Emmanuel Macron ne s’en est jamais caché, il rendra la vaccination obligatoire s’il est réélu, sans doute à la rentrée prochaine : les doses ont été commandées sur une base de 100 % d’adhésion, les seringues pédiatriques pour les moins de 12 ans sont déjà prêtes. Elle a pourtant été déclarée illégale par la Commission européenne, abrogée en Nouvelle-Zélande et rejetée en Allemagne grâce à la mobilisation d’un collectif de magistrats : « La survenue de la mort n’est pas simplement une éventualité, c’est une certitude statistique. » Dans ce contexte, un État qui oblige ses concitoyens à se vacciner « tue avec préméditation ». Les Français sont-ils conscients de ce qui les attend avec Emmanuel Macron réélu ?
Les scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination : il est criminel d’inoculer à des enfants et des individus en parfaite santé un produit que les laboratoires n’ont pas fini d’évaluer (les essais cliniques se poursuivent en parallèle, d’autres ont été lancés à la lueur des premières données). Ils ont d’ailleurs eux-mêmes anticipé les risques de blessure et de décès puisqu’ils ont refusé d’assumer les dommages provoqués par les injections et qu’ils ont précisé dans les contrats qu’ils n’en connaissent pas les effets.
Olivier Véran et Emmanuel Macron le martelaient pourtant encore ces jours-ci : les vaccins sont sûrs et efficaces. Rien ne semble en mesure d’infléchir cette doxa au nom de laquelle des millions de Français ont été incités ou forcés à se vacciner ; ils nieront jusqu’au bout, les conséquences pénales auxquelles serait exposé le ministre de la Santé au titre des mensonges qu’il a proférés depuis un an sont incalculables. Peuvent-ils ignorer les alertes de la communauté scientifique ? Non, et ils le peuvent d’autant moins que ces risques se concrétisent aujourd’hui de manière palpable à travers plusieurs indicateurs.
L’intention d’Emmanuel Macron de rendre la vaccination obligatoire, probablement pour les enfants puisque 12 millions de doses pédiatriques ont été commandées malgré les réticences explicites des parents (seules 400 000 injections été réalisées à ce jour chez les moins de 12 ans) est d’autant plus incompréhensible si l’on tient de cet indicateur, fondamental pour déterminer la pertinence d’un programme de vaccination : le nombre de personnes à vacciner (number needed to vaccinate, NNTV) pour prévenir UN cas (impact du vaccin sur la transmission) ou un décès (impact du vaccin sur la mortalité). Un chercheur a tenté de le calculer, ses résultats sont édifiants :
- le NNTV pour prévenir un cas se situerait entre 88 et 700 selon les estimations ;
- le NNTV pour prévenir un décès se situerait « entre 9 000 et 100 000 (intervalle de confiance à 95 %), avec 16 000 comme estimation ponctuelle » selon des chercheurs allemands et néerlandais qui se sont basés sur une large étude de terrain en Israël (cohorte de 500 000 enfants).
À quoi jouent donc Emmanuel Macron et Olivier Véran se dit prêt à « appuyer sur le bouton pour réactiver le pass vaccinal » quelques jours seulement après avoir déclaré qu’il ne servait à rien ?
L’obligation vaccinale envisagée par Emmanuel Macron relève-t-elle d’une intention de blesser ?
Études et séries de cas cliniques, autopsies, données de pharmacovigilance… le volume de preuves accumulées depuis plus d’un an interdit d’avoir aujourd’hui le moindre doute sur l’extrême toxicité des vaccins. BioNTech a pris le soin d’avertir ses actionnaires le 30 mars 2022 : il redoute que son vaccin, distribué par Pfizer, ne puisse jamais être homologué définitivement, voire que les pertes soient à ce point astronomiques qu’elles mettent en péril la viabilité de la société et la production de nouvelles doses.
Et pour cause : Pfizer espérait que les données des essais cliniques ne seraient publiées que dans 75 ans, la justice américaine a refusé et l’a condamné à les divulguer. Mais au-delà de ce que révèlent les premières données, une série de publications et d’annonces confirment qu’il est urgent de s’inquiéter sur la volonté du Gouvernement d’imposer demain les vaccins à l’ensemble de la population, notamment les enfants.
Que disent les dernières données de la littérature ?
