Joe
Biden devrait faire un peu de recherche et découvrir comment les anciens
présidents ont dû faire face aux infiltrés et aux traîtres israéliens.
Si
les participants du JCPOA reviennent sur l'accord avec l'Iran, qui est toujours
sur la table à l'heure actuelle, alors Benjamin Netanyahou est presque
certainement foutu. Le directeur général de l'Agence internationale de
l'énergie atomique, Rafael Grossi, a
récemment déclaré que les participants au JCPOA «veulent revenir. Mais bien
sûr… il y a un certain nombre de questions qui doivent encore être clarifiées.
Ce n’est donc pas impossible. C'est difficile, mais pas impossible. »[1]
Grossi, contrairement à l'homme fou de Tel-Aviv, estime que l'Iran a déjà offert une «fenêtre d'opportunité diplomatique» pour que l'accord se concrétise. Il a conclu: «Au cours de cette période, les parties concernées seront, espérons-le, en mesure d'atteindre, ou du moins commenceront à revenir au JCPOA.» [2]
Cela ne correspond certainement pas à ce que Netanyahou dit à l'Occident depuis plus de trois décennies. Netanyahou, l'homme qui a passé presque toute sa carrière politique à déféquer sur l'accord avec l'Iran et à perpétuer un mensonge après l'autre, n'aime évidemment pas Grossi pour avoir émis des déclarations aussi claires.
Mais nous savons tous maintenant que tout ce qui est mauvais pour Israël sur l’Iran est en fait bon pour pratiquement tout le monde. Biden devrait capitaliser sur ce nouveau développement et dire au fou de Tel Aviv de rester à la maison. Ou peut-être que Biden peut inviter les ex présidents Obama et Clinton à la Maison Blanche et leur demander comment ils ont dû faire face aux gangsters, aux canulars et aux menteurs juifs et israéliens.
Gardez à l'esprit que c'est Clinton lui-même qui a dit à propos Netanyahou: «Diable, pour qui se prend-il?» [3]. Joe Lockhart, le porte-parole de la Maison Blanche sous l'administration Clinton, a déclaré que Netanyahou était «l'une des personnes les plus odieuses que vous puissiez rencontrer - juste un menteur et un tricheur. Dès qu’il ouvre sa gueule, vous pouvez avoir la certitude que tout ce qui en sort est contraire à la vérité. »[4]
Soit dit en passant, c'est une tendance parmi les présidents américains depuis des décennies. Même George W. Bush, lui-même, une marionnette complètement sioniste, commençait à se lasser de gens comme Sheldon Adelson [a].
Adelson |
Quand Bush a été trop lent pour rattraper le projet sioniste, Adelson a été complètement bouleversé. Bush a répondu: «J'avais ce milliardaire juif fou qui me criait dessus.» [5] Harry S. Truman avait des choses similaires à dire lorsqu'il était acculé par le Culte Khazarian Bankster [b] dans son administration. Il a dit:
«Ils ne se soucient pas du nombre d'Estoniens, de Lettons, de Finlandais, de Polonais, de Yougoslaves ou de Grecs qui sont assassinés ou maltraités en tant tant que les Juifs bénéficient d'un traitement spécial. Lorsqu'ils ont le pouvoir, physique ou politique, ni Hitler ni Staline n’arrivent à leur cheville pour la cruauté ou la maltraitance envers les opprimés (goyim). »[6]
Alors, Biden devrait faire un peu de recherche et découvrir comment les anciens présidents ont dû faire face aux infiltrés et aux traîtres juifs et/ou israéliens. Vidéo
[1] David Rising, “UN atomic watchdog: Return to Iran
nuclear deal possible,” Associated Press, March 17, 2021.
[2] Ibid.
[3] Akiva Eldar,
“Perfect English or Not, Netanyahu Shares No Common Language With Obama,” Haaretz,
February 10, 2009.
[4] Ibid.
[5] Connie Bruck, “The
Brassing Ring,” New Yorker, June 30, 2008.
[6] Toby Harnden, “Truman diary reveals scorn ‘for cruel
Jews,’” Telegraph, July 12, 2003.
Source : IAEA
chief: Iran deal possible. Netanyahu is probably screwed
By Jonas E. Alexis ; March 17, 2021
Constellation de Satellites : l'Iran travaillerait à une défense antimissile pour ses réacteurs nucléaires
Suite au double coup "nucléaire" infligé en 2020 à l'Iran, le premier étant l'attaque visant au mois de juin le réacteur de Natanz, le second, ciblant au mois de novembre le savant nucléaire en chef Fakhrizadeh, les Iraniens n'ont pas fait que les encaisser: le réacteur de Natanz a été reconstruit avant de se mettre à enrichir de l'uranium non pas à 4.7 pourcent mais à 20 alors même que le secteur nucléaire iranien se dirige droit vers un enrichissement à 90%. En Iran, plus personne ne croit en la possibilité d'une résurrection de l'accord de Vienne, à la lumière de tous ces signaux contrastés qui viennent non pas seulement des États-Unis afin d'imposer à l'Iran un "joug" anti balistique via un accord élargi, mais venant aussi du trio européen totalement couché à terre face à leur suzerain et maître.
