mardi 28 février 2017

Trump fait arrêter des milliers de pédophiles. Blackout médiatique






Depuis que le président Trump a pris ses fonctions, les autorités fédérales ont enfermé plus de 1.500 personnes pour des trafics d'enfants et des accusations de pédophilie, mais l'ampleur de ces dernières années est totalement ignorée par les médias traditionnels, dans tous les pays occidentaux. Surtout aux USA et France.

Selon le FBI, il y avait moins de 400 arrestations liées au trafic sexuel durant l'ensemble de l’année 2014, ce qui prouve que le 11président Trump est sérieux au sujet de l'utilisation de «la pleine force et le poids» du gouvernement américain pour briser les réseaux de trafic sexuel, et enfermer les prédateurs sexuels.
Liz Crokin de Townhall.com, écrit :
"Ce devrait être l'une des plus grandes histoires dans les nouvelles nationales et internationales. Au lieu de cela, les médias traditionnels ont à peine, voire pas du tout, couvert l'une de ces arrestations massives de pédophiles. Cela implore la question - pourquoi? "
Lors d'une conférence de presse du 23 février à la Maison Blanche, Trump a considéré que la traite des êtres humains est un «grave problème» aux États-Unis et à l'étranger et a mis l'accent sur le réseau de pédophilie des élites à Washington DC, qui, dit-il, déstabilise notre démocratie.
«Les hommes et les femmes dévoués du gouvernement fédéral se sont sérieusement penchés sur cette question depuis un certain temps, comme vous le savez, particulièrement au cours des quatre dernières semaines», a-t-il déclaré.
Toutefois, la conférence de presse a enregistré «à peine un petit entrefilet dans les médias grand public et les arrestations massives ont été presque totalement ignorées par le MSM pris dans leur ensemble», a écrit Liz Crokin, une auteure primée, une journaliste chevronnée et une défenseure des victimes de crimes sexuels.
Crokin a noté quelques-unes des arrestations importantes qui ont été faites depuis que Trump a pris le pouvoir:
-  Le 14 février, le shérif du comté de Polk a annoncé que 42 personnes avaient été arrêtées en Floride pour pornographie juvénile.
Pendant ce temps, alors que les grands médias «ignoraient ces arrestations historiques, ils se sont concentrés sur le casting de l'icône conservatrice Milo Yiannopoulos comme monstre», a écrit Liz Crokin.
"Ils prétendent qu'il soutient la pédophilie sur la base des commentaires qu'il a faits dans une vidéo il y a des années. La réalité est que Milo a été victime d'abus sexuels quand il était enfant, et bien qu'il ait plaisanté au sujet de cet abus dans une interview, il ne promeut aucunement la pédophilie.
"L'ironie de tout cela est que la gauche et les MSM ont été les plus grands partisans de la pédophilie. Salon.com a publié des articles tentant de normaliser la pédophilie; Cependant, pour maintenir leur faux outrage sur Milo, ils les ont supprimés. "
La «bonne nouvelle», a souligné Liz Crokin, «c'est que nous avons un président qui se préoccupe véritablement des enfants et qu'il a promis de faire de la lutte contre l'épidémie de la traite des êtres humains une priorité.

