’est parce qu’il est un personnage médiatique qu’il véhicule quelques idées puissamment simples au milieu des masses. Zemmour n’est rien, ne fut pas grand-chose durant des lustres. Un tâcheron, un journaleux laborieux à la chevelure improbable mangeant chaque midi les boulettes de viande préparées par maman, qui échoua à deux reprises au concours de l’ENA malgré un certificat de gens bien comme il faut marqué par l’Indicible uniquement à cause de sa judéité. Il faut le faire, même Ségolène Royal a fait l’ENA avec quelques neurones lymphatiques.

UN AGENT D’INFLUENCE
C’est le propre des intellectuels ratés, car il s’agit d’une sorte de compensation : la médiatisation. Le bavardage incessant. Néanmoins, personne, pas même un mignon juif au sourire et aux yeux espiègles, ne pourrait perdurer sur le champ médiatique sans l’autorisation des puissants qui détiennent les télévisions et les journaux, bref les cordons de la bourse. La personnalité médiatique se maintient sur la scène parce qu’elle sert ses commanditaires (s’ils sont des amis proches, des coreligionnaires, des cousins, des camarades politiques, c’est plus agréable et la mission s’exerce plus facilement). Si la personnalité médiatique « ne fait pas le job », elle dégage. Force est de constater que Zemmour n’est qu’une personnalité médiatique « qui fait le job ». Sa propre biographie en témoigne. C’est à reculons que le jeune Zemmour s’essaie d’abord à la publicité chez ses amis de Publicis de Bleustein-Blanchet (groupe dont les dirigeants se caractérisent tous par une loyauté indéfectible à l’égard d’Israël), puis, au journalisme, apparemment alimentaire. Dans un petit livre sans prétention, A poil Zemmour, Martin Peltier raconte les débuts du petit Eric, alias Zanni, au Quotidien de Paris de Philippe Tesson, l’ultra-sioniste Philippe Tesson (qui entoura récemment, avec son fils Sylvain, écrivain à la mode, le pédomane intouchable Gabriel Matzneff pour un anniversaire des plus chaleureux cependant perturbé par un chahut antiphilopédiste mené par de véritables nationalistes-à la suite de quoi ses amis parlèrent dans la revue juive Causeur de totalitarisme moral !)
Peltier dépeint un Zemmour un brin orgueilleux, laborieux, et aux idées politiques un peu floues quoique le séguinisme semblât l’attirer alors plus que le reste. Il se fit rapidement embaucher, et après la disparition du journal de l’ultra-sioniste Tesson, il n’eut guère de mal à retrouver du travail. D’abord au sein du tout nouveau quotidien à trois francs Info-matin où il fut accueilli par son amie juive et sioniste Annette Kahn (fille de Robert Kahn, fusillé sur l’ordre de Klaus Barbie), rédactrice en chef de la nouveauté mais surtout écrivain apprécié par Elie Wiesel et Serge Klarsfeld qui préfacèrent ses ouvrages avec gourmandise. Il retrouve également Danièle Molho, rédactrice en chef adjointe qui a la particularité, elle, d’avoir vécu en Israël jusqu’à ses 16 ans (elle est israélienne et une grande patriote bien sûr). Le trio affreux est complété par Marc Jézégabbel, un nom qui respire la France comme aucun autre, peut-être est-il d’origine bourguignonne ou auvergnate, on ne sait pas.
Bien plus tard il atterrit au Figaro, avec une ancienne du Quotidien de Paris, Judith Weintraub, une super patriote proche du CRIF et de Marek Halter qui a écrit un livre avec Michel Rocard… On n’entend pas beaucoup parler de ce jeune sépharade jusqu’à son arrivée dans le quotidien qui deviendra rapidement la propriété des Dassault. A partir de ce moment, il commence à être invité un peu partout dans les radios et à la télévision mais il est encore un second rôle de la propagande communautaire. Avant de jouer au patriote français, plus patriote que patriote, avant de revêtir son déguisement et d’étaler tout son art du pilpoul, Eric Zemmour écrit une biographie gentille sur le libéral cosmopolite Edouard Balladur, puis en 1999 un roman pour le plaisir qui narre l’histoire vraie de Ferdinand Lassalle, Juif prussien, théoricien socialiste et cosmopolite (Le Dandy rouge). Bon, on aura compris que le truc de Zemmour, ce n’est ni Jeanne d’Arc ni le Marquis de Morès. On va le dire autrement, son truc, ce n’est pas la France.
Mais aujourd’hui, la France l’intéresse-t-il en tant que personne, en tant que Français, en tant que vieux Gaulois et même en tant que vieux juif super assimilé, plus assimilé qu’un paysan de Bibracte ? Que le média aux ordres nous présente Zemmour comme un patriote invétéré, nerveux, amoureux du pays et de sa grandeur, soucieux jusqu’à l’angoisse chronique du sort de la France, nous le voulons bien ; c’est que nous ne pouvons rien y faire. Mais le fait que des nationalistes ou des documentaristes se réclamant ostensiblement de l’antisémitisme, véhiculent sans faire l’effort de l’analyser l’image clef en main de Zemmour, celle que le gros media, complice, vend, est une chose insupportable, inacceptable, d’une gravité inouïe.

