Obama se
prépare à la guerre totale contre la Fédération de Russie dans sa tentative d'empêcher la publication des e-mails secrets d'Hillary Clinton. Si Obama réussit à déclencher une guerre contre la Russie, cela conduirait inévitablement à une guerre nucléaire entre la Russie et les pays de
l'OTAN, c'est-à-dire à la troisième guerre mondiale.
La dernière
«pièce du puzzle» à être mise en place par le régime Obama pour ce début de guerre,
a été accomplie le mardi (14 Juin) lorsque l'OTAN
a annoncé, pour la première fois de son histoire, que les opérations
informatiques de cyber-piratage et d’intrusion font maintenant partie de ses
armes de guerre, ayant la même importance que les armes aériennes, terrestres
et maritimes. Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’Otan, a
averti que les cyber-attaques contre les membres de l’alliance pourraient
maintenant être classées en tant que "cas de casus belli» par l'OTAN, et
pourraient entraîner une réponse militaire de l’OTAN.
Trois heures
après cet avertissement extraordinaire de déclenchement de la guerre , le Washington Post a publié
un article intitulé « les
hackers du gouvernement russe ont pénétré le DNC (Comité National du parti Démocrate), ont volé des documents concernant Trump ». Cet article est basé sur un rapport publié le 15 Juin par la société
internationale de cybersécurité CrowdStrike
Services Inc. intitulé Bears
in the Midst: Intrusion into the Democratic National Committee (les ours s’introduisent au milieu du Conseil
National Démocrate) qui, dit :
Ces allégations
formulées contre la Fédération de Russie par CrowdStrike ont été rapidement réfutées par le
pirate activiste Guccifer
2.0, qui, non seulement a revendiqué la responsabilité du piratage du DNC, mais il
a aussi rendu publics tous les documents qu'il a obtenus. D'autre part, des hackers américains ont trouvé que le site le plus protégé des États-Unis, celui du Pentagone avait beaucoup de faiblesses [1].
CrowdStrike a répondu à ces publications en déclarant:
Pour mieux
comprendre cette sordide toile de mensonges éhontés et de menaces de guerre déployés contre la
Fédération Russe par le régime Obama, les analystes russes expliquent que l'oligarque
américain multimilliardaire et propriétaire du Washington Post, Jeff
Bezos, avec son « Amazon Web Services », a gagné 600 millions $ l’an
dernier en développant un « cloud computing » pour la CIA, et qui a
commencé l'entretien informatique de l’ensemble des 17 organismes du
renseignement des États-Unis.
Pour savoir
pourquoi le régime Obama a confié tous les réseaux de renseignement "top secret"
de son pays à un oligarque comme Jeff Bezos, les analystes russes ne
l’expliquent pas, mais ils notent énigmatiquement que Bezos a été, de longue
date, un
participant assidu des réunions Bilderberg qui, avec une organisation appelée le Conseil de l'Atlantique, Atlantic Council, et d'autres, constituent
l’«état profond », c'est-à-dire le gouvernement secret qui contrôle effectivement
les États-Unis.
Il faut tout
particulièrement noter que Le Conseil de l'Atlantique a toujours été derrière la stratégie de guerre d’Obama contre
la Fédération de Russie, et que l’un de ses principaux
membres est Dmitri Alperovitch, le co-fondateur et Chief Technology Officer (CTO) de la société CrowdStrike
services Inc. qui est à l’origine des allégations de piratage soi-disant russe ci-dessus.
A noter
également que la quasi-totalité
du leadership du Conseil de l'Atlantique a rejoint le régime Obama en 2009, y compris James L. Jones, son Président, qui a démissionné afin
de servir en tant que nouveau conseiller en sécurité nationale du président
Obama et a été remplacé par le sénateur Chuck Hagel.
D'autres
membres du Conseil de l'Atlantique l'ont quitté pour rejoindre le régime
Obama dont: Susan
Rice devenue ambassadrice à l'ONU, Richard Holbrooke devenu représentant spécial
pour l'Afghanistan et le Pakistan, le général Eric K. Shinseki devenu secrétaire
des Anciens Combattants, et Anne-Marie Slaughter devenue Directrice de la
planification politique au Département d'État.
Les
catastrophes perpétrées sur le peuple américain par ces ex membres du Conseil
de l'Atlantique devenus collaborateurs d’Obama sont trop nombreses pour être
répertoriées ici. Mais l'une des pires est la gestion choquante et inhumaine du
général Shinseki des
anciens combattants des États-Unis, qui a causé la mort de plusieurs milliers
d’entre eux.
Obama laisse
donc les membres du Conseil de l'Atlantique gouverner dictatorialement les États-Unis à l'insu de la
population américaine. Leur principal ordre du jour consiste à fomenter, puis
déclencher la guerre contre la Russie. L’'ancien secrétaire général de l’OTAN, Anders Fogh
Rasmussen, les félicité en les appelant un «think tank
prééminent» ayant une «réputation de longue date ».
