mercredi 24 juillet 2024

Qui est le DEEP STATE ?

Les USA, la France et leurs alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle, au bas mot, gouvernés par ce qu'on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont, depuis Oliver Cromwell (1599-1658), leur quartier général à Londres dans cet ensemble d’intérêts complexes qu’on désigne d’un mot symbolique : la « City », véritable « Citadelle » de la Finance Internationale.[1]

Cependant, précisons que l'Angleterre de Cromwell n'est pas à l'origine du développement des « puissances d'argent » : cette naissance est plutôt à rechercher dans les Républiques commerçantes de Gênes, de Florence ou de Venise, puis dans le premier État à avoir donné une réalité institutionnelle à ces banquiers, la Hollande, via la création en 1609, de la banque d'Amsterdam.

Rappelons qu'au Moyen Âge, les Pays-Bas sont au cœur de l'élite commerçante, dite ligue hanséatique. Cette ligue, composée d'associations de commerçants, a prévalu en Europe à l'époque précédent l'avènement de l'Empire britannique. Cette précision permet de donner un aperçu du rôle des Pays-Bas dans l'évolution du système de l'impérialisme financier.

À toutes fins utiles, notons que, Hollandaise en 1626, la colonie de la Nouvelle-Amsterdam sera rebaptisée « New York » par les Anglais lors de son acquisition en 1664. Cette colonie ne deviendra définitivement anglaise qu'en 1674 avec le traité de Westminster.

Par contre, si l'Angleterre de Cromwell n'est pas, stricto sensu, à l'origine du développement des « puissances d'argent », elle est néanmoins à l'origine du paradigme consistant à adosser les velléités impériales à la puissance financière naissante des banquiers ; ce phénomène a, mécaniquement, généré l'avènement d'un nouveau modèle de référence dans lequel la puissance politique et militaire est intimement liée au développement de la banque.

Aussi, aujourd'hui, le véritable pouvoir auquel sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l'inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète, lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d'années qu'ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde…ce qui définit l’impérialisme contemporain.

Le véritable pouvoir n'est donc pas à rechercher dans l'apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l'anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux.

Aussi, dans la plupart des pays du monde, l'État actuel est « l'État profond », c'est-à-dire une réelle ploutocratie, apatride et supranationale, cachée derrière une démocratie, véritable coquille vide.[2]

Cette étape, qui a souvent pris le chemin indirect et sournois du contrôle bancaire, utilise, parfois, lorsque c'est nécessaire, des méthodes plus musclées (militaire - guerrière). La stratégie de la tension, les opérations ou attentats «sous faux drapeau», et la récente création et prolifération d'armées de proxy, formées de mercenaires, sont certaines des manifestations modernes de force employées par les «puissances d'argent» pour faire disparaître ou domestiqué les États indépendants.

Rappelons que dans le contexte d’un rapport de force et de puissance, la présence d’États au sens politique du terme, c’est-à-dire d’États souverains, sont, par construction, les pires ennemis des «puissances d'argent». C'est ainsi que la prise du contrôle étatique par l'oligarchie n'a, historiquement, fait l'économie d'aucun coup d'État, permanent ou non.

Depuis le XVIIIème siècle, toutes les révolutions de couleur, de fleur ou autre nom jovial, sont une émanation de cette première tactique, consistant, pour les oligarchies (locales ou coalisées), à s'emparer des institutions étatiques des différents pays du monde [3].

La seconde étape consistant en la collaboration des élites économiques des différents pays.

Mais ce que les « puissances d'argent » oublient apparemment, c'est une loi intangible de l'humanité : la loi du Talion. En effet, rien ne leur assure, à priori, que les souffrances qu'ils auront infligées aux peuples au travers des âges, ne se retourneront pas contre eux, le jour où lesdits peuples les auront clairement identifiés comme leur seul « ennemi » réel.

Il n'existe pas de moyen, pour les plus gros détenteurs de capitaux, de s'assurer à l'aide d'un quelconque « produit dérivé », contre un éventuel retour de flamme que leur orgueil démesuré, leur arrogance et leur violence auront provoqué.