JUIF ET SIONISTE DEPUIS TOUJOURS
Car Zemmour, c’est certain, se sert du patriotisme pour véhiculer quelques idées fixes, pour tambouriner des slogans. Il le fait intelligemment, il sait séduire un public qui a toutes les raisons d’avoir de la rancœur envers certaines populations et qui font siens, sans tri, tous les arguments, toutes les opinions qui pourraient les caresser dans le sens du poil. Facile. Ainsi Zemmour, après avoir étrillé le communautarisme à travers le voile (Zemmour, lui, n’est pas du tout communautariste comme en atteste l’identité de tous ses collègues de travail depuis les années 1980), sans nous expliquer en quoi le fait que les musulmans qui restent entre eux sont davantage nuisibles que les autres aux Français qui veulent rester entre eux, a fait le gros buzz en se félicitant des massacres d’Algérie commis par Bugeaud. Entendons-nous bien. Nous pouvons discuter de tout, et nous sommes les premiers à vouloir tout remettre dans son contexte, et sans trembler, tout voir en fonction de l’intérêt de la France et surtout de son peuple, de son vrai peuple indigène, gaulois, franc, celte, ligure. Mais, à quoi cela sert-il de balancer sur une chaîne de Canal+ sans qu’on ne l’interroge sur le sujet précis : « Quand le général Bugeaud arrive en Algérie, il commence à massacrer les musulmans et même certains juifs. Eh bien moi, je suis aujourd’hui du côté du général Bugeaud. C’est ça être français. » [1]. Vous ne trouvez pas ces propos étranges ? Non ? N’est-il pas curieux qu’un super patriote prenne spontanément pour exemple de francité réussie le fait d’applaudir un massacre commis d’ailleurs par un militaire connu pour être un bon franc-maçon ? N’est-il pas curieux que le super assimilationniste Zemmour parle de musulmans et non d’Arabes dans ses propos ? Ce n’est pas l’Islam qui posait problème à Bugeaud et aux Rothschild à l’époque, c’était juste la résistance d’un peuple qui n’avait pas spécialement envie de se faire déposséder d’une terre qui n’est pas si infertile que cela. Effectivement, la France a pu profiter dans une certaine mesure, pendant une certaine époque, des fruits de la terre d’Afrique du nord. La catastrophe fut certainement d’en avoir été dépossédé à un moment où l’investissement de toute une nation aurait pu donner enfin son maximum grâce à une exploitation optimale du pétrole. Des efforts fous furent jetés dans cette entreprise.
Zemmour voit, lui, les choses comme il l’entend, en fonction des intérêts de sa communauté (car il n’y a pas plus communautariste que ce petit rongeur). Il s’excite cependant un peu tout seul en imaginant les terres d’Algérie et du Maroc comme des colonies palestiniennes qu’il faut investir avec toute la cruauté dont font preuve aujourd’hui les juifs de Tel-Aviv en massacrant les Palestiniens autochtones, en brûlant leurs terres, en arrachant  leurs oliviers nourriciers, en tuant leurs enfants.

