Vladimir Poutine s’exprimait ainsi :
“La décision concernant la bibliothèque
Schneersohn a été prise par le premier gouvernement soviétique. Et jusqu’à
80 à 85% des membres du gouvernement de l’Union soviétique étaient juifs. Et
ces juifs guidés par de fausses pensées idéologiques ont arrêté et réprimé les
adeptes du judaïsme, du christianisme, de l’islam et d’autres religions. Ils
n’ont pas fait de différences. Dieu merci, ces œillères idéologiques et ces
fausses pensées se sont effondrées.” Expliquait le chef d’État de la
Fédération de Russie devant un parterre de Juifs.
La version française de cette déclaration ayant
disparue sur Youtube, la voici en anglais: vidéo
Pourquoi Vladimir Poutine éprouve-t-il le besoin de mettre les points sur les
“i” à cet auditoire juif ? Le point de discorde concerne une collection de
livres judaïques appelés: bibliothèque Schneersohn.
Les
livres avait appartenu à Yossef Schneersohn, un juif de Russie, la
collection contient près de douze mille ouvrages et cinquante mille documents,
dont trois cent quatre-vingt-un manuscrits. Mais une grande partie des membres
de cette secte juive qui a émigré aux USA, réclame la bibliothèque à la Russie.
“La bibliothèque a été formée et longtemps conservée à
Loubavitchi, petit village de la région de Smolensk et centre religieux du
mouvement Habad. Avec le début de la Première Guerre mondiale, le rebbe [rabbin]
Schneersohn avait fait transporter sa bibliothèque à Moscou.. (…) En 1917,
la collection Schneersohn a été nationalisée par le pouvoir bolchévique,
mais le rabbin a pu en envoyer une partie en Pologne (partie qui fut
transférée ensuite, sous l’occupation allemande, en Allemagne). L’ensemble de
la collection a finalement été rapatrié à Moscou au lendemain de la Seconde
Guerre mondiale. (Source:
Le Courrier de Russie)
Les disciples de Schneersohn ont entamé, dès le démembrement de
l’URSS, des procédures judiciaires de récupération de ces archives. Le 16
janvier 2013 la cour fédérale du district américain de Columbia a condamné la
Russie à verser au mouvement hassidique une compensation financière de 50 000
$ par jour et à rendre les archives aux USA.
“la collection Schneersohn constitue une part inaliénable de
l’héritage culturel russe. C’est bien la Russie qui a évité à cette collection
de disparaître, [par sa victoire sur l’Allemagne en 1945].
L’argument se révèle pourtant difficile à tenir face à une
communauté religieuse étonnamment puissante. Peu connu, le Hassidisme est
néanmoins un courant religieux très important et très influent, dont l’autorité
au sein de la communauté juive pourrait être comparée à celle du pape dans
l’Église catholique. Et cette communauté considère la vie et les biens de
Yossef Schneersohn comme sacrés. Le beau-fils de Schneersohn, le septième – et
dernier – rebbe Menachem Mendel Schneerson est même, pour beaucoup
de hassidim, le Mashiah en personne (ce messie attendu par les Juifs). (Source)
Avec
cette condamnation d’un des États américains contre la Fédération de Russie,
les juifs américains insinuaient que la Russie était anti-sémite. Autant dire
qu’ils ont dégainé l’argument massu, la reductio ad hitlerum.
Grâce à
leur Justice qui étend ses tentacules monstrueuses sur l’ensemble du globe, les
USA prétendent rançonner tous les États au moindre prétexte et vivre grassement
à leurs dépends. Encore une idée de banksters cosmopolites dont
le président russes a souvent rappelé les abus à différentes occasions et notamment
à propos de la condamnation de Sepp Blatter, le président de la FIFA.
Vladimir
Poutine n’est pas François Hollande. En effet lorsque la banque
française BNP a été condamnée par la “Justice” américaine à
la somme colossale de 8,9 milliards $, François Hollande s’est écrasé et
la BNP a payé. Même topo avec la SNCF, là aussi pour des questions juives.
La SNCF vient d’être condamnée par la “Justice” israëlienne, -pardon, je
voulais dire américaine-, à verser 60 millions, coupable d’avoir transporté
durant l’Occupation, des Juifs. Devinez ? Les autorités françaises sont
tout-à-fait d’accord!
