Un nouveau
rapport préparé par le Service russe pour l'hydrométéorologie et de
l'environnement (ROSGIDROMET)
révèle que les experts russes sont depuis longtemps sceptiques quant au mème du
changement climatique depuis la création du Projet de Pétition sur le
réchauffement climatique (the Global Warming Petition Project) qui
s'est produit à la fin des années 1990, ce qui a attiré les signatures de 31.487
scientifiques américains [2] qui déclarent qu'il n'y a absolument aucune preuve
qui montre que les êtres humains chauffent notre atmosphère.
Deux des plus importants d'entre eux sont Edward Teller, «le père de la bombe à hydrogène», et le Dr. Reid A. Bryson, «universellement reconnu comme le père de la climatologie moderne», et qui en a témoigné devant le Sénat américain en 2007, avec d'autres sommités scientifiques du monde entier. Il a rejeté le mème du changement climatique en déclarant: "Tout cet argument est la température en hausse ou pas, c'est absurde. Bien sûr, ça se passe. Depuis le début des années 1800, avant la révolution industrielle, parce que nous sortons du Petit âge glaciaire, et non pas parce que nous mettons plus de dioxyde de carbone dans l'air. ”
Deux des plus importants d'entre eux sont Edward Teller, «le père de la bombe à hydrogène», et le Dr. Reid A. Bryson, «universellement reconnu comme le père de la climatologie moderne», et qui en a témoigné devant le Sénat américain en 2007, avec d'autres sommités scientifiques du monde entier. Il a rejeté le mème du changement climatique en déclarant: "Tout cet argument est la température en hausse ou pas, c'est absurde. Bien sûr, ça se passe. Depuis le début des années 1800, avant la révolution industrielle, parce que nous sortons du Petit âge glaciaire, et non pas parce que nous mettons plus de dioxyde de carbone dans l'air. ”
À la fin de 2009, les experts de ROSGIDROMET sont devenus encore
plus sceptiques contre le mème du changement climatique après que le journal The
Telegraph de Londres ait publié un article d'enquête exhaustif intitulé «Le
changement climatique: c'est le pire scandale scientifique de notre génération»
où il est exposé le scandale dans lequel les meilleurs climatologues du monde
ont été engagés dans une fraude monumentale de proportions épiques avec leur
affirmation selon laquelle l'activité humaine chauffait notre atmosphère
planétaire.
Afin de mettre ce qui devrait être le «clou définitif dans le
cercueil» de cette “fake news” qu’est le mème du changement climatique, il y a encore un nouveau
rapport scientifique explosif publié récemment aux États-Unis. (Rapport
résumé ).
En effet, après avoir été examinées par des sommités scientifiques,
des administrateurs, et des chercheurs de l'Environmental Protection
Agency des États-Unis (EPA), du Massachusetts Institute of
Technology (MIT) et de plusieurs universités de premier plan, il se révèle
que les données utilisées jusqu’à aujourd’hui, pour appuyer le mème du
changement climatique sont de la « pure foutaise », et elles constituent
«la plus grande escroquerie économique jamais
perpétrée dans le monde».
En effet, les plus grandes désertifications (Sahara, Gobi,
Australie, etc.) se sont toutes produites à des époques durant lesquelles il n’y
avait ni voitures, ni pétrole ni charbons, et, souvent, très peu d’êtres humains.
Le Sahara, avec ses 8 millions de kilomètres carrés, n'a pas toujours été ce
plus grand désert chaud de la planète. Il y a 15.000 ans, il a connu une
période verdoyante provoquée par une brève phase de réchauffement qui avait
accentué les phénomènes d'évaporation au-dessus de l'océan et poussé les
moussons jusqu'au cœur du continent nord-africain. Les paysages arides actuels
étaient alors couverts de lacs, d'étangs et de végétation. Il y avait des
éléphants, des hippopotames, des crocodiles, des hommes aussi, comme
l'attestent les peintures rupestres. Les climatologues s'accordent sur le fait
que cette période humide épisodique a pris fin il y a un peu moins de
6 000 ans.
