SIX raisons pour lesquelles les néoconservateurs voulaient cette guerre avec la Russie

Il y a eu beaucoup de nouvelles sur la guerre récemment, combinées à des messages déroutants. Sans objectif global en vue, il est difficile de donner un sens à la politique des États-Unis et de ses alliés occidentaux. Voici un bref aperçu du chaos qui a remplacé les plans minutieux de nos maîtres.

Le secrétaire d'État américain Anthony Blinken, la sous-secrétaire d'État américaine aux affaires politiques Victoria Nuland et le président ukrainien Volodomyr Zelenskyy

Robert Kagan  [1] est l'un des principaux néoconservateurs aux États-Unis. Son épouse, Victoria Nuland, a dirigé le putsch de 2014 en Ukraine qui a installé un gouvernement fantoche soumis à l'Occident. Il admet ouvertement que la Russie a été provoquée à envahir l'Ukraine. Pourquoi a-t-il cela ?

La raison pour laquelle il a dit cela était parce que c'est vrai et parce que cela faisait partie du plan néoconservateur.

Tout d'abord, les États-Unis ont décidé de renvoyer Ianoukovitch parce qu'il avait refusé un paquet économique néolibéral de l'Occident et il a décidé d'accepter un prêt sans intérêt de la Russie à la place. Les États-Unis ont ensuite renversé son gouvernement et l'ont remplacé par un autre qui a immédiatement mis en œuvre des «réformes» néolibérales punitives.

Deuxièmement, les États-Unis et l'OTAN ont alors entrepris de reconstruire l'armée ukrainienne vaincue, de l'entraîner et de la financer pour qu'elle devienne la plus grande et la meilleure d'Europe à l’horizon 2022. En outre, une ligne défensive fortement renforcée a été construite sur le flanc est de l'Ukraine. Ceci est connu par certains aujourd'hui comme la ligne Zelensky.

Troisièmement, les États-Unis et leurs vassaux ont entamé des négociations avec la Russie sur le Donbass dont les conditions n'ont jamais été destinées à être mises en œuvre. Il est maintenant admis par Angela Merkel, l'ancien président ukrainien Porochenko et Volodymyr Zelensky lui-même que ces accords ont été conclus pour gagner du temps pour le réarmement de l'Ukraine.

Quatrièmement, le plan tel qu'énoncé dans cet article de RAND Corporation de 2019, était d'engager la Russie dans un conflit militaire conçu pour aboutir à une impasse. Les États-Unis avaient l'intention d'enfermer la Russie dans le genre de bourbier qu’ils ont subi lors de leurs propres aventures, sanctionnées par des défaites, à l'étranger. L'objectif ici n'était pas seulement l'humiliation militaire de la Russie, mais c’était une tentative de "saigner" la Russie sur le champ de bataille dans une guerre d'usure soutenue par l'Occident et impossible à gagner.

Cinquièmement, comme l'a indiqué RAND, l'utilisation de sanctions économiques pour isoler et dégrader l'économie russe était censée garantir une crise intérieure en Russie, qui se combinerait avec le désastre militaire russe prévu et qui devait produire de graves troubles.

Sixièmement, l'objectif ultime était de créer les conditions d'un changement de régime en Russie. En « étendant et déséquilibrant » la Russie dans les sphères militaire, économique et diplomatique, les États-Unis pouvaient raisonnablement espérer remplacer l'État russe par celui de leur choix, comme ils l'avaient fait en Ukraine.

Cela aurait permis une intégration plus efficace de la Russie dans la Nouvel Ordre Mondial,  managé par les états-Unis , avec ses ressources abondantes désormais disponibles pour financer et fournir la restauration de l'Europe et de l'Ukraine. Une Russie vaincue pourrait être divisée en États clients plus facilement gérables, offrant un accès plus facile aux cibles néoconservatrices restantes que sont la Chine et l'Iran.

Rien de tout cela n'est arrivé. La Russie détruit l'armée ukrainienne. Elle a enregistré un excédent commercial record et a forgé des liens plus étroits, y compris des contrats pétroliers et gaziers lucratifs, avec un éventail de partenaires hors de la portée du système de sanctions occidental.

C'est l'Europe et l'OTAN, qui semblent avoir été « trop étendus et déséquilibrés ». avec le secrétaire général de l'OTAN admettant que l'Occident n'a pas la capacité industrielle pour égaler les fournitures d'armement russes, et avec l'Europe confrontée à la pire crise économique depuis la Seconde Guerre mondiale. Les États-Unis n’ont pas hésité à sacrifier le niveau de vie européen, allant jusqu'à commettre un acte de guerre contre l'Allemagne en sabotant ses principaux gazoducs. Cet acte, conjugué aux effets des sanctions, a accéléré la désindustrialisation de la première économie d'Europe. Les États-Unis n'ont pas dégradé la Russie, mais ont dégradé leurs propres alliés-vassaux et leur alliance.

C'est pour ces raisons qu'ils cherchent une sortie rapide d'Ukraine qui apaise les Russes. Les États-Unis ont orchestré pour eux-mêmes une défaite d'un ordre de grandeur qui éclipse la débâcle de l'Afghanistan, après avoir affaibli leurs alliés, exposé leur vulnérabilité militaire, attaqué un autre membre important de l'OTAN (l’Allemagne) et pris des mesures qui ont gravement dégradé l'économie européenne. Ils semblent n'avoir aucun autre plan que de fuir le bordel qu'ils laisseront à leurs « amis » européens, qui devront trouver leur propre voie pour faire face à une Russie renaissante et victorieuse.

