Scandale en Slovénie : un code 1, 2 ou 3 figurent sur les flacons de vaccins à ARNm

Une nouvelle nous parvient de Slovénie qui, si elle est vérifiée, provoquera une réaction mondiale inimaginable.
Le samedi 20 novembre, l'infirmière en chef du Centre médical universitaire, Centre clinique de Ljubljana, qui s'occupe de l'administration des flacons de vaccins, a démissionné de son poste, s'est rendue devant les caméras de télévision et leur a amené des flacons de vaccins.
Selon votre rang social, on vous injecte un "vaccin" de type 1, 2 ou 3.
Si vous pensez que ce scandale est uniquement slovène, détrompez-vous et posez-vous la question : pourquoi les grands de ce monde ne meurent pas du Covid et n'ont pas de ces innombrables séquelles invalidantes que l'on observe chez la plèbe ?

 

Elle a montré aux journalistes réunis les codes figurant sur les flacons, chacun comportant le chiffre final 1, 2 ou 3, puis a expliqué la signification de ces chiffres :
    -  Le numéro 1 est un placebo, une solution saline.

-                -  Le numéro 2 est le "vaccin" à ARNm.

-                  -   Le numéro 3 contient un bâtonnet d'ARN, avec le gène ONC, apparenté à l'adénovirus, qui contribue, entre autres, au développement de cancers.

Selon elle, les personnes qui se font inoculer à partir de flacons dont le code se termine par le chiffre 3, auront un cancer des tissus mous dans les 2 ans.
Elle a dit qu'elle avait personnellement assisté aux vaccinations de tous les hommes politiques et magnats, et qu'ils avaient tous reçu la préparation numéro 1 .
Les médias ont reçu l'ordre d'enterrer cette histoire et des efforts acharnés pour contenir cette information sont actuellement en cours.

Source

 

Conclusion

"Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir",
écrivait La Fontaine dans "Les Animaux malades de la peste». 

En pleine  "pandémie vaccinale", qu'on devrait qualifier de génocide mondial organisé, cette maxime tombe à pic !

Qu’est-ce que cela nous dit, et qui peut nous servir de leçon toujours actuelle, en particulier dans le contexte de la scandémie  Covid-19 ?
La première est que la question du pouvoir est subordonnée à celle de la puissance, qui divise notre monde en puissants et misérables ; la seconde est que le moyen pour les puissants de maintenir leur pouvoir passe par les « jugements de cour » — pour nous ceux des médias, des communicants, des réseaux sociaux et des tweets, etc.
Est puissant celui qui dispose d’une puissance de feu. Puissance concrétisée au premier degré dans cette scène  du film de Sergio Leone, Le Bon, la Brute et le Truand, où Clint Eastwood, qui tient un pauvre type en joue, lui sert ce sermon édifiant :

« Dans le monde, il y a deux sortes de gens : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi tu creuses. »

Que l'on pourrait mettre au goût du jour

« Dans le Monde covidien, il y a deux sortes de gens : ceux qui ont une seringue chargée, et ceux qui creusent. Toi tu creuses. »

Pour nous, aujourd’hui, les  puissants ne se réduisent pas aux « grands fauves » de la politique qui veulent décimer leur population. Il faut y ajouter ceux de la finance, de Big Pharma, de l’industrie, des groupes de pression, des lobbies ,  des réseaux divers et variés, l’OMS, etc. Ce qu’on traduit par des expressions comme celles d’« État profond », d’« Establishment », ou de complexe militaro-industriel.

Hannibal GENSERIC