dimanche 12 mars 2023

Les oligarques de Hamilton disent à Biden "Il n'y a rien de tel qu'une panique bancaire pour un week-end de détente"

Un nouveau rapport intrigant du Conseil de sécurité (CS) circulant au Kremlin aujourd'hui reproduit en partie  le rapport de la Banque centrale de la Fédération de Russie : « Dans le contexte des sanctions à grande échelle imposées par des pays hostiles depuis mars 2022, il y a eu une vaste transformation structurelle l'économie de la Russie, y compris en termes de règlement de l'activité économique étrangère... Dans l'ensemble, le rouble et les monnaies « amies » représentaient ensemble 52 % des règlements d'exportation de la Russie à la fin de 2022, dépassant la part du dollar américain et de l'euro pour le première fois de son histoire ». Le rapport voit donc la Russie s'éloigner rapidement des puissances occidentales, cela a fait s'exclamer Mick Wallace, membre du Parlement européen : « Le Sud global n'est pas d'accord pour aider cette guerre par procuration à persister, car cela ne fait aucun sens... Il est de plus en plus clair que l'Ukraine est sacrifiée pour les obsessions géopolitiques de l'establishment américain ».

Les régions du Sud global de l'Amérique latine, de l'Asie, du Moyen-Orient, de l'Afrique et de l'Océanie, comprenant la grande majorité de la population mondiale soutenant la Russie contre les puissances coloniales occidentales socialistes, note ce rapport, continuent de regarder des absurdités insensées comme le président ukrainien Vladimir Zelensky instruisant hier son gouvernement nazi a rebaptisé la Russie en “Moscovia”– Après quoi le régime criminel ukrainien nazi a informé l'Église orthodoxe ukrainienne que son clergé et ses moines avaient jusqu'au 29 mars pour quitter son monastère de Pechersk Lavra à Kiev fondé en 1051, une destruction par les judéo-nazis du christianisme en Ukraine. Ils ont été rejoints par le belliciste membre du Congrès américain Michael McFaul déclarant avec crainte : « Je suis nerveux quant à la capacité des Ukrainiens à tenir le coup et à nous maintenir engagés sur le long terme » – Une déclaration suivie par celle du Premier ministre britannique, un peu dérangé, Rishi Sunak proclamant : "Il y a un consensus en Occident sur le fait que ce n'est pas le moment de négocier". En réponse rapide à cette proclamation, le ministère de la Défense (MoD) a publié pour le plaisir des yeux du Premier ministre Sunak une vidéo des forces militaires russes anéantissant un système de défense aérienne britannique Stormer HVM de plusieurs millions de dollars qu'il a envoyé en Ukraine Le tout rejoint ce matin par l'allemand transporteur ferroviaire Deutsche Bahn annonçant qu'il a cessé de livrer gratuitement du fret humanitaire à l'Ukraine.

Jeudi,  Joe Biden a proposé le plus gros budget de défense de l'histoire américaine d'un montant astronomique de 842 milliards de dollars - un budget militaire américain dépassant la totalité des dépenses de défense du reste du monde, suivi hier par le Pentagone exigeant 300 milliards de dollars supplémentaires pour toutes les armes envoyées à l'Ukraine (dont une bonne partie est vendue par les trafiquants aux terroristes de tous bords) et dont le reste est rapidement transformé en ferrailles fumantes par les forces militaires russes. Cette demande a été suivie par le célèbre commentateur politique américain de gauche Jon Stewart disant à l'ancien directeur de la CIA et général à la retraite de l'armée américaine David Petraeus, qui a perdu deux guerres contre des bergers de chèvres armés : « Il me semble que nous avons perdu 20 ans en Afghanistan, 20 ans en Irak et que le Pentagone a, malgré ses échecs, a obtenu une augmentation... Nous ne tenons jamais compte de la vraie réalité de nos exercices intellectualisés de stabilité et de démocratie avec le peuple sur le terrain » – après quoi le célèbre commentateur politique américain de gauche Jimmy Dore, qui avait précédemment déclaré : « Les États-Unis sont une oligarchie dominée par deux partis corporatistes qui n'ont aucun compte à rendre à la population », a posté le message cinglant : « Pendant que vous criez que la Russie envahit l'Ukraine, rappelez-vous que les États-Unis ont illégalement envahi la Syrie et occupent ACTUELLEMENT 1/3 du pays... Quelle partie de la Syrie ?... La partie avec le pétrole... L'Amérique est la plus grande organisation terroriste du monde ».

La déclaration du commentateur politique Jimmy Dore selon laquelle « les États-Unis sont une oligarchie » est un fait confirmé par une étude de l'Université de Princeton publiée en 2014, dans laquelle il est révélé : « Les États-Unis sont une oligarchie dominée par un une élite riche et puissante, pas une démocratie... L'analyse multi-variée indique que les élites économiques et les groupes organisés représentant les intérêts commerciaux ont des impacts substantiels sur la politique du gouvernement américain, tandis que les citoyens moyens et les groupes d'intérêts de masse ont peu ou pas d'influence... En anglais : les riches manœuvrent la politique, tandis que l'Américain moyen a peu de pouvoir ».

