lundi 27 février 2017

Un nouveau savant démolit la fable du réchauffement climatique




Un scientifique très respecté, médaillé du climat, vient de décortiquer la science du réchauffement planétaire et y a jeté un coup de pied géant.
Son nom? John Bates. Sa cible? Une étude frauduleuse récente qui a déclaré que la «pause» inconfortable dans le réchauffement n’était vraiment pas du tout une pause. Cette étude, qui prétendait que le réchauffement n’avait jamais cessé, avait été programmée pour influencer les pays négociateurs, lors du Sommet sur le Climat à Paris.
Il avait été préparé juste à temps pour les aider à adopter des mesures économiques draconiennes pour réduire le réchauffement.
Mais, Bates révèle, que l’étude a été grillée sur plusieurs points. C’était un tel désordre, qu’en temps normal, aucun scientifique qui se respecte, n’aurait accepté de le signer Cependant, les scientifiques y ont adhéré. Et une prestigieuse revue, Science, l’a publiée.
Apparemment, les cerveaux de la Science étaient en vacances. Ou alors, ils étaient déterminés à jouer au ballon et à aider le plan Globaliste à réduire de façon drastique la production d’énergie produisant du CO2 dans les pays du monde entier, augmentant ainsi la pauvreté, afin de «nous sauver» et éviter de se faire brûler.
Voici des citations de choix de l’article exclusif de David Rose du Daily Mail, qui expose cette tromperie de grande envergure:
“Le Mail du dimanche révèle aujourd’hui des preuves étonnantes que l’organisation, qui est la principale source mondiale de données climatiques, s’est précipité pour publier un document historique qui exagère le réchauffement climatique, lequel a été programmé pour influencer l’Accord historique de Paris sur le Changement Climatique.”
“Un dénonciateur de haut niveau a déclaré à ce journal, que l’Administration Nationale Océanique et Atmosphérique de l’Amérique (NOAA) a violé ses propres règles en ce qui concerne l’intégrité scientifique, quand ils ont publié le rapport sensationnel mais incorrect [frauduleux], et qui visait à faire le maximum d’impact sur les dirigeants mondiaux, Barack Obama et David Cameron à la conférence climatique de l’ONU à Paris en 2015.”
“Le rapport [frauduleux] a affirmé que la «pause» ou le «ralentissement» du réchauffement climatique depuis 1998 – révélée par les scientifiques de l’ONU en 2013 – n’a jamais existé et que les températures mondiales avaient augmenté plus vite que prévu. Lancé par la NOAA avec une fanfare de relations publiques, il a inondé tous les médias du monde, et été cité à plusieurs reprises par les politiciens et décideurs politiques.”
“Mais le dénonciateur, le Dr John Bates, un scientifique de haut niveau du NOAA, et qui a une réputation impeccable, a démontré dans le journal The Mail le dimanche, la preuve irréfutable que le document était basé sur des données trompeuses, et «non vérifiées».”
« Il n’a jamais été soumis au processus rigoureux d’évaluation interne de la NOAA – que le Dr Bates a installé. »
“Ses objections véhémentes à la publication des données erronées ont été outrepassées par ses supérieurs du NOAA, dans ce qu’il décrit comme «une tentative flagrante d’intensifier l’impact» de ce qui est devenu connu comme le papier [frauduleux] du Pausebuster.”
“Ses révélations risquent de solidifier la détermination du président Trump de promulguer ses promesses d’inverser les politiques «vertes» de son prédécesseur et de se retirer de l’Accord de Paris – déclenchant ainsi une intense querelle politique.”
“Dans une interview exclusive, le Dr Bates a accusé Thomas Karl, l’auteur principal du document, et qui était jusqu’à l’an dernier directeur de la section NOAA qui produit des données climatiques – les Centres Nationaux pour l’Information Environnementale (NCEI) – d’insister sur les décisions et les choix scientifiques qui ont maximisé l’idée du réchauffement et réduit la documentation … dans un effort de discréditer la notion de pause du réchauffement planétaire, s’est précipité afin de pouvoir chronométrer la publication pour influencer les délibérations nationales et internationales sur la politique climatique».”
“Les deux ensembles de données [utilisées dans l’étude frauduleuse] étaient erronées. Ce journal a appris que la NOAA a maintenant décidé que l’ensemble de données sur la mer devra être remplacé et révisé substantiellement, juste 18 mois après avoir été publié, parce des méthodes non fiables avaient été utilisées, et qui surestimaient la vitesse du réchauffement. Les données révisées démontrent à la fois, et des températures plus basses, et un rythme plus lent, dans la récente tendance au réchauffement.”
“Le jeu de données sur la température terrestre, utilisé par l’étude a été affligé par des bugs dévastateurs dans son logiciel, ce qui a rendu ses résultats «instables».
“Le document [étude frauduleuse] s’est appuyé sur une version «alpha» préliminaire des données, laquelle n’a jamais été ni approuvée ni vérifiée.”
“Aucune des données, sur lesquelles le document a été fondé, n’a été correctement archivée – une exigence obligatoire visant à garantir que les données brutes et le logiciel utilisé pour le traiter, sont accessibles à d’autres scientifiques, afin de pouvoir vérifier les résultats de la NOAA.”