LA FRANCE, UN CHAMP DE BATAILLE COMME UN AUTRE
Et puis, Zemmour ne voit finalement que cela dans la France. Il ne voit que ce qui l’intéresse, que ce qui le concerne, que ce qui le touche personnellement. Zemmour n’est qu’un vieux parasite. Zemmour n’est pas seulement Juif parce que pratiquant juif (à la synagogue, c’est Moïse [2]) mais il est juif parce qu’il pense, qu’il réfléchit, qu’il écrit, qu’il ventile pour sa tribu et pour aucune autre au monde. Eric Zemmour est de nationalité française, certes. Il la doit objectivement, cette nationalité, au fameux décret Crémieux qui naturalisa à la vitesse de la foudre tous les Israélites présents en 1870 en Algérie, et uniquement les Israélites. Eric Zemmour se félicite évidemment de cette francisation malgré sa tête d’étranger. Pieds-Noirs comme les autres, ses parents ont travaillé dur lorsqu’ils sont arrivés en France pour fuir la guerre. Mais la chose n’avait rien de chez nous, ni racine, ni religion. Quelle insolence lui permet-elle d’agir en patriote aujourd’hui, tardivement du reste, car avant ses 47 ans, jamais percevions-nous le moindre accent sincère d’un chauvinisme bien français dans ses propos ? Chaque propos d’Eric Zemmour, agent d’influence, ne sert qu’à relativiser la situation fabriquée en Palestine par l’Entité sioniste, ne sert qu’à légitimer l’extermination des Palestiniens, derniers hommes libres défendant leur terre, contre l’envahisseur déraciné et affreux.
Eric Zemmour, l’agent d’influence travaillant au service de l’Entité sioniste, n’a pas déblatéré ses fantaisies sur le plateau de n’importe quel média. Il ne déblatère jamais du haut d’une estrade hasardeuse. Il ventile sur ses bases. Ses maîtres ont attendu ces moments. Il crache ses fantasmes devant ses maîtres extatiques. Qui sont-ils ? Nous le savons.
Des coreligionnaires fanatiques, argentés, eux-mêmes liés à des milliardaires colons. Zemmour a fait sa dernière sortie sur la chaîne Cnews. Une filiale de Canal + du petit-fils d’un kabbaliste, Bolloré, le prétendu grand Breton. Cnews est géré par un homme de confiance, un juif ultra qui n’a pas froid aux yeux, Serge Nedjar. Un grand Français, ce Serge Nedjar. Une pointure ! Un papatriote ! Serge Nedjar n’est pas catholique. Sérieusement est-il réellement français ? Serge Nedjar est le fils de Meyer Nedjar et d’Yvonne Nadjar, petit-fils de Gozlan et d’un tas de gens au patronyme bourguignon. Par ailleurs Serge Nedjar avait déjà défrayé la chronique en embauchant, puis en protégeant, le très ambigu Jean-Marc Morandini qui a affaire avec la justice pour une sale histoire d’harcèlements sexuels sur de très jeunes hommes.
Ce qui est l’évidence même, c’est que les agents de Sion agissant en France qui en font des tonnes sur l’Islam n’en ont rien à f… de la France. Pour eux la France est un champ de bataille où tout est permis, tous les feux, les bombes, les charniers, puis les bombes sur les charniers comme en 1914, permis et appelés de leurs vœux.
Pour nous la France, c’est notre terre, notre demeure, notre jardin, le sol de nos chapelles, et notre cimetière, une terre sacrée.
La France est précieuse, charnelle, elle est nos racines que nous chérissons, elle est le passé et notre avenir , elle n’est pas un champ de bataille, elle est notre maisonnée et on ne désinfecte pas sa maisonnée en l’incendiant comme on ne fait pas la vaisselle en cassant les assiettes ni la lessive en brûlant nos chemises.