Vladimir
Poutine qui, lui, n’est pas un traître à son pays a eu, comme on voit un
comportement digne d’un chef d’Etat. En mai 2014, selon Reuters le
tribunal d’arbitrage de Moscou a rejeté l’ ordonnance américaine réclamant
les archives juives et a condamné à son tour les USA à une astreinte de 50
000 $ par jour du fait que la bibliothèque du Congrès recèle une partie des
archives juives russes. C’est la réponse du berger à la bergère, les amendes de
même montant s’annulant de part et d’autre. La Russie a finalement
transféré la collection au « centre de la tolérance juive » de
Moscou.
C’est
ainsi qu’il faut parler aux Américains! Vladimir Poutine démontre qu’il est
possible de tenir la dragée haute aux prétentions scandaleuses de l’oligarchie
basée aux USA. Encore faut-il être patriote, ce qui n’est de toute évidence pas
le cas de François Hollande.
Emilie
Defresne 10 novembre 2015
Le
bolchevisme était surtout un mouvement juif : Voici les faits historiques de
Lénine à Andropov
"Staline
avait trois femmes, toutes des juives ... Sa fille, Svetlana Staline avait un
total de quatre maris, dont trois juifs. Diverses autorités indiquent que la
femme de Lénine, Nadezhda Krupskaya, était juive dont la famille parlait le
yiddish à la maison. . "
Parmi
eux-mêmes, les Juifs sont assez francs sur leur sympathie et leur implication
dans le bolchevisme.
Le 4
avril 1919, la Chronique juive: «Il y a beaucoup dans le bolchevisme lui-même,
dans le fait que tant de Juifs sont bolchévistes, dans le fait que les idéaux
du bolchevisme sont en accord avec les idéaux les plus nobles du judaïsme.
(Peut-être cela explique pourquoi l'armée rouge utilise une étoile juive comme
symbole?)
L’exposé le plus connu du rôle des Juifs dans
le coup d’État bolchevique a été écrit par Winston Churchill dans l’Illustrated
Sunday Herald du 8 février 1920. Churchill a écrit: "À
l’exception notable de Lénine, la majorité des personnalités sont des Juifs. De
plus, l'inspiration principale et le moteur du pouvoir sont issus des leaders
juifs. "
Le
communisme a bien sûr été fondé par Karl Marx, dont le grand-père était
un rabbin du nom de Mordeccai Marx. Il a été encouragé pour la première
fois par un communiste-sioniste du nom de Moses Hess. Fondateur et
éditeur de la Rheinische Zeitung, principal organe de la pensée de
gauche en Allemagne, il a fourni à Karl Marx sa première plateforme
importante. Plus tard, à Bruxelles, il a collaboré avec Marx sur
l'Idéologie Allemande. C'est également Hess qui a converti Friedrich
Engels au communisme, le riche magnat du textile qui a ensuite subventionné
Marx grâce aux bénéfices récoltés de la sueur de la main-d'œuvre en
Grande-Bretagne et en Allemagne.
Lorsque
les bolcheviks ont renversé le gouvernement démocratique de courte durée qui
régnait à Moscou et à Saint-Pétersbourg en octobre 1917, c’était un véritable coup d’État juif. Le commissaire juif le plus en
vue était Trotsky, de son vrai nom Bronstein. Il avait été marié
par un rabbin en 1900 et, lors de son exil à New York, avait travaillé pour Novy
Mir, décrit dans le Church Times (23 janvier 1925) comme un «journal
yiddish».
Les
différents reporters et diplomates qui étaient présents à l'époque de la
«révolution» ont témoigné de sa nature manifestement juive.
La
veuve du correspondant du Guardian, Mme Ariadna Tyrkova-Williams, a
écrit: "En République soviétique, tous les comités et commissaires
étaient remplis de Juifs."
La
description la plus détaillée de l’influence juive dans la révolution
bolchevique provient de Robert Wilton, correspondant russe du Times. En
1920, il publie un livre en français, Les Derniers Jours des Romanovs,
qui décrit les antécédents raciaux de tous les membres du gouvernement
soviétique. (Cela n'apparaît pas dans la dernière traduction anglaise, pour
une raison étrange.) Après la publication de cette œuvre monumentale,
Wilton fut ostracisé par la presse (comme aujourd’hui, la presse en Occident
était déjà aux mains juives) et il mourut dans la pauvreté en 1925.
