mardi 16 mai 2017

USA. L'arnaque avortée du directeur du FBI contre Trump


Selon un nouveau rapport du Service (russe) de renseignement extérieur (SVR), il s’avère que l’ancien directeur du FBI,  James Comey, contrôlait une caisse noire de 173 milliards de $, que l’ « État Profond » destinait à financer les moyens de détruire le président Donald Trump, et que, au moins 15 millions $ ont été  « offert » par le FBI à un jeune homme russe s'il  mentait en déclarant que le président Poutine l’avait personnellement chargé du piratage informatique de la campagne électorale d'Hillary Clinton.

En effet, et selon ce rapport, au cours de la réunion de la semaine dernière au Bureau ovale de la Maison Blanche, le ministre des Affaires étrangères Sergey Lavrov, a demandé au Président Trump pourquoi les médias grand public des États-Unis n'ont pas informé le peuple américain au sujet du grave avertissement, émis le 26 Avril, par le lieutenant-général Viktor Poznihir, de la Direction des forces armées russes, que la Russie pense sérieusement  que les États-Unis préparent une première frappe nucléaire contre elle.
Dans sa réponse aussi étonnante que choquante, le président Trump a dit  (et fourni des documents à l'appui) qu'il n’était pas  encore parvenu à prendre le contrôle complet de son gouvernement, dont une partie est encore aux mains de ses ennemis de « l’État Profond ». Trump a aussi révélé qu’en Août 2016, ses ennemis de l’État Profond ont volé  plus de 6,5 billions $ (6,5 mille milliards) du Ministère Américain de la Défense pour financer, entre autres, leurs opérations contre lui.
À la tête de l'opération de renseignement de l’« État profond » pour détruire le président Trump, se trouvait le directeur Comey, qui a reçu un étonnant budget de 173 Milliards $, pris dans ces 6,5 billions $ d’argent volé, ce qui lui a permis de payer le vaste réseau de la CIA qui contrôle la quasi-totalité des institutions universitaires des États-Unis, pour leur collaboration dans la guerre contre Trump, avec leurs « fausses nouvelles », leurs articles de « recherche orientée » et leurs sondages bidonnés.
L’opération centrale de déstabilisation du président  Trump a été la création de ce qu'on appelle le « mémo du hacking russe », qui décrit une histoire entièrement fabriquée disant  que la Russie a piraté l'élection présidentielle américaine de 2016 afin de soutenir Trump contre Hillary Clinton. Ce « mémo »  a été créé par une société américaine Fusion GPS, qui a été  payée par des partisans d’Hillary Clinton.
Rappelons que cette opération du « mémo du piratage russe », conduite par le directeur Comey, a impliqué les serveurs informatiques du Parti démocrate, dont le contenu stupéfiant a été piraté et publié par WikiLeaks et que WikiLeaks a toujours déclaré que la Russie n'a jamais été impliquée dans ce piratage.

Cependant, le  principal problème dans cette affaire de soi-disant piratage russe, est que le FBI n'a jamais examiné les serveurs informatiques qui, selon lui, auraient été piratés par la Russie. De plus, le Parti démocrate d’Hillary Clinton affirme que le FBI n'a jamais demandé à les examiner, et le FBI affirme  qu'il a demandé à les examiner mais que le Parti Démocrate a refusé.
De plus, le directeur Comey affirme que la Clinton a financé et soutenu une société privée nommée CrowdStrike, et que cette société est digne de foi lorsqu’elle affirme que la Russie a piraté ces serveurs informatiques. Mais, malheureusement pour lui, (a)  il a été prouvé que les affirmations de cette société sont des mensonges, et (b) cette société refuse désormais de coopérer avec le Congrès des États-Unis . Or, si elle n’avait rien à se reprocher, elle aurait été fière de coopérer avec le Congrès.
Alors que le directeur Comey a été ainsi discrédité par ces mensonges de CrowdStrike, l'un des plus grands experts au monde en matière de cybersécurité, Jeffrey Carr, l’a réprimandé d’une manière cinglante en lui envoyant un document de recherche foudroyant intitulé Can Facts Slow The DNC Breach Runaway Train? « Est-ce que les faits peuvent ralentir l’emballement du train des violations faites par le Parti Démocrate ? ».

