lundi 9 octobre 2017

LAS VEGAS. La Maison Blanche a été avertie une semaine avant le massacre



La Maison Blanche a reçu un avertissement une semaine avant le massacre sous «faux drapeau» perpétré par la CIA à Las Vegas, lorsque l'un des comploteurs de celle-ci s’est rendu dimanche 24 septembre à Washington DC, exactement une semaine avant que cette attaque n'ait eu lieu le 1er octobre. Ce trafiquant d'armes de la CIA a été immédiatement arrêté et mis sous la protection des forces militaires américaines au Centre médical militaire national Water Reed. Il a été accusé  de  maladie mentale.
En effet, le dimanche 24 septembre, , vers  7 heures, un citoyen américain nommé Timothy J. Bates s'est présenté à la porte de réception Ouest de la Maison Blanche, où il a informé les officiers en uniforme du Service Secret qu’il avait besoin de parler à l'amiral des Marines,  Mike Rodgers (directeur de la NSA), au sujet d'une opération sous «faux drapeau» de la CIA, prévue pour plus tard contre des spectateurs innocents qui doivent assistent au concert Life Is Beautiful-2017 à Las Vegas, et que cet attentat serait ensuite attribué  aux "suprématistes blancs".
En détaillant cette opération sous «faux drapeau» de la CIA, Timothy Bates a décrit comment il a été recruté par Stephen Paddock, en 2000, pour être l'un de ses trafiquants d’armes, et dont la couverture  «en profondeur " fournie par la CIA, était « agent de police » dans la ville de Memphis (Tennessee). Bates a aussi signalé qu'il a travaillé avec un autre trafiquant d’armes de Paddock, nommé Scott Edmisten, également du Tennessee, dont la spécialité technique consistait à effacer les numéros de série des armes, et qui a été capturé avec son arsenal le 2 octobre dans le comté de Washington, dans le Tennessee, comme nous l’avons vu dans notre précédent poste :  LAS VEGAS. Les dessous d'un massacre sous faux drapeau.
Le trafiquantd'armes à feu
de la CIA, Scott Edmisten, 43 ans
L'arsenal d'armes découvertes dans le véhicule de Scott Edmisten,
qui comprend deux fusils semi-automatiques AR-15 équipés de "bump stock"
[1]
À l'instar de Scott Edmisten, Timothy Bates avait un arsenal de 20 armes dans le coffre de son véhicule, y compris les fusils de style AK-47 et les armes avec silencieux, et la raison de son arrestation "sous couverture profonde" était due au fait qu'il réclamait le  paiement de 28,7 millions de dollars pour avoir participé au programme “Project MK Ultra” de la CIA, laquelle avait placé une micropuce dans sa tête, ce qui lui causait de «graves maux de tête, des tremblements et des convulsions». L’armée  américaine a donc préféré le garder pour "évaluation mentale" plutôt de prendre au sérieux ses avertissements concernant Las Vegas.
Le passeur d'armes
de la CIA,
Timothy Bates,
37 ans
Il est important de noter qu’aussi bien Timothy Bates que Scott Edmisten étaient des passeurs d’armes illégaux de Stephen Paddock au profit de la mafia judéo-russe, qui est actuellement en guerre continue avec la Dixie Mafia pour le contrôle des principales routes de trafic de drogue de la CIA en provenance du Mexique vers les régions du sud-est des États-Unis. Nous avons aussi vu que la mafia judéo-russe a été catastrophée lorsque les forces du FBI fidèles au président Trump avaient arrêté son "capo dei capi" [2] aux États-Unis, Razhden Shulaya, alors que le régime d'Obama avait protégé ce capo durant presque une décennie. Apparemment, cette capture du 7 juin à Las Vegas a été le «point d'allumage» du massacre de Las Vegas. Le 7 juin 2017, Razhden Shulaya et 32 de ses subalternes ont été accusés de racket qui  pourraient entraîner de longues peines d'emprisonnement.
"Les suspects dans cette affaire ont un large éventail d'activités criminelles, visant à faire le plus d'argent possible, tous prétendument organisés et dirigés par un homme, Shulaya, qui a promis de les protéger", a déclaré le directeur adjoint du FBI, William F. Sweeney Jr .
Le leader de la mafia judéo-russe, Razhden Shulaya
Bien qu’il eut été possible d’éviter ce massacre perpétré par la CIA, les très nombreux bavardages sur le "Web obscur" parmi les agents de renseignement américains et britanniques montrent clairement que les militaires américains et les forces du FBI fidèles au président Trump ont été dépassés par leurs adversaires du «Deep State» de la CIA.

Les médias de propagande et de "fausses nouvelles" de l'Ouest, continuent d'être « la Voix de son Maître », la CIA» en cachant à l'Amérique et au reste du Monde  la vérité sur ce massacre. Cela inclut les médias francophones tels que, et sans limitation, France24, France 2 et 3, TF1, Euronews, etc. Cela inclut naturellement les grands médias américains :
-                   CBS News, citant des " sources anonymes " dit que la petite amie de Stephen Paddock, Marilou Danley, " était préoccupée par sa stabilité mentale ";
-                   NBC News citant des «sources anonymes», dit que la petite amie de Stephen Paddock racontait qu'il «allait s’étendre sur son lit, en gémissant et en criant: "Oh mon Dieu" »;
-                   ABC News citant des «sources anonymes» affirme que Stephen Paddock «avait une grave maladie mentale non diagnostiquée»;
-                   et CNN News affirme que Stephen Paddock était inconnaissable et que personne ne saurait jamais ce qui s'est passé.
Ces «sources anonymes» qui confortent la narrative de la CIA, se limitent en réalité à une personne, bien réelle, appelée Lisa Crawford, qui a travaillé pour Stephen Paddock comme gestionnaire de propriété au Texas, de 2006 à 2012,  et le connaissait mieux que quiconque. Elle décrit Paddock comme un «bouffon décontracté» qui était cool et qui faisait toujours rire tout le monde et qui, «n'avait pas aucun caractère sérieux".
Cette description par Lisa Crawford de Stephen Paddock, montre que ce dernier est une personne intelligente qui a su tromper son monde. Ce comportement est typique et bien connu dans les opérations de « couverture profonde » des agents de la CIA, sachant comment créer et maintenir une fausse personnalité.
NOTES
[1] Bump stock : Ce mécanisme, homologué par l'agence fédérale ATF (Bureau of Alcohol, Tobacco and Firearms), utilise le recul de l'arme semi-automatique pour obtenir une cadence de tir similaire à celle d'un fusil d'assaut, dont la vente est interdite depuis les années 1980. Le fusil ainsi modifié produit des rafales très imprécises, mais extrêmement meurtrières sur une foule comme celle qui participait au festival de country «Route 91 Harvest».
[2] L'expression Capo di tutti i capi ou Capo dei capi signifie « chef de tous les chefs » en italien. C'est une expression principalement utilisée par les médias, le grand public et les forces de l'ordre pour désigner le chef suprême du crime organisé de la mafia sicilienne (appelée Cosa nostra) et italo-américaine, c'est-à-dire le « parrain no». Voir « la pègre qui règne en Israël »

Hannibal GENSERIC