vendredi 4 novembre 2022

Hiver russe : Ségur et les leçons de la froide retraite de Russie

Comme on le sait, l’hiver approche. Les imbéciles du changement climatique n’avaient pas prévu un mois d’octobre doux. Les choses sérieuses vont commencer en novembre comme en 1812. Occasion de relire l’époustouflante, lyrique et épique Retraite de Russie de Philippe de Ségur. Il est amusant de constater que si la Russie symbolise l’hiver, elle signifiait aussi l’énergie, le chauffage et la propreté. Mais on préfère crever sur ordre de Washington et de Bruxelles, de Davos et des néocons. On verra si le Diesel, comme les vivres de la cigale, viendra à manquer aussi. Fin des bagnoles ! Comme dit Ursula : envoyez la facture à Poutine !

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On continue avec Ségur. On quitte Moscou avec un empereur aux abois et la bise frappe début novembre :

« Mais le 6 novembre, le ciel se déclare. Son azur disparaît. L'armée marche enveloppée de vapeurs froides. Ces vapeurs s'épaississent: bientôt c'est un nuage immense qui s'abaisse et fond sur elle, en gros flocons de neige. Il semble que le ciel descende et se joigne à cette terre et à ces peuples ennemis, pour achever notre perte. Tout alors est confondu et méconnaissable: les objets changent d'aspect; on marche sans savoir où l'on est, sans apercevoir son but, tout devient obstacle. Pendant que le soldat s'efforce pour se faire jour au travers de ces tourbillons de vents et de frimas, les flocons de neige, poussés par la tempête, s'amoncellent et s'arrêtent dans toutes les cavités; leur surface cache des profondeurs inconnues, qui s'ouvrent perfidement sous nos pas. Là, le soldat s'engouffre, et les plus faibles s'abandonnant y restent ensevelis. »

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Beau texte halluciné si étrangement absent de nos livres scolaires. Le froid arrive donc et attaque individu par individu, molécule par molécule :

« Ceux qui suivent se détournent, mais la tourmente fouette dans leurs visages la neige du ciel et celle qu'elle enlève à la terre; elle semble vouloir avec acharnement s'opposer à leur marche. L'hiver moscovite, sous cette nouvelle forme, les attaque de toutes parts: il pénètre au travers de leurs légers vêtements et de leur chaussure déchirée. Leurs habits mouillés se gèlent sur eux; cette enveloppe de glace saisit leurs corps et roidit tous leurs membres. Un vent aigre et violent coupe leur respiration; il s'en empare au moment où ils l'exhalent et en forme des glaçons qui pendent par leur barbe autour de leur bouche. »

Après une observation géniale : l’individu va perdre ses moyens intellectuels et psychologiques. Pensez à ce qui va se passer cet hiver (ou l’hiver prochain : Schwab et Hariri ne s’arrêteront pas en si bon chemin – et nos gouvernements génocidaires, la Meloni compris, non plus), quand nos tarés de zélés électeurs et consommateurs russophobes vont achever d’être décérébrés par le froid et la faim :

« Ce fut ainsi que, depuis ce déluge de neige et le redoublement de froid qu'il annonçait, chacun, chef comme soldat, conserva ou perdit sa force d'esprit, suivant son caractère, son âge et son tempérament. Celui de nos chefs que jusque-là on avait vu le plus rigoureux pour le maintien de la discipline, ne se trouva plus l'homme de la circonstance. Jeté hors de toutes ses idées arrêtées de régularité, d'ordre et de méthode, il fut saisi de désespoir à la vue d'un désordre si général, et, jugeant avant les autres tout perdu, il se sentit lui-même prêt à tout abandonner. »

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C’est l’acédie, ce désespoir monastique, physique et spirituel, dont j’ai parlé dans mon recueil sur Cassien et la sagesse chrétienne.

