L’actualité nous
offre souvent des comportements similaires, voire identiques, d’individus ou
d’organisations supposés être ennemis, mais, qui, en
réalité sont très proches. Ainsi en est-il de Tsahal,
l’armée israélienne
« la plus morale du monde », et du parti tunisien des Frères
Musulmans, Ennahdha. Deux cas récents en sont la démonstration. Le premier a
été l’achat
de blindés israéliens par le pouvoir islamiste tunisien. Le deuxième
est l’adoption de la couche-culotte comme ʺoutil de travailʺ. Avant
d’attaquer Gaza, l’armée israélienne avait
équipé ses ʺvaillantsʺ
soldats de couches-culottes. Afin d’attaquer le candidat laïque le mieux placé
dans les élections présidentielles du 26 novembre 2014, Béji Caïd Essebsi
(BCE), les islamistes d’Ennahdha ont fait défiler à
Tunis leurs miliciens avec pour
seul habit une couche-culotte.
Les Islamistes seraient-ils fétichistes des couches-culottes ?
Le fétichisme des couches-culottes est une paraphilie dans laquelle
un individu ressent un fort désir de porter des couches, sans nécessité
médicale. Le fait que les milices islamistes se soient travesties en bébé nu,
ne portant qu’une couche, est une forme particulière d'infantilisme de ces
personnes, qui seraient atteintes de pulsion fétichiste.
Cet infantilisme se caractérise par un attrait, le plus souvent sexuel,
pour les couches, vêtements et accessoires de bébé et par un besoin d'être
traité comme un enfant en bas âge ou de se comporter comme un enfant qui
régresse. Leurs chefs islamistes, qui sont généralement des gens plus âgés, et
qui les ont convaincus de s’accoutrer ainsi, ont, à l’évidence, des pulsions
pédophiles et homosexuelles, pratiques très répandues dans un milieu où le sexe
est une motivation cardinale. On
sait, en particulier, que les chefs des katibas (phalanges) de DAECH, sodomisent
leurs nouvelles et jeunes recrues, afin de les ʺfidéliserʺ comme des "épouses soumises".
Certains fétichistes font plus que simuler et urinent vraiment et/ou
excrètent dans leur couche. Il faut alors échanger la couche salie par une
autre propre, après s'être fait poudrer les fesses avec de la poudre à bébé. Étant
donné qu'il n'est pas facile, pour le fétichiste, de trouver un(e) partenaire
qui accepte de jouer le rôle de la maman (ou du papa) qui nettoie et change son
bébé, les personnes qui ont ce fétiche doivent souvent avoir recours au service
d'une dominatrice pour laisser libre cours à leur fantasme.
Afin de réduire le chômage des jeunes, les islamistes au pouvoir ont fait
beaucoup d’efforts : ils ont recruté et envoyé en Syrie des milliers de
jeunes Tunisiens pour le djihad armé et des centaines de
Tunisiennes pour le djihad du sexe. Voici donc, pour ces dernières, un nouveau
créneau porteur : « nounou dominatrice ». Au lieu de risquer
leur vie dans de lointaines contrées, elles pourraient accéder directement au
paradis en soignant les fesses des miliciens islamistes : lavage,
essorage, poudrage, fessées et plus si affinités halal (i.e. conforme à la charia intégriste ou à des fatwas plus ou moins farfelues).
Un fétichisme d’origine cérébro-vasculaire ?
Observé
chez les hommes,
le fétichisme est un des nombreux types de paraphilies, terme regroupant
l’ensemble des pratiques sexuelles déviantes. Il correspond à la nécessité pour
obtenir de l’excitation sexuelle d’utiliser des objets inertes étroitement
associés à certaines parties du corps, tel que des sous-vêtements, des
collants, des soutiens-gorges, des gants, des chaussures de femmes et des
couches-culottes. Il
existe très peu d’observations établissant un lien entre
fétichisme et fonctionnement cérébral.
Des
médecins japonais de la Faculté de Médecine de la ville de Ōita ont réalisé
une scintigraphie cérébrale pour évaluer le débit sanguin dans le cerveau d’un
homme de 24 ans. Celui-ci s’était fait arrêter pour avoir volé des
sous-vêtements féminins. La justice avait commandé une expertise
neuropsychiatrique car ce jeune homme, par ailleurs étudiant studieux, s’était
déjà livré à de multiples reprises à ce type de méfait depuis l’âge de 11 ans. On peut imaginer
quelle fut leur surprise lorsqu’ils constatèrent à l’imagerie cérébrale chez ce
patient une diminution bilatérale du flux sanguin dans les lobes temporaux et
occipitaux, autrement dit dans les régions latérales et postérieures des
hémisphères droit et gauche ! Le
Dr Jotao Akiyoshi et ses collègues auraient également pu citer
parmi les références bibliographiques figurant en conclusion de leur article un
cas rapporté par des médecins australiens en 1980. Celui-ci concernait un homme
de 24 ans souffrant d’épilepsie généralisée depuis l’âge de 18 mois. A 15 ans,
il commença à s’habiller comme un bébé et présentait un fétichisme pour les couches-culottes, tout en
désirant évoluer comme une femme élégante. Le scanner devait révéler une
atrophie du cerveau droit. Il ne serait pas étonnant que la même pathologie
soit observée chez les islamistes en couches-culottes.
Outre le fétichisme, les paraphilies
majeures (dont certaines sont autorisées par des fatwas, d’origine souvent wahhabite) sont : l’exhibitionnisme ; le voyeurisme; la pédophilie (fatwas); le sadisme (DAECH); le frotteurisme (excitation sexuelle
obtenue par frottement contre des personnes non consentantes. Cette pratique
est extrêmement répandue dans nos bus et nos métros, surtout aux heures de ʺpointesʺ); la zoophilie (fatwas);
la nécrophilie (fatwas); etc.
Tsahal : des couches-culottes pour chacun !
Selon
le Military Times, Tsahal a passé en début d'année 2014, une commande de
120.000 unités de couches lavables auprès de la société israélienne SK TRADING,
spécialisée dans les produits d'absorbance et fournisseur de l'armée depuis
2009. L'existence des couches culottes dans le paquetage israélien est connue
depuis 2006 et les opérations contre le Hezbollah au Liban.
En soignant les blessés
islamistes de DAECH, d’Al-Nosra, et d’autres, les médecins israéliens ont
constaté le même phénomène d’incontinence liquide et solide que celui observé
chez les soldats de Tsahal. Ces soins sont prodigués à la demande et à la
charge des Saoudiens et des Qataris (chacun payant pour sa chapelle djihadiste).
Par la même occasion, les djihadistes de DAECH et d’Al-Nosra sont devenues, par
osmose si l’on ose dire, des utilisateurs des mêmes couches israéliennes. Tablant
sur des guerres quasi éternelles au Moyen-Orient, une start-up israélienne, la société Cine'al, vient
de se lancer dans ce créneau extrêmement prometteur. Si, en plus de Tsahal et
des djihadistes, on ajoute tout ce que le monde musulman compte d’islamistes
fétichistes, il y a de quoi se faire des couilles en or.
Hannibal GENSERIC