Que les provocateurs au gland cagneux aillent pincer le postérieur de leur ennemi mondial ailleurs que chez nous. La guerre, c’est toujours ceux qui en parlent le plus qui la font le moins, préférant assurément envoyer Bitru au casse-pipe, toujours. Les Zemmour attisent le feu quand la France, quand son peuple n’est prêt à rien, ne sait rien. Les Zemmour prônent une guerre civile quand les Français n’ont rien demandé, ne comprennent rien aux enjeux. Zemmour s’adresse avant tout aux musulmans, comme il dit. Ce sont effectivement les musulmans qui entendent ces propos. Personnellement, je me fiche de ses mots, de ses phrases. Tout le monde devrait pouvoir s’exprimer ouvertement. Objectivement, ces propos ne servent cependant qu’à relativiser les nettoyages antipalestiniens dans les colonies. En quoi servent-ils l’idée impérieuse de remigration, en quoi pourraient-ils inciter les allogènes à quitter le pays ? Zemmour donne l’exemple inverse de la remigration, et glorifie la colonisation. Il jette de l’huile sur le feu.
Car il ne souhaite qu’une chose, avec ses commanditaires de même extraction, le chaos chez nous, ou une pré-guerre civile permanente, soit l’israélisation de la société française au bénéfice de sa maison-mère.

François-Xavier ROCHETTE . Rivarol N°3398, 6 novembre 2019.
 
NOTES  de H. Genséric
[1]  Famille Zemmour (source)

L’Origine de la communauté se confond avec l’Origine des Juifs d'Afrique du Nord. Une partie vient d’Espagne et l’autre vient des tribus berbères converties au judaïsme. La partie Berbères est sans doute plus importante ici, car Constantine est en pleine Kabylie. Ils habitaient principalement dans les quartiers juifs aux environs de la Médersa tels que la rue Grand, la rue de France, la rue Thiers, la rue 26e de ligne, la rue Chevalier, la rue des Moyens, l’avenue Forcioli, le quartier du Charah.

1837 Arrivée des Français : les autres communautés juives comme à Alger, qui sont probablement plus récemment arrivés en Algérie, accueillent favorablement les Français. A Constantine la communauté est formée de Judéo-Berbères ou de juifs indigènes , comme on les appelait. Ils se battent au coté des musulmans contre l'envahisseur Français. Des inspecteurs de l'alliance dressent un sombre tableau moral et matériel des juifs de Constantine malgré un boum démographique 3496 juifs en 1849 à 7186 en 1896. Le grand rabbin Eisenbeth estime que "90 % de la population vit dans la pauvreté, la majorité des familles dans une seule pièce. Sur les 127 débits de boisson de Constantine,  48 sont à clientèle juive dont 28 rue de France, la principale artère du ghetto, entretenant oisiveté et misère". Les terres de colonisation qui auraient pu diminuer le chômage sont interdites au juifs qui de plus n'ont pas de traditions paysannes, habitués uniquement au conditions citadines. il n'y a que 3 juifs agriculteurs à Constantine. En revanche, il y a de nombreux ateliers de couture. dans les registres d'état civil, Les juifs sont très nombreux a être tailleurs d'habits, les femmes sont couturières

1954/55 : début de la guerre d’Algérie La guerre sépare les communautés d’avantage
20 août 1955 : bombes rue Caraman, au cinéma ABC et mort du neveu de Ferhat Abbas
12 mai 1956 : défense du quartier juif à la fin du ramadan par une cellule du Mossad 
19 mai 1956 : attentat dans un café juif rue des Cigognes
2 mai 1957
: attentat à la grenade au marché Négrier C’est là que l’on assiste au départ des premiers Juifs, qui vont déménager vers les quartiers européens de St Jean
1958/59
un espoir de courte durée va renaître pour très vite s’orienter vers les premiers départs
22 juin1961
: assassinat de Raymond LEYRIS, place Négrier il habitait 50 rue du Sergent Atlan . Ce fut le signal et le phénomène déclencheur du 2e départ des Juifs de Constantine vers la métropole
Mars 1962
3 mois après accords d’Evian du 19 mars 1962 , les ¾ de la communauté juive vont quitter la ville.

[2] En plus de Moïse, son autre prénom est, d'après le Times of Israel, Yehouda. Prénom d'origine Biblique. Vient de l'hébreu "Yehûdah" Signifie: "qui rend gloire à Yahvé" .
Voici l'explication judaïque, donnée par le même grand journal israélien,  de l'obsession de Z pour les prénoms: en fait, Z exécute simplement ce que lui enseigne sa synagogue.

