Citations provenant des principales personnalités historiques
sionistes, exprimant sans masque le programme sioniste de génocide des
Palestiniens.
Nous devons expulser les Arabes et prendre leur place. David Ben
Gurion 1937, futur Premier ministre d’Israël
Nous devons tuer tous les Palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à
vivre en tant qu’esclaves. Président Heilbrun, du comité pour la réélection
du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987
Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la
confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de
débarrasser la Galilée de sa population arabe. Israël Koenig
dans The Koenig memorandum
La seule solution est Eretz Israel [le Grand
Israël], ou au moins Eretz Israel Ouest [toutes les terres à l’ouest du
Jourdain], sans les Arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce
point. Nous ne devons pas laisser un seul village ni une seule tribu. Joseph Weitz,
directeur du Fond national juif, 1973
Une terre sans peuple pour un peuple sans terre. Israel Zangwill
(propagandiste sioniste), il y a environ cent ans
À l’étranger, nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ;
que rien n’y pousse et que celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas
acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans
ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà
cultivée. Achad Ha-Am, essayiste hébreu, après avoir visité la
Palestine en 1891
Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à
qui les rendre. Golda Meir,
Premier ministre d’Israël, 8 mars 1969
Il n’y a jamais rien eu de tel [la colonisation],
puisque les Palestiniens n’ont jamais existé ! Golda Meir,
Premier ministre israélien, 15 juin 1969
Les Palestiniens seront écrasés comme des sauterelles…
leurs têtes éclatées contre les rochers et les murs. Yitzhak Shamir,
Premier ministre israélien, 1er avril 1988
Le sang juif et le sang des goyim [non-juifs]
ne sont pas les mêmes. Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que
tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19
juin 1989
Chasser la population pauvre [les Arabes] au-delà de
la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de
déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection. Théodore
Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895
Description par Rabin de la conquête de Lydda, après
l’achèvement du plan Dalet : « Nous réduirons la population arabe à une
communauté de coupeurs de bois et de serveurs ». Uri Lubrani,
conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gourion, 1960, tiré de The Arabs
in Israel, par Sabri Jiryias
Les Palestiniens sont comme les crocodiles ; plus vous
leur donnez de viande, plus ils en veulent… Ehud Barak,
Premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000
Les Palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux
jambes. Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans
l'article d'Amnon Kapeliouk, Begin and the Beasts (Begin et les bêtes), New
Statesman, 25 juin 1982
Il y a une énorme différence entre nous [les juifs] et
nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture,
le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais
c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui
n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait
véritablement à une autre galaxie. Moshe Katsav,
président israélien, Jerusalem Post, 10 mai 2001
Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils [les
Palestiniens] ne reviennent pas […] Les vieux mourront et les jeunes
oublieront. David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948, New york
Times, 14 avril 1983″]
Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera
plus aux Arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une
bouteille. La thèse d’un danger de génocide qui nous menaçait en juin 67 et
qu’Israël se battait pour son existence physique n’était que du bluff, créé et
développé après la guerre. Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972
C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à
l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits
qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a
pas de sionisme, de colonisation ou d’État juif sans l’éviction des Arabes et
l’expropriation de leurs terres. Yoram Bar Poreht, Yediot
Aahronot, 12 juillet 1972
La population doit se préparer à la guerre, mais il
revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime
qui est la création de l’Empire israélien. Moshe Dayan,
ministre israélien de la Défense et des Affaires étrangères, 12 février 1952 sur
Radio Israel
Des villages juifs ont été construits à la place des
villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le
reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement
les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le
Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et
Kafr-Yehoshua celle de Tel-Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays
qui n’a pas une ancienne population arabe. Moshe Dayan,
discours au Technion, à Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969
Une réconciliation volontaire avec les Arabes est hors
de question, que ce soit maintenant ou à l’avenir. Si vous souhaitez coloniser
un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour
le pays, ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la
fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée
qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher
cette colonisation, la colonisation sera impossible ; pas difficile, pas
dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et
c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important… de
parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être
capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation. Vladimir
Jabotinsky, fondateur du sionisme révisionniste (précurseur du Likoud), Le Mur
de fer, 1923
La colonisation sioniste doit être exécutée contre la
volonté de la population autochtone. C’est pourquoi cette colonisation doit
continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population
locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population
locale. Voilà notre politique à l’égard des Arabes. Vladimir
Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923
Soit dit entre nous, il doit être clair qu’il n’y a
pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but
si les Arabes restent dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de
transférer les Arabes d’ici vers les pays voisins – tous. Pas un seul village,
pas une seule tribu ne doit rester. Joseph Weitz,
chef du département Colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de A solution
to the refugee problem
Israël aurait dû exploiter la répression des
manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce
pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les Arabes des
territoires. Benjamin Netanyahou, alors député israélien au
ministère des Affaires étrangères, ancien Premier ministre d’Israël,
s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal
israélien Hotam, 24 novembre 1989
Ariel Sharon |
Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un
accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que
Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne-t-il ? Notre dieu n’est
pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais
était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé
leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? David Ben
Gurion, Premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans Le paradoxe
juif, p. 121.
