Imaginez un monde avec une énergie abondante, propre, peu
coûteuse, les centrales nucléaires, de gaz, les puits de pétrole, les
mines de charbon… ont été mises hors d’usages. Un type inhabituel
d’énergie rend tout cela possible. Elle ne vient pas du soleil, du vent,
de la pluie ou des marées, ce n’est pas un combustible fossile ou
nucléaire pris dans le sol ou par synthèse chimique.
La planète est dans une véritable impasse énergétique car les
réserves de gaz et pétrole diminuent rapidement et nous sommes, depuis le début de ce siècle, et à l'initiative de l'Empire anglo-sioniste, dans des
des guerres du pétrole et du gaz fossiles. L'agressivité et l'appétit sans limite de cet Empire laisseront peu d’espoir à l’humanité, si des pays comme la Russie, grande détentrice d'énergies fossiles, continuent à être agressées par l'Occident, compte
tenu des milliers de têtes nucléaires qui seront inévitablement
utilisées.
Nous n’avons pas d’autre espoir pour la survie de l’humanité que de
développer de nouvelles technologies productrices d’énergie libre de
façon à résoudre cette urgence énergétique, qui est aussi une urgence
écologique, car la combustion des réserves fossiles de pétrole, charbon
et de gaz, polluent inexorablement la planète jusqu’à un point de
non-retour.
Mais le scepticisme scientifique combiné à des plaintes pour
harcèlement par les inventeurs, (corruption/rachat de brevets, menaces
allant jusqu’à la disparition ou la mort d’inventeurs dans des
circonstances troublantes…) rend très difficile que des dispositifs à
énergie libre puissent retenir l’attention du grand public ou qu’ils
soient évalués pour une production commerciale et de distribution.
L’énergie libre, ou énergie du vide (éther)
“Encore quelques générations qui passent, et nos machines seront conduites par la force obtenue à n’importe quel point dans l’univers… C’est une simple question de temps et les hommes réussiront à connecter leurs machines aux rouages mêmes de la nature.” – Nikola Tesla
En effet, il a été démontré que le vide contient une énorme quantité
d’énergie, proche du zéro absolu (le point zéro), une énergie utilisable
en abondance :
C’est une source d’énergie renouvelable disponible gratuitement appelée aussi « énergie du point zéro
». C’est l’énergie électromagnétique contenue dans la trame de
l’Univers. Elle est présente dans l’espace et dans la matière. L’énergie
libre occupe tout le « vide » qui nous entoure. L’énergie libre
représente un paradoxe pour la science contemporaine : ou il existe dans
l’univers une force gravitationnelle supérieure aux masses
répertoriées, ou il y a une énergie invisible libre qui subirait l’effet
d’une pression que l’on pourrait appeler cosmique.
La physique quantique tend aujourd’hui à démontrer que chaque mètre
cube d’espace autour de nous contiendrait une quantité phénoménale de
cette énergie. À ce jour, toutes les techniques qui nous ont été
rapportées pour la capter font appel à un principe de déséquilibre
temporaire de la structure des ondes électromagnétiques, causant ainsi
une transmutation matière/énergie et/ou transfert énergie/énergie…
Les recherches révèlent que cette source d’énergie peut être
partiellement convertie en énergie utilisable. Celle-ci serait illimitée
et non polluante, et tout comme le vent et le soleil, son utilisation
serait gratuite.
Imaginez-vous que cela existe depuis 20 ans: en avez-vous déjà
entendu parler? Non, puisque au contraire tout est fait pour enterrer la
question.
Il existe beaucoup d’inventeurs indépendants qui ont construit des
machines à énergie libre et dont les résultats ont été publiés au grand
jour et vérifiés mais comme la communauté scientifique ne comprend pas
les principes théoriques sur lesquels reposent ces inventions, elle en
ignore tout simplement l’existence. Ainsi, tout va bien.
Et le commun des mortels de se dire : si ça existait, on en aurait
entendu parler. Posons alors la question : qui vous en aurait parlé ?
