Mais les faits sont têtus: ils finissent toujours par submerger l'omerta des grands médias menteurs aux mains de qui vous savez.
Les accusations sont extrêmement graves et elles ont une certaine odeur nauséabonde. Denis Robert fait-il semblant de ne pas se rendre compte de la gravité de l’accusation qui semble clairement plonger dans l’antisémitisme. Nous lui proposons donc d’effacer tous les articles qui parlent de cette affaire – à l’instar de la fresque de Jacques Attali à Avignon – car autrement il serait le diffuseur d’une idée clairement antisémite : celle du juif riche et corrompu qui aurait accepté de l’argent pour fomenter une guerre meurtrière ! C’est pas bien Denis.
Par contre, nous pouvons donc aujourd’hui affirmer que Bernard-Henri Lévy – sans être attaqué en diffamation – aurait touché de l’argent du Qatar afin de les aider dans leur guerre, afin de les soutenir médiatiquement et politiquement !
La cour d’appel de Paris a débouté Bernard-Henri Lévy dans son procès contre Blast. Confirmant le jugement de première instance, qui déboutait BHL de toutes ses demandes – il réclamait 100 000 euros de dommages et intérêts, le retrait de l’article en cause et la publication dans la presse de la condamnation qu’il espérait – la cour d’appel confirme également la condamnation de l’écrivain globe-trotter à nous payer 3 000 euros.
Et une nouvelle défaite pour Bernard-Henri dans son procès pour diffamation contre Blast. Après la publication de notre première enquête dans la série intitulée Qatar Connection, dans laquelle nous révélions, documents à l’appui, que l’écrivain globe-trotter faisait partie des personnalités parisiennes à qui l’émir du Qatar souhaitait verser un « cadeau » sous forme d’argent, Bernard-Henri Lévy nous avait attaqués en diffamation devant la 17e chambre correctionnelle du Tribunal de Paris. Résultat, BHL avait été débouté et condamné à nous payer 3 000 euros.
Non satisfait de ce premier jugement, l’écrivain avait fait appel. L’audience s’est tenue le 25 mai. Son avocat, maître Alain Jakubowicz, a tenté de convaincre la cour que la diffamation était réelle, en sortant de nouveaux motifs : nous aurions suscité des réactions diffamatoires sur les réseaux sociaux contre son client après la publication de notre enquête. L’avocat de Blast, maître Julien Kahn, a brillamment démonté l’argumentaire de son confrère en démontrant que ces tweets étaient postérieurs à la première décision de justice. Au contraire, les tweets réagissant à notre enquête initiale reprenaient nos informations sans les déformer.
Finalement, la Cour d’appel, qui a rendu son jugement mercredi 29 juin, donne raison à Blast et déboute Bernard-Henri Lévy. Non seulement, la cour confirme le jugement de première instance, mais elle confirme aussi la condamnation de BHL à nous payer 3 000 euros au titre des frais de justice. Notre victoire est donc totale.
Bernard-Henri Lévy a maintenant deux mois pour décider de se pourvoir ou non en cassation. Après deux jugements en sa défaveur, peut-il encore espérer une décision en sa faveur ? Blast se tient prêt en tout cas à l’affronter une troisième fois.
Le journaliste Denis Robert peut dire merci a un agent des services secret Français, pour un témoignage en sa faveur. Il y a donc encore des vrais patriotes dans cet organisme de l'Etat. BHL n'est pas le seul bénéficiaire des largesses financière du Qatar. Sarkozy ou plutôt par le biais de sa femme Carla a reçu un beau chèque du Qatar, pour déclencher une guerre contre le frère de Tripoli. Platini est aussi de la partie, mais pour accomplir un miracle, celui qui consiste pour la Qatar d'obtenir un tournoi sportif. L'organisation de l'OTAN a mis en oeuvre ses tambours de guerre pour détruire la Libye. Les mafieux de ce désastre profitent du plein air de la liberté Occidentale, au lieu de la prison.
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