La Grande Armée n’est pas au bout de ses peines :

« Cependant, l'entassement des cadavres dans les maisons, les cours et les jardins, et leurs exhalaisons morbidiques, empestaient l'air. Les morts tuaient les vivants. Les employés, comme beaucoup de militaires, avaient été atteints: les uns étaient devenus comme imbéciles; ils pleuraient, ou fixaient la terre d'un œil hagard et opiniâtre. Il y en avait eu dont les cheveux s'étaient roidis, dressés et tordus en cordes; puis, au milieu d'un torrent de blasphèmes, d'une horrible convulsion, ou d'un rire encore plus affreux, ils étaient tombés morts. »

Alternons avec les opérations militaires (on a une énième guerre Occident-Russie sur les bras). Napoléon va être sauvé par l’inertie et la prudence russe, explique Ségur :

« Aussi est-ce là qu'on a bien vu que la renommée n'est point une ombre vaine, que c'est une force réelle et doublement puissante par l'inflexible fierté qu'elle porte à ses favoris, et par les timides précautions qu'elle suggère à ceux qui osent l'attaquer. Les Russes n'avaient qu'à marcher en avant, sans manœuvres, sans feux même; leur masse suffisait, ils en eussent écrasé Napoléon et sa faible troupe: mais ils n'osèrent l'aborder! L'aspect du conquérant de l'Égypte et de l'Europe leur imposa. Les pyramides, Marengo, Austerlitz, Friedland, une armée de victoires, semblèrent s'élever entre lui et tous ces Russes: on eût pu croire que, pour ces peuples soumis et superstitieux, une renommée si extraordinaire avait quelque chose de surnaturel… »

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De temps en temps aussi un acte de bravoure rappelle qui est cette Grande Armée :

« Ce fait, et le malheur de la division Partouneaux, expliquent l'effrayante réduction du corps de Victor, et cependant ce maréchal contint Wittgenstein pendant toute cette journée du 28. Pour Tchitchakof, il fut battu. Le maréchal Ney et ses huit mille Français, Suisses et Polonais, suffirent contre vingt-sept mille Russes. »

Les russes ne supportent pas mieux l’hiver que les Européens : et pourquoi le supporteraient-ils ? Dostoïevski ne cesse de se plaindre de ces Européens qui ne se chauffent déjà pas !

« L'hiver, ce terrible allié des Moscovites, leur avait vendu cher son secours. Leur désordre poursuivait notre désordre. Nous revîmes des prisonniers, qui, plusieurs fois, avaient échappé à leurs mains et à leurs regards glacés. Ils avaient d'abord marché au milieu de leur colonne traînante, sans en être remarqués. Il y en eut alors qui, saisissant un moment favorable, osèrent attaquer des soldats russes isolés, et leur arracher leurs vivres, leurs uniformes, et jusqu'à leurs armes, dont ils se couvrirent. Sous ce déguisement ils se mêlèrent à leurs vainqueurs; et telle était la désorganisation, la stupide insouciance et l'engourdissement où cette armée était tombée, que ces prisonniers marchèrent un mois entier au milieu d'elle sans en être reconnus. Les cent vingt mille hommes de Koutouzov étaient alors réduits à trente-cinq mille. »

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On a 80% de pertes de part et d’autre. Je rappelle qu’on est encore en automne. Ségur ajoute :

« Des cinquante mille Russes de Wittgenstein, il en restait à peine quinze mille. Vilson assure que sur un renfort de dix mille hommes, partis de l'intérieur de la Russie avec toutes les précautions qu'ils savent prendre contre l'hiver, il n'en arriva à Wilna que dix-sept cents. Mais une tête de colonne suffisait contre nos soldats désarmés. Ney chercha vainement à en rallier quelques-uns, et lui, qui jusque-là avait commandé presque seul à la déroute, fut obligé de la suivre. »

Mais on n’a rien vu. La Saint-Nicolas arrive (calendrier grégorien) et voici ce que cela donne :

« Le 6 décembre, le jour même qui suivit le départ de Napoléon, le ciel se montra plus terrible encore. On vit flotter dans l'air des molécules glacées; les oiseaux tombèrent roidis et gelés. L'atmosphère était immobile et muette: il semblait que tout ce qu'il y avait de mouvement et de vie dans la nature, que le vent même fût atteint, enchaîné, et comme glacé par une mort universelle. Alors plus de paroles, aucun murmure, un morne silence, celui du désespoir et les larmes qui l'annoncent. »

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Les soldats prient, tombent et meurent. Il fait moins 28 :