Les machines à énergie libre constituent certainement les preuves
tangibles de l’existence d’une forme d’énergie totalement ignorée du
monde des sciences. Ce sont des machines qui transforment une certaine
forme d’énergie non répertoriée par la science moderne, en énergie
mécanique bien tangible. Ces machines produisent plus d’énergie qu’elles
n’en consomment.
N’en déplaise à quelques physiciens, cela ne viole pas le sacro-saint
principe de conservation de l’énergie car la machine ne crée pas
quelque chose qui n’existait pas auparavant, mais elle transforme
quelque chose que l’on ne sait pas détecter en quelque chose
d’utilisable.
La physique quantique nous a montré que beaucoup de lois physiques
qui semblent figées et inflexibles sont en fait violées. Par exemple on
découvre que l’univers est constitué de plusieurs dimensions, les
particules de matière existent simultanément à plusieurs endroits de
l’univers et il est possible de téléporter de la matière à travers de la
matière ou de l’information à travers l’univers instantanément…
Ainsi le vide de l’univers est rempli d’énergie quantique en des
proportions astronomiques et toutes ces informations ne font que donner
du crédit aux machines à énergie libre et leur existence réelle.
Si on arrive, en polarisant légèrement ce vide par des phénomènes
encore mal expliqués mais basés sur l’électromagnétisme, à récupérer un
peu de cette énergie, les machines qui en sont injectées fournissent
plus d’énergie qu’elles n’en consomment, elles ne font que « pomper »
l’énergie là où elle est …et c’est la nature, présente partout, qui
alimente l’énergie du vide.
L’appareil de Tesla destiné à capter l’énergie radiante du milieu
naturel est décrit dans les brevets US N°685.957 et 685.958. Aussi
incroyable que cela puisse paraître, les laboratoires du monde entier commencent à exploiter cette fameuse
énergie.
Certains éminents physiciens théoriques commencent à comprendre
pourquoi et comment cela est possible. Plusieurs entreprises en sont au
stade d’un début de mise sur le marché de ces dispositifs viables qui
produisent nettement plus d’énergie que ce qui est nécessaire pour les
faire fonctionner…(voir ci-dessous le moteur de Kuhai Minato.
Depuis l’époque de Nikola Tesla, le public a généralement eu des
difficultés à accéder à l’information sur ces transformations d’énergie.
Mais petit à petit ces appareils qui utilisent cette matière pour
l’énergie sont maintenant acceptés dans les demandes de brevet, et sont
d’ailleurs loin d’être considérés comme impossibles à réaliser par les
cartels de l’énergie qui prennent très au sérieux la difficile tâche de
désinformer à ce propos…
Et ces découvertes ne peuvent se faire qu’avec un effondrement des
lois de la physique telles que nous les connaissons depuis trois
siècles.
Pourtant une longue lignée d’inventeurs est apparue pour proposer de
telles machines à rendement surunitaire, l’expression surunitaire est la
traduction du terme anglais overunity. Le mot désigne un système dont
le niveau d’énergie augmente, sans aucune source externe définie, une
idée que la science rejette depuis plus d’un siècle au moins.
Les principales pierres d’achoppement ont été la pensée scientifique
rigide concernant la violation des lois de conservation de l’énergie, et
de puissants intérêts pétroliers de l’énergie opposés à ce que des
machines à énergie libre soient sérieusement étudiées.
Malgré tout, une longue succession de ces moteurs à énergie libre ont
été développés, et ces faits doivent être diffusés, en raison de leur
importance et de leurs conséquences multiples.
Il s’agit en effet d’offrir à notre civilisation la possibilité
d’utiliser une nouvelle source naturelle d’énergie inépuisable, et sans
effets nuisible sur l’environnement :
Déjà dans les années 1830, Michel Faraday fit la démonstration que
l’on pouvait générer une puissance électrique en faisant tourner un
disque de cuivre adéquatement connecté dans un champ magnétique, sans
qu’il n’y ait proportionnellement une puissance requise à l’axe du
disque.