De nos jours, l'Arabie
est un désert féroce, mais il a déjà été végétalisé et a pu être le foyer des
premiers humains qui ont quitté l'Afrique [Voir : Out
of Arabia, ou l'histoire de l'humanité précoce]. En effet, dans un passé
assez récent, l’Arabie était un lieu de prairies et de bois ombragés, arrosé par les pluies
torrentielles de la mousson. Des découvertes récentes pourraient aider à régler
comment et quand les humains modernes ont quitté l'Afrique, où notre espèce a
évolué. Si
l'Arabie était autrefois luxuriante et fertile, il aurait été un endroit idéal
pour migrer. "Il y avait plus de fenêtres d'opportunité pour les
humains de quitter l'Afrique que prévu", déclare l'auteur
principal, Ash Parton de l'Université d'Oxford au Royaume-Uni.
Les résultats de son équipe suggèrent que la mousson pousse plus
loin en Arabie tous les 23.000 ans,
ce qui permet aux plantes et aux animaux de s'épanouir. Les
résultats sont publiés dans la revue Géologie. Lorsqu’on parle de cycles de
23000 ans, les statistiques actuelles du climat, qui se basent sur des dizaines
d’années et qui sont utilisées pour démontrer l’impact humain sur le climat de
la terre, paraissent ridicules.
Conclusion climato-réaliste
La peur irrationnelle qui nous est quotidiennement distillée est l’œuvre
d’une bureaucratie climatique dont l’intérêt objectif est d’aller toujours plus
loin dans l’outrance et les prophéties de malheur. L’absence de tout
réchauffement statistiquement significatif à l’échelle de la planète depuis
maintenant près de vingt ans, la hausse modérée et sans accélération du niveau
de l’Océan depuis un siècle, la stabilité de la banquise à l’échelle globale ou
encore la baisse de l’intensité cyclonique de ces dernières années ne sont que
quelques exemples des observations de plus en plus nombreuses qui indiquent que
l’approche de la question climatique ne saurait se réduire à des slogans
culpabilisants. Le prétendu « consensus » sur la responsabilité
humaine n’est qu’un leurre, nombreux sont les scientifiques parmi les plus
éminents qui expriment leurs doutes sur la question. En ostracisant ces opinions
dissidentes si essentielles à la bonne marche de la science, ce faux consensus
imposé retarde notre compréhension du système climatique en même temps qu’il
incite à des politiques irrationnelles et donc contre-productives.
Le temps est venu d’accepter que le climat a toujours changé et que
l’humanité devra s’y adapter demain comme elle s’y est tant bien que mal
adaptée hier. Une entente mondiale permettant à chacun d’être mieux protégé des
aléas météorologiques est une belle ambition, dont la réalisation nous
emplirait tous de fierté. Toutefois, cette ambition ne produira ses fruits que
si elle ne grandit pas à l’ombre d’une peur arbitraire qui conduit à se tromper
d’adversaire et à se focaliser sur les gaz à effet de serre, dont l’importance
apparaît comme grandement exagérée. L’attention consacrée à l’avenir climatique
est devenue une obsession démesurée qui risque fort de faire oublier les vrais
enjeux collectifs de ce début de siècle.
Notes
[1] Un mème Internet est un élément, une idée sociale, ou un
phénomène repris et décliné en masse par voie virale sur Internet.
[2] Il y a aussi la liste mondiale de scientifiques sceptiques sur le
réchauffement climatique qui sont climato
sceptiques, c'est-à-dire sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son
origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont
Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs. Les
idées de ces scientifiques sont détaillées sur leurs articles.
Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon
Petition. Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes.
Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique recense des scientifiques à travers le monde qui sont climatosceptiques, c'est-à-dire
sceptiques sur la réalité d'un réchauffement climatique exceptionnel, son
origine humaine ou sur le fait qu'il ait des conséquences négatives. Ils sont
Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d'articles majeurs.
Les idées de ces scientifiques sont détaillées dans leurs articles.
Cette liste, qui comprend plusieurs prix Nobel, est très incomplète, 31.000 scientifiques par exemple ayant signé l'Oregon
Petition. Depuis le 1er septembre 2015, il existe également un Collectif des climato-réalistes.
Hannibal GENSERIC