mercredi 15 juin 2016

USA. Massacre d'Orlondo (3). Poutine : c'est une opération sous faux drapeau

Un grave rapport du Ministère Russe de la Défense (MoD) circulant aujourd’hui 15/06/2016, au Kremlin, annonce que le président Poutine, a ordonné ce  matin, une inspection massive et sévère de l’état de préparation des forces armées russes en vue d'évaluer leur préparation au combat et à la mobilisation. Cette décision est basée sur un rapport urgent du Conseil de Sécurité Russe (SC) et du Service de Renseignement Extérieur (SVR)  avertissant que le Massacre d’Orlondo est une opération sous fausse bannière, orchestrée par Hillary Clinton et ses alliés.
En conséquence, le régime d’Obama se délite si vite qu’Obama n’aura bientôt d'autre choix que de lancer une grande guerre afin de détourner l'attention des peuples d'Amérique de l’un des plus grands crimes d'État jamais perpétrés aux États-Unis. 
Les victimes innocentes du crime d’État
d'Hillary Clinton et d'Obama

Selon ce rapport MoD, et comme nous l'avions déjà signalé dans notre article USA. Massacre d'Orlando (2). La piste Hillary Clinton , cette opération sous faux drapeau était orchestrée par la plus grande « société de sécurité » privée au monde, G4S mais dont le plan de réalisation a été contrecarré lorsque deux officiers de police d'Orlando, Scott Smith et Jeffrey Backhaus, sont arrivés sur le site du massacre et ont commencé à tirer sur l’équipe de tueurs de G4S dirigée par Omar Siddiqui Mateen.

Contrairement à l'effort du régime Obama pour cacher la vérité de ce massacre sous faux drapeau en disant aux peuples américains, que ce massacre avait commencé le 12 Juin, après 2 heures du matin, les analystes du SVR ont noté, grâce à leurs interceptions électroniques, que le massacre  avait en réalité commencé plus de 2 heures plus tôt, peu avant minuit, le 11 Juin. Cela est vérifié par les nombreux comptes Twitter des victimes (encore vivantes) postés juste avant et après minuit.
Pire encore : l’exposé de la chronologie de ce massacre sous faux drapeau était aussi un mensonge. En effet, les policiers Backhaus et Smith avaient commencé leur échange de tirs avec des membres de guet de l’équipe G4S à un peu plus d'un pâté de maisons du Pulse Night club. Les agents blessés de l’équipe G4S (y compris un sniper) ont été déplacées vers l’intérieur de Pulse Night club pour être placés sous la garde de la police, à l’abri des regards. Mais les médias américains ont scandaleusement ont présenté ces blessés (ou morts) G4S comme étant les victimes du club transportées pour être mises en  sécurité, de l’extérieur vers l’intérieur du club !!
Ce rapport note en outre que de nombreux survivants ont rapporté avoir vu de nombreux agents G4S participer à ce massacre sous faux drapeau en utilisant des armes entièrement automatiques, et les médias américains ont fait le black-out sur cette information, comme vous pouvez le voir par vous-même ci-dessous:
vidéo-1
vidéo-2
vidéo-3 
Ce rapport se termine en notant que le régime Obama essaye furieusement de changer le récit de ce massacre sous faux drapeau en décrivant le leader de l’équipe de tueurs de G4S, Omar Mateen, comme étant un homosexuel afin de changer la version initiale « de l’attaque terroriste islamique » en un crime haineux. Mais les analystes du SVR pensent que cette tentative échouera parce que la  dissonance cognitive relative à ce massacre des peuples américains, les conduit fatalement à découvrir la vérité choquante de cet événement plus vite qu’on ne le croit à Washington.
Source : http://www.whatdoesitmean.com/index2056.htm
Traduction : Hannibal GENSERIC

la version du djihadiste solitaire et homophobe part en lambeaux

http://reseauinternational.net/wp-content/uploads/2016/06/omarmateengay-dailymail-768x595.jpg 

La théorie homophobe en prend un sacré coup. Ce n’est donc pas par haine des homosexuels que le massacre a eu lieu, n’en déplaise au lobby LGBT qui voulait profiter de l’évènement pour faire avancer sa cause.
D’autre part, un rescapé de la fusillade nous apprend, dans une interview accordée à un journaliste d’ABC, qu’il y avait au moins quatre tueurs. Pendant que le témoin faisait le mort pour sauver sa peau, il a entendu une conversation téléphonique dans laquelle le tueur affirmait qu’il était le « quatrième tireur » et qu’il y avait « trois autres », dont un avec une bombe, qui faisait le mort et qui serait peut-être une femme.
Où sont passés tous ces tireurs ? Leur nombre, pour le coup, pourrait expliquer la quantité de victimes, difficilement compréhensible pour un seul tueur armé de fusil semi-automatique.
Qu’apprendrons-nous encore demain ?