Sans titres pour le moment
Protocole XXV
01
Pour compléter mon exposé de la séance précédente, j'ajouterai encore quelques
explications concernant les emprunts nationaux. Je ne dirai plus rien des
emprunts extérieurs, parce qu'il n'y en aura pas dans notre État Le temps ne
sera plus où les emprunts faits par les gouvernements des goyim alimentaient
nos caisses avec leur argent national. Nous avons profité de l'indolence des souverains
et de la corruption des administrateurs pour encaisser des sommes doubles,
triples (et plus considérables encore) de celles que nous avions avancées aux
goyim et dont, en réalité, ils n'avaient même pas besoin. Qui donc en pourrait
faire autant avec nous ? Je vais exposer en détails la question des emprunts
intérieurs. En annonçant l'émission d'un emprunt, le gouvernement ouvre une
souscription pour l'achat de titres à intérêts qui ne sont pas autre chose que
ses lettres de change. Pour les rendre accessibles à tous on leur fixe un prix
allant de cent à mille. De plus, les premiers souscripteurs bénéficient d'une
remise sur le prix de souscription. Dès le lendemain, on augmente
artificiellement le prix des valeurs émises, sous prétexte que tout le monde se
les arrache. Encore quelques jours, et l'on annonce que les caisses du Trésor
débordent et que l'on ne sait que faire de l'excédent des souscriptions.
(Pourquoi en a-t-on tant accepté ?) Donc, le montant des souscriptions dépasse
de beaucoup celui de l'emprunt. L'effet recherché est atteint par là même;
c'est comme si l'on disait : « Voyez de quelle confiance jouissent les lettres
de change du gouvernement
02
Mais quand le tour est joué, on reste en présence d'un lourd passif. Pour
en payer les intérêts, on est obligé de recourir à de nouveaux emprunts qui
augmentent la dette initiale au lieu de l'amortir. Quand le crédit est épuisé,
on se trouve dans la nécessité de prélever de nouveaux impôts, non pas pour
liquider l'emprunt, mais pour en payer les intérêts. Ces impôts ne sont donc
qu'un passif qui couvre un autre passif...
03
Arrive ensuite le moment !les conversions : elles ne font que diminuer le
taux d'intérêt sans supprimer les dettes. De plus, les conversions ne peuvent
se faire sans le consentement des prêteurs ; en les annonçant, on offre de
restituer leurs fonds à ceux d'entre eux qui n'accepteraient pas la conversion
proposée. S'ils exigeaient tous le remboursement, le gouvernement se trouverait
pris dans son propre piège, piège qu'il avait tendu pour attraper les autres,
et il se trouverait dans la situation d'un débiteur insolvable. Heureusement,
les goyim, ignorants en matière de finances, ont toujours préféré les pertes au
change et la baisse du taux à l'ennui de se mettre à la recherche de nouveaux
placements ; ils ont ainsi fourni à leurs gouvernements la possibilité de
combler maintes fois des déficits s'élevant à plusieurs millions. Mais
aujourd'hui, avec les emprunts étrangers, on ne peut jouer de semblables tours,
car les goyim savent que s'ils annonçaient une conversion, nous exigerions le
remboursement intégral des capitaux.
04
La banqueroute qui s'ensuivrait serait la meilleure preuve démontrant aux
peuples qu'il n'existe aucun lien d'intérêts communs entre eux et leurs
souverains. J'attire tout particulièrement votre attention sur ce qui suit
05
A l'heure actuelle, tous les emprunts nationaux sont consolidés par ce
qu'on appelle la dette flottante, c'est-à-dire une dette dont le remboursement
est à plus ou moins brève échéance. Cette dette se compose des sommes versées à
la Caisse d'épargne ou à d'autres Caisses. Comme les fonds restent longtemps à
la disposition du gouvernement, ils s'évaporent en paiements d'intérêts des
emprunts étrangers et sont remplacés par une somme équivalente en titre de
rente sur l'État. C'est cette rente qui comble tous les déficits dans les
caisses publiques des goyim
06
Après notre avènement sur le trône de l'univers, tous ces expédients
financiers disparaitront totalement, parce qu'ils seront contraires à nos
intérêts. Nous supprimerons également les bourses de valeurs, car nous
n'admettrons pas qu'on puisse ébranler le prestige de notre pouvoir par la
variation des prix de nos valeurs; ils seront fixés par nos lois, sans
fluctuation possible. La hausse entraîne la baisse : nous avons commencé par
faire la hausse pour les valeurs des goyim et nous n'avons pas tardé à passer à
la baisse.