Le chaos et la panique que nous voyons dans les messages de nos médias va de pair avec la panique dans les yeux de Jens Stoltenberg, secrétaire général de l'OTAN. La peur et la confusion ne sont pas uniquement le résultat d'un échec, mais le produit d'un processus de planification si imperméable à la réalité et à refuser de prévoir un résultat autre que le succès.

Il est remarquable, en tant que seul cas d'orgueil, qu'à la suite d'une série ininterrompue de catastrophes étrangères, la faction néoconservatrice de la guerre pour toujours ait pu avoir une confiance aussi invincible dans son dernier plan. Ce fait souligne le danger que ces personnes représentent pour le monde.

Les Russes ne sont pas innocents et souhaiter une fin rapide de la guerre n'est pas fait pour les disculper. Ils ont résisté à une tentative avouée de dissoudre leur souveraineté dans un modèle managérial mondial dirigé par des gens sans se soucier du coût humain de leurs actions. Ce n'est pas un acte de sédition que de dénoncer la captation de l'Occident par une élite dont l'idée de liberté est la démolition des nations et l'abolition de la liberté, de la vie privée et de l'autonomie corporelle au service de l'efficacité managériale. Il n'est pas exagéré d'affirmer que la promotion active de diverses formes de folie est courante dans les médias occidentaux.

Nos dirigeants actuels ont autant de conscience que les machines qu'ils fétichisent et à travers les avancées technologiques à travers lesquelles ils souhaitent mieux nous contrôler. Pour eux, tout ce qui dégrade la vie des gens ordinaires est un avantage. Pour le moment du moins, le déploiement mondial s'arrête brutalement. Le gâchis que vous voyez dans les médias est ce qui se passe lorsqu'il n'y a pas de ballons à abattre. Soyons prêt. Le service normal reprendra.

Source

Frank Wright — Life Site News 15 février 2023

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Le Pentagone admet une « épidémie d’overdose » – médias

Des centaines de soldats sont morts d’overdoses de drogue, aurait déclaré l’armée américaine au Congrès

Plus de 15 000 membres du service militaire américain ont fait une overdose de drogues illicites au cours des cinq dernières années, et 332 de ces cas ont entraîné la mort, aurait admis le Pentagone en réponse aux questions du Congrès.

Les données ont été communiquées cette semaine à cinq sénateurs américains, dirigés par les démocrates du Massachusetts Edward Markey et Elizabeth Warren, a rapporté Rolling Stone mercredi. Les sénateurs avaient écrit au secrétaire à la Défense Lloyd Austin en septembre dernier, exigeant des informations sur les overdoses dans les rangs, après que le magazine eut révélé que pas moins de 30 soldats américains sont morts d’overdoses à Fort Bragg en 2020 et 2021. La base en Caroline du Nord est le quartier général des forces spéciales américaines, entre autres.

Le fentanyl a représenté plus de la moitié des décès par surdose militaire, a déclaré le Pentagone. En fait, les décès dus aux opioïdes synthétiques ont plus que doublé depuis 2017, suivant une trajectoire similaire à la crise globale de la drogue aux États-Unis. Les États-Unis ont enregistré près de 107 000 décès de civils par surdose en 2021, dont plus de 71 000 liés au fentanyl, selon les données du gouvernement.

[1] HOLOCAUSTE UKRAINIEN, supervisé par l'ancêtre de Robert KAGAN

En 1932, le dirigeant soviétique Josef Staline a déclenché un génocide en Ukraine. Staline, était déterminé à forcer des millions d'agriculteurs indépendants en Ukraine – appelés koulaks – à entrer dans l'agriculture soviétique collectivisée .

Face à la résistance à la collectivisation, Staline a déclenché la terreur et envoyé 25.000 jeunes militants fanatiques du parti de Moscou pour forcer 10 millions de paysans ukrainiens à fermes collectives. Les unités de police secrètes de l’OGPU ont commencé à exécuter agriculteurs récalcitrants.

Lorsque l'OGPU n'a pas atteint les quotas hebdomadaires d'exécution, Staline a envoyé un homme de main, Lazar Kaganovitch (ancêtre de Robert Kagan) pour détruire la résistance ukrainienne. Kaganovitch a rempli son quota en tuant 10.000 Ukrainiens chaque semaine. Quatre-vingt pour cent de tous les intellectuels ukrainiens ont été exécutés. Un membre du parti ukrainien, nommé Nikita Khrouchtchev  a aidé à superviser le massacre.

Kaganovitch et de nombreux officiers supérieurs de l'OGPU (plus tard, NKVD) étaient juifs.

Il est pour le moins curieux que les Ukrainiens fassent autant d’honneur à Nuland dont le mari est le descendant direct du massacreur de leurs ancêtres (plus de 10 millions de morts).

Une revenante : Victoria Nuland

Victoria Nuland , mariée au néo-cons Robert Kagan, a d'abord été adjointe de Madeleine "Kosovo" Albright, puis ambassadrice permanente de Bush Jr à l'OTAN, conseillère pour la politique étrangère de Dick Cheney, envoyée spéciale de l'hilarante Clinton et enfin secrétaire d’État assistante pour l'Europe et l'Eurasie sous l'administration Obama. Démocrates, Républicains, tout y passe du moment que c'est pour la cause supérieure juive. ....

 Hannibal Genséric