Selon plusieurs médias, BHL a l’habitude de venir en Tunisie
(dont il connaît la plupart des villes), et surtout dès les débuts de la
« révolution ». En particulier, plusieurs sources indiquent qu’il a
fait venir en Tunisie les fameux snipers
professionnels qui, suite à l’assassinat de plusieurs dizaines de
manifestants pacifiques, avaient entraîné de terribles scènes de révoltes,
destructions, incendies, mort et désolation. Après leurs forfaits, ces snipers
sont repartis tranquillement, dès que le pouvoir de Ben Ali a été détruit le
14/01/2011, en connivence avec certaines parties putschistes. [on remarque que les mêmes scènes se sont
reproduites à Kiev, en Ukraine, et ailleurs].
Les mêmes sources indiquent aussi que BHL a effectué, fin mai
2014, un voyage en Tunisie, dont le gouvernement techno-machin a aussi
gardé le secret, et qu’il s’était réuni avec M6, roi du Maroc, lors de la venue
de ce dernier en Tunisie. Il ne serait pas étonnant que BHL ait alors supervisé
des séances de formation d’agitateurs professionnels algériens connus pour leur
haine pour le régime de Bouteflika. Laquelle formation aurait eu lieu dans
l’hôtel Africa, situé à quelques pas du Ministère de l’Intérieur…Il est
probable que le but de BHL est de pousser l’Algérie vers un scénario à la
libyenne, scénario qui a transformé la Libye en un champ de batailles et de
terrorisme effrénés, dans une spirale de guerres tribales, religieuses et
parfois même raciales.
Les mêmes sources confirment que BHL, docteur es sabotage, a
rencontré, lors de sa dernière visite à Tunis, en ce mois de novembre 2014, un
certain nombre d’activistes algériens dans le but de pousser les Touaregs à se
révolter contre l’Algérie.
Des
rencontres «louches» pour la déstabilisation du Maghreb
BHL a aussi rencontré Salem
Al-Hassi, ex patron des renseignements libyens, ainsi que l’avocate
franco-tunisienne Samia Maktouf (sœur
de l’homme d’affaire Lotfi Maktouf, « petit ami » intime du prince de
Monaco). Celle-ci est bien introduite auprès des centres d’affaires français,
dont fait partie le fameux et louche homme d’affaire et trafiquant d’armes
libanais Ziad Takieddine. Elle est
aussi une amie de l’ex « reine de Carthage » Leïla Trabelsi.
Après que les manigances de BHL ait été rapidement découvertes à
Tunis, grâce en particulier aux réseaux sociaux et à la vigilance de la société
civile, toutes les instances politiques et gouvernementales impliquées dans
cette visite ont nié en bloc ! Elles ont même fait semblant de condamner cette
visite, dont en particulier, la présidence de la république et le Premier
Ministère. Ce dernier s’est trouvé coincé entre l’enclume et le marteau :
d’un côté la fureur populaire qui menaçait de lancer des grèves, et d’autre
part les pressions de l’ambassadeur d’Algérie, Tahar Hajjar. Autant que les Tunisiens, les
frères algériens bouillonnaient d’indignation. Ce qui fait qu’à peine 24 heures
après son arrivée, le comploteur BHL a été viré en tant que « Persona non
grata ».
Le traître Waheed Burshan, fournisseur N°1 d’armes aux
terroristes
Ex membre du Conseil de Transition Libyen, agent archi connu des
services américains, le traître Waheed Burshan,
originaire de la ville de Ghariane (région de Taghast), est un berbère libyen de mère juive, ayant
obtenu la nationalité américaine. Il est connu pour son combat en vue de
démembrer la Libye, afin de créer un État pour les Amazighs (à l’image des
Kurdes), construit sur des régions provenant d’Algérie, de Tunisie et de Libye.
Burshan et BHL se connaissaient et s’étaient rencontré au Djebel Nefoussa, en
présence de Nouri Esshouri,
personnalité apparemment importante dans les milieux amazighs.
Il est par conséquent clair que les buts de BHL de
sa visite à Tunis sont ceux que l’on connaît de lui depuis toujours :
détruire et démembrer les pays arabes, conformément aux projets
américano-israéliens, et ce, en collaboration avec les Frères Musulmans, dont
Ennahdha.