Rasmussen, bien que reconnaissant au Conseil de
l'Atlantique pour ses longues années d'effort pour déclencher une guerre contre
la Russie, a été, néanmoins, très
déçu que la troisième guerre mondiale n'ait toujours pas commencé.
Mais voilà maintenant qu’il obtient un siège
au premier rang de l’apocalypse. Il y a juste une
quinzaine de jours, l'Ukraine l'a nommé "conseiller spécial" pour
coordonner les forces de l'OTAN qui vont envahir les oblasts du sud de la
Russie quand commencera ce conflit.
Néanmoins, Donald
Trump se déclare être un
ennemi juré de Jeff Bezos et de toutes les organisations secrètes de l’"État
profond" qui gouvernent l’Amérique, comme le Conseil de
l'Atlantique. À l’exemple du président John F. Kennedy d’il y a 50
ans, Trump a mis en garde le peuple américain et l’a averti que son
véritable ennemi est le président Obama, et que ce dernier n’est pas étranger
au Massacre d’Orlando.
Cette charge de
Donald Trump contre Obama a démontré la véracité des affirmations de Philip Haney, un ancien chef du Department
of Homeland Security (DHS, équivalent du Ministère de l’Intérieur), selon lesquelles Obama, a ordonné en 2009 la
destruction de tous les enregistrements relatif aux terroristes islamiques
opérant aux États-Unis. Alors que, si ces données avaient été conservées,
elles auraient empêché non seulement le Massacre d’Orlando, mais presque tous
les attentats terroristes islamistes qui se sont produit aux États-Unis ces 7 dernières années.
Cet ancien
fonctionnaire du DHS, Philip Haney, a été félicité pour avoir pu identifier plus de 300
suspects terroristes possibles. Haney et 10 de ses collègues
ont été honorés par le FBI en contribuant activement à 98 enquêtes du FBI, en identifiant
67 individus engagés dans des activités suspectes, et d’autres activités contre
le terrorisme.
Philip Haney a aussi
développé une base de
données de 185 groupes terroristes islamistes dans 81 pays et des mouvements
islamistes. Il a établi des connexions entre les mouvements islamistes et la
radicalisation islamique, au lieu de seulement «relier les points» entre
jihadistes individuels opérationnels, mais Obama a ordonné la destruction
de tout ce travail.
Les raisons
pour lesquelles Obama a ordonné la destruction de données relatives au
terrorisme islamiste sont nombreuses et connues :
- Les partis et organisation islamistes sont une arme de destruction massive des nations arabes et musulmanes aux mains de l'Empire anglo-sioniste,
- Les régimes islamistes qui gouvernent les pays musulmans sont des serviteurs zélés des intérêts américano-israéliens,
- Les efforts d’Obama pour faire de la Russie, et non pas ces terroristes islamistes, la principale source de peur du peuple américain, dans le but d’amener à détester la Russie et le président Poutine, en les percevant comme une menace existentielle, ce qui justifiera le recours à une guerre préventive contre la Russie.
Mais la vraie
raison pour laquelle Obama veut lancer une guerre contre la Russie se trouve
dans les emails d’Hillary Clinton, qui vont bientôt être publiés. Leur
publication pourrait entraîner une révolution en Amérique en montrant à tous les
Américains les crimes commis par Hillary. De plus, si Donald Trump est élu
comme président, il la poursuivra certainement pour ses crimes. Obama ne veut
pas de tout cela.
Source : http://www.whatdoesitmean.com/index2057.htm
Traduction + adaptation : Hannibal GENSERIC
[1] Près de 140 failles repérées par des hackeurs sur les sites du Pentagone
Invités à tester la sécurité de cinq sites internet du Pentagone, dont le site amiral defense.gov,
des pirates informatiques ont découvert près de 140 failles en un mois,
a reconnu vendredi 17 juin le ministre américain de la défense, Ashton Carter.
Au total, 1.410 Américains férus d’informatique et de réseaux ont participé à ce concours de piratage, organisé par le Pentagone pour renforcer la sécurité de ses sites. En un mois, ils ont fourni 1.189 rapports sur des vulnérabilités, permettant de détecter 138 failles « valides et uniques ». Le meilleur d’entre eux, qui a décelé plusieurs failles, a empoché 15.000 dollars sur les 75.000 de prime offertes.
Ashton Carter, lui-même féru de sciences et de technologies, s’est félicité d’avoir réussi à renforcer la sécurité des sites internet du Pentagone à moindre coût. « Si nous avions utilisé la procédure classique », à savoir passer par une entreprise de sécurité informatique, « cela nous aurait coûté plus d’un million de dollars », a-t-il expliqué.
VOIR AUSSI :
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- USA. Massacre d'Orlondo (3). Poutine : c'est une opération sous faux drapeau
- Un avertissement russe : en cas d'attaque, la Russie réduira les USA en cendres radioactives