Éric Yehouda Zemmour et la question du prénom :

Pour le peuple juif, l’identité est marquée par trois éléments : L’habit, la langue, le nom. Le prénom plutôt que le nom. Quand on monte à la Torah c’est notre prénom et le prénom de notre père que l’on cite et non pas notre patronyme. Chacune des lettres d’un prénom est significative. Chaque son de chaque lettre désigne la terre à laquelle appartient l’enfant qui naît.
Le Temple de Jérusalem est précisément au point de rencontre entre le lieu et la Parole. Entre le réel et l’essence.
Le prénom que l’on donne à un enfant est un des actes les plus significatifs. Un enfant comme un peuple ne peut se concevoir qu’autour du mot. Il en va du récit de soi. Son prénom est bien plus qu’une spiritualisation, qu’une religion, une tribu, il est une substance, une programmation neurolinguistique, il est une terre, un endroit, un « Makom ».

(source : Times of Israel)


 

3 commentaires:

  1. Rabbi Zemmour a dit:" moi c'est Éric Justin Léon mais à la synagogue c'est Moïse"( Ce n'est pas de l'assimilation ça,mais de la dissimulation) Moïse Zemmour a fait ses études dans des écoles juives(Martin Hirsh et Yavneh) tout comme sa femme Mylène qui elle aussi a fréquenté une école juive

    Le" patriote" Moïse Zemmour a envoyé son fils en Israël et sa fille dans une école juive aux Etats Unis, il a aussi deux vaiselles séparées une pour la viande et une pour le lait ...

    Rabbi Moïse Zemmour est marié à une juive d'Algérie comme lui ( Mylène chichportiche) Pourquoi ne pas avoir choisi une parisienne catho,une bretonne ect...Pourquoi une Juive ?et une juive d'Algérie en plus tout comme lui, Si c'est vraiment un patriote assimilé et non communautaire ????
    Lui qui reprochait aux Nord-africains leur prétendue endogamie

    En plus il nous prend vraiment pour des imbéciles quand il affirme que les maghrébins sont endogames et communautaires Alors que ce sont ceux qui se mélangent le plus(surtout les femmes) contrairement aux Turcs par ex.aux tchétchènes, chinois,Pakistanais, Gitans ex... Qui eux ne se mélangent pas du tout, mais pour Rabbi Zemmour ce sont les maghrébins qui sont communautaires!

    Bref c'est un juif pratiquant sous takya, communautaire, dissimulé,sournois,menteur et hypocrite qui n'oeuvre que pour sa tribu en réalité et qui reproche aux autres ce qu'il est lui même
    en plus c'est un libertin qui fréquente les clubs échangistes il a été photographié avec sa femme entrant dans un club libertin en région parisienne, d'autre part de nombreuses femmes l'accusent de harcèlement sexuel.

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  2. Il s'en fout des maghrébins, sa cible c'est le musulman et surtout l'Islam;la religion qui résiste à la mainmise sioniste !

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  3. Monsieur Rochette, c'est difficile de faire mieux que votre texte. Durant tous les conflits auxquels la France a dus faire face (1870, 14/18, 39/45 etc...) qu'ont fait les juifs pour la défendre ? Rien ou presque rien. Qui a permis à la France de gagner la bataille de la Marne et la 1ère guerre mondiale les troupes d'élites des Maghrébins et qui a permis encore à la France de s'assoir à la table des vainqueurs en 1945 encore les Musulmans du Maghreb grâce notamment à la victoire du Monte Cassino où ils ont surclassés les anglo américains pourtant 6 fois plus nombreux. Et aujourd'hui des étrangers comme sarko, zemmour et beaucoup d'autres dont les parents et coreligionnaires n'ont pas tirés une seule cartouche pour défendre ce pays déversent leur venin à longueur de jours sur toutes les télés, les radios et les journaux qui leur appartiennent.Et malheureusement les français ont la mémoire courte ou ne connaissent pas leur histoire.Car sans les victoires Maghrébines la France pays vaincu n'aurait pas de siège permanent à l'onu et serait jusqu'à aujourd'hui un pays occupé. http://aryle.kazeo.com/morts-pour-la-france-martyrs-de-la-republique-a122349750 http://alger-roi.fr/Alger/armee_afrique/pages_liees/chasseurs_afrique_pn63.htm http://alger-roi.fr/Alger/armee_afrique/pages_liees/armee_afrique_italie_pn93.htm

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