En politique, comme en religion,
les promesses n’engagent que ceux qui y croient.
les promesses n’engagent que ceux qui y croient.
En Marketing, la valeur d’un
produit est donnée par celui qui le consomme et non par celui qui le vend. Un
produit n’est « bon », que s’il est consommé et qu’il améliore votre opinion ou
votre bien-être. Il en est de même pour la religion : ce n’est pas elle qui
change intérieurement l’être humain, mais ce qui vient d’en haut. Si une
religion n’est pas la résultante du « bon produit d’en haut », elle n’a de
légitimité que pour elle-même; de fait, on la rejettera et toute la
spiritualité avec.
Qui a garanti un revenu PERPÉTUEL et COLOSSAL à sa tribu, Qoraïch, et par ricochet, à toute la sinistre Arabie: c'est Mahomet.
Mahomet est le champion toutes catégories des tous les marketeurs de tous les temps : mieux que le pétrole qui, un jour, disparaîtra, mieux que n'importe quelle industrie, le pèlerinage à la Mecque est une sacrée "chamelle à lait" . Il n'y a rien à faire, sauf à limiter le nombre de candidats prêts à dilapider les économies de toute une vie, en espérant le paradis, alors qu'ils ne font que graisser la patte à des rois fainéants et corrompus.
Qui a garanti un revenu PERPÉTUEL et COLOSSAL à sa tribu, Qoraïch, et par ricochet, à toute la sinistre Arabie: c'est Mahomet.
Mahomet est le champion toutes catégories des tous les marketeurs de tous les temps : mieux que le pétrole qui, un jour, disparaîtra, mieux que n'importe quelle industrie, le pèlerinage à la Mecque est une sacrée "chamelle à lait" . Il n'y a rien à faire, sauf à limiter le nombre de candidats prêts à dilapider les économies de toute une vie, en espérant le paradis, alors qu'ils ne font que graisser la patte à des rois fainéants et corrompus.
Dans un précédent article, nous avons vu,
sommairement, le coût économique de la religion musulmane pour le monde
musulman : ce coût est d’environ de 50% du
PIB potentiel, c'est-à-dire que, depuis 14 siècles, les pays musulmans
perdent la moitié de leur richesse à cause de l’observation des rites religieux
musulmans. Tant qu’ils vivaient « sur le dos » des pays conquis,
autrement dit, grâce à l’impérialisme, le monde arabo-islamique était dans la
position actuelle des grands états impérialistes. Dès l’arrêt de l’expansion
islamique, aux environs de l’an Mille, la décadence commença. Et, non seulement
elle se prolonge de nos jours, mais elle ira en s’aggravant, pour la simple
raison que la domination de l’islam politique ne peut signifier qu’une descente
aux enfers. Les exemples anciens et récents sont légion.
Le pèlerinage de la Mecque, une affaire en or
Si le pèlerinage (Hajj ou Hadj) est avant tout un acte
spirituel, il revêt pour beaucoup de requins, des intérêts commerciaux sans
équivalents.
L'industrie du tourisme religieux génère chaque année 50 milliards de dollars pour
l’Arabie Saoudite. Et avec l'augmentation continue du nombre de musulmans qui
effectuent leur pèlerinage chaque année, ce montant devrait doubler d'ici à
2020 pour atteindre 100 milliards de dollars. Il s'agit du deuxième flux
de devises pour l'Arabie Saoudite après le pétrole. Et alors que les réserves
de pétrole sont limitées et vont en diminuant, le tourisme cultuel est un
business durable et en constante augmentation. En effet, le monde compte près
d'un milliard et demi de musulmans. En 2050, l'islam rassemblera 2,5 milliards
de fidèles. On comprend pourquoi les observateurs prédisent que, dans vingt
ans, le tourisme religieux rapportera à l'Arabie saoudite davantage que l'or
noir. Le pèlerinage à La Mecque fait aussi le bonheur des agences de voyages,
commerçants et hôteliers saoudiens. Ces millions de musulmans, issus de 189
pays convergent, une fois par an depuis 1400 ans, vers la Mecque.
