L'un des principaux cerveaux de la
guerre menée par “l’État Profond” pour détruire le
président Donald Trump est un ancien tueur secret de la CIA, nommé Charles McCarry. Il a aidé son fils, Nathan McCarry, à créer une société
privée de renseignements, Pluribus
International Corporation, dont l'une des
analystes, dénommée Reality
Leigh Winner, a été arrêtée la semaine dernière
par le FBI, pour espionnage dès son retour du Qatar [1].
Un autre tueur au marteau [2] |
En 1967, il prétendu avoir quitté la CIA.
Au lieu de cela, il s’était totalement investi dans la
guerre du «Deep State» contre le président Richard Nixon qui a fini par le
renverser du pouvoir.
En 1971, il a publié son premier roman “The
Miernik Dossier”, (traduit en français par Opération
Golgotha), dans lequel il a décrit sa carrière et ses actions au sein du "Deep
State" à travers son personnage de fiction “Paul Christopher”.
Tout en se prétendant uniquement écrivain de romans
d’espionnage, Charles
McCarry a passé la plus grande partie de ses 40 dernières années à opérer au
sein du «Deep State». Son plus grand accomplissement à ce jour est d’utiliser
son fils, Nathan McCarry, comme «figure de proue» pour créer une
société d'espionnage privée appelée Pluribus International Corporation,
dont les
opérations s'étendent sur le globe et se situent au centre même de la vaste
communauté du renseignement américaine.
Le cerveau du "Deep State" Charles McCarry (alias "Marteau Noir") |
Pluribus International Corporation fournit un soutien en
matière d'analyse de la langue et du renseignement, non seulement au
gouvernement des États-Unis, mais aussi à d'autres pays. Dans son dernier bilan,
cette société a gagné
plus de 140 millions de dollars, tout en se qualifiant de «petite entreprise».
Ce qui est encore plus curieux, c’est que la grande majorité de ses 210 employés
sont des jeunes femmes ayant
travaillé dans l’armée américains. Valérie, l’épouse de
Nathan McCarry, a expliqué que cela venait du
fait qu’elle-même était une jeune mère
célibataire de 20 ans élevée dans une famille militaire américaine. Une
justification « tirée par les cheveux ».
L’une de ces jeunes femmes militaires embauchée par Pluribus
International Corporation s’appelle Reality
Leigh Winner. C’était
un vétéran de la Force aérienne des États-Unis, âgée de 25 ans. Activiste anti-Trump,
Reality parle quatre langues anglais, Farsi, Pashtou et Dari.
Reality Leigh
Winner, agent active du "Deep State" |
Dès que Reality Leigh Winner a été embauchée
par Pluribus International Corporation le 13 février 2017, elle a
joué un rôle déterminant en raison de ses compétences linguistiques. Elle a
établi les communications, dans le « Web obscur », pour le compte d'un
groupe du "Deep State", s’appelant lui-même "La
Vengeance de Palpatine".
Nous avions vu, dans « Le
Cauchemar du Qatar » que le Service
des renseignements extérieurs de la Fédération de Russie (SVR) avait découvert que ce groupe offrait, sur le « web
obscur », plus 150 millions de dollars à quiconque arriverait à
assassiner le président Trump, et que "Palpatine" n’est autre que l’émir du Qatar, Tamim bin Hamad Al Thani, qui avait juré que Trump "ne serait pas au pouvoir pendant longtemps".
Le SVR ayant continuellement informé le
président Trump de ce complot du "Deep State", ce n’est qu’après
avoir viré le directeur du FBI, James
Comey, pour faute grave [voir : L'arnaque
avortée du directeur du FBI contre Trump] que le FBI a pu s’attaquer aux comploteurs du
réseau « la vengeance de Palpatine ».
Ceci a permis aux forces fidèles à Trump au sein du FBI, d’obtenir
le 5 juin un mandat d’arrêt contre Reality Leigh Winner pour espionnage. [Pour
le compte du Qatar].
Palpatine [3] |
Dans le quart d’heure qui a suivi cette arrestation, le 5 juin à 6 h du
matin, une
majorité d’états arabes ont rompu tous leurs liens diplomatiques et de voyage
avec le Qatar, suivis dernièrement par la Jordanie et les
Philippines.
Alors que ce réseau « la vengeance de Palpatine »
du "Deep State", formé de Charles
McCarry-Nathan McCarry-Pluribus International-émir du Qatar, est en
train d'être détruit, le président Trump a suggéré, il y a quelques heures, que
le «début de la fin du
terrorisme est proche ».
Même s'il apparaît maintenant que le président Trump est en train
de gagner contre ses adversaires du “Deep State” qui désirent
désespérément une guerre contre la Russie et la Chine, la Russie accélère la
mise en place de son parapluie antimissiles contre une première frappe
nucléaire, la Russie et la Chine doivent aussi accélérer leur préparation coordonnée
contre une telle frappe. Et
le président Poutine d’avertir: «Je ne pense pas
que quiconque survivrait à un tel conflit.»
[1] Naturellement, la version des médias menteurs n’a rien à voir avec la réalité :
La justice américaine a arrêté une jeune femme employée par le
gouvernement américain et qui détenait des documents classifiés. Elle est
accusée d'avoir transmis ces documents à un média d'investigation (The
Intercept), alors qu'elle en était la garante. Le 5 juin, le
magazine en ligne américain The
Intercept a déclaré que des pirates informatiques du renseignement
militaire russe avaient tenté à plusieurs reprises de s'introduire dans les
systèmes électoraux américains avant la présidentielle de 2016. Tous les grands
médias ont repris cette accusation ridicule.
- Médias aux abois. Le FBI prouve que les "hackers russes" sont des Américains
- Des « hackers russes » étaient des officiers américains de la NSA
- Les supers hackers russes et les élections présidentielles américaines
- Des "hackers russes" ont attaqué Washington à partir du QG de la CIA !
[3] Palpatine (wikipédia)
Sheev Palpatine, alias Dark Sidious (Darth Sidious en anglais) est un personnage de fiction, seigneur noir des Sith et homme politique dans la série Star Wars créée par George Lucas.
Personnage central de la première trilogie, il apparaît pour la première fois dans le cinquième épisode, L'Empire contre-attaque (sorti en 1980).
[4] Trumpoline
Les économistes ont fait des néologismes une de leurs spécialités. Avec l'arrivée prochaine de Donald Trump
à la Maison-Blanche, ils s'en donnent à cœur joie, entre la
Trumpflation, en référence à la poussée que pourrait connaître
l'inflation, et les Trumponomics, contraction de Trump et economics (science
économique). Il n'en manquait plus qu'un pour qualifier l'euphorie qui
s'est emparée des marchés financiers : le Trumpoline. La victoire du
candidat républicain a en effet servi de tremplin à Wall Street, qui a enchaîné cette semaine les records. source
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC