Un lanceur d'alerte français offre une prime de 250.000 $ pour la capture des assassins potentiels de Candace Owens

 

Ceci est un message d'urgence. Ce que vous allez lire est une bombe.

Le lanceur d'alerte français – l'agent de la DGSE qui a tout risqué il y a soixante-douze heures pour avertir Candace Owens – a de nouveau rompu le silence. Il est vivant. Il est au cœur du système. Et ce soir, il a transmis un nouveau message qui lève tous les doutes.

Son message est bref et glacial. Il dit :

« Nous avons récolté deux cent cinquante mille dollars auprès de fonctionnaires en fonction qui refusent toujours de laisser la France devenir un escadron de la mort. Cet argent ne sert pas aux arrestations, mais à obtenir des coordonnées. Car le seul moyen d'arrêter ces hommes est de les neutraliser avant qu'ils n'atteignent Candace, et de s'assurer qu'ils ne puissent plus jamais atteindre personne. »

Ce que vous allez lire est le renseignement le plus dangereux de l'histoire moderne de la France. Il affirme que des téléphones sont déjà saisis à Paris. Des planques sont vidées. Et quelque part en Amérique, deux tueurs comptent les jours.

Ce sont des enquêtes comme celles-ci qui causent bien des ennuis. Il suffit de demander à Candace Owens, qui est dans le collimateur des gouvernements depuis des années.

Project Veritas vient de publier des preuves accablantes. Mary Barr Daly, fille de l'ancien procureur général Bill Barr et elle-même haute responsable du ministère de la Justice, a été surprise en train de comploter dans des messages privés.

« Il faut la faire chanter au plus vite. »  Le « elle », c’est Candace Owens.

Dans la même conversation, ils complotent ouvertement pour utiliser une mineure comme appât afin de piéger une cible masculine non identifiée. Mary Barr Daly admet ensuite que Candace est plus difficile à atteindre car elle est très  « résistante ».

Réfléchissez-y. La fille de l'homme qui dirigeait le ministère de la Justice pendant le « suicide » d'Epstein a publiquement évoqué des opérations de piégeage de mineures et des campagnes de chantage contre des citoyens américains.

Faisons le lien entre certains points que l'élite espère que vous ne remarquerez jamais.

Donald Barr (père de William Barr) travaillait pour l'OSS, l'agence qui a précédé la CIA pendant la guerre. En 1973, alors qu'il dirigeait la prestigieuse école Dalton de New York, Donald Barr a personnellement embauché un jeune homme de 20 ans, Jeffrey Epstein, qui avait abandonné ses études et n'avait aucune qualification d'enseignant.

Quelques mois plus tard : son fils, Bill Barr, devient avocat à la CIA pendant les auditions de la commission Church, au moment précis où le Congrès aurait soi-disant « réformé » l’agence et lui aurait donné la structure qu’elle utilise encore aujourd’hui.

Ensuite, pendant la plus longue période continue de l'opération de trafic et de chantage d'Epstein, Bill Barr est procureur général des États-Unis, le seul poste ministériel ayant une autorité directe sur le Bureau des prisons.

Et la nuit où Jeffrey Epstein se serait soi-disant « suicidé », devinez qui se trouvait en fin de compte dans la chaîne de commandement de cette prison de Manhattan ?

Des choses qui vous font dire… hmm. Ou, pour ceux d'entre nous qui en ont assez de faire semblant, des choses qui vous font dire : ça pue au plus haut point.

Charlie Kirk en avait fini de faire semblant.

Charlie Kirk n'est que le dernier nom en date. Il était loin d'être le premier. La plupart des autres sont déjà enterrés, et aucun ne parle plus. C'est le prix à payer.

Le député James Traficant l'a dit : ils exportent la violence aux États-Unis. Quelques années plus tard, il est mort dans un accident de voiture. Tout comme Michael Hastings. Tout comme Anne Heche. Et la liste est longue.

Et maintenant, la partie qui va vous glacer le sang.

Selon le lanceur d'alerte français, le Mossad a confié le contrat « Candace Owens » à la France. Macron, qui a des casseroles personnelles à défendre, a accepté le job [1].

Scénario principal : une exécution spectaculaire, traumatisante et diffusée en direct, conçue pour terroriser quiconque oserait révéler les mêmes vérités. Si cette option n’est pas retenue, ils se rabattent sur des solutions de repli plus lentes (empoisonnement, accident simulé ou disparition).

Selon l'agent du renseignement français, l'un des protocoles de repli (si l’opération ci-dessus échoue) contenus dans le dossier est un plan de contamination à long terme : des micro-doses de composés organiques du mercure introduites dans des objets manipulés quotidiennement — cosmétiques, vitamines, voire le bouchon des bouteilles d'eau — calibrées pour produire un effondrement neurologique progressif sur une période de quatre à six mois, se terminant par de la paranoïa, des hallucinations et ce que le rapport médical appellera une « folie tragique et irréversible » avant qu'elle ne se taise finalement.

Mais leur protocole principal reste une mise à mort rapide.

Jonas E. Alexis, rédacteur en chef

2 décembre 2025                                             Source : VT  

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[1] "Emmanuel Macron est un psychopathe amoral", selon le psychiatre italien Adriano Segatori
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Hannibal Genséric