«Les récentes arrestations de pédophiles ne sont que la pointe de l'iceberg. Cette histoire finira par devenir si grande que les journalistes des MSM seront forcés de couvrir cette horrible épidémie qui a frappé notre pays depuis trop longtemps. »
La croisade des Grands Médias pour normaliser la pédophilie
Le philosophe politique Noam Chomsky a parlé autrefois des médias traditionnels aux États-Unis comme la plus grande et la plus sophistiquée opération de propagande dans l'histoire humaine.
Les médias traditionnels, qui appartiennent à seulement six sociétés, ne font pas que faire de la publicité pour l'industrie pharmaceutique: ils tentent de façonner les valeurs et les perceptions des Américains.
Cette machine de propagande et ses substituts tentent d'engendrer une société où le désir de violer ou d'exploiter des enfants - euphémiquement appelé «pédophilie» - est normalisé.
La raison pour laquelle cela se produit, que bon nombre des magnats des médias les plus puissants sont eux-mêmes des pédophiles.
Corey Feldman et Elijah Wood ont témoigné publiquement que l'industrie des news et du divertissement est infestée par des réseaux de viol des enfants, les comparant à une société de «vautours» qui s'attaquent aux vulnérables.
La propagande des médias est présentée en trois étapes progressives.
Premièrement, le terme «pédophilie» est lui-même utilisé comme un euphémisme pour ce qui est, objectivement, un désir de violer ou d'exploiter les enfants. Quand ils la redéfinissent comme «l'attraction pour les mineurs», c'est un abus du langage.
Deuxièmement, une inférence fallacieuse est faite. On part  de l'hypothèse que la pédophilie est une condition neurologique pour arriver à la conclusion que la sympathie plutôt que la honte doit être réservée aux hommes qui veulent violer ou exploiter les enfants.
Troisièmement, les erreurs de raisonnement et le langage ambigu étant en place, les propagandistes font valoir l'idée que la pédophilie doit être acceptée. Cela se fait implicitement en encadrant la question comme un «débat», plaidant pour des changements de politiques, en comparant les pédophiles aux minorités, aux LGBT, ou en accusant ceux qui rejettent les agresseurs de bigoterie.
À titre d'exemple de propagande médiatique, le New York Times a publié un article d'opinion déclarant que la pédophilie «n'est pas un crime». L'article est rempli de pseudo-science, d'euphémismes, et d'assertions sans argument. Par exemple, il caractérise la pédophilie comme un «désordre» avec lequel «ces gens [les pédophiles] vivent».
Les gens qui veulent violer ou exploiter des enfants, sont des victimes «vivant avec» une condition qui leur est arrivée, comme s'ils ont attrapé un rhume. Ils n'ont pas le choix. Bien sûr, ce n'est pas vrai, mais encore une fois, même si cela était, il ne s'ensuit pas que ce n'est pas moralement répréhensible.
L'article insère une manchette sur des «études récentes» qui «suggèrent» que l'opinion de l'auteur est correcte. Bien entendu, aucune des études n'est citée, et les lecteurs doivent plutôt dépendre de l'interprétation vague donnée par l'auteur de leurs résultats. Ainsi, nous avons des affirmations comme celle-ci: «Les hommes atteints de pédophilie sont trois fois plus susceptibles d'être gauchers ou ambidextres, ce qui suggère fortement une cause neurologique».
L'idée implicite est que les hommes qui veulent violer ou exploiter des enfants souffrent d'une affliction, tout comme les gens diagnostiqués avec le cancer, et donc la conséquence (sans toujours être déclarée) est qu'ils ne sont pas soumis à l'évaluation morale et la honte, mais devraient être traité avec compassion.
Dans quel monde vivons-nous quand un éditorial du New York Times consacre plus d'espace à l'apologétique des pédophiles qu'à la défense des enfants ?
Beaucoup se souviennent, peut-être, que le New York Times est ce journal qui a sorti la fausse nouvelle des Armes de Destruction Massive de Saddam, et qui a défendu l'invasion illégale de l'Irak en 2003, ce qui a entraîné la mort de centaines de milliers d'enfants irakiens. "C'est de la pure propagande", avait alors dit Noam Chomsky lors de la sortie de cette fausse nouvelle, déjà en 2003 !
Fait intéressant, on a découvert que Mark Thompson, qui est maintenant le PDG du NYT, a été attrapé en train de mentir en dissimulant une affaire impliquant un violeur d’enfants nommé Jimmy Savile. Ce Jimmy Savile mordait ses victimes et violait leurs cadavres. Jusqu'à 500 enfants auraient été victimes, alors que les boss des médias, les élites et les célébrités l'ont adoré et dissimulé ses crimes.

Pour cette forme de propagande, tout ce qui est nécessaire, c’est un cadre établi à l'intérieur duquel il n'est plus mauvais de violer un enfant, mais plutôt une question qui est «en débat». Il n'y a qu'à lire ci-dessous, les déclarations des élites pédophiles françaises pour s'en convaincre.
Hannibal GENSERIC