Mais d’où provient ce gain d’énergie ?
Hé bien c’est un nouveau chapitre de la physique qui s’est progressivement ouvert.
Mais la plupart de ces travaux n’ont pas pu être abordés comme ceux
des chercheurs subventionnés par des organismes institutionnels, comme
le CNRS, le CERN, etc…
Ces chercheurs là étant financés par des fonds publics, ont à rendre
des comptes pour justifier de leurs ressources et des budgets alloués à
leurs équipes chaque année. Mais les travaux entrepris sur l’énergie
libre, la plupart du temps, n’ont à rendre de comptes à personne, les
moyens expérimentaux et le coût des demandes de brevets sont souvent
assumés par les chercheurs sans aucune intervention extérieure d’aucune
sorte, la liberté est donc totale et les choix n’engagent qu’eux-mêmes.
Et la liste des inventeurs de moteurs électromagnétique à énergie
libre, gratuite et non polluante, est longue. Pour ceux que cela intéresse, voir ici.
Le moteur magnétique de Kuhai Minato
Un moteur révolutionnaire alimenté par des aimants
permanents, mis au point par un inventeur japonais est aujourd'hui mis en
production.
Une économie d'énergie de 80 %, absence de chaleur et
de bruit... de quoi séduire plus d'un investisseur ! Kuhai Minato veut
toutefois privilégier une fabrication locale par de petites unités
indépendantes.
"Eh oui", annonça-t-il, "ils viennent
d'en vendre 40000 exemplaires à une chaîne de supermarchés de bricolage locale.
Alors, voulez-vous le voir ?"
Au Japon, personne n'achète 40000 ventilateurs de
grande surface sans être à peu près sûr qu'ils vont fonctionner.
Commençant par une explication simple des lois du
magnétisme et de la répulsion, Nobue nous montre le fonctionnement et l'utilité
de chacune des machines, puis à l'aide d'une tige magnétique, elle met en
mouvement la Roue Minato.
En examinant de près le rotor, nous constatons qu'il
est incrusté de 16 aimants disposés en oblique. Il semble bien que la position
et l'angle des aimants constituent la clef du fonctionnement des machines de
Minato. Une fois démarrée, la roue continue à tourner, ce qui prouva au moins
que le concept ne génère pas de verrouillage magnétique.
La machine suivante vers laquelle nous mène Nobue est
assez lourde et connectée à une petite pile. Elle entraîne un tambour de 35 1%
qui serait parfaitement capable de faire fonctionner un lave-linge.
On bascule le commutateur et le gros rotor tourne à
1,550 t/M. sans effort et silencieusement.
Des cadrans indiquent la puissance d'entrée et celle
de sortie. Et nous constatons qu'une source de quelques 16 watts anime un
ensemble que devrait en consommer au moins 200 ou 300.
Nobue nous explique que, comme celle-ci, toutes les
machines n'utilisent l'énergie électrique que pour animer deux démarreurs
électromagnétiques placés de part et d'autre et qui n'ont pour fonction que de
sortir le rotor du verrouillage magnétique jusqu'à l'arc aimanté suivant.
L'angle et l'écartement des aimants sont tels qu'une
fois le rotor en mouvement, la répulsion entre les stators et les pôles du
rotor maintient celui-ci en mouvement uniforme dans le sens anti horlogique;
c'est impressionnant !
Nous nous dirigeons ensuite vers un ensemble connecté
à un générateur et en sommes abasourdis. Les compteurs indiquent un flux
d'entrée vers les électro-aimants du stator d'environ 1,8 volts et 150 mA,
tandis que le générateur produit 9,144 volts et 192 mA à la sortie; faisons le
calcul :
1,8 x 0,15 x 2 = 0,54 W à l'entrée et 9,144 x 0,192 =
1,755 W à la sortie
[Ndt : soit 3,25 fois plus].