Comité Central
du Parti Bolchevique :
NOM
|
NATIONALITE
|
Bronstein
(Trotsky)
|
Juif
|
Apfelbaum
(Zinovief)
|
Juif
|
Lourie
(Larine)
|
Juif
|
Ouritski
|
Juif
|
Volodarski
|
Juif
|
Rosenfeldt
(Kamanef)
|
Juif
|
Smidovitch
|
Juif
|
Sverdlof
(Yankel)
|
Juif
|
Nakhamkes
(Steklof)
|
Juif
|
Ulyanov
(Lenin)
|
Russe
|
Krylenko
|
Russe
|
Lounatcharski
|
Russe
|
TOTAL
|
75% de juifs
|
Le Conseil des Commissariats du Peuple
comprenaient :
MINISTERE
|
NOM
|
NATIONALITE
|
Président
|
Ulyanov
(Lenin)
|
Russe
|
Affaires
étrangères
|
Tchitcherine
|
Russe
|
Nationalités
|
Djugashvili
(Stalin)
|
Géorgien
|
Agriculture
|
Protian
|
Arménien
|
Économie
Council
|
Lourie
(Larine)
|
Juif
|
Nourriture
|
Schlichter
|
Juif
|
Army &
Navy
|
Bronstein
(Trotsky)
|
Juif
|
State
Control
|
Lander
|
Juif
|
State
Lands
|
Kauffman
|
Juif
|
Travail
|
V. Schmidt
|
Juif
|
Sécurité Sociale
|
E. Lelina
(Knigissen)
|
Juive
|
Public
Instruction
|
Lounatcharsky
|
Russe
|
Religions
|
Spitzberg
|
Juif
|
Intérieur
|
Apfelbaum
(Zinovief)
|
Juif
|
Hygiène
|
Anvelt
|
Juif
|
Finance
|
Isidore
Goukovski
|
Juif
|
Presse
|
Volodarski
|
Juif
|
Elections
|
Ouritski
|
Juif
|
Justice
|
I.
Steinberg
|
Juif
|
Refugiés
|
Fenigstein
|
Juif
|
Refugiés
(assist.)
|
Savitch
|
Juif
|
Refugiés
(assist.)
|
Zaslovski
|
Juif
|
TOTAL
|
77% de juifs
|
Liste des members du Comité Central
Exécutif:
NOM
|
NATIONALITE
|
Sverdlov (president)
|
Juif
|
Avanessof
(sec.)
|
Arménien
|
Bruno
|
Letton
|
Babtchinski
|
Juif
|
Bukharin
|
Russe
|
Weinberg
|
Juif
|
Gailiss
|
Juif
|
Ganzburg
|
Juif
|
Danichevski
|
Juif
|
Starck
|
Allemand
|
Sachs
|
Juif
|
Scheinmann
|
Juif
|
Erdling
|
Juif
|
Landauer
|
Juif
|
Linder
|
Juif
|
Wolach
|
Czech
|
Dimanstein
|
Juif
|
Encukidze
|
Georgien
|
Ermann
|
Juif
|
Joffe
|
Juif
|
Karkline
|
Juif
|
Knigissen
|
Juif
|
Rosenfeldt
(Kamenef)
|
Juif
|
Apfelbaum
(Zinovief)
|
Juif
|
Krylenko
|
Russe
|
KrassikofSachs
|
Juif
|
Kaprik
|
Juif
|
Kaoul
|
Letton
|
Ulyanov
(lenin)
|
Russe
|
Latsis
|
Juif
|
Lander
|
Juif
|
Lounatcharski
|
Russe
|
Peterson
|
Letton
|
Peters
|
Letton
|
Roudzoutas
|
Juif
|
Rosine
|
Juif
|
Smidovitch
|
Juif
|
Stoutchka
|
Letton
|
Nakhamkes
(Steklof)
|
Juif
|
Sosnovski
|
Juif
|
Skrytnik
|
Juif
|
Bronstein
(Trotsky)
|
Juif
|
Teodorovitch
|
Juif
|
Terian
|
Arménien
|
Ouritski
|
Juif
|
Telechkine
|
Russe
|
Feldmann
|
Juif
|
Froumkine
|
Juif
|
Souriupa
|
Ukrainien
|
Tchavtchevadze
|
Géorgien
|
Scheikmann
|
Juif
|
Rosental
|
Juif
|
Achkinazi
|
Imeretian
|
Karakhane
|
Karaim (Juif)
|
Rose
|
Juif
|
Sobelson
(Radek)
|
Juif
|
Sclichter
|
Juif
|
Schikolini
|
Juif
|
Chklianski
|
Juif
|
Levine
(Pravdine)
|
Juif
|
TOTAL
|
67% de juifs
|
List des membres de la Commission
Extraordinaire de Moscou:
NOM
|
NATIONALITE
|
Dzerjinski
(president)
|
Polonais
|
Peters
(vice-president)
|
Letton
|
Chklovski
|
Juif
|
Kheifiss
|
Juif
|
Zeistine
|
Juif
|
Razmirovitch
|
Juif
|
Kronberg
|
Juif
|
Khaikina
|
Juive
|
Karlson
|
Letton
|
Schaumann
|
Juif
|
Leontovitch
|
Juif
|
Jacob
Goldine
|
Juif
|
Glaperstein
|
Juif
|
Kniggisen
|
Juif
|
Latzis
|
Letton
|
Schillenkuss
|
Juif
|
Janson
|
Letton
|
Rivkine
|
Juif
|
Antonof
|
Russe
|
Delafabre
|
Juif
|
Tsitkine
|
Juif
|
Roskirovitch
|
Juif
|
G.
