Après les USA, le Canada, la
Grande-Bretagne, le Brésil, les pays du Lima à l'exception du Mexique, c'est
au tour d'Israël de reconnaître le président autoproclamé du Venezuela et
de soutenir de fait le coup d’État au Venezuela.
«Israël se joint aux États-Unis, au Canada et à la plupart
des pays d'Amérique du sud et des pays d'Europe en reconnaissant le nouveau
pouvoir au Venezuela»,
a fait savoir Netanyahou dans
une vidéo.
Il ne manque plus que la France et l'UE pour compléter
le tableau atlantiste des impérialistes anti-socialistes et adeptes du coup de
force en violation complète avec le droit international. La France,
l'Allemagne, l'Espagne ayant menacé de reconnaître l'usurpateur Guaido
si Maduro n'envisageait pas des élections sous 8 jours. C'est tout comme
si c'était fait. Le club des impérialistes est à nouveau réuni pour un nouvel
Irak, une nouvelle Libye ou une nouvelle Syrie ?
USA : un sioniste de choc à la
tête du changement de régime au Venezuela
Elliot
Abrams est de retour, cette fois-ci en train de changer le régime du Venezuela,
à la "manière juive". Il est sorti de l'ombre, faisant
officiellement ce qu'il avait déjà fait à l'abri de Pompeo au Département
d’Etat, c'est-à-dire qu'il veut refaire rapidement en 2019 le coup d'État
vénézuélien échoué en 2002 sous Bush
dans l'espoir de renverser Hugo Chavez. Il prête maintenant ses mains criminelles
à une nouvelle "guerre sale"
en Amérique latine. Il
en a l’expérience!
Trump
l’avait écarté lorsqu’il constituait son cabinet à cause de l’opération
d’Abrams en mai 2016 intitulée Quand
vous ne pouvez pas supporter votre candidat après que Trump ait remporté la
nomination du Parti Républicain [1].
Comment se fait-il
qu'Abrams se soit introduit dans le camp Trump?
Comme
tous les Juifs qui attendent une occasion propice, ils se planquent dans les
ruelles du Beltway, puis ils se sortent de leurs trous et se frayent un chemin
jusqu'au sommet de la fourmilière.
En
effet, voilà que Pompeo a annoncé
vendredi qu'Abrams, le belliciste juif néo-conservateur, avait rejoint l'équipe
du département d'Etat pour "restaurer la démocratie" au Venezuela
et "aider le peuple" à obtenir le résultat que "le
peuple vénézuélien veut obtenir."
C’est
une chose de restaurer la démocratie et c’en est une autre que de prétendre aider
les personnes qui l’ont déjà.
CEPENDANT,
LA MAJORITÉ des Vénézuéliens, y compris l'armée et la police, soutient
pleinement son président actuel et légitime, Nicolas Maduro.
Et
avec le ministre de la Défense du Venezuela dénonçant le «président» autoproclamé
Juan Guaido comme un «fantoche américain qui veut diriger le Venezuela à partir de de
Washington», les mains sales d'Abrams ont une occasion de faire
appel à un fantoche [2] pour
semer, une fois de plus, le chaos, l’effusion de sang et la misère.
Elliott
Abrams est un néo-con historique. Il a appartenu à la petite coterie
juive entourant le sénateur démocrate Henry Scoop Jackson, avant de
rejoindre l’administration Reagan. Il a épousé la belle-fille de Norman
Podhoretz, le rédacteur-en-chef de Commentary. C’est un des
initiateurs de la théopolitique.
Il
supervisa la création de la National Endowment for Democracy, l’agence chargée de poursuivre à découvert les
objectifs de la CIA. Il fut un des organisateurs de la guerre contre le
Nicaragua et le Salvador, incluant l’affaire Iran-Contras, sous la présidence
de Ronald Reagan. Il fut également conseiller pour la « démocratie
globale » dans l’administration Bush fils. C’est à ce titre qu’il supervisa la tentative de
coup d’État contre le président vénézuélien Hugo Chávez, en 2002.
Dès
qu’un juif pointe son nez dans les "droits de l'homme"
d’un pays étranger, alors attendez-vous à du sang, des massacres et des "souffrances
humaines". Rappelez-vous le BHL en Libye et les autres
« intellectuels » juifs français sur la Syrie.
En
réalité, il ne s’agit pas de la personne de Maduro, mais de la saisie des avoirs
pétroliers et financiers du Venezuela car le même Abrams
faisait partie d’un complot
visant à renverser son prédécesseur, Hugo Chavez, en 2002, pour confisquer les
biens du Venezuela.
Au
début de 2019, 500.000 barils par jour de brut vénézuélien - essentiel
à la production américaine de diesel - étaient importés aux États-Unis.
À cela
s’ajoute le fait que Citgo, un raffineur basé au Texas, appartient à la
compagnie pétrolière nationale du Venezuela, Petroleos
de Venezuela, et Abrams cherche à mettre la main sur cette compagnie
pour la donner aux oligarques judéo-américains.
Mais
Maduro s’est
engagé à défendre la société d’une prise de contrôle par cette maffia.
AINSI
QUAND POMPEO a été interrogé sur les avoirs du Venezuela à l’étranger, il a
déclaré: «Nous annoncerons comment Juan
Guaido (président autoproclamé du Venezuela) disposera des ressources
nécessaires pour diriger le gouvernement du Venezuela.» (défense de rire !.)
Partenaire
des sales coups de Pompeo dans le changement de régime, Bolton
a déclaré jeudi à la presse qu'il travaillait à la canalisation des
paiements de recettes pétrolières du Venezuela vers le gouvernement dirigé par
Guaido.
