Pour comprendre ce qui se passe en Ukraine depuis le coup d’état
organisé par la CIA et le Département d’Etat américain, il est
fondamental de connaître les personnes qui l’ont mis en œuvre.
Le nouveau président ukrainien : Petro Porochenko (Walcman)
Juif de Moldavie, âgé de 49 ans, fils
d’Alexiej Walcman. Son père fut exclu du Parti Communiste d’Ukraine en
raison des nombreuses escroqueries dont il se rendit coupable dans les
années 80. Après la chute de l’URSS, il rachète plusieurs entreprises de
confiserie qui lui permettront bientôt de détenir le monopole du marché
du chocolat ukrainien. En 2013, ses produits sont interdits en Russie
en raison de la présence d’éléments chimiques cancérigènes. Il se
hissera au conseil de la Banque Nationale d’Ukraine et, moyennant
d’innombrables montages financiers, deviendra un des bailleurs de fonds
de la révolution “orange” en 2004. En 2014 il devient le nouveau
président de l’Ukraine, après le coup d’état du 22 février de la même
année. Fortune estimée à 1 milliards de dollars US par Forbes.
Le premier ministe ukrainien : Arseni Yatsyenyuk
Arseni Yatsenyuk est tout sauf un patriote ukrainien puisqu’il a participé au dernier sommet de la Commission Trilatérale en Pologne, une organisation transnationaliste créée par le juif Henry Kissinger. Lors de cette réunion, il a parlé sur le thème “l’Ukraine et l’Union Européenne”.
Ce qui peut s’expliquer par le fait qu’Arseni Yatsenyuk est juif, comme le confirme ce document de l’université anglaise d’Oxford : “Né à Chernivtsi en 1974 de parents juifs ukrainiens”.
Le président du parlement ukrainien : Oleksandr Turchynov
Ancien membre du SBU, service de
renseignement militaire ukrainien sous contrôle de la CIA, Turchynov est
lié au puissant parrain de la mafia juive ukrainienne, Semion Mogilevitch.
Ce dernier, avec la juive Julia Timochenko, organisa une vaste
opération de contrôle des marchés de l’énergie ukrainienne, se servant
au passage sur les livraisons en provenance de Russie. Oleksandr
Turchynov est officiellement converti au protestantisme évangéliste. Son
église protestante se nomme “Le Verbe de Vie”, une secte créée par le
juif suédois Ulf Ekman. Cette organisation, liée à la CIA, focalise son
développement dans les anciennes républiques soviétiques avec le double
but de financer le départ des juifs en Israël et la conversion au
protestantisme des Slaves orthodoxes. Il est depuis le coup d’état le
président de la Rada, le parlement ukrainien.
Le financier de la Place Maïdan : Igor “Benya” Kolomoysky
Deuxième fortune d’Ukraine, à 2,4
milliards de dollars selon Forbes, Kolomoysky est double national
israélo-ukrainien. Financier, il a profité de la chute de l’URSS pour
prendre des parts dans tous les pans de l’économie ukrainienne. Il est
un des principaux bailleur de fonds des agitateurs de la place Maïdan.
Après le coup d’état, il a été nommé gouverneur de la région prorusse de Dnipropetrovsk dont il possède le club de football.
Le pro-américain : Viktor Pinchuk
La plus grande fortune d’Ukraine,
estimée à 4 milliards de dollars, réalisée comme il se doit en
s’emparant des secteurs clefs de l’économie ukrainienne à la chute de
l’URSS. Depuis les années 2000, il utilise sa fortune pour promouvoir à
l’agenda pro-US en Ukraine, notamment lors de son forum annuel de Yalta
où, entre autres, des gens comme Bill Clinton participent. Il a financé
un documentaire réalisé par Steven Spielberg sur “l’holocauste en
Ukraine”
Julia Timochenko
Juive balte liée au milliardaire juif
Georges Soros. Ancienne égérie de la “révolution orange” financée par ce
dernier, elle avait bâti une immense fortune sur le vol de l’argent
généré par la vente de gaz russe en Ukraine. Ancien premier ministre,
elle fut plus tard condamnée pour corruption et emprisonnée, avant
d’être libérée lors du coup d’état du 22 février 2014. Une de ses conversations téléphoniques avait été révélée au
grand public sur Youtube lors de laquelle elle confiait vouloir
exterminer les 8 millions de Russes d’Ukraine. Au parlement ukrainien,
son parti est allié à Svoboda, un pseudopode pro-US.
Vadim Rabinovich
Déchu de sa nationalité ukrainienne dans
les années 90 pour les innombrables escroqueries dont il s’était rendu
coupable, Rabinovich avait, comme tous les voleurs et escrocs de son espèce, allé se réfugier en Israël, où il avait obtenu la
nationalité de l’entité sioniste. Le jugement en Ukraine fut plus tard inversé,
grâce à de larges pots-de-vin. De retour en Ukraine, il devint un des
puissants dirigeants de médiats dans ce pays. Président du parlement
juif d’Ukraine et vice-président du congrès juif européen, il a créé une
chaîne de télévision juive internationale, Jewish News One. Il se
présente à l’élection présidentielle de 2014 où il obtient 2,25% des
voix.
Source : BREIZATAO – (08/08/2014)