“Le Dr Bates a pris sa retraite de la NOAA à la fin de l’année dernière, après une carrière de 40 ans en matière de météorologie et de climatologie. Récemment, en 2014, l’administration Obama lui a décerné une médaille d’or spéciale pour son travail à établir de nouvelles normes, en principe obligatoires, «pour produire et conserver des données climatiques».”
“Pourtant, quand le journal est arrivé juste à temps, pour influencer la conférence de Paris, le Dr Bates a dit que ces normes ont été ignorées de façon flagrante.”
“L’article [frauduleux] du journal a été publié en juin 2015 par la revue Science. Intitulé «Les artefacts possibles des biais de données sur la récente lacune en ce qui concerne le réchauffement climatique global», le document a déclaré que le «répit» ou «ralentissement»  [réchauffement] était un mythe.”
“Mais le Dr Bates a déclaré que cette augmentation des températures a été obtenue par des moyens douteux. L’erreur clé était un «ajustement» à la hausse des relevés des bouées fixes et flottantes, généralement fiables, pour les aligner avec des lectures provenant d’une source beaucoup plus douteuse: l’eau captée par les navires. On sait depuis longtemps que les bateaux sont eux-mêmes des sources de chaleur, les lectures varient d’un navire à l’autre et la profondeur de l’apport d’eau varie en fonction du poids du navire, ce qui affecte les relevés de température.”
“Le Dr Bates a déclaré: «Ils avaient de bonnes données provenant des bouées. Et ils les ont mises de côté et «corrigées» en utilisant les mauvaises données des navires. Vous ne changez jamais de bonnes données pour confirmer les mauvaises, mais c’est ce qu’ils ont fait – afin de laisser paraitre que la mer était plus chaude’.”
“En outre, le … logiciel [utilisé dans l’étude frauduleuse] était affligé par de graves bugs. Cela a fait en sorte qu’il est devenu tellement «instable» que, chaque fois que les lectures brutes de température ont été traitées par ordinateur, cela a donné des résultats différents.”
« Le Dr Bates a révélé que l’incapacité d’archiver et de rendre disponibles des données entièrement documentées, non seulement violait les règles de la NOAA, mais aussi celles établies par la Science. Avant de prendre sa retraite l’année dernière, il a continué à soulever la question en interne. Puis vint la dernière bombe. Le Dr Bates a déclaré: «J’ai appris que l’ordinateur utilisé pour traiter le logiciel avait subi une défaillance complète».”
“La raison du problème est inconnue, mais cela signifie que le papier Pausebuster [frauduleux] ne pourra jamais être reproduit ou vérifié par d’autres scientifiques.”
Comprenez-vous? Fraude d’un bout à l’autre. Et un camouflage, pour rendre impossible tout examen des détails de la fraude.
Le parfait pire scénario.
Pouvons-nous maintenant, enfin, avoir quelques accusations criminelles?
Même un procureur de la poursuite, fraîchement sorti de l’école de droit, encore humide derrière les oreilles, avec aucune expérience de la cour, serait en mesure d’obtenir un verdict approprié.
Coupable sur tous les points.
Coupable de fraude à aider et encourager un vaste programme visant à réduire la production d’énergie en Amérique, (et d’autres nations), sur la prémisse que le réchauffement est en hausse et doit être arrêté.
“Mesdames et messieurs du jury, imaginez cela. Les puissances au pouvoir veulent réduire la production d’énergie dans ce pays. Tout le monde peut voir le résultat d’un tel plan. Nous devenons tous piégés. Nous devenons tous plus pauvres. Mais on nous dit que c’est nécessaire pour nous sauver de la destruction de toute vie sur Terre. On nous dit que nous devons accepter ce plan, parce que la production d’énergie libère du dioxyde de carbone, qui à son tour maintient l’augmentation de la température de la planète.
Récemment, une étude scientifique clé a été publiée, et cette étude renforce l’idée que le réchauffement climatique est à la hausse. Mais un initié-clé expert démontrera que cette étude était fausse, une fraude et un mensonge, et les gens qui l’ont écrite sont coupables de nous tromper, vous et moi et tout le monde. Déclarez ces personnes coupables, une fois pour toutes, et envoyez-les en prison, où c’est leur place…”
Je pourrais présenter cette affaire devant les tribunaux. Vous pouvez présenter cette affaire devant les tribunaux. Trois types dans un bar pourraient faire une poursuite sur ce cas. Et gagner.
Êtes-vous prêt, monsieur Trump? Envoyez les chiens de chasse du Ministère de la Justice et mettez ces menteurs en état d’arrestation.
Et diffusez leur procès en audience publique, à chaque minute, à la caméra, à la télévision, en ligne.
Qu’on les voit à New York et à Chicago, à Los Angeles, à Toronto, à Londres, à Paris, à Rome, à Kaboul, à Téhéran, à Sydney, à Tokyo, à Rio, à Durban, Nuuk et Tierra del Fuego …
Finalement, mettez la science officielle et ses facilitateurs sur le banc des accusés.