Sverdlof
|
Juif
|
Biesenski
|
Juif
|
Blioumkine
|
Juif
|
Alexandrevitch
|
Russe
|
I. Model
|
Juif
|
Routenberg
|
Juif
|
Pines
|
Juif
|
Sachs
|
Juif
|
Daybol
|
Letton
|
Saissoune
|
Armenien
|
Deylkenen
|
Letton
|
Liebert
|
Juif
|
Vogel
|
Allemand
|
Zakiss
|
Letton
|
TOTAL
|
67% de juifs
|
REMARQUE :
En 1939, la Russie comptait 108 millions d'habitants et moins de 1 Million de Juifs, donc les juifs comptaient moins de 1% de la population totale, alors qu'ils trustent plus de 70% des postes de pouvoir et de décision. C'est le même phénomène qu'on observe de nos jours en Occident , particulièrement aux USA, en GB et en France.
Bien
que Lénine soit décrit comme un «Russe», il était en fait un mélange de
différentes nationalités. Il est probable qu'il était un quart de Russe, un
quart d'Allemand, un quart de Juif et au moins un quart de Kalmuck (mongol), ce
qui explique son apparence mongole. Diverses autorités ont affirmé que son
épouse, Nadezhda Krupskaya, était juive et que sa famille parlait le
yiddish à la maison.
Un
rapport envoyé au gouvernement britannique en 1918 par le consul néerlandais à
Saint-Pétersbourg, M. Oudendyke, disait que «le bolchevisme est
organisé et exploité par des juifs». Le rapport est inclus dans une
brochure publiée en avril 1919 sous la forme d'un livre blanc du gouvernement
intitulé Russie n ° 1 (1919), recueil de rapports sur le bolchevisme en
Russie. Cependant, la brochure a été rapidement retirée et rééditée avec
diverses modifications et altérations.
Dans
la War Records Division des Archives nationales des États-Unis, il y a
un rapport d'un agent du renseignement américain à Saint-Pétersbourg qui est
déposé. Dans le Groupe d'enregistrement 20 des Archives du corps
expéditionnaire américain, le capitaine Montgomery Schuyler, G2
Intelligence a écrit:
"Le
mouvement bolchevique est et a été depuis ses débuts, guidé et contrôlé par des
Juifs russes du type le plus répugnant."
Les
Archives nationales des États-Unis contiennent également deux télégrammes
envoyés par des diplomates américains en Russie. Le document du département
d'État 861.00 / 1757 envoyé le 2 mai 1918 par le consul américain Summers
à Moscou rapporte:
"Les
Juifs prédominent dans le gouvernement soviétique local, le sentiment anti-juif
grandit au sein de la population."
Le
document 861.00 / 2205 du consul Caldwell à Vladivostock, daté du 5
juillet 1918 décrit:
"Cinquante
pour cent du gouvernement soviétique dans chaque ville est composé de Juifs du
type le plus détestable."
En
janvier 1924, Lénine mourut de causes diverses, qualifiées de «crise
cardiaque», « d’hémorragie cérébrale» et de « syphilis ». Ses camarades
commencèrent immédiatement à se battre entre eux pour savoir qui allait devenir
son successeur.