24 juillet 2024

Par ANNWN. Source: URL : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/

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NOTES de H. Genséric

[1] STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l'argent sale
-  Sucrée, salée, emballée dans le vice : la City of London, la ville péché de l’Empire
-  La City, un Etat-souverain indépendant en plein cœur de Londres
-  Banque juive – Un bref historique
-  La liste de Wikipédia des banquiers juifs américains est éclairante

[2] Par les trois processus du multilatéralisme, des partenariats multipartites publics-privés et de la financiarisation, cette haute finance parvient progressivement à mettre la main sur les biens économiques de l’humanité.
Le multilatéralisme permet de court-circuiter les États (qui devraient être normalement contrôlés démocratiquement par les peuples) en conférant le pouvoir à des instances supranationales (Bruxelles, BCE, FMI, BM, etc.). Ce multilatéralisme va de plus intégrer les intérêts privés (lobbys des multinationales, de la finance, etc.). Enfin, tout va être financiarisé pour être contrôlé de manière globale et obéir à une logique de maximisation des profits au bénéfice des investisseurs. Ces trois contraintes sabotent les États nations.

Contrairement à la propagande assenée aux populations exigeant de la transparence, les membres de cette oligarchie ploutocratique mondiale sont "inconnus", car ils cachent leurs identités et leurs fortunes grâce à des paradis fiscaux et à des artifices juridiques qui ne sont en rien combattus par les gouvernements.

Comme souvent en Occident, par peur des poursuites pour antisémitisme, l’auteur de l'article ci-dessus évite de nommer qui sont les principaux détenteurs de cette puissance financière : les juifs.

Nombre de milliardaires dans le monde :

Rang

Pays

Nombre de Milliardaires


Monde

2,208

1

Chine

819

2

États Unis

585

3

Inde

131

4

Allemagne

114

5

Russie

96

6

Hong Kong

67

7

Royaume-Uni

54

8

Brésil

43

9

Italie

42

10

Canada

39

À titre d’exemple, voici la liste des milliardaires juifs en Amérique (passés et présents) :

Mes recherches sont peut-être les plus approfondies sur les milliardaires juifs. Ma liste est dérivée de la liste Wikipédia of milliardaires en Amérique. Au 30/09/22, il y avait 924 milliardaires. J’ai déterminé qu’il y avait au moins 570 Juifs parmi eux, ce qui équivaut à 61 pour cent. C’est une proportion étonnante pour un groupe de personnes qui ne représente que 2 à 3 % de la population américaine.

La plupart des sites sous-estiment le nombre de Juifs milliardaires. Wikipédia confirme qu’environ un tiers des milliardaires américains sont juifs. La JTA (Jewish Telegraphic Agency) affirme qu’au moins 139 des 400 Forbes sont juifs (en 2009). Cependant, je vais au-delà des Juifs évidents et mon chiffre de 61 pour cent est presque assurément sous-estimé. Le fait est que de nombreux Juifs font des efforts extrêmes pour cacher leur identité et qu’il n’est donc pas possible d’identifier tous ceux qui sont juifs. Certains Juifs étaient des descendants des Marranes, dans lesquels ils ont pratiqué le crypticisme pendant de nombreux siècles, leur judéité étant ainsi dissimulée. D’autres Juifs se sont mariés avec des familles de Gentils/Goyim influentes pour infiltrer les dirigeants et les positions de pouvoir.

Il serait probablement préférable de se poser la question suivante : quelle proportion de milliardaires peut être confirmée comme étant des Gentils ? Je suis seulement assez sûr que 38 des 924 milliardaires sont des Gentils, ce qui ne représente que 4 pour cent. Environ 200 des 924 personnes sont probablement mais pas définitivement juives. Et qu’environ 120 des 924 sont inconnus. Je suppose que les Gentils ne représentent pas plus de 15 % de tous les milliardaires. Cela laisse le pourcentage de milliardaires juifs ou ayant une ascendance juive significative à environ 85 %, à quelques points près. Encore une fois, ce n'est qu'une supposition.

Juifs – 570
Probablement juifs – 198
Ambigus/Inconnus – 123
Probablement non juifs – 20
Non juifs – 18

S’il y a une conclusion que je peux tirer de cette recherche, c’est bien celle-là:
Il n’est pas possible d’être riche à moins d’être juif, marié à un juif ou d’avoir des relations amicales avec des juifs.
La minorité de milliardaires goy ne serait pas là où elle est aujourd’hui sans l’aide des Juifs.

 Voir la liste complète ici : https://prisonplanets.com/jewish-billionaires/

[3] Liste de 64 coups d’État ourdis par les USA entre 1947 et 1989

Hannibal Genséric

1 commentaire:

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