De plus, les mêmes sources confirment que le traître Waheed
Burshan est un grand trafiquant d’armes, et qu’il est le fournisseur de
plusieurs groupes terroristes dont Fajr Al Islam, Ansar Al Charia, Milices de Derna
(qui viennent de proclamer leur allégeance au calife sioniste et à Daesh). Il
est aussi Directeur Général d’une société qatari-libyenne, nouvellement créée
en 2012 avec un capital de 100 millions de dollars.
Le parti de Mohamed Abbou est tout aussi compromis que Ghazi Ma’alla
Le nom de Ghazi Ma’alla, qui était inconnu de la plupart des Tunisiens,
est devenu célèbre après qu’il se soit confirmé que c’est bien lui
l’organisateur de la visite du fauteur de troubles BHL. Pour ceux qui ne le
savent pas, il est né en 1965 à Sfaxet il se présente souvent comme un expert
en géostratégie et en géopolitique. Il a travaillé un moment comme analyste chez
Alhiwar TV. Il occupe un poste
important au sein du parti « le courant
démocratique » de Mohamed Abbou.
Bien sûr, ce dernier a vite fait de démentir en affirmant que Ghazi a quitté son
parti depuis février 2014, et qu’il n’a pas organisé le dit voyage. Cependant,
le frère de Ghazi, dénommé Taoufik Ma’alla,
a été le candidat tête de liste à Sfax1 lors des législatives 2014, laquelle
liste a recueilli zéro siège. Le traître Ghazi, coïncidence
étrange ( ?), est actuellement
consultant de la société qatari libyenne que dirige le fameux Waheed Burshane.
La boucle est bouclée : Ghazi et Waheed sont collègues chez les wahhabites
qataris et libyens, et tous les deux démentent avoir un lien quelconque avec la
visite satanique du diablotin BHL. Laquelle visite a été organisée avec la
collaboration évidente de la secte des Frères Musulmans tunisiens dont, en
particulier, Rached Ghannouchi, Radhouane
Masmoudi, Ghazi Ma’alla et bien d’autres, la liste étant longue.
Comme à son habitude, Ridha Sfar facilite l’entrée des sionistes
Le peu d’informations dont nous disposons confirme cependant que
le chef du gouvernement techo-pillage, Mehdi Jomaa, a bien autorisé l’entrée du
Diablotin en Tunisie après plusieurs consultations téléphoniques avec Ridha
Sfar, ministre délégué auprès de Ministre de l’Intérieur, connu pour ses
tentatives de normalisation avec les sionistes. Rappelons-nous de
l’épisode d’avril 2014, la fameuse « Croisière
Gate », lorsque Ridha Sfar avait
autorisé des touristes porteurs de passeport israélien, d’entrer en Tunisie.
Cet épisode avait entraîné une levée de boucliers de la part de beaucoup de
partis politiques, accusant Mehdi Jomaa de vouloir normaliser les relations
avec Israël, épisode qui avait provoqué des demandes de démission à l’encontre
de Ridha Sfar et d’Amel Karboul…Il est vraiment triste de constater que, après
six mois, le même phénomène se répète : Ridha Sfar (après avoir reçu un
coup de fil de son ami juif de Paris, un vendeur de « fricassés » à
Paris) intervient de nouveau afin d’autoriser un agitateur professionnel,
ennemi des Arabes et travaillant pour les sionistes, d’entrer en Tunisie afin
de perpétrer, ici et ailleurs, ses méfaits.
Quelle
est la relation entre l’homme d’affaires Chafik Jeraya et la visite du Diablotin ?
Le célèbre journaliste Nicolas
Beau, auteur de « la Reine de Carthage », écrit ce qui suit.