Joseph
Staline, un ousider, est venu au premier plan et a éliminé toute
concurrence en l'exilant ou en l'exécutant. Puisque Staline n'était pas juif
contrairement à presque tous ses adversaires, il est souvent suggéré que
Staline était antisémite, ce qui était loin de la vérité.
Staline
a eu trois femmes, toutes juives. La première était Ekaterina
Svanidze qui lui donna un fils, Jacob. Sa deuxième épouse était Kadya
Allevijah. Elle lui donna un fils Vassili et une fille Svetlana.
Sa seconde épouse est décédée dans des circonstances mystérieuses, soit en se
suicidant, soit assassinée par Staline. Sa troisième épouse était Rosa
Kaganovich, la sœur de Lazar Kaganovich, chef de l'industrie
soviétique. La fille de Staline (qui s’est réfugiée aux États-Unis en 1967) a
ensuite épousé le fils de Lazar, Mihail, c’est-à-dire le neveu de
sa belle-mère. Svetlana Staline avait au total quatre maris, dont trois juifs.
Le
vice-président de Staline, Molotov, était également marié à une juive.
Son frère, Sam Karp, dirige une entreprise d’exportation dans le
Connecticut. Pour compliquer les choses encore plus, la fille de Molotov
(à moitié juive), Svetlana, était fiancée pour être mariée au fils de
Staline, Vassili.
Après
la mort de Staline, ses successeurs ont maintenu la tradition. Un article paru
dans le B’nai B’rith Messenger raconte:
«Pour
montrer que la Russie traite bien ses Juifs, le Premier ministre soviétique Nikita
Krouschev a déclaré lors d'une réception à l'ambassade de Pologne que non
seulement lui-même et le président soviétique Klementi Voroshilov, mais
que la moitié des membres du Praesidium avaient une femme juive. » M.
Krouschev a fait cette remarque à l'ambassadeur d'Israël, Joseph Avidar,
qui était parmi les invités. "
(La
femme de Krouschev était aussi une Kaganovitch.)
Selon
un article paru dans le Canadian Jewish News du 13 novembre 1964,
l'actuel patron soviétique Leonid Brejnev est marié à une juive et ses
enfants sont élevés en tant que juifs. Un certain nombre d'éminents Juifs au
sein du gouvernement soviétique, dont Dimitri Dymshits, responsable de
l'industrie, Lev Shapiro, secrétaire régional de Birobidjan, et Yuri
Andropov, responsable de la police secrète, le KGB. En fait, chaque chef de la police secrète
de l’histoire de l’Union soviétique est un Juif, du premier Uritsky au plus
récent, le meurtrier Béria. Un Juif est également en charge de
l'économie soviétique - Leonid Kantorovich.
C'est
un fait bien connu que les
bolcheviks ont été et sont financés par les intérêts juifs de l'Ouest.
Lors
d’un rassemblement de célébration bolchevique au Carnegie Hall à New
York, dans la nuit du 23 mars 1917, un télégramme d’appui de Jacob Schiff
de Kuhn, Loeb & Co. a été lu. Le télégramme a été réimprimé dans le
New York Times du lendemain matin. Schiff essaya plus tard de nier son
implication, mais trente ans plus tard, son petit-fils John reconnut
dans le New York Journal-American (3 février 1949) que le vieil homme avait
dépensé vingt millions de dollars pour aider la cause bolchevique.
Olaf
Ashberg, du Stockholm Nia Banken, est un autre banquier occidental
qui a versé des fonds pour aider les bolcheviques. Il est resté le payeur des
Soviétiques jusqu’à la fin des années 1940. Le 6 septembre 1948, le London
Evening Standard annonçait une visite d'Ashberg en Suisse «pour
des réunions secrètes avec des représentants du gouvernement suisse et des
dirigeants de banques. Les cercles diplomatiques décrivent M. Ashberg comme le
"banquier soviétique " qui a versé d'importantes sommes à Lénine
et Trotsky en 1917. Au moment de la révolution, M. Ashberg a donné à Trotsky de
l'argent pour former et équiper la première unité de l'Armée rouge. "
Les
bolcheviks ont également reçu l'aide d'Armand Hammer, qui fait toujours
la navette entre New York et Moscou pour s'occuper de ses intérêts commerciaux
dans les deux communautés. Hammer’s Occidental Oil Company construit
actuellement un pipeline de produits chimiques de 1.600 km dans le sud de la
Russie. Il entretient également de
bonnes relations avec les Soviétiques qu'il organise personnellement la
vente de tableaux à des galeries d'art soviétiques.