« On s'écoulait dans cet empire de la mort comme des ombres malheureuses. Le bruit sourd et monotone de nos pas, le craquement de la neige, et les faibles gémissements des mourants interrompaient seuls cette vaste et lugubre taciturnité. Alors plus de colère ni d'imprécations, rien de ce qui suppose un reste de chaleur: à peine la force de prier restait-elle; la plupart tombaient même sans se plaindre, soit faiblesse ou résignation, soit qu'on ne se plaigne que lorsqu'on espère attendrir, et qu'on croit être plaint. »

Après on entre dans une ambiance à la Tolkien (le paysage hostile du début des Deux tours) ou à la John Ford (le nuage de poussière et les géniaux indiens de Cochise lors de l’attaque finale de Fort Apache) :

« Ceux de nos soldats jusque-là les plus persévérants se rebutèrent. Tantôt la neige s'ouvrait sous leurs pieds, plus souvent sa surface miroitée, ne leur offrant aucun appui, ils glissaient à chaque pas et marchaient de chute en chute; il semblait que ce sol ennemi refusât de les porter, qu'il s'échappât sous leurs efforts, qu'il leur tendît des embûches comme pour embarrasser, pour retarder leur marche, et les livrer aux Russes qui les poursuivaient, ou à leur terrible climat. »

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Napoléon est là mais les gens (il n’y a plus de soldats) sont trop abrutis par le froid pour réagir ; lisez bien car c’est ce qui va se passer cet hiver :

« Napoléon venait d'y arriver au milieu d'une foule de mourants, dévoré de chagrin, mais ne laissant percer aucune émotion à la vue des souffrances de ces malheureux, qui, de leur côté, ne lui faisaient entendre aucun murmure. Il est vrai qu'une sédition était impossible; c'eût été un effort de plus, et toutes les forces de chacun étaient employées à combattre la faim, le froid et la fatigue: il eût d'ailleurs fallu de l'ensemble, s'accorder, s'entendre, et la famine, et tant de fléaux séparaient et isolaient, en concentrant chacun tout entier en lui-même. Bien loin de s'épuiser en provocations, en plaintes même, on marchait silencieux, réservant tous ses moyens contre une nature ennemie, distraits de toute autre idée par une action, par une souffrance continuelle. Les besoins physiques absorbaient toutes les forces morales; on vivait ainsi machinalement dans ses sensations, restant soumis encore par souvenir, par suite d'impressions reçues dans un meilleur temps, et beaucoup par un honneur, par un amour de gloire exalté par vingt ans de triomphes, et dont la chaleur survivait et combattait encore. »

Sédition impossible et vie machinale. Retenez cela pour janvier ou février. Ce sera moins mortel que cette retraite mais ce sera pas mal quand même.

Un dernier mot sur les Russes accablés aussi par le froid et prostrés comme les Français et leurs troupes européennes :

« Mais alors ce fut elle, sans doute, qui frappa Kutusof d'inertie. À leur extrême surprise, ils ont vu ce Fabius russe, outré comme l'imitation, s'obstinant dans ce qu'il appelait son humanité, sa prudence, rester sur ses hauteurs avec ses vertus pompeuses, sans se laisser, sans oser vaincre, et comme étonné de sa supériorité. Il voyait Napoléon vaincu par sa témérité, et il fuyait ce défaut jusqu'au vice contraire.

Il ne fallait pourtant qu'un emportement d'indignation d'un seul des corps russes pour en finir; mais tous ont craint de faire un mouvement décisif: ils sont restés attachés à leur glèbe avec une immobilité d'esclaves, comme s'ils n'avaient eu d'audace que dans leur consigne, et d'énergie que leur obéissance. Cette discipline, qui fit leur gloire dans leur retraite, a fait leur honte dans la nôtre. »

On ne sait pas jusqu’où les Européens suivront l’esclavagisme thermique, énergétique, numérique et militaire de Bruxelles et de BlackRock. La plaisanterie peut encore durer : car en 1812 on n’en avait pas terminé avec cet empire français dont on nous rebat les oreilles. Et j’en reviens à ma phrase préférée de Nietzsche, au moins dans la Volonté de puissance : « chez le petit peuple l’appétit vient en mangeant. » Il suffit donc de le lui couper pour qu’il se soumette encore un peu plus.
Terminons sur une note positive : Ségur survécut et mourut à 92 ans retraité des Chemins de Fer...