Ce document détruit complètement chaque affirmation de « piratage russe » de la société CrowdStrike:
« Les métadonnées dans les documents divulgués sont peut-être les plus révélatrices, un document a été modifié en utilisant des paramètres en langue russe, par un utilisateur nommé « Феликс Эдмундович » un nom de code faisant référence au fondateur de la police secrète soviétique.  OK. Levez la main si vous pensez qu'un GRU ou un dirigeant FSB ajouterait son nom aux métadonnées d'un document volé avant  de le publier dans monde entier tout en prétendant être un hacker roumain. Quelqu'un avait clairement un mauvais sens de l'humour ».
Vous voulez en savoir plus? Cliquez ICI.
Avec son « mémo du hacking russe» se désagrégeant, le directeur Comey a ensuite jeté son dévolu sur un jeune pirate informatique russe de 29 ans, nommé Yevgeniy Nikulin.
Le citoyen russe Yevgeniy Nikulin,
alias « pion de Comey », 29 ans
Accusé ainsi de charges connues et inconnues, le pauvre Yevgeniy Nikulin est susceptible d’être emprisonné aux États-Unis pour des centaines d'années. Le  directeur Comey a ensuite ordonné aux agents du FBI d'offrir à ce jeune homme la liberté complète par l'abandon de toutes les charges, en lui donnant immédiatement la nationalité américaine, un appartement gratuit pour la vie, et des paiements pouvant représenter jusqu'à 15 millions $. Tout ce qu'il avait à faire était de mentir et de dire qu'il a piraté le Parti Démocrate sur ordre du Président Poutine.

Lettre de témoignage de Yevgeniy Nikulin, affirmant les pots de vin du FBI, afin d’accuser faussement Trump et Poutine

Coincé entre la Russie et « l'État profond » des États-Unis, l’avocat tchèque de Yevgeniy Nikulin, Martin Sadilek, a déclaré que les accusations portées par les États-Unis contre son client sont « littéralement » basée sur les déclarations des agents du FBI qui n’ont fourni aucune preuve pour les appuyer, et dont l'audition d'extradition doit être reportée cette semaine, car Nikulin n’a pas reçu les documents juridiques en russe, auxquels il a droit. La prochaine audience est prévue pour le 30 mai sous une  sécurité draconienne des autorités tchèques. Car avec l’État Profond américain, un accident mortel peut vite arriver.
Quant à savoir si le peuple américain sera autorisé à connaître la vérité sur les crimes commis par le directeur Comey, on peut en douter, car les médias de propagande ordinaire de cette nation ne permettent à personne de connaître la vérité sur quoi que ce soit. Personne ne leur montrera comment ce jeune homme russe, Yevgeniy Nikulin, criait en pleurant, dans une prison des États-Unis, dans les bras de sa mère, parce que, à son insu, il est devenu le plus grand pion dans le monde. Comment peut-on croire que la Russie (ou toute autre nation) puisse permettre à l'un de « ses experts d'élite informatique » de l'agence de renseignement de quitter la Fédération, puis être capturé par une puissance étrangère hostile, en particulier celui qui aurait piraté une élection américaine sous les ordres du président Poutine ? À moins de croire aux contes de fées, en lisant le Monde ou le New York Times.

 [1] Voici ce qu’écrit le journal de la propagande mondialiste et de fausses nouvelles « Le Monde » du 21.10.2016

Piratage de LinkedIn : arrestation du principal suspect

Evgueni Nikulin, jeune moscovite de 29 ans, menait grand train depuis plusieurs années. …
Arrivé tard dans la soirée du mardi 4 octobre en République tchèque, il était paisiblement attablé avec sa compagne ce mercredi matin, en train de consulter le menu d’un hôtel-restaurant du centre de Prague, lorsqu’il a été interpellé par plusieurs hommes armés, lors d’une opération de police internationale.
Le FBI, qui s’est félicité dans un communiqué de cette arrestation illustrant selon lui la « collaboration nécessaire pour vaincre l’ennemi cyber », travaillait en étroite collaboration depuis plusieurs mois avec la société LinkedIn, afin de remonter à la source du piratage de 167 millions de comptes du réseau social professionnel en 2012.
L’opération, demandée par Interpol, pilotée par le FBI et menée le 5 octobre en association avec les autorités tchèques, n’aura été annoncée par ces dernières que deux semaines plus tard, le 18 octobre, sans faire mention du nom de la personne interpellée, cela pour des « raisons tactiques », selon le porte-parole de la police tchèque.
Cette arrestation, intervenue seulement deux jours avant que l’administration Obama accuse formellement le gouvernement russe d’avoir dérobé puis diffusé des e-mails de nombreux organismes, dont le Comité national démocrate, n’a, selon les autorités américaines, rien à voir avec ces accusations.
Hannibal GENSERIC