ANNEXE. France : Élites pédophiles : liste non-exhaustive

Daniel Cohn-Bendit
 « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : « Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ? » Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. »
Roman Polanski
A fui les USA en 1978 alors qu’il était poursuivi pour des relations sexuelles avec une mineur.
Il est visé par un mandat d’arrêt international émis par la justice de l’État de Californie pour une affaire remontant à 1977. Il a à l’époque eu des relations sexuelles avec une mineure âgée de treize ans après lui avoir fait boire de l’alcool et consommer des stupéfiants. Roman Polanski a reconnu les faits en plaidant coupable. La culpabilité au sens juridique de Roman Polanski ne fait plus débat. Roman Polanski, après quelques jours en prison, a été remis en liberté dans l’attente de l’audience sur la peine. Il en a profité pour déguerpir et a soigneusement évité le territoire américain pendant trente ans.
Après trente ans de cavale et de justifications pathétiques, Roman Polanski s’est livré à des excuses télévisuelles auprès de sa victime : une petite fille de 13 ans violée par le réalisateur en 1977. Une parodie d’explication pour un violeur pédophile qui fait encore son beurre sur une affaire qui aurait du lui valoir une peine de prison à perpétuité.
Trois mois de prison suivis de quelques mois de résidence surveillée trente ans plus tard ! Telle est la punition qu’aura connu Roman Polanski pour avoir drogué et saoulé Samantha Geimer, une jeune fille de 13 ans, avant de la violer ! Le tout avec la complicité des pouvoirs publics français qui considèrent certainement que le génie artistique absout de tous les crimes.
Désormais à peu près certain de ne pas avoir à affronter la justice, le réalisateur franco-polonais s’est fendu d’excuses publiques dans un documentaire qui lui est consacré… Des excuses pathétiques et déplacées, au cours desquelles Roman Polanski a encore une fois insulté sa victime en assurant que les médias (qui relaient naturellement l’affaire) avaient été aussi coupables que lui !
Des propos et une mise en scène révoltants pour celui qui toute sa vie se sera dérobé à ses obligations vis à vis de l’enfant qu’il a violé et dont il a brisé la vie. Ses excuses ne valent rien, notamment parce que Roman Polanski a toujours refusé de payer le prix de ses actes et de se soumettre au jugement américain.
Que le gratin du show-business et du monde de la culture, Frédéric Mitterrand en tête (auteur d’une très belle apologie du tourisme sexuel sur mineurs), défende un criminel qui a reconnu les faits de viol sur un enfant est encore plus révoltant à la lumière de cette parodie d’excuses.
Source : 24heures actu
Jack Lang
Il a déclaré:
« La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages. »
Cité dans plusieurs affaires (CoralVerdinVersailles…)
Dès le 4 avril 1981, il est le seul homme politique à s’afficher publiquement en faveur d’une marche homosexuelle. Il fréquente très souvent le Palace, célèbre boite parisienne où se déroulaient de fameuses orgies homosexuelles. Christophe Girard, le très visible adjoint de Delanoë, peut ainsi déclarer : « Jack Lang aime la subversion, il pense qu’il faut s’ouvrir à tout ce qui est porteur d’agitation. » (p88) Phrase étonnante de la part de Girard, quand on y pense… Quoi qu’il en soit, à ces rumeurs d’homosexualité (que dément Séguéla « qui n’est pas un con » selon l’inoubliable formule de Desproges) s’ajoutent celles de pédophilies. C’est Gilbert Estève qui lui apportera un soir dans son bureau la nouvelle du scandale. Il aurait participé à des soirées pédophiles où des jeunes mongoliens auraient été abusés, en compagnie de Gilbert Durand, Willy Marceau, et, petit clin-d’œil à mes amis philosophes : René Schérer, le célèbre traducteur des Recherches logiques, et le célèbre commentateur de Husserl.
De surcroît, Schérer, Durand et Marceau sont inquiétés par la justice. Les pétitionnaires de l’époque se mobilisent : Deleuze, Glucksmann, Sartre, Kouchner, Sollers, Catherine Millet, lesquels « ne comprendraient pas que trois pédophiles ne recouvrent pas la liberté. » (p96) prennent la défense des pédophiles. Schérer en profite pour publier un Emile perverti, manifeste apologétique de la pédophilie. Seul hic : Jack a évidemment signé la pétition. Il sera encore un peu plus associé à la pédophilie.
Les auteurs du livre sont très prudents sur cette question de pédophilie ; ils se contentent de rapporter quelques faits, un peu à l’image de L’Express qui, sans pencher d’un côté ou d’un autre, rappelait qu’en 1996 avait à nouveau explosé une affaire de pédophilie autour de Jack et de son épouse. « En 1996, un «blanc» – document non signé – des Renseignements généraux fait allusion à une vraie affaire de pédophilie survenue en 1988 dans le sud-est de la France et évoque, avec force détails scabreux, le couple Lang, citant des écoutes téléphoniques que personne n’a jamais entendues et qui ont été, selon la note… détruites depuis. » (L’Express du 22 novembre 2005)