" Nous voici au cœur des réseaux entre une partie de
l'administration américaine, les Frères Musulmans en Tunisie et en Libye et des
hommes d'affaires véreux qui arrosent tout ce petit monde. BHL devait assister,
le dimanche 2 novembre, à une conférence sur la Libye organisée à
Hammamet, la plus grande ville touristique de Tunisie, par
un certain Masmoudi, président de
l'association ?Islam et Démocratie? aux Etats Unis et représentant d’Ennahdha
dans ce pays. La réunion était parrainée par un homme d'affaire douteux,
Chafik Jarraya, surnommé "la Banane", en raison du monopole
d'import-export qu'il a obtenu sur ce fruit. Cet affairiste à multiples bandes
est devenu un entrepreneur prospère grâce aux contrats qu'il
obtint en Libye à l'époque de Kadhafi et avec l'appui du clan Trabelsi, du
nom de l'épouse de Ben Ali, qui regroupait les moins recommandables
des familles alliées à l'ancien régime. Et voici "la Banane" qui,
depuis quatre ans, a lancé à Tunis deux journaux en arabe pour soutenir les
islamistes d'Ennahdha et qui est connu pour financer les Frères
Musulmans et quelques autres candidats aux présidentielles en Tunisie.
Lors de la réunion d'Hammamet du 2 novembre, BHL devait
notamment rencontrer Abdelhakim Belhadj, le chef des Frères Musulmans libyens
et l'homme du Qatar, dont le plus fidèle allié à Tunis
s'appelle...Chafik Jerraya. Que du beau monde! Le plus surprenant est
que Belhadj est interdit de séjour officiellement en Tunisie.
Le ministère tunisien de l'Intérieur refuse de lui accorder le moindre
visa et s'il rentre tout de même en territoire tunisien, notamment pour se
faire soigner, c'est avec l'appui des dirigeants d'Ennahdha...mais illégalement.
Comment Belhadj peut-il dans ces circonstances assister à une conférence
officielle à Hammamet? Y rencontrer des personnalités telles que BHL? Et
bénéficier du soutien des dirigeants d'Ennahdha organisateurs de cette
réunion?
Personnalité sans mandat officiel ni rang institutionnel,
Belhadj est aujourd'hui l’un des personnages les plus puissants du pays.
Autrefois honni et traqué, il est aujourd’hui incontournable. Après avoir été
financé et soutenu par le Qatar à la veille de la révolution, il multiplie depuis
les déplacements à l’étranger pour consolider sa position de force à
l’intérieur du pays et laisse entendre qu'il s'est éloigné de Doha, qui est
soupçonné de financer l'Etat islamique.
Très proche du président turc Recep Tayyip Erdogan et des
islamistes de Tunisie, notamment de Ghannouchi, le chef d'Ennahdha, l'ami
Belhadj a surtout ses entrées à Washington. … A seulement 22
ans, Abdelhakim s’expatriait dans le Peshawar, au nord du Pakistan, où il
suivait l’entraînement militaire et spirituel qu’organisent Abdallah
Youssef Azzam et Oussama Ben Laden, les deux créateurs d'Al-Qaïda. "
http://mondafrique.com/lire/decryptages/2014/11/01/bhl-expulse-de-tunisie-pour-trouble-a-lordre-public
Le frère de Jeraya a vite fait de démentir, un peu partout, que
sa présence dans le même hôtel que BHL et cela en même temps, n’est que le fruit du hasard, et que, toujours
« par hasard » il y avait rencontré les dénommés Ghazi Ma’alla et le
journaliste Ramzi Bettaïbi, ajoutant
qu’il ne parle bien français pour pouvoir discuter avec BHL ! Comme s’il
n’existait personne dans cet hôtel de luxe pour jouer le rôle de traducteur
entre les deux énergumènes. Ce Jeraya est connu comme étant un Nahdhaoui pur
jus, connu pour ses connaissance étendus avec les réseaux islamistes libyens,
et à leur tête, le super terroriste islamiste A. Belhaj, son ami intime
depuis longtemps. En plus de sa présence à l’hôtel, Jeraya a payé les frais
de séjour du Diablotin, en portant la facture sur sa société « Ghalia
Immobilière », ce qui prouve bien que le frangin de Jeraya est dans le
coup.
Note :
Mohamed Abbou, né le 10 mai 1966 à
Tunis, est un avocat et homme politique tunisien. Il a été ministre auprès du
Premier ministre, chargé de la Réforme administrative dans le gouvernement
Hamadi Jebali, de décembre 2011 à juin 2012. Secrétaire général du Congrès pour
la République (CPR) de mai 2012 à mars 2013, il occupe la même fonction dans
son propre parti, le Courant démocratique.
Hannibal GENSERIC