07
Nous remplacerons les Bourses par d'immenses institutions de crédit
officiel, dont le rôle sera de taxer les valeurs industrielles, conformément
aux indications gouvernementales. Ces institutions seront à même de lancer en
une seule journée pour 500 millions de valeurs industrielles sur le marché ou
d'en acheter autant. Ainsi, toutes les entreprises industrielles dépendront de
notre gouvernement. Vous pouvez imaginer quelle puissance nous acquerrons par
ce moyen.
Protocole XXVI
01
Nous créerons bientôt d'importants monopoles, réservoirs d'immenses
richesses, dont dépendront à ce point les plus grosses fortunes des goyim
qu'elles sombreront en même temps que le crédit de l'État, au lendemain du
cataclysme politique. Vous tous, messieurs, ici présents, qui êtes économistes,
veuillez peser toute la portée d'une pareille combinaison. La suprématie de
notre Super gouvernement ira grandissant; on le considérera comme le
protecteur, l'introducteur et le rémunérateur du libéralisme.
02
L'aristocratie, en tant que force politique, est morte, nous n'avons pas à
nous en préoccuper ; en tant que propriétaire de biens fonciers elle nous est
nuisible, parce que ses ressources lui assurent l'indépendance et lui donnent
la possibilité de retenir entre ses mains cette propriété foncière que nous
devons faire passer tout entière aux mains de notre peuple. A ce dernier, nous
commençons déjà à enseigner l'agriculture, pour laquelle il n'avait eu
jusqu'ici aucune aptitude, toutes ses capacités ayant été utilisées par nous
pour le commerce ou la commission, c'est-à-dire la spéculation et toutes les
occupations devantservir à ruiner les goyim pour en faire des esclaves.
Lorsque, avec le concours des établissements de crédit foncier, toutes les
terres des nobles et des paysans passeront entre nos mains, ils devront alors
travailler pour être nourris par nous, parce que personne ne leur vendra leurs
produits agricoles, comme cela eut lieu au temps de Salomon. Nous les
nourrirons et les garderons pour le travail, comme des animaux et des bêtes de
somme. Quand nous régnerons, le droit qu'a tout homme d'acheter et de vendre ne
sera pas accordé aux goyim. Pour y arriver le meilleur moyen est de déposséder
l'aristocratie de ses terres ; on pourra ensuite en faire autant avec les
paysans. Le procédé le plus efficace à employer pour la réussite de ce plan est
d'augmenter les taxes et les impôts fonciers, autrement dit d'être créanciers
de la terre. De telles sujétions maintiendront les goyim propriétaires fonciers
dans un état d'asservissement indéniable. Les aristocrates, ne sachant se
contenter de peu, seront bientôt ruinés et se départiront de leurs terres que
nous achèterons aux enchères, sinon personnellement pour l'instant, du moins
par l'intermédiaire d'hommes de paille.
03
II faut qu'en même temps nous protégions activement le commerce et
l'industrie; surtout la spéculation dont le rôle est de servir de contrepoids à
l'industrie.Sans la spéculation, l'industrie accroîtrait les capitaux privés,
ce qui pourrait avoir comme effet d'améliorer le sort des agriculteurs en
affranchissant les terres hypothéquées de leurs dettes envers les
établissements de crédit foncier. Il nous faut, aucontraire, que l'industrie
arriveà drainer toutes les richesses agricoles et fasse passer en nos mains,
par la spéculation, toute la fortune 'mondiale, en rejetant tous les goyim dans
les rangs des prolétaires. C'est alors qu'ils s'inclineront devant nous, rien
que pour obtenir le droit d'exister.
04
Afin de ruiner l'industrie des goyim, aidant en cela l’œuvre de la
spéculation, nous introduirons dans les usages des goûts de luxe effrénés, d'un
luxe absorbant tout.
05
Nous élèverons les salaires, ce qui cependant ne laissera aucun profit aux
ouvriers, parce que nous élèverons simultanément le prix des objets de première
nécessité, en prétextant la décadence de l'agriculture et de l'élevage.
06
De plus, nous saperons habilement et profondément les sources mêmes de la
production, en habituant les ouvriers à l'usage de l'alcool; quantaux goyim
intelligents, nous parviendrons à les arracher à leur sol.
07
Afin que les goyim ne voient pas le dessous des choses avant le moment
voulu, nous le dissimulerons sous notre prétendu désir de servir les classes
laborieuses – et les grands principes économiques proclamés par les théories
économiques.
Protocole XXVII
01
Aujourd'hui, je puis vous affirmer que nous ne sommes plus qu'à quelques
pas de notre but. Voici le tracé de tout le chemin que nous avons parcouru et
celui de la courte distance qu'il nous reste à franchir pour que le cercle du
Serpent symbolique, symbole de notre peuple, soit accompli. Lorsque ce cercle
sera définitivement fermé, tous les États de l'Europe se trouveront enserrés
comme par de fortes griffes.