Dans
le même temps, la Banque d'Angleterre, détenue par des Juifs, refuse
de restituer les lingots d'or de 1,5 milliard de dollars appartenant
au gouvernement vénézuélien. Les Britanniques, qui dirigeaient autrefois les
mers, sont maintenant soumis aux fourches caudines de la finance mondiale juive.
Abrams,
juif fanatique, intensifiera la pression sur le gouvernement de Maduro (les
médias appartenant à des Juifs l'appellent désormais «régime»), notamment en
imposant de lourdes sanctions à son secteur pétrolier, ce qui aggravera la
crise et aggravera les souffrances du peuple vénézuélien.
Conclusion de cette
nomination
C’est
clair comme l’eau de roche. Trump n’a plus aucun
contrôle sur son administration quand on voit comment ce sioniste
Abrams qui l’a condamné au cours de sa campagne s’est retrouvé au Département
d’État pour tenir les rênes du changement de régime au Venezuela.
Est-ce
que les USA veulent vraiment s’enliser dans un autre bourbier militaire à
l’étranger menant à une guerre civile, à la mort de civils et à la démolition
d’une infrastructure d’un autre pays, au nom de la «restauration de la
démocratie», à la juive? Les exemples du Vietnam, de l’Afghanistan, de l’Irak,
de la Libye, de la Syrie et de tant d’autres pays servent-ils à quelque chose ?
Demandez-le à Abrams ou à Rothschild qui ont l’art et la manière pour envoyer
des goyim mourir dans des guerres pour le bénéfice exclusif des Juifs.
NOTES
[1] En février 2017, Trump ne veut pas de l’ultra-sioniste Elliott Abrams
Elliott Abrams, néo-conservateur historique pur et dur opposé aux
mariages entre juifs et goyim, impliqué dans les crimes US au Nicaragua, au
Salvador, dans la tentative de coup d’État contre Hugo Chavez, et dans l’assassinat
de Rafic Hariri au Liban.
Le CV d’Abrams est éloquent.
Sous la première présidence de George W. Bush, il a
occupé le poste d’assistant spécial du président et directeur senior du Conseil
de sécurité nationale pour les affaires du Proche-Orient et d’Afrique du Nord.
A ce titre, il était l’un des plus virulents
avocats de l’invasion de l’Irak – avec le désastre que l’on sait et que Trump
n’a cessé de stigmatiser tout au long de sa campagne électorale. Il plaidait également pour le
renforcement de l’alliance avec Israël et les monarchies du Golfe, au service
des seuls intérêts israéliens.
Au début
de la seconde présidence de Bush, Abrams a été promu au poste de conseiller
pour la sécurité nationale sur les stratégies de démocratie globale,
responsable de la progression de la stratégie pour faire « Avancer
la démocratie à l’étranger », autrement dit « regime
change ». L’origine des révolutions de couleur et autres
« Printemps arabe » est
à chercher dans cette stratégie américaine bien réfléchie qu’Obama a non
seulement poursuivie, mais accélérée.
Concernant
le lobby juif dont il était un des pivots, Elliott
Abrams appela, dès 1995, à la nécessité pour les juifs américains de
s’allier avec les Évangélistes et les Sionistes chrétiens.
[2] Éduqué à l’université Georges Washington, nid
d’espion de la CIA, Guaido est proclamé le président de l’assemblée
nationale du Venezuela le 5 janvier courant. Il a immédiatement déclaré que Maduro
n’était pas le président du pays et a incité à la rébellion au sein de l’armée.
Maria
Iris Vadela Rangel, une leader du parti politique de Maduro du
Parti Socialiste Unifié a tweeté au sujet de la sédition : “Guaido,
j’ai déjà préparé ta cellule avec le bon uniforme et j’espère que tu nommeras
ton cabinet rapidement afin de savoir qui te tiendra compagnie, imbécile de
sale gosse.”
Hannibal GENSÉRIC
Pour résoudre le problème à toute cette déstabilisation des régimes politiques qui ne plaisent pas à l'occident,la solution est toute trouvée: déclencher un conflit militaire contre cette horde sanguinaire qu'est l'OTAN, quitte à anéantir les 3/4 de la population modiale (7 milliards d'âmes, c'est trop ),mais avec une grande satisfaction de voir disparaitre à jamais cette pourriture de race de yankees et de leurs acolytes.
RépondreSupprimerPS: je serai le premier à donner ma vie pour que disparaisse pour toujours ce cancer !!
7 miliards,c'est trop(surtout que ce chiffre est surestimé intentionnellement pour des raisons qui sont cheres à l'élite),c'est exactement le discours des Malthusiens.
SupprimerFaire disparaitre les 3/4 de l'humanité,ce serait jouer dans le camp de L'OTAN,c'est leur but.
Il y a des forces qui vont s'occuper de cette vermine et ils ne sont pas médiatisées pour des raisons évidentes.
Leur compte est bon sous peu,la planète et ses habitants pourront enfin respirés.
Vivement le tribunal international de guerre et que la paix règne sur terre. Nous sommes UN.
RépondreSupprimerKEL SERA LA REACTION DE POUTINE
RépondreSupprimerNon il faut simplement detruire israel. Destruction d'israel et us=PAIX MONDIALE.
RépondreSupprimerNon, L'Etat Sioniste, Etat Artificiel du Moyen-Orient, n'est qu'un atome du petit doigt de la main; mais la Grande Main qu'il faudrait anéantir ce sont les USA !!
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