Sources:

Philippe de Ségur –La retraite de de Russie (Gutenberg.org)

Nicolas Bonnal -Dostoïevski et la modernité occidentale - Tolkien le dernier gardien – Chroniques sur la Fin de l’Histoire - Les grands westerns américains (Dualpha/Avatar/Amazon.fr)

Par Nicolas BONNAL

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VOIR AUSSI :
-  "Amorcer et ferrer" : comment la Russie a remis Moscou à Napoléon il y a 210 ans, mais a ensuite remporté la guerre
-  Pourquoi la Russie rend l'Occident fou
-  La troisième guerre patriotique est en cours
-  Pourquoi les Russes gagnent-ils toujours?

Hannibal Genséric

7 commentaires:

  1. PREMIERE PARTIE

    «LE POUVOIR DES JUIFS découle directement de la croyance presque totale du monde occidental dans le mensonge phénoménal de l'Holocauste. Inutile de chercher plus loin." (Robert Faurisson) http://whale.to/b/faurisson19.html

    Il n'y a pas (ou presque) de commentateur qui conclue ses analyses sur l’actualité geo politique à 360 ° et en profondeur, je dirais, metaphisique. Ceci est aussi le signe de la perte en Occident de toute spiritualité authentique, (cause première, cette perte, de tous les malheurs qui nous accablent et que denonçons avec vehemente indignation), qui seule permet de voir au-delà des apparences. Il ne s’agit pas, à la limite, d’etre chrétien ou musulman ou bouddhiste ou athée. Il s’agit d’etre des hommes et non pas des betes, comme ecrivait deja Dante au Moyen Age: “Vous n’etes pas été creés pour vivre comme brutes, mais pour suivre vertu et connaissance”. (Enfer, chant XXVI, verset 119).

    Ce qui se passe depuis 250, plus clairement depuis 75 ans et, de façon particulière, dans les derniers 8 ans au coeur du Vieux Continent est tellement insensé, mensonger, cynique, sans scrupules et prémédité que les gens "normaux" ne pourront jamais le faire, car il s’eloigne trop du simple instinct de survie.
    L'ancien peuple élu, en tant que tel, a définitivement et lucidement tourné le dos à Dieu (de qui - à lui seul - avait reçu la Révélation), avec la condamnation à mort de Son Fils unique et le choix “ipso facto” de lucifer, car il n'y a pas d'autre altenatives en dehors de Jesus-Christ et de Son ennemi acharné, l’archange déchu. Seul un tel peuple qui a familiarisé pendant des millenaires avec le vrai et unique Dieu, peut exprimer, dans son élite politico-religieuse-rabbinique, une haine si profonde, subtile et dissimulée, traduite dans la irréductible volonté de détruire la civilisation fondée par Jésus-Christ, au travers la corruption et l’abroutissement des non juifs afin de les subjuger plus facilement, et parvenir ainsi à la conquête du monde et à l'asservissement total de l'humanité. Quoi qu'il en coûte. Cela ne veut pas dire que les peuples trompés et soumis soient des agneaux, car ils sont eux aussi enclins au mal jusqu’à la complicité, mais ils n’arriveront jamais à atteindre la puissance “methaphysique” de l’ancient Peuple de Dieu, qui a choisi de devenir Peuple du diable. Cela ne signifie pas non plus qu’il faudrait tuer tous les Juifs, car seul Dieu peut disposer de la vie de tous et de chacun, meme des assassins de Son Fils, mais il faut au moins etre conscients qu’ils ne sont pas du tout des victimes comme ils veulent à tout prix faire croire, mais au contraire des bourreaux, en ayant dans leur agenda l’élimination (rien que ça!) de presque tous les non Juifs considerés en general des animaux, meme inutiles quand ils sont trop nombreux pour leur necessités.

