Le
Service Russe des renseignements étrangers (SVR)
a été contacté, ce 04 /02/2017, par le Comité des Délégués (DC)
du Conseil de Sécurité Nationale de la Maison Blanche (NSC),
concernant l’interception, par le SVR,
de messages téléphoniques chiffrés montrant que Martha Raddatz (correspondante en
chef des affaires mondiales pour ABC News) est complice de la mort du soldat des
Navy SEAL, William
'Ryan' Owens. Si cela s’avérait vrai, cela constituerait une violation de la
loi 18
US Code Chapitre 115 - Trahison, sédition, et activités subversives
dont la peine peut aller jusqu’à la mort. Source
Or
Martha Raddatz est, de longue date, un agent connu du “Deep
State” (l’État Profond) qui tente actuellement de détruire le président franc-maçon Donald Trump , et qui a déjà
créé un «gouvernement
de l'ombre» (appelé «la Résistance») à cet effet.
De
plus, selon les analystes du SVR, Martha a été un «canal de messagerie»
entre les agences de renseignement américaines et les terroristes islamistes du
Moyen-Orient, ce
qui lui a rapporté près de
20 millions de dollars à ce jour.
Martha
Raddatz est cette journaliste qui: le 8 juin 2006, a été la première à annoncer
qu'Abou Mousab Al-Zarqawi, le dirigeant d'Al-Qaïda en Irak, a été tué. C’est ce
scoop
qui a lancé sa carrière. Or, ce coup de pouce décisif lui a été donné
par les services de renseignement américains, qui lui ont fourni des
informations hautement confidentielles. De plus, le président Barack Obama
a secrètement assisté à son mariage, pour services rendus. Le 9 novembre 2016, elle est devenue encore plus célèbre lorsqu’elle
a fondu en larmes parce qu’Hillary Clinton a perdu les élections
présidentielles américaines.
La
complicité et l'association de Martha Raddatz dans la mort du Navy Seal,
William 'Ryan' Owens, apparaît aussi dans une communication téléphonique
interceptée par le SVR, le 26 janvier, entre son mari, Tom Gjelten (qui s’occupe des questions de religion, de foi et de
croyance pour NPR News) et l'archevêque
Paul Gallagher, secrétaire pour les relations avec les États, au sein
du Secrétariat
d'État du Saint-Siège.
Presqu’immédiatement
après que l'archevêque Gallagher ait mis fin à son appel au mari de
Martha Raddatz, Tom Gjelten, le SVR a de nouveau intercepté une communication
téléphonique entre cet archevêque et l'un des plus proches
amis du pape François, le cheikh Ahmed el-Tayyib,
grand imam de la mosquée Al-Azhar
(Le Caire, Égypte). Or ce cheikh a toujours refusé
de dénoncer les terroristes islamistes, parce que, comme le Pape, il en est le complice, et l’un des
protecteurs les plus hauts placés.
Le pape François (à gauche) avec son ami proche, cheikh Ahmed el-Tayyib (à droite) |
Après
que le Cheikh Ahmed el-Tayyib eut mis fin à cette communication avec l'archevêque
Gallagher, le SVR intercepta une nouvelle communication téléphonique faite par
ce cheikh à l'un de ses associés connus à Sana'a (Yémen). Moins de 48
heures après cet appel, le 28 janvier, des forces spéciales d'élite des Émirats
Arabes Unis (UAE) et américaines
(US Navy SEALS) ont lancé un raid contre une forteresse d'al-Qaïda, qui est
un centre financier important d’al-Qaïda. Mais, apparemment, les
terroristes d’al-Qaïda avaient été prévenus de l’attaque et s’y étaient sérieusement
préparés.
Il
est important de noter que les
EAU sont actuellement engagés dans une «lutte à mort » contre l'Arabie Saoudite pour "
la sauvegarde du vrai islam ",
et que ce fait est
soigneusement caché aux populations occidentales.
L’objectif
initial de ce raid, planifié d’abord par Obama était de détruire complètement ce
repaire de brigands par des frappes massives par des drones. Mais le président
Trump a changé cet objectif, en ordonnant aux soldats américains de
capturer les numéros de comptes bancaires suisses que la CIA et ses alliés
occidentaux et saoudiens utilisent pour financer les terroristes islamistes.
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En
effet, c’est dans la matinée du 26 janvier qu’une femme traîtresse, nommée Omarosa
Manigault a révélé à ces terroristes islamistes, ce raid planifié
contre ce complexe financier d’al-Qaïda
au Yémen. D’ailleurs, Manigault [qui a été nommée par Trump comme directrice des communications pour
le Bureau de la liaison publique] a tenté de fuir les agents des services
secrets américains qui effectuaient un balayage de sécurité "inattendu et
inhabituel" des fonctionnaires de la Maison Blanche.
Omarosa Manigault a ensuite été transférée
de la Maison Blanche vers le Centre Médical National Militaire Walter Reed
à Bethesda, dans le Maryland. Et une recherche des documents en sa possession a
montré que, pendant sa journée de sortie, elle a rencontré Martha Raddatz,
Vincent Viola et Donna Brazile. Puis, après avoir été
libérée de la garde de service secret, elle est allée immédiatement au bâtiment
de siège d'ABC News à Washington DC.
Omarosa Manigault |
Omarosa Manigault a déclaré aux
enquêteurs du service secret que sa rencontre avec Martha Raddatz était
en vue d'introduire le journaliste Vincent Viola à ABC News (que Trump avait
nommé pour être le Secrétaire de l'armée américaine) et elle affirma en outre
que c'est juste par «hasard» que Donna Brazile a rejoint la réunion.
Les analystes du SVR contestent cependant les «actions bénignes» d'Omarosa
Manigault en notant qu'elle a été depuis longtemps un agent du Parti Démocrate.
Elle a déjà travaillé
pour l'ancien vice-président Al Gore, sous le commandement de la présidente de la campagne de
Gore, Donna Brazile. Or, celle-ci a été virée pour
avoir secrètement fourni à Hillary Clinton les questions qu’on allait lui poser
lors d'un débat organisé par la chaîne des « fake news », CNN.
Avec les nombreux chemins à explorer à la fois par le
SVR et le NSC dans la conspiration qui va d’Omarosa Manigault-à-Martha
Raddatz-à-Tom Gjelten-à l'archevêque Gallagher-à-Cheikh Ahmed el-Tayyib-à- al-Qaïda
au Yémen, conspiration qui a «averti» ces
terroristes islamistes du raid secret planifié par les États-Unis et les EAU, il
est évident qu’Omarosa
Manigault, fait partie du coup d’État mené par Clinton pour
renverser Trump. Vincent Viola a, pour sa part, retiré
sa nomination pour être le secrétaire de Trump pour l'armée américaine. Il
reste que le président franc-maçon Trump accélère
sa recherche d’autres traîtres dans la Maison Blanche, et, continue, comme
il dit, à "drainer le marais".
Hannibal GENSERIC