La monarchie pétrolière l'a bien compris et son économie
florissante est entretenue tous les ans par les millions de dollars dépensés
par les pèlerins qui se rendent à la Mecque. Les entreprises privées ne sont
pas en reste non plus. Le secteur de l'immobilier s'est adapté au nombre
croissant de pèlerins (Plus de 3,4 millions de croyants y participent!) et l'on
ne compte plus les nouvelles constructions s'érigeant "sans frein"
dans la ville sainte.
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Remarquons ici que le Prophète Mahomet a aboli TOUTES les croyances et rites païens existants avant l'Islam, SAUF le pèlerinage à la Mecque, qui était à l'origine un rite païen. En bon commercial, il a compris que ce pèlerinage allait assurer la fortune de sa tribu et de ses descendants pour l'éternité. PERSONNE, depuis que l'Humanité existe n'a fait mieux !
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Savez-vous qu'il existe un lieu dans le monde
où l'on trouve des terrains à 100.000 euros le mètre carré ? Ce n'est pas sur les Champs-Élysées à Paris ni même sur Broadway
à New York, mais c'est à La Mecque, et plus particulièrement dans l'enceinte
autour de la Grande Mosquée que les tarifs sont si chers. Les hôtels luxueux,
impayables pour la plupart des pèlerins, ont par ailleurs pris pied sur des
sites centenaires.
Les autorités saoudiennes détruisent les vestiges de
l’Islam dans les villes saintes
De nombreux Saoudiens et militants pour la conservation du
patrimoine assistent,
impuissants, aux destructions de vestiges historiques de la Mecque et de
Médine, pour faire place à des centres commerciaux, des hôtels et des
gratte-ciels. L’Institut du Golfe, basé à Washington, estime que 95% des
édifices vieux de 1000 ans dans les deux villes ont été détruits ces 20
dernières années.
A la Mecque, le complexe commercial Jabal Omar éclipse la
mosquée Al-Haram, le site le plus sacré de l’Islam. Pour le construire, les
autorités ont démoli la forteresse Ajyad datant de l’ère ottomane et la colline
sur laquelle elle s’érigeait. Le lieu de
naissance du prophète est devenu une librairie, et la maison de sa première femme Khadija est devenu des
toilettes publiques !
La police religieuse saoudienne s’efforce de décourager la
population à prier ou à visiter des lieux en lien avec l’ère du Prophète et
promeut la démolition des sites historiques. Les wahhabites souhaitent
également laisser leur marque dans les villes saintes. C'est le même phénomène qui se déroule en Tunisie,
avec l'incendie de plus de 40 mausolées des saints locaux, incendies effectués
par des wahhabites locaux, dénommés salafistes, et que Ghannouchi.
considère comme ses "fils".
“Le silence des musulmans concernant la destruction de
la Mecque et de Médine est à la fois désastreux et hypocrite”, déclare
le docteur Irfan al-Alawi de la fondation de l’héritage islamique. “Le
récent film sur le prophète Mahomet a déclenché des manifestations à travers le
monde entier, pourtant la destruction du lieu de naissance du Prophète, où il
est né et a fondé l’Islam, ne suscite aucune critique. ”.
L'hypocrisie et la félonie des islamistes, wahhabites et consorts, n'ont guère
de limite. L'apathie et le silence des prétendus arabo-musulmans est tout aussi
incroyable : personne n'ose contrarier ces rois fainéants du pétrole.
Les arnaqueurs
Dans les pays musulmans, le nombre de pèlerins est,
d'autorité, limité à 1 pour 1.000 habitants. Pour la plupart d'entre eux, une
fois sur place, les conditions sont souvent sommaires. Certains dorment dehors.
D'autres trouvent à louer des chambres chez l'habitant, voire des appartements
délaissés par des Mecquois qui profitent de l'affluence pour louer leur bien à
prix d'or. En France, ce sont des agences de voyages accréditées par les
autorités saoudiennes qui organisent les pèlerinages. Pour deux à trois
semaines de voyages, un musulman français débourse en moyenne 4.700 euros en
2011. Un tarif exorbitant qui a doublé en six ans. Alors entre fausses agences
peu scrupuleuses, qui disparaissent la veille du voyage en ayant empoché
l'argent des clients et gardé leurs passeports, et vrais tour-opérateurs qui
promettent des chambres doubles et fournissent des dortoirs à partager avec des
inconnus, les victimes sont légion. Sans compter que, sur les 50 milliards de
dollars que représenterait cette industrie, 15 % disparaîtraient dans des
réseaux parallèles.