Cependant les lois de la physique interdisent qu'un
système produise plus qu'il ne reçoit. Tandis que nous en parlons à Kohei
Minato, nous jetons un coup d'œil sous l'établi pour nous assurer qu'il n'y a
pas de fils dissimulés.
Minato nous assure qu'il n'a pas transgressé les lois
de la physique, la puissance supplémentaire inattendue est générée par la force
magnétique des aimants permanents du rotor. "Je ne fais qu'exploiter une
des quatre forces de la nature", dit-il.
Nous avons appris à l'école que les aimants sont
toujours bipolaires et que par conséquent un mouvement d'induction magnétique
finissait toujours par se verrouiller en état d'équilibre. Mais Minato nous
explique qu'en ajustant avec soin la position des aimants et la synchronisation
des pulsions vers le rotor on peut atteindre le point ou la répulsion entre
rotor et stator (l'anneau magnétique extérieur fixe) est transitoire. Ce
déséquilibre engendre une continuité du mouvement, au lieu d'un blocage. [Pour
plus d'explications, voyez le dernier chapitre : comment marchent les aimants
en mouvement ?
Ce qu'implique cette technologie
À puissance et couple égaux, les moteurs Minato ne
consomment que 20 % et même moins, de l'énergie nécessaire aux moteurs
conventionnels.
Ils restent froids au toucher et ne font aucun bruit
mécanique ni électrique.
Ils sont donc non seulement plus économiques, mais
plus sûrs et respectueux de l'environnement.
Les implications sont énormes, rien qu'aux USA, les
moteurs électriques consomment à eux seuls près de 55 % de l'énergie
électrique.
Alors que la plupart des gestionnaires d'usines
s'équipent de moteurs les moins chers possibles, ils sont régulièrement
informés, par des organismes tels que la NEMA (National Electrical
Manufacturer! Association), du coût de fonctionnement d'un moteur sur une
période de 20 années : sur un total de 100 %, l'achat du moteur ne
représente que 3 %, les 97 % restant étant la consommation électrique. Il
n'est pas rare qu'un moteur qui coûte 2000 dollars US à l'achat consomme pour
80000 dollars d'électricité (à 0,06 cents le Kwh).
En 1992, une législation sur l'efficacité entra en
vigueur au niveau fédéral aux USA, les moteurs étant particulièrement
concernés, et ceux qui peuvent réaliser une économie de l'ordre de 20 % sont
considérés comme hautement efficaces.
Voilà que Minato est sur le point de lancer un moteur
qui économise 80 %, ce qui le place dans une catégorie entièrement inédite. Le
coût de fonctionnement de 80000 dollars US va descendre à 16000 dollars.
Multipliée par les millions de moteurs utilisés aux USA, au Japon et partout
dans le monde, c'est une économie considérable.
Efficacité des moteurs Minato
Les qualités remarquables de l'invention de Minato,
économie d'énergie, pas d'émission de chaleur ni de bruit, en font un
complément parfait aux applications domestiques : ordinateurs personnels,
téléphones cellulaires, (un générateur miniature est à l'étude), entre autres.
Le moteur magnétique coûtera moins cher à la
fabrication qu'un moteur conventionnel parce que, n'émettant presque pas de
chaleur, rotor et stator pourront être montés dans des bâtis en plastique.
En outre, sa sobriété énergétique lui ouvre les champs
d'application où la fourniture d'énergie est limitée. Pour le moment la
fabrication est surtout destinée au remplacement d'installations existantes,
mais, déclare Minato, le moteur a suffisamment de couple pour propulser un
véhicule.
Il est possible d'accoupler un générateur à la
propulsion magnétique et de produire plus de puissance électrique qu'il n'en
aura été injecté à l'entrée. Selon Minato l'efficience moyenne est de 33%.
(Source : John Dodd avec autorisation de réimpression
de Japon, inc.magazine, édition de mars 2004
page web : http://www.japan.com/technology/index.php)
Traduction : André Dufour
Extrait du magazine Nexus n°34 page 54 à 59 sept-oct
2004
Source:
Magazine Nexus n°34
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