Il est peu connu des peuples américains que les oligarques de l'élite au pouvoir aux États-Unis communiquent par l'intermédiaire de leurs « journaux officiels », qui sont de grands journaux nationaux à large tirage dont les fonctions éditoriales et de collecte d'informations sont considérées comme faisant autorité - au premier rang desquels figure The Wall Street Journal, le journal le plus diffusé qui défend les intérêts bancaires et commerciaux de l'élite oligarchique puissante ; puis vient le deuxième plus grand journal, le New York Times (alias Jew Y.T.), qui parle au nom des oligarques juifs ; et le quatrième plus grand journal, le Washington Post, qui parle au nom des oligarques qui dirigent les communautés militaires et du renseignement américaines.


Le plus important à savoir sur le Wall Street Journal et ses puissants oligarques bancaires et commerciaux d'élite, est qu'ils sont des fidèles serviles du père fondateur américain Alexander Hamilton, qui fut le premier secrétaire au Trésor des États-Unis - une dévotion servile qui a vu le Wall Street Journal promouvoir sans cesse la comédie musicale de Hamilton à Broadway au point qu'elle a remporté le prix Pulitzer et tous les autres prix tout en battant des records au box-office - et qui vivent tous selon le credo d'Alexander Hamilton : "Il ne peut y avoir aucun profit dans la vente de choses à détruire à la guerre… Les hommes peuvent penser qu'ils font un tel profit, mais à la fin le profit se révélera être une perte ».

Pourquoi il est essentiel de connaître ces faits et cette histoire, c’est parce qu'après que Biden est parti pour de nouvelles vacances dans le Delaware hier après-midi, où il a passé 40% de la présidence sans visiteurs ni journaux. Les oligarques de Hamilton au Wall Street Journal lui ont envoyé, dans leur article non crédité “And Now For A Little Bank Panic” [Et maintenant pour une petite panique bancaire"], le message d'avertissement : "Il n'y a rien de tel qu'une panique bancaire pour un week-end de détente". D’ailleurs,  ce sont les mêmes oligarques de Hamilton qui ont orchestré la crise financière de 2007- 2008  afin de chasser du pouvoir les républicains bellicistes, ce qui a mis au pouvoir le président Obama, qui a mis fin à la guerre ratée en Irak et a tenté, comme le président Donald Trump, de mettre fin à la guerre ratée en Afghanistan.

Cependant, l'effondrement de la Silvergate Bank et de la Silicon Valley Bank à 48 heures d'intervalle jeudi et vendredi n'a pas provoqué la "panique bancaire" et n'a certainement pas donné à Biden un "week-end de détente". Aujourd’hui, une avalanche d’articles documentant une apocalypse économique imminente , du genre : "Crypto Crash: Bitcoin, Ethereum, Dogecoin Les prix chutent après l'effondrement de la banque Silvergate", " La Silicon Valley Bank est fermée par les régulateurs dans la plus grande faillite bancaire depuis la crise financière mondiale ", "La faillite d'une banque de la Silicon Valley pourrait anéantir toute une génération de startups", « Alors que la banque de la Silicon Valley tombe, les entreprises de cryptographie se préparent à l'agitation des start-ups technologiques au niveau  d'extinction »,  « La fermeture de la banque de la Silicon Valley, un coup dur pour la communauté des startups de Seattle » et « Les 4 plus grandes banques de Wall Street viennent de perdre 55 milliards de dollars de leur valeur marchande en une seule journée ».

Avant l'effondrement de ces banques, les oligarques de Hamilton comme l'ancien conseiller économique du président Trump, Peter Theil et le PDG du géant américain de la banque mondiale JP Morgan Chase, Jamie Dimon, ont discrètement conseillé à d'autres comme eux de retirer leur argent de ces banques....

Dans l'article d'analyse économique "" Le pire depuis Lehman " : les banques brisent le monde à nouveau", ce rapport note que les dimensions de la bataille de ces oligarques de Hamilton contre le régime belliciste de Biden sont explorées, ce qui, à la base, rend impossible pour Biden d’injecter plus d'argent en Ukraine sans faire imploser l'ensemble du système bancaire occidental - c'est une déroute bancaire qui fait déjà chuter les marchés européens et asiatiques. Ainsi, aujourd'hui, on voit que le géant bancaire mondial européen Credit Suisse est sur le point de s'effondrer. Il est également rapporté qu’un "problème technique" fait que certains clients de Wells Fargo voyaient des dépôts manquants sur leurs comptes. " . Il ne serait donc pas du tout surprenant que les Américains commencent à retirer tout leur argent de Wells Fargo avant qu'un autre "problème technique" ne le fasse disparaître.

En 2008, conclut ce rapport, Jim Cramer, l'expert idiot de la chaîne d'information économique américaine CNBC, a appelé fort à tout le monde d'acheter rapidement des actions bancaires de Bear Sterns, après quoi l’action s'est effondrée - une histoire qui mérite d'être rappelée car le mois dernier, le même expert idiot Cramer a fortement conseillé à tout le monde d'acheter des actions de la Silicon Valley Bank, qui vient de s'effondrer. On voit maintenant l'investisseur multimilliardaire américain Bill Ackman, le principal bailleur de fonds de l'organisation génocidaire de meurtre de bébés noirs Planned Parenthood, appeler le régime Biden à renflouer la Silicon Valley Bank  

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