A la
Mecque et à Médine, les souvenirs se vendent à foison. Et, même si les
bénéfices sont difficiles à estimer, leur vente constitue aussi une activité
lucrative. Et pour cause, ces "objets bénis" y sont vendus 3 fois
leur prix. Pourtant, nombre de ces souvenirs ne sont pas fabriqués dans les
villes saintes, mais... en Chine
Dans les pays musulmans, le nombre de pèlerins est,
d'autorité, limité à 1 pour 1.000 habitants. Pour la plupart d'entre eux, une fois
sur place, les conditions sont souvent sommaires. Certains dorment dehors.
D'autres trouvent à louer des chambres chez l'habitant, voire des appartements
délaissés par des Mecquois qui profitent de l'affluence pour louer leur bien à
prix d'or. En France, ce sont des agences de voyages accréditées par les
autorités saoudiennes qui organisent les pèlerinages. Pour deux à trois
semaines de voyages, un musulman français débourse en moyenne 4.700 euros en
2011. Un tarif exorbitant qui a doublé en six ans. Alors entre fausses agences
peu scrupuleuses, qui disparaissent la veille du voyage en ayant empoché
l'argent des clients et gardé leurs passeports, et vrais tour-opérateurs qui
promettent des chambres doubles et fournissent des dortoirs à partager avec des
inconnus, les victimes sont légion. Sans compter que, sur les 50 milliards de
dollars que représenterait cette industrie, 15 % disparaîtraient dans des
réseaux parallèles.
A la
Mecque et à Médine, les souvenirs se vendent à foison. Et, même si les bénéfices
sont difficiles à estimer, leur vente constitue aussi une activité lucrative.
Et pour cause, ces "objets bénis" y sont vendus 3 fois leur prix.
Pourtant, nombre de ces souvenirs ne sont pas fabriqués dans les villes
saintes, mais... en Chine
L’arnaque de la viande
halal
Comment réagiront les musulmans quand ils sauront que ce
qu’ils consomment en guise de viandes dites “hallal” est une pure tromperie ?
Aucun scrupule, aucune retenue, aucun respect ou considération non seulement
pour le consommateur musulman mais aussi pour tous les consommateurs floués,
car il faut savoir que la plupart des viandes prétendument et abusivement
déclarées halal, ne le sont point. Ce n’est pas seulement le profit, le gain et
l’enrichissement qui sont à la base de la démarche frauduleuse et de l’escroquerie
à large échelle mais aussi la fourniture, indirectement, de l’argent sale à des
officines, à des partis politiques extrémistes, qui ont besoin de fric.
D’abord des chiffres (fournis par le bureau de contrôle
hollandais Hallal correct) : la consommation mondiale de viande hallal
ou dite hallal dépasse les 150 milliards de dollars, celle du marché européen
avoisine les 18 milliards de dollars. En France, 3 milliards d’euros de
consommation pour environ 5 millions de musulmans, dont 500
mille Tunisiens. En Hollande où résident presque 1 million de musulmans, le
chiffre de la consommation excède le 1,5 milliard d’euros, (la moitié
comparativement à la France où résident cinq fois plus de musulmans. Il faut
surtout préciser, pour bien saisir l’enjeu, qu’il s’agit surtout de viandes
destinées à l’exportation tant vers la France, essentiellement, que vers les
pays arabes et/ou musulmans perméables à souhait qui font ainsi ingurgiter à
leurs populations des produits non seulement illicites mais aussi dont ne voudraient
ni les chiens ni les chats. Une supercherie. Une fraude qui n’épargne ni le
consommateur ni le petit boucher du quartier d’à-côté. Une super-tromperie
planifiée, organisée et exécutée au nom de l’Islam.
Comment ?
L’astuce est très simple.
Les Tunisiens aussi |
L’entreprise
française qui produit, par exemple, des steaks hachés se fournit en matière
première, c’est-à-dire en viande, auprès d’un fournisseur hollandais ou
espagnol (le coût d’achat est plus bas qu’en France). Mais comment faire pour
certifier au consommateur musulman d’Italie, de France, de Dubaï, de Tunisie ou
d’Arabie Saoudite que cette viande est hallal (c’est-à-dire que l’animal est
sacrifié par un musulman qui prononce le nom d’Allah en orientant la bête en
direction de la kaâba, en utilisant un couteau nettoyé et aiguisé pour éviter
la souffrance de l’animal, et en veillant aussi que cet animal soit sain, non
porteur de maladies).