02
Bientôt s'écroulera la balance des constitutions modernes, parce qu'au
moment de sa construction, nous en avons faussé le mécanisme, de sorte que les
plateaux penchant sans cesse de côté et d'autre devaient finir par user le
fléau. Les goyim s'imaginaient l'avoir fabriqué solidement et s'attendaient
toujours à la voir trouver son équilibre. Mais aux yeux du peuple, les souverains
sont éclipsés par leurs représentants qui font des folies, entraînés qu'ils
sont par leur pouvoir irresponsable et sans contrôle. Ils se rendent compte
cependant qu'ils ne doivent ce pouvoir qu'à la terreur qui, existe dans les
palais. Ayant pour le peuple un sentiment de crainte, les souverains ne peuvent
pénétrer dans son sein pour s'entendre avec lui, comme autrefois, et s'appuyer
sur lui pour se protéger contre les usurpateurs du pouvoir. Le pouvoir
clairvoyant des souverains et le pouvoir aveugle du peuple, une fois séparés
par nous, ont perdu toute importance et sont aussi impuissants isolément que
l'est un aveugle sans son bâton.
03
Afin de pousser les ambitieux à abuser du pouvoir, nous avons dressé ces
deux forces l'une contre l'autre, en développant leurs tendances libérales vers
l'indépendance. Nous avons provoqué toutes sortes d'initiatives dans ce sens;
nous avons mis des armes aux mains de tous les partis, et nous avons fait du
pouvoir la cible de toutes les ambitions. Nous avons transformé les États en
arènes pour l'émeute.
04
Encore un peu et les désordres et la banqueroute viendront ébranler toutes
les institutions existantes. D'intarissables bavards ont transformé les séances
parlementaires et les réunions administratives en joutes oratoires. D'audacieux
journalistes et d'imprudents pamphlétaires attaquent quotidiennement le
personnel administratif. Les abus du pouvoir achèveront la ruine des
institutions et tout sautera sous les coups d'une foule affolée par le
libéralisme.
05
Nous avons enchaîné les peuples aux durs travaux par la misère plus
fortement qu'ils ne l'avaient été jadis par le servage et l'esclavage dont ils
parvinrent à s'affranchir, tandis qu'ils ne sauraient se libérer de la misère.
Les droits par nous inscrits dans la constitution sont pour les masses purement
fictifs et non réels. Ces droits sont l'expression d'une idée tout à fait
impossible à réaliser.
06
Qu'importe au travailleur courbé sous le poids de son labeur, ou au
prolétaire opprimé par son sort que les bavards aient reçu le droit de pérorer,
les journalistes le droit d'écrire toutes sortes de stupidités à côté des
questions sérieuses, si le prolétariat ne tire de la constitution d'autre
profit que celui de ramasser les miettes de notre table, que nous lui jetons
pour qu'il vote nos lois et élise nos agents. Les droits républicains sont pour
le travailleur une amère ironie, car la nécessité du travail quotidien
l'empêche en réalité d'en tirer aucun avantage, tandis qu'ils lui enlèvent la
garantie d'un salaire fixe et assuré en l'obligeant à dépendre des grèves
organisées tantôt par les patrons, tantôt par les camarades, que nous excitons
quand nous avons besoin de détourner les esprits des affaires courantes et
d'introduire imperceptiblement quelque mesure qui nous soit favorable.
07
Sous notre direction, les peuples et les gouvernements ont exterminé
l'aristocratie qui était leur appui, leur défense et qui – dans son propre
intérêt – avait pourvu à leurs besoins. C'est pourquoi ils sont tombés
aujourd'hui sous le joug de profiteurs enrichis et de parvenus qui pèsent sur
le travailleur comme un fardeau impitoyable.
08
Nous nous présenterons comme les libérateurs des travailleurs en leur
proposant d'entrer dans les rangs de nos armées de socialistes, d'anarchistes
et de communistes – que nous soutenons toujours au nom de notre prétendu
principe desolidarité fraternelle – comme la maçonnerie sociale. L'aristocratie
qui, de droit, bénéficiait du travail de l'ouvrier, avait intérêt à ce qu'il
fut bien nourri, en bonne santé et vigoureux.
09
Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier
affamé et débile, parce que les privations l'asservissent à notre volonté et
que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
10
La famine confère au capital des droits plus puissants que n'en a jamais
conféré à l'aristocratie le pouvoir du souverain. Par la misère et par les
haines envieuses qu'elle suscite, nous manœuvrons les masses et nous nous
servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.
11
Quand viendra l'heure du couronnement de notre Maître universel, de la
famille de David, ces mêmes mains balayeront tout ce qui pourrait lui faire
obstacle.