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  2. DEUXIEME PARTIE

    Il faut savoir que le Talmud, le livre soi disant sacrè, que tout Juif étudie depuis son enfance, écrit des choses à vomir et que les blasphèmes sur Jésus et Sa Mère qu’il doit apprendre dès son enfance et qui sont deposés dans les profondeur de son ame pratiquement pour toujours, ont un pouvoir de déstruction spirituelle (de soi et des autres) inoui. Cela signifie que chaque juif est une sorte de spirituelle bombe à retardement, chargée de haine de Dieu, de soi et des autres qui n’a pas de pair dans l’humanité, d’autant plus effrayante, que la plupart d’eux n’en sont pas pleinement conscients. On a meme du mal à regarder leur visages pendant plus de quelques secondes (Kissinger, Soros, Gates. Schwab, Bourla et tant d’autres, pratiquement tous), sans etre troublés.
    Aucune “religion” de la planéte apprends à ses adeptes et dépuis leur naissance, la haine et le mépris des humains, surtout Chrétiens, tel que le Talmud apprends aux Juifs. Le Talmud est le code de la Haine comme l’Evangile est le code de la Charité. C’est pour cela que les Juifs, dans leur classique inversion accusatoire qui les garde dans un perpetuel court cirquit intellectuel, ne font que dénoncer, en guise de leur instrument de propagande privilegié, un antisemitisme qui existe seul dans leur tetes. Les analystes traitent presque toujours et uniquement de l'apparence représentée soit par les Américains, les Allemands, les Anglais, les Français, etc (qui en tout cas ont leur gravissimes responsabilités), soit par les partis et courants politiques : Droite, Gauche, Centre, soit par les idéologies, l’une plus artificielle que l’autre: Communisme, Fascisme, Nazisme, (toutes categories fallacieuses créées par les revolutionnaires 1789 Juifs, selon le DIVIDE ET IMPERA), mais, sauf quelques exceptions regulièrement étouffées ou déliberement ignorées, ils n'osent jamais pointer du doigt (ou ils n'arrivent pas à le faire à cause de leur aveuglement spirituel) le metteur en scène de cette gigantesque, interminable, tragique “soap-opera ": le Sionisme qui, n'étant jamais identifié, (tout comme la Franc-maçonnerie, son bras operationnel) peut continuer, avec une impudence inegalée, à travailler en coulisses sans être serieusement derangé ou même soupçonné. Tout cela pour les intérêts exclusifs du Sionisme lui-même, dont le Quartier général est aux Etats-Unis, (controllés, depuis sa re-fondation en 1948, par l’état d’Israel) qui ont été fondés en 1776 à ce but par le franc-maçon George Washington. Il faut ajouter que la Franc-maçonnerie attire et engage aussi les non juifs, surtout les plus talentueux (des genies insoupçonnables comme Mozart ou Verdi, par example, etaient inscrit à une loge), pour les exploiter et créer, en même temps, un semblant d’impartialité, qui protège et garde dans un suffisant anonymat le Sionisme dur et pur des modernes Pharisiens barbus et aux gros chapeaux, qui, entre autre et étrangement, entourent les Presidents americains en train de signer des documents evidemment fondamentaux pour la poursuite de leur agenda. A ce propos il faut dire que si on ne se pose des questions serieuses sur ces “bizarries” et on ne cherche pas à se donner des réponses adequates et satisfaisantes, il ne faut pas après, se plaindre de ce qui se passe dans le monde avec des titres sensationnels sur les unes et des debats dementiels à la télé, qui sont d’autre part tous controllés par le même Sionisme.

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  3. TROISIEME PARTIE

    L'opinion publique contemporaine pointe généralement du doigt les Américains sans reflechir que ce sont surtout eux (pour la plupart non juifs d’origine européenne) qui sont les premières victimes coupables et inconscientes du Sionisme. Coupables, car ils se sont laissé séduire par l'argent juif, en guise d’esclaves de luxe, mais toujours esclaves. Le sommet des paradoxes est que les montagnes d’argent dont les Juifs disposent pour manipuler et détruire la civilisation humaine, ont été accumulés tout au long des siècles sans jamais travailler, mais plutôt sur la pratique de l’usure et exploitation des Goym eux-mêmes. Pour concevoir et réaliser un tel plan il faut une intelligence sur humaine, c’est à dire, démoniaque.

