Selon un nouveau rapport du Service
(russe) de renseignement extérieur (SVR), il s’avère que l’ancien directeur du
FBI, James Comey, contrôlait une caisse noire de 173 milliards de $, que
l’ « État Profond » destinait à financer les moyens de détruire
le président Donald Trump, et que, au
moins 15 millions $ ont été « offert » par le FBI à un jeune homme russe
s'il mentait en déclarant que le président Poutine l’avait
personnellement chargé du piratage informatique de
la campagne électorale d'Hillary Clinton.
En effet, et selon ce rapport, au cours
de la réunion de la semaine dernière au Bureau ovale de la Maison Blanche, le
ministre des Affaires étrangères Sergey Lavrov, a demandé au Président Trump pourquoi
les médias grand public des États-Unis n'ont pas informé le
peuple américain au sujet du grave avertissement, émis le 26 Avril,
par le lieutenant-général Viktor Poznihir, de la Direction des forces
armées russes, que la Russie pense sérieusement que les États-Unis
préparent une première frappe nucléaire contre elle.
Dans sa réponse aussi étonnante que
choquante, le président Trump a dit (et fourni des documents à l'appui)
qu'il n’était pas encore parvenu à prendre le contrôle complet de son
gouvernement, dont une partie est encore aux mains de ses ennemis de « l’État
Profond ». Trump a aussi révélé qu’en Août 2016, ses ennemis de l’État Profond
ont volé plus
de 6,5 billions $ (6,5 mille milliards) du Ministère
Américain de la Défense pour financer, entre autres,
leurs opérations contre lui.
À
la tête de l'opération de renseignement de l’« État profond » pour détruire le
président Trump, se trouvait le directeur Comey, qui a reçu un étonnant budget de 173 Milliards $, pris dans ces 6,5 billions $
d’argent volé, ce qui lui a permis de payer le vaste réseau de la CIA qui
contrôle la quasi-totalité des institutions universitaires des États-Unis,
pour leur collaboration dans la guerre contre Trump, avec leurs « fausses
nouvelles », leurs articles de « recherche orientée » et leurs
sondages bidonnés.
L’opération centrale de déstabilisation
du président Trump a été la création de ce qu'on appelle le « mémo du hacking
russe », qui décrit une histoire entièrement fabriquée disant que la
Russie a piraté l'élection présidentielle américaine de 2016 afin de soutenir
Trump contre Hillary Clinton. Ce « mémo » a été créé par une
société américaine Fusion GPS, qui a été payée par des partisans d’Hillary
Clinton.
Rappelons que cette opération du « mémo
du piratage russe », conduite par le directeur Comey, a impliqué les serveurs
informatiques du Parti démocrate, dont le contenu stupéfiant a été piraté et publié par WikiLeaks
et que WikiLeaks
a toujours déclaré que la Russie n'a jamais été impliquée dans ce piratage.
Cependant, le principal problème dans cette affaire de
soi-disant piratage russe, est que le FBI n'a jamais examiné les serveurs informatiques qui,
selon lui, auraient été piratés par la Russie. De plus, le Parti démocrate
d’Hillary Clinton affirme que le
FBI n'a jamais demandé à les examiner, et le FBI
affirme qu'il a demandé à les examiner mais que le Parti Démocrate a
refusé.
De plus, le directeur Comey affirme que la Clinton a financé et
soutenu une société privée nommée CrowdStrike, et que cette société est digne
de foi lorsqu’elle affirme que la Russie a piraté ces serveurs informatiques.
Mais, malheureusement pour lui, (a) il
a été prouvé que les affirmations de cette société sont des mensonges,
et (b) cette société refuse
désormais de coopérer avec le Congrès des États-Unis . Or, si elle
n’avait rien à se reprocher, elle aurait été fière de coopérer avec le Congrès.
Alors que le directeur Comey a été ainsi discrédité par ces
mensonges de CrowdStrike, l'un des plus grands experts au monde en matière de
cybersécurité, Jeffrey Carr,
l’a réprimandé d’une manière cinglante en lui envoyant un document de recherche
foudroyant intitulé Can
Facts Slow The DNC Breach Runaway Train? « Est-ce que
les faits peuvent ralentir l’emballement du train des violations faites par le
Parti Démocrate ? ».
Ce document détruit complètement chaque
affirmation de « piratage russe » de la société CrowdStrike:
« Les métadonnées dans les
documents divulgués sont peut-être les plus révélatrices, un document a été
modifié en utilisant des paramètres en langue russe, par un utilisateur nommé
« Феликс Эдмундович » un nom de code faisant référence au fondateur
de la police secrète soviétique. OK.
Levez la main si vous pensez qu'un GRU ou un dirigeant FSB ajouterait son nom aux
métadonnées d'un document volé avant de
le publier dans monde entier tout en prétendant être un hacker roumain.
Quelqu'un avait clairement un mauvais sens de l'humour ».
Vous voulez en savoir plus? Cliquez ICI.
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Avec son « mémo du hacking russe» se
désagrégeant, le directeur Comey a ensuite jeté son dévolu sur un jeune pirate
informatique russe de 29 ans, nommé Yevgeniy Nikulin.