12
Les goyim ont perdu l'habitude de réfléchir sans le secours de nos avis
scientifiques et judicieux, c'est pourquoi ils ne parviendront jamais à
comprendre que lorsque sera établi notre Gouvernement, il nous faudra mettre en
toute première ligne dans les écoles populaires la plus importante de toutes
les sciences, celle de l'organisation de la vie humaine et de la vie sociale.
Cette science exige la division du travail et, par.conséquent, .la division des
hommes en classes et en castes. Nous instituerons cet enseignement afin que tout
le monde sache qu'étant donné la diversité des buts à atteindre par les
différentes activités humaines, l'égalité des droits ne peut exister .et que
tout travail ou emploi doit être classé comme appartenant à un cercle bien
déterminé.
13
Toute confusion en cette matière deviendrait la source de maux qui seraient
la conséquence de l'absence de rapport entre l'éducation reçue et la tâche
dévolue à l'homme par la nature. Telles sont les idées que nous aurons alors à
inculquer aux hommes, en vue de notre propre sécurité, afin que personne ne puisse
contester notre statut. Les hommes, s'imprégnant de cette étude, se soumettront
plus aisément à nos autorités et au régime qu'elles établiront dans notre État.
Au contraire, les hommes ignorant les exigences de la nature et l'importance de
chaque caste voudront sortir de leur milieu, parce qu'ils ressentent de
l'inimitié envers toute condition qui leur semble supérieure à la leur.
14
Cette inimitié s'accentuera davantage lorsque éclatera la crise économique
qui arrêtera bientôt les transactions financières et toute la vie industrielle.
Cet événement jettera simultanément dans la rue et dans tous les pays d'Europe
d'immenses foules de travailleurs. Vous comprenez avec quelle joie ils se
précipiteront pour verser le sang de ceux qu'ils ont jalousés dès l'enfance.
15
Ils ne toucheront pas aux nôtres, parce que, connaissant le moment de
l'attaque, nous. prendrons des mesures pour nous défendre, comme nous l'avons
fait pendant la Commune de Paris..
16
Nous avons convaincu les goyim que le progrès les conduirait au règne de la
Raison. Notre despotisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages
rigueurs toutes les révoltes ; il éliminera le libéralisme de toutes nos
institutions.
17
A mesure que nous inculquions aux goyim des idées de libéralisme, les peuples
s'aperçurent qu'au nom de la Liberté le pouvoir faisait des concessions et
accordait des arrangements. Ils en conclurent qu'ils constituaient une force
avec laquelle on comptait; et, croyant leurs droits égaux aux 'siens, ils se
ruèrent contre le pouvoir ; mais, semblables à tous les aveugles, ils se
heurtèrent alors à d'innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche
d'un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de
nos agents.
18
Depuis ce moment, nous les conduisons de déception en déception, pour que,
finalement, ils renoncent à tout en faveur du roi-despote, issu du sang de
Sion, que nous préparons pour le monde.
19
Actuellement, en tant que force internationale, nous sommes invulnérables :
si un État goy nous attaque, d'autres nous soutiennent- La bassesse illimitée
des peoples ; goyim rampant devant la force, sans pitié pour la faiblesse et
pour les moindres fautes, indulgents pour les crimes, refusant de se soumettre
à un régime juste, mais patients jusqu'au martyre devant la violence d'un
audacieux despotisme, voilà ce qui nous assure l'invulnérabilité. Les goyim
supportent et tolèrent de la part de leurs premiers ministres – dictateurs
actuels, dressés par nous des abus pour le moindre desquels ils auraient décapité
une vingtaine de rois..
20
Et tout cela parce que nos agents les persuadent .que les préjudices portés
à l'État sont propres à leur valoir un bonheur international, la fraternité des
peuples, la solidarité et l'égalité des droits. (On ne leur dit pas, bien
entendu, qu'une telle union de tous les peuples ne se réalisera que par notre
Pouvoir, sous notre Gouvernement international.) Et voilà que le peuple
condamne les innocents, absout les coupables, rien que pour se convaincre qu'il
est bien le maître de la situation. Rivalisant ainsi avec ses prédécesseurs au
pouvoir, il détruit tout équilibre et crée partout le désordre.
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Le mot « Liberté » met en conflit l'humanité avec toutes les puissances,
même avec celles de Dieu et de la nature. C'est pourquoi, à notre avènement au
pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « Liberté » du vocabulaire humain,
comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves
altérés de sang. II est vrai, cependant, qu'une fois rassasiés de sang les
fauves s'endorment et qu'il est facile alors de les enchaîner, tandis que si on
ne leur donne pas de sang ils ne dorment pas et se débattent.
Fin des protocoles