Comment
agir pour user et abuser de la confiance du consommateur ? Très simple.
S’allier
à un bureau de contrôle de viande hallal. Et le tour est joué. Une convention
est établie. Ce bureau délivre une carte de sacrificateur à n’importe quel
individu qui se prétend musulman, lequel est recruté par le fournisseur (donc
il se soumet à ses desiderata). Ensuite, ce même bureau désigne un contrôleur
qui devra se déplacer dans les abattoirs du fournisseur (mais qui le fait très
rarement sinon jamais) et attribue des certificats de viande hallal absolument
vierges cachés en très grande quantité chez le fournisseur. Une fois la
marchandise prête à l’exportation, le même fournisseur complète le certificat
que le pseudo-sacrificateur signe et transmet à l’industriel producteur de
produits élaborés qui dispose ainsi de toutes les preuves que la marchandise
vendue dans les supermarchés est bel et bien hallal.
Réseau
de fraudeurs, filières de la tromperie qui ne sont motivés que par le profit,
pire “les produits commercialisés sont de qualité défaillante et représentent
un risque potentiel pour le consommateur”.
Plutôt
qu’une bête vivante soumise à l’égorgement, ce sont des bêtes abattues au
pistolet pneumatique — donc des bêtes mortes — auxquelles on coupe la tête et
ensuite les autres parties de la carcasse. Pratiques contraires aux préceptes
de l’Islam et donc illicites. Il faut savoir qu’il ne s’agit pas dans ce genre
d’“affaires” de quelques centaines d’euros mais de millions d’euros comme
enjeu.
Voici un
témoignage d’abattage « halal ».
L’entreprise
Brada est implantée dans la ville de Damwoude, à 150 kilomètres au nord
d’Amsterdam. Nous y entrons comme dans un moulin grâce à l’aide d’un
compatriote qui arguait venir y effectuer des commandes. On y verra tout, sauf
le lieu exact d’abattage. Caché, préservé, protégé. On se croirait dans un
espace de nucléaire. Des centaines de carcasses sont alignées côte à côte. Des
demi-carcasses qui permettent de constater une chair flasque qui n’invite pas à
la consommation. Des quarts de carcasses qui ne cachent pas l’âge de l’animal.
“1 an, 15 ans, tiens celle-là a mis bas plusieurs fois”, confie notre
accompagnateur. Il n’a pas besoin de s’étaler en explications. La chaîne
d’abattage en elle même est une preuve flagrante de l’escroquerie. Des animaux
carrément non destinés à la consommation humaine. Que font les services
vétérinaires hollandais ? “Le patron a le bras long”, confie-t-on à demi-mot.
Les frigos, les rails suspendus, les tables, les bassines métalliques débordent
de viande. Une puanteur suffocante. Sur environ 60 travailleurs, “pas un
seul musulman”. Nous escaladons des escaliers en colimaçon. Et là, on
domine la fraude, la supercherie, la tromperie dans sa grandeur, l’abus de
confiance dont sont victimes des millions de musulmans. Là, tout se fait par
hasard, nous assistons à l’abattage. Bastian est sous tension, il devient
rouge, il veut détourner nos regards des bœufs que l’on tue. Bel et bien une
tuerie. Rien d’un égorgement hallal. Il tourne et se retourne. Il étouffe de
rage. On croirait même qu’il désire nous balancer à travers la rampe d’escalier
afin de ne rien voir. Mais on voit tout : un bœuf est ramené de quelque part.
Vite, un employé lui place un matador (c’est le nom exact du pistolet
pneumatique) entre les yeux. Une détonation. L’animal s’affale. Mort. Puis
accroché à des rails suspendus. Il ne bouge plus. Environ 20 mètres et on lui
coupe la tête. Puis au bout de quelques instants l’animal est transformé en
quartiers de chair. Inc'Allah, viande
halal.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerBien dit au cœur du problème .c'est la réalité qu'on déteste entendre.
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