    Le Peuple autrefois élu a dans son ADN des millenaires d’histoire et de familiarité avec Dieu le Tout-Puissant, qui lui ont donné une profondeur spirituelle unique et qui demeure telle, meme après avoir rejeté Dieu. Le pouvoir spirituel (tourné vers le mal, evidemment) des juifs est tel qu’ils ont reussi à injecter dans les non juifs une terreur sacrée meme de les nommer. Ce pouvoir est comparable ou similaire à celui de lucifer, qui a gardé son intelligence et ses prerogatves angeliques, meme après avoir été chassé du Ciel.
    Harold W. Rosenthal: “Les Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est lucifer”. Celle-ci n’est pas une métaphore ou une blague, mais une verité à glacer le dos, confirmée par ailleurs par le meurtre de ce même juif etrangement naif, dans un faux attentat terroriste mené par ses “frères” à l’aeroport d’Istanbul, quelques temps aprés ses surprenantes déclarations rendues à un abasourdi journaliste americain, dans les années ‘70 (cliquer THE HIDDEN TYRANNY).

    Aujourd’hui que l’humanité doit faire face à un tournant decisif de son histoire, même de sa survie, le seul dirigeant au monde qui est en train de démasquer (même - peut être - sans le vouloir) le Sionisme (sans jamais le nommer - peut être - pour ne pas alimenter des polemiques inutiles et augmenter la déjà incroyable haine dont il est la cible) est Vladimir Poutine, obligé de le faire pour des simples raisons de survie de son immense et richissime Pays, dont le Sionisme veut s’emparer, après l’implosion contrôlée de l’URSS, car il avait jugé de l’avoir suffisamment saignée pendant 75 ans de Communisme, commencé avec le massacre rituel juif de la famille impériale Romanoff, et de pouvoir la controler avec sa marionnette Yeltsin, qui a eu, même s’il était alcoolique, le bon sens de ceder la guide de la Russie à Poutine.

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  4. QUATRIEME PARTIE

    En conclusion: L’ affrontement qui se profile à l'horizon est entre l'Occident façonné, corrompu et controllé tout au long des derniers deux-trois siècles par le Sionisme sataniste et la Russie qui n'a aucune intention de renoncer à sa souveraineté et identité chrétienne et qui - elle seule – a les moyens pour agir de la sorte. Dieu toutefois ne permettra pas la fin du monde (comme la plupart de gens justement terrifiés par la “bombe atomique”, craignent ou envisagent), en arretant avec Trois Jours de Ténèbres qui affecteront tout le monde, en commençant par Ses ouverts ennemies, une guerre, qu’en tout cas, effacera de la terre innombrables vie humaines. Ce qui fait voir le progrès et bien être materiel de l'humanité tout au long du dernier siècle, comme une sorte de narcotisation semblable à celle qu'un patient subit avant l’opération chirurgicale ou, si vous voulez, comme le traitement des dindes avant le dejeuner de Noel.

    Trois sont, à mon avis, les raisons pour les quelles une guerre de grande envergure sera inévitable: La première est que Dieu, qui a dit: ”Sans Moi vous ne pouvez rien faire”, respect la libertè des hommes qui, juifs ou non juifs, veulent vivre sans (ou meme contre) Lui et Ses Commandements.
    La deuxième est que le Sionisme (au service de lucifer) qui travaille depuis des siecles au Nouvel Ordre Mondial, est poussé par son aveuglement d’ aller jusqu'au bout, c’est à dire, la faillite totale.
    La troisième raison est que les Russes préfèrent mourir en martyrs plutôt que tomber à nouveau dans le Communisme athée à l’echelle, cette foi-ci, mondiale et perdre leurs ames.
    Ce dernier aspect (que le pourri Occident ne voit et ne comprends pas) révèle la force morale et spirituelle d'un peuple indomptable comme nul autre au monde, génial, généreux, courageux, surtout dévoué depuis des siècles à la Mère de Dieu, qui surement lui donnera Son soutien et Sa protection, seconde seule à celle de Dieu lui-meme.

    Confions nous aussi à la Très Sainte Vièrge Marie en La priant inlassablement de nous accorder le matériel et le spirituel nécessaires pour faire face à un evenement d’une gravité unique, qui trouve de l’autre coté un manque de preparation surtout spirituelle de la part des hommes, également unique, qui produira ainsi une explosion de désespoir jamais vu dans l'histoire du monde.

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    1. Bravo!
      Quel est le secret de Fatima ?
      La réponse est sûrement en dessus !

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    2. Vous nous soulez

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  5. Ce en quoi vous croyez est votre carcan.

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