vendredi 20 janvier 2017

Poutine à Obama : "Trump ou Bush devra mourir"



Selon le site whatdoesitmean.com, le président Barack Obama, lors d'une conversation téléphonique avec le président Poutine le 18/1/2016, a donné des détails incroyables comment il (Obama) et le président élu Donald Trump avaient travaillé ensemble et en secret pendant près de deux décennies pour détruire à la fois la Famille Criminelle des Bush et la Famille Criminelle des Clinton. Et lorsque Poutine a averti que cette information signifie que "Trump ou Bush devra mourir", Obama a répondu "oui".
Après cette conversation, Obama a tout de suite ordonné à Facebook de bannir RT (Russia Today) jusqu'à l'inauguration de Trump, et a ordonné à Dataminr, le service de news basées sur Twitter pour les agences de presse du monde entier, de déconnecter complètement RT, "avec effet immédiat".
Alors que le coup dirigé par le "Deep State" de la CIA contre le président élu Trump approche de sa conclusion catastrophique, le "chef des factions noires", l’ancien président George H.W. Bush panique sérieusement.
En effet, il est de plus en plus évident que le chef de ce "Deep State" n’est autre que George H.W. Bush, dont le père, Prescott Bush, est un criminel de guerre nazi. Il avait dirigé le groupe satanique de banquiers et d'industriels américains qui, en 1933, ont tenté leur «coup d’état affairiste» contre le président Franklin Roosevelt dans leur tentative de constituer une alliance entre les États-Unis et l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler.  Ce coup a échoué en raison des actions rapides de l'héroïque Général des Marines, Smedley Butler. Ce groupe s’est alors tourné vers le financement du régime nazi, y compris durant la Seconde Guerre mondiale.
George H.W. Bush a, par ailleurs, laissé derrière  lui une traînée de morts et d'horreurs que  l'Histoire retiendra. Parmi ses « exploits » criminels, il a été le cerveau de :
Comme de bien entendu, les maîtres du "Deep State" ont caché au peuple américain, que la guerre illégale  de George H.W. Bush en Irak, en 1990, a provoqué la mort de plus de 73.000 soldats américains ; et que l'invasion illégale de l'Irak en 2003 par son fils, George W. Bush, a tué au moins 4 millions de musulmans.
Ils cachent aussi au peuple américain les intentions du président élu Trump d’empêcher ces monstres d'aller encore plus loin dans leur soif de sang et de guerres contre toute l'humanité...
Alors que l'ancien président George H.W. Bush et son épouse Barbara se cachent maintenant des forces loyales à Trump et sous la protection du "Deep State" dirigé par la CIA, les médias de propagande américains rapportent qu'ils sont tous deux à l'hôpital. Le président Poutine a déclaré au président Obama que toute cette histoire de coup d'État ne pouvait avoir qu'un seul résultat: l'un des chefs de ces factions opposées devrait mourir.
On sait que le président Lincoln a demandé à être membre de la Loge maçonnique Tyrian Lodge, à Springfield (Illinois), mais, peu après sa nomination à la présidence américaine en 1860, il a retiré sa candidature, indiquant à la loge qu'il soumettrait de nouveau sa demande à la fin de son mandat présidentiel. Or, les dossiers du KGB , issus des documents nazis allemands récupérés à Berlin au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, ont trouvé le nom "Abraham Lincoln, US-P" comme membre étranger dans l’un des groupes francs-maçons allemands les plus secrets, connu sous le nom de Grand National Mother Lodge, “The Three Globes.
Le fait que le président Lincoln ait été membre d’un groupe franc-maçon allemand secret et très puissant explique pourquoi " The Three Globes a initié en 1861, puis maintenu une correspondance entre le tsar Alexandre-II et Lincoln. Cela avait aussi  conduit Alexandre-II à libérer les serfs en 1861. Puis, suivant son exemple, Lincoln libéra les esclaves noirs en 1863.
Pendant que le vice-président Joseph Biden prononçait, il y a quelques heures, un sombre discours à Davos (Suisse) avertissant que «l'ordre mondial démocratique progressiste est en danger d'effondrement», les principaux médias de propagande américains avertissent qu'un drone va bombarder l'inauguration de Trump. Pour préparer l’opinion américaine au pire, CNN annonce que si le président élu Trump est assassiné avant qu'il ne puisse prêter serment, le président Obama sera en mesure de choisir le prochain président.
Il est clair que, depuis l’époque d'Alexandre-II et du président Lincoln qui avaient sauvé les États-Unis, cette nation n’a jamais été en péril comme aujourd’hui, et, en fonction de la mort probable qui sera annoncée dans les prochains jours, le résultat reste «gravement incertain».
Obama lance une bombe: « Les courriels n’ont pas été piratés par la Russie »
Le président Obama a lâché une bombe lors de sa dernière conférence de presse, admettant que les emails du Parti Démocrate (DNC) publiés par Wikileaks furent divulgués de l'intérieur du DNC, et non pas piratés par la Russie.
Ainsi donc, Obama vient d'appeler Hillary Clinton, l'establishment démocrate et les grands médias, qui ont tous essayé frénétiquement de convaincre le monde que les Russes l'ont fait,  un paquet de menteurs.
Obama dit qu'il n'a pas "commenté WikiLeaks en général" et que les "conclusions de la communauté du renseignement concernant le piratage russe n'étaient pas concluantes"
Pour Craig Murray, un auteur et diffuseur, le commentaire d'Obama a clarifié que le gouvernement des États-Unis "n'a aucune preuve de comment WikiLeaks a obtenu le matériel DNC."
La déclaration d'Obama est importante, poursuit M. Murray, parce qu'elle «affaiblit le flot de sottises totalement ineptes qui est sorti des services de renseignement américains ces deux derniers mois, dans lequel une série de suppositions ont été mises ensemble pour faire des affirmations infondées, puis qui ont été répétées encore et encore dans les médias traditionnels. "
Se référant aux courriels "qui ont été divulgués" et non aux serveurs qui ont été piratés, Murray ajoute, « Obama semble être d'accord avec plusieurs experts sur ce sujet, ce qui montre clairement que toute l'épreuve tournant autour de l'ingérence alléguée russe dans les élections présidentielles 2016 est un  écran de fumée. »
 Murray n'est pas le seul. William Binney, un dénonciateur qui a précédemment travaillé en tant que directeur technique de la National Security Agency (NSA), a également déclaré que cet incident n'était pas un hack. C'était une fuite.
Si cela avait été un hack, dit Binney, la NSA serait en mesure de fournir au public des détails concernant l'attaque réelle. Mais à partir des rapports présentés jusqu'à présent, ce n'est clairement pas le cas.
Hannibal GENSERIC