Michael
Fribourg, qui possède l'immense Continental Grain Company, est un
autre homme d'affaires américain dont le rôle est d'aider l'économie
soviétique. En collaboration avec la Louis Dreyfus Corporation, ces
spéculateurs juifs ont été en mesure d’acheter d’énormes quantités de céréales
américaines à bas prix en 1972, afin de les vendre aux Soviétiques avec un
bénéfice considérable tout en percevant une subvention à l’exportation du
contribuable américain.
Dans
tous les autres pays d'Europe de l'Est, c'est exactement la même histoire:
En
Hongrie, une révolution communiste a été organisée en 1919 à l'initiative du
juif Bela Kun (Cohen). Au cours du régime de trois mois, le pays a été
bouleversé sous un règne de meurtre et de terreur. Là encore, le gouvernement
était composé presque entièrement de Juifs. Et c’est ce facteur qui a entraîné
la chute du régime, car les Hongrois ordinaires détestaient la dictature juive.
Kun fut déposé et s'enfuit en Union soviétique, où il devint chef de la
police secrète, la Tchéka, dans le sud de la Russie.
Ce
n'est qu'en 1945 que les Juifs ont pu reprendre le contrôle. Trois juifs russes
ont été installés en tant que triumvirat au pouvoir: Matyas Rakosi
(Rosencranz), Erno Gero (Singer) et Zoltan Vas.
Rakosi
et Gero étaient tous deux membres du gouvernement sanglant
de Kun.
En
Allemagne, les Juifs ont également tenté de prendre le pouvoir dans le chaos
qui a suivi la Première Guerre mondiale. Avec l’aide financière de
l’Ambassadeur soviétique Joffe, le Spartacus Bund de Rosa
Luxemburg a tenté de renverser le gouvernement. La révolte a été réprimée
et ses dirigeants Luxemburg et Karl Liebknecht furent exécutés.
La
dictatrice d'après-guerre de Roumanie, Anna Pauker, était la fille d'un
boucher kasher de Bucarest. Pendant un certain temps, elle a gagné sa vie en
enseignant l’hébreu. Son père et son frère vivent maintenant en Israël.
Bien
que Tito ait été le
seul dictateur non-juif derrière le rideau de fer à la fin des
années 1940, il était encadré par le Juif Mosa Pijade. Selon John Gunther
dans Derrière le rideau de fer : "Il est le mentor de Tito
... Quelle que soit la structure idéologique que Tito puisse avoir, il l’a
obtenue du vieil homme astucieux."
Le
gouvernement fantoche de Moscou en Tchécoslovaquie à la fin des années 1940
était dirigé par un autre Juif, Rudolph Slansky.
En
Pologne aussi, les Juifs occupaient pratiquement toutes les positions
d'autorité du régime communiste d'après-guerre. Parmi ceux-ci figuraient Minc,
Skryesewski, Modzelewski et Berman. Jacob Berman a peu à peu éclipsé les
autres jusqu'à ce qu'il devienne lui-même le dictateur suprême. De plus, la
femme de Gomulka était une juive.
Même
en Chine, des Juifs soviétiques étaient au travail pour aider Mao Tse Toung. W.
N. Levitschev et J. B. Gamarnik étaient au sommet du département
politique de l'Armée rouge en Chine.
Extraits
du livre Let My People Go, Empirical Publications,
« Laissez
mon peuple partir », publications empiriques, Irlande du Nord c. 1976.
Auteur inconnu.
Source : Bolshevism Was Basically a Jewish Movement - The Historical Facts from Lenin to Andropov
Voir aussi :
Par la terreur et des bains de sang, nous allons amener l’intelligentsia russe dans un état de stupeur totale, dans l’idiotisme, dans l’état d’être animal. Jusqu'ici, nos jeunes hommes vêtus de cuir ~ les fils des réparateurs d'horloges d'Odessa et d'Orsha, de Gomel et de Vinnitza ~ oh, comme c'est beau, comme ils maîtrisent avec brio la haine de tout ce qui est russe! Avec quelle joie ils détruisent physiquement les intelligentsia russes - officiers, ingénieurs, professeurs, prêtres, généraux, agronomes, académiciens, écrivains! "~ Forces secrètes dans l'histoire de la Russie. U.K. Begunov 1995, p 148
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