Nous déclarons ouvertement que les Arabes n’ont aucun
droit de s’établir sur ne serait-ce qu’un seul centimètre du Grand Israël… La
force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force
absolue jusqu’à ce que les Palestiniens viennent ramper devant nous. Raphael Eitan,
chef d’état-major des forces de défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New
York Times, le 14 avril 1983
Chaque fois que nous faisons quelque chose,
vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela… Je vais vous dire quelque
chose de très clair : ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur
Israël ; nous, les Juifs, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. Ariel Sharon, Premier ministre israélien, le 3 octobre
2001 à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael
Parmi les phénomènes politiques les plus inquiétants
de notre temps, il y a l’émergence, dans l’État nouvellement créé d’Israël,
d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son
organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des
nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir, qui étaient membres de
ce parti, sont devenus Premier ministre. Albert
Einstein, Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres ont écrit dans le New
York Times pour protester contre la visite en Amérique de Menahem Begin en
décembre 1948.
La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous
le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et
les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate. Ben Gurion
Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni
innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous
les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une
population de réfugiés dans une diaspora. Martin Buber,
philosophe juif, s’adressant au Premier ministre Ben Gourion, sur le caractère
moral de l’État d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.
Quand nous [disciples du judaïsme prophétique] nous
sommes retournés en Palestine… la majorité des juifs, ont préféré apprendre
d’Hitler plutôt que de nous. Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter,
2 juin 1958
Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret
de loi », qui avait été voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui
permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce
qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir
de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le Parlement
israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien
et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon
hitlérienne. Docteur Israel Shahak, président de la Ligue
israélienne pour les droits de l’Homme et les droits civiques, survivant du
camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de
l’armée israélienne suite à la guerre de 1967. Palestine, vol. 12, décembre
1983
Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon
a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population
palestinienne ? ». Ben Gurion a levé la main dans un geste qui voulait dire
: « Chassez-les ! ». Yitzhak Rabin,
version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York Times, 23
octobre 1979.
USraël : un rabbin affirme que tous les musulmans sont coupables et doivent être exterminés (14/10/2014)
Dans un récent sermon, le rabbin Shalom
Lewis, de la congrégation Etz Chaim dans la ville de Marietta, en
périphérie d’Atlanta dans l’État de Géorgie, affirme que tous les
musulmans sont coupables et doivent être « exterminés ».
Le rabbin s’est fendu d’une série de
remarques étonnement racistes qui font suite à ses commentaires d’il y a
trois ans, lorsqu’il a comparé les musulmans aux nazis. « Ils arrivent », avait-il alors averti.
« Trois ans plus tard, jour pour
jour, je me tiens sur cette bêma, et je vous dis à voix haute, non pas
« Ehr Kumpt » (ils arrivent), je vous dis : « Ehr daw » (ils sont
là) ».
« La fureur du Mal ultime s’abat sur
nous et nous devons agir, pas le contenir. Ne pas l’affaiblir ni le
gérer ni le tolérer, mais bien l’exterminer de façon décidée et
définitive », a-t-il ajouté.
Le rabbin a déclaré que bien que tous les musulmans ne soient pas des « islamistes engagés » ou des « terroristes », ils sont tous coupables.
à suivre............................
Ces déclarations n'ont rien d'étonnant pour ceux qui connaissent :
- l'Ancien Testament qui promeut le génocide des non juifs
- le Talmud, qui est la base idéologique du sionisme
Hannibal Genséric