Au début Octobre 2016, le directeur Comey
a découvert que Yevgeniy Nikulin était en République tchèque [1] et a
émis un Interpol « Avis rouge», un mandat pour son arrestation immédiate
le 5 Octobre . Le 21 Octobre, il
avait été mis en accusation par un procureur général américain d’Oakland, en
Californie, l'accusant de piratage d’entreprises de technologie américaines.
6 jours plus tard, le
27 Octobre, une autre série d’accusations secrètes furent lancées contre lui,
accusations que personne ne peut voir.
Le citoyen russe Yevgeniy
Nikulin, alias « pion de Comey », 29 ans |
Accusé ainsi de charges connues et
inconnues, le pauvre Yevgeniy Nikulin est susceptible d’être emprisonné aux
États-Unis pour des centaines d'années. Le directeur Comey a ensuite ordonné aux agents du
FBI d'offrir à ce jeune homme la liberté complète par l'abandon de toutes les
charges, en lui donnant immédiatement la nationalité américaine, un appartement
gratuit pour la vie, et des paiements pouvant représenter jusqu'à 15 millions
$. Tout ce qu'il avait à faire était de mentir et de dire qu'il a piraté le
Parti Démocrate sur ordre du Président Poutine.
Dans sa lettre
de témoignage, Yevgeniy Nikulin, affirme sous serment: » ... J’ai
reçu une proposition d'un Agent du FBI: vous devez déclarer
que vous avez cassé la boîte emails d’Hillary Clinton pour
les besoins de Donald Trump sur les ordres de Vladimir Poutine, vous devez
accepter l’extradition vers les États-Unis, où nous supprimerons toutes les
charges contre vous, nous vous donnerons un appartement et nous vous donnerons
de l'argent, ainsi que la citoyenneté américaine. J’ai refusé. Dès que
l'interrogatoire fut terminé, l'agent dit qu'ils reviendraient à nouveau.
" [PYC]
Lettre de témoignage de
Yevgeniy Nikulin, affirmant les pots de vin du FBI, afin d’accuser faussement
Trump et Poutine
Coincé entre la Russie et « l'État
profond » des États-Unis, l’avocat tchèque de Yevgeniy Nikulin, Martin Sadilek,
a déclaré que les accusations portées par les États-Unis contre son client sont
«
littéralement » basée sur les déclarations des agents du FBI qui n’ont
fourni aucune preuve pour les appuyer, et dont l'audition
d'extradition doit être reportée
cette semaine, car Nikulin n’a pas reçu les documents juridiques en
russe, auxquels il a droit. La
prochaine audience est prévue pour le 30 mai sous une sécurité draconienne des autorités
tchèques. Car avec l’État Profond américain, un accident mortel peut
vite arriver.
Quant à savoir si le peuple américain
sera autorisé à connaître la vérité sur les crimes commis par le directeur
Comey, on peut en douter, car les médias de propagande ordinaire de cette
nation ne permettent à personne de connaître la vérité sur quoi que ce soit. Personne
ne leur montrera comment ce jeune homme russe, Yevgeniy Nikulin, criait en
pleurant, dans une prison des États-Unis, dans les bras de sa mère, parce que,
à son insu, il est devenu le plus grand pion dans le monde. Comment peut-on croire
que la Russie (ou toute autre nation) puisse permettre à l'un de « ses
experts d'élite informatique » de l'agence de renseignement de quitter la
Fédération, puis être capturé par une puissance étrangère hostile, en
particulier celui qui aurait piraté une élection américaine sous les ordres du président
Poutine ? À moins de croire aux contes de fées, en lisant le Monde ou le
New York Times.
[1]
Voici ce qu’écrit le journal de la propagande mondialiste et de fausses
nouvelles « Le
Monde » du 21.10.2016
Piratage de LinkedIn : arrestation du principal suspect
Evgueni Nikulin, jeune moscovite de 29 ans, menait grand train
depuis plusieurs années. …
Arrivé
tard dans la soirée du mardi 4 octobre en République tchèque, il était
paisiblement attablé avec sa compagne ce mercredi matin, en train de consulter le menu
d’un hôtel-restaurant du centre de Prague, lorsqu’il a été
interpellé par plusieurs hommes armés, lors d’une opération de police
internationale.
Le FBI,
qui s’est félicité dans un communiqué de cette arrestation illustrant selon lui
la « collaboration
nécessaire pour vaincre l’ennemi
cyber », travaillait en étroite collaboration depuis plusieurs
mois avec la société LinkedIn, afin de remonter à la source
du piratage
de 167 millions de comptes du réseau social
professionnel en 2012.
L’opération,
demandée par Interpol, pilotée par le FBI et menée le 5 octobre en
association avec les autorités tchèques, n’aura été annoncée par
ces dernières que deux semaines plus tard, le 18 octobre, sans faire mention du nom de
la personne interpellée, cela pour des « raisons tactiques », selon le
porte-parole de la police tchèque.
Cette
arrestation, intervenue seulement deux jours avant que l’administration Obama accuse
formellement le gouvernement russe d’avoir dérobé puis diffusé des e-mails
de nombreux organismes, dont le Comité national démocrate, n’a, selon les
autorités américaines, rien à voir avec ces
accusations.
Hannibal GENSERIC