Mais la riposte iranienne aux deux frappes précitées n'en est pas restée là. Selon Reuters qui publie un communiqué de l'AIEA, « L'Iran a commencé à enrichir de l'uranium dans son usine souterraine de Natanz ». Le rapport dit : « Le 15 mars 2021, l'Agence a constaté que l'Iran avait commencé à alimenter en UF6 naturel (de l'hexafluorure d'uranium) 174 centrifugeuses IR-4 installées dans une cascade et déjà implantée sur le site de Natanz ». Le rapport qui affirme que l'Iran prévoit également "d'installer une deuxième cascade de centrifugeuses IR-4 : « En résumé, à la date du 15 mars 2021, l'Iran utilise 5.060 centrifugeuses IR-1 installées dans 30 cascades, 522 centrifugeuses IR-2m installées dans trois cascades et 174 centrifugeuses IR-4 installées dans une cascade, pour enrichir de l'UF6 à plus de 5% en U235 ».
La nouveauté dans cet accord est évidemment l'accent mis sur l'aspect "sous-terrain" de cet enrichissement qui, s'il est vrai, ne peut aller sans renvoyer à une "mesure de protection" destinée à ce que l'incident du juillet 2020 ne se reproduise pas. Et pourtant, des activités d'enrichissement qui pourraient s'amplifier dans les semaines à venir exigeraient d'autres mesures de protection. Mardi 16 mars, quelques heures avant la publication du rapport de l'AIEA qui a fait suite au dévoilement de la nouvelle cité balistique du corps marine du CGRI, le ministre iranien de la Défense, Ami Hatami a affirmé aux journalistes que l'Iran s'était bien préparé à "toute éventualité, y compris des attaques biologiques, chimiques et nucléaires".
" La bombe nucléaire américaine a fait 220.000 morts au Japon en quelques jours poussant le pays à capituler... il est hors de question que l'Iran ne se protège pas contre des menaces potentielles de ce genre. La Défense iranienne a pris en compte toute forme de menaces y compris atomique", a dit le ministre. Comment l'Iran compte-t-il assurer la protection de ses réacteurs nucléaires? Évidemment l'emplacement sous -terrain est une protection et cette caractéristique qui couvrent déjà les arsenaux balistiques iraniens. Mais le programme nucléaire pacifique iranien pourrait-il bénéficier d'une protection satellite? Pourquoi pas quand on sait qu'un système d'alerte et de défense anti missile, DCA, pourrait largement avoir recours à des satellites et que l'Iran a placé son premier satellite militaire en orbite basse en 2020 et qu'un second satellite du nom de Zoljenah a suivi et que la perspective d'une constellation satellitaire focalise les projets aérospatiaux iraniens. Une DCA à base de satellite pourrait offrir une protection supplémentaire aux sites nucléaires iraniens et il semblerait que le pays se dirige en ce sens.
Les mini, les micro ou les nanosatellites sont en mesure d’accomplir les missions, qui étaient auparavant confiées aux satellites à grande taille, grâce aux progrès en matière d’électronique et d’optique. L’objectif de la miniaturisation des satellites est de permettre l’abaissement des coûts de lancement et de diminuer l’énergie consommée dont la production peut mobiliser jusqu’à 30 % de la masse d’un engin spatial.
Mais à quoi ça sert d’avoir une série de satellites miniatures qui sont en même temps en constellation ? Premièrement, si l’ennemi choisit d’entraver le fonctionnement de ces satellites, il trouvera la tâche difficile à accomplir en raison de la multiplicité de satellites qui couvrent une région à partir de plusieurs angles. Deuxièmement, au cas où l’ennemi déciderait de tirer des missiles antisatellites, cela ne lui serait pas facile d’identifier ni d’intercepter plusieurs satellites en constellation. Troisièmement, si un ou deux satellites sont pris pour cible, les autres engins de ce groupe de satellites assureront au moins une partie de la couverture perdue. Et quatrièmement, l’interception et la destruction d’une constellation de satellites coûteront certainement plus cher à l’ennemi que de détruire un seul satellite.
NOTES de H. Genséric
[a] USA.
Adelson a acheté la politique étrangère de Trump et des Républicains pour 90
millions de dollars
- USA.
Adelson achète à nouveau Trump pour 75 millions de dollars - mais les médias ne
vous le diront pas
- USA.
Miriam Adelson souhaite intégrer un "Livre de Trump" dans la Bible
- USA.
Plongez l'Amérique dans la guerre et devenez riche en le faisant
- Andrew
Joyce - Les quatre pinces du contrôle des cabalistes
[b]
LA
MAFIA KHAZARE (1ere partie) : l'Histoire occulte
- La
Mafia judéo-russe : du Goulag à Brooklyn à la domination mondiale
- La
Mafia khazare (2ème partie)
- Nouvel
Ordre Mondial : Russie contre Mafia Khazare ?…
- «
Décrets au cœur du Haut Commandement de la Mafia Khazare (Partie 3)”
VOIR AUSSI :
- Que
faire d'Israël? Voici quelques suggestions
- Poutine
à Trump et Netanyahou: l'accord sur l'Iran est toujours d'actualité
Hannibal GENSÉRIC
Le vaccin aussi est foutu : https://nicolasbonnal.wordpress.com/2021/03/18/7-personnes-sur-10-disent-non-au-passeport-vaccinal/
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