Frédéric Mitterrand
Il a écrit :
« Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément. La lumière est moche, la musique tape sur les nerfs, les shows sont sinistres et on pourrait juger qu’un tel spectacle, abominable d’un point de vue moral, est aussi d’une vulgarité repoussante. Mais il me plaît au-delà du raisonnable. La profusion de garçons très attrayants, et immédiatement disponibles, me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de refréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système. »
Gabriel Matzneff
La littérature pédophile s’est développée dans le cadre de la « révolution sexuelle » de la fin des années 60, notamment avec Gabriel MATZNEFF, un écrivain et chroniqueur pour Le Monde, né en 1936. MATZNEFF a été exposé en 1982, dans le cadre de l’affaire Coral, lorsqu’une valise de photos pédopornographiques a été découverte dans un lieu d’accueil pour des enfants psychotiques et autistes .
Il a écrit :
« Coucher avec un ou une enfant c’est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée. Le champs de la conscience s’élargit, les « remparts flamboyants du monde » (Lucrèce) reculent. »
Condamné le 5 février 2010 par la cour d’appel de Paris à trois ans de prison avec sursis et 50.000 euros d’amende pour « corruption de mineure »
Michel Polac
Il a écrit:…
« et enfin à 40 ans, avec ce curieux gamin un peu bizarre, sauvage, farouche, un rien demeuré, fils de paysan, orphelin peut-être, qui devait avoir 10, 11 ans, peut-être moins, et qui m’a si étrangement provoqué jusqu’à se coucher nu dans ma chambre d’hôtel en me racontant une obscure histoire de relation sexuelle avec un homme de son entourage et je me suis rapproché de lui, et il était nu sur le côté, et j’ai seulement baissé mon pantalon et ai collé mon ventre contre son cul, et j’ai déchargé aussitôt, en une seconde, dans un éblouissement terrible, et il a eu un petit rire surpris comme s’il s’attendait à ce que je le pénètre… »
Alfred Kinsey
Le but des études de Kinsey était de normaliser un lot de comportements qui avaient toujours été considérés comme socialement inacceptable, tel que, la sodomie, l’inceste, la pédophilie et la bestialité. En montrant que ces comportements étaient plus répandus que le public ne le percevait, cela les rendaient plus acceptables….
Patrick Font
Condamné en 1998 à six ans de prison ferme pour attouchements, libéré au bout de quatre ans.
Commentaire : Voici un extrait révélateur d’une interview de Patrick Font par Marc Bihan (sondecloche.ifrance.com/patrick.font.html – malheureusement le site n’existe plus) :
« De très nombreuses personnes étaient persuadées que Val était au courant de tes agissements avec les enfants ? »
« (rire qui en dit long) Alors là je ne peux pas dire grand chose là-dessus, ça nous mènerait à des procès (rire) J’en ferai peut-être une chanson ».
Voici une déclaration de l’ex-rédacteur en chef de la revue Zoo (auquel participaient le Pr Choron et d’autres anciens de Charlie Hebdo) :
H. : « Que penses-tu de ce qui est arrivé à Patrick Font ? tu ne crois pas qu’il a pris bonbon à cause de l’effet Dutroux ? »
M. : « Oui, ça a joué. Dans Charlie, ils ont carrément passé une lettre de Patrick Font disant que Philippe Val n’était pas au courant, ça sentait pas le mec qui avait téléphoné pour lui dire :  » Putain Patrick, je suis dans la merde, tu peux pas m’écrire une lettre pour me dédouaner ? « . En plus je ne vois même pas comment Val peut dire qu’il n’était pas au courant, parce qu’en 1991, quand on faisait Canicule, on avait déjà entendu des rumeurs sur les penchants de Patrick Font. Ce que je trouve dommage, c’est que dans le duo Font et Val, ce soit le plus drôle qui soit parti en tôle, j’aurais préféré que ce soit l’autre. « 
Maurice Gutman
Ancien conseiller municipal (UMP) chargé d’Internet du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines), membre du CRIF, du consistoire, et ancien webmaster du site Internet « Comité français pour Yad Vashem »
Condamné à deux mois de prison avec sursis pour proposition sexuelle à une mineure de 12 ans.