Nous avons publié précédemment une série d’articles sur les risques vaccinaux et la sous-estimation des effets secondaires par la pharmacovigilance :
- Allemagne : face à l’explosion des demandes d’indemnisation, les assureurs se sont immiscés dans le débat sur la vaccination. L’assureur BKK ProVita dénonce des effets secondaires dix fois plus nombreux que ceux recensés officiellement.
- États-Unis : plusieurs chercheurs dénoncent une hécatombe vaccinale, avec près de 200 000 décès imputables à la vaccination à l’issue des 8 premiers mois sur le seul territoire américain (Pantazatos, Kirsch).
Nous avons alerté notamment sur l’explosion des décès :
- dans le milieu sportif : l’hécatombe se poursuit en 2022 avec 80 % d’abandons dans une course cycliste, 15 lors de l’Open de Miami, 95 cyclistes n’ayant pas pu franchir la ligne d’arrivée du Paris-Nice… les médias étrangers en parlent, mais toujours rien en France, éternellement victime du syndrome du nuage de Tchernobyl.
- dans l’aviation civile : des pilotes victimes d’effets secondaires et des médecins militaires mettent en garde, le Pr Christian Perronne lance à son tour un cri d’alarme. Il relatait récemment la plainte déposée par un collectif de 600 navigants, pour mise en danger de la vie des passagers.
- de manière particulièrement inquiétante, plusieurs médecins dénoncent officiellement des augmentations stratosphériques d’effets secondaires dans l’Armée américaine : + 4 133 % entre 2020 et 2021 (Jessica Rose), toutes pathologies confondues. Ils ont déclaré sous serment observer notamment une explosion des fausses couches (+ 300 %), des cancers (+ 300 %), problèmes neurologiques (+ 1 000 %), tumeurs, notamment tumeurs malignes de l’estomac (+ 894 %), etc.
De nouveaux éléments renforcent les inquiétudes concernant la gravité et la réalité des risques vaccinaux :
- Surmortalité inquiétante chez les 15-44 ans (Décoder l’éco) observée depuis l’été dernier. Confirmée par plusieurs études (Pantazatos, Meyer, Crawford, Ohana, Kuhbandner), elle est désormais observable dans la plupart des pays : États-Unis (usmortality.com), Europe (euromomo.eu), notamment Allemagne, où elle serait corrélée au nombre de doses administrées.
- Surmortalité de 40 % dans la population active américaine constatée par l’ensemble des assureurs, qui dénoncent une situation historique. Même phénomène à Gilbraltar, pays le plus vacciné au monde (98 % de la population triplement injectée) qui affiche aujourd’hui un excès de mortalité de 157,23 %, toutes classes d’âge confondues.
- Hausse de 40 % du nombre de crises cardiaques, en Australie, entraînant des files d’attente d’ambulances dans plusieurs hôpitaux, avec des délais de prise en charge de 3 heures. Le ministère australien de la Santé et les médias évoquent une crise sanitaire sans précédent.
- Augmentation spectaculaire des effets secondaires graves en Allemagne : + 31,2 % d’accidents cardiaques, + 27,4 % d’AVC, principalement chez des femmes âgées de 20 à 40 ans. Les pompiers demandent un moratoire sur la vaccination (Berliner Zeitung), une clinique dit recevoir jusqu’à 400 mails par jour pour des demandes de prise en charge.
- Explosion des décès d’enfants vaccinés en Angleterre où les dernières données de l’agence britannique de santé font état d’un taux de mortalité 54 fois supérieur chez les enfants vaccinés par rapport à leurs homologues non vaccinés. Olivier Véran ne voit toujours pas où est le problème, Emmanuel Macron clame son amour des enfants.
- Myocardites chez les enfants et les jeunes adultes : une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente a évalué, en décembre dernier, à ce risque à 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans et 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans. Pfizer estime avoir besoin de 5 ans pour évaluer si elles occasionneront ou non des séquelles et évalue leur incidence à 1 cas sur 1 000 ou 10 000 injections (formulaire de consentement, p. 20). Six essais sont en cours pour évaluer leur fréquence et leur gravité. La base de pharmacovigilance américaine (VAERS) révèle une explosion du nombre de cas qu’aucun ministre ne peut décemment ignorer aujourd’hui (FranceSoir).
- Explosion des fausses couches observée en Australie et en Israël : 50 % chez les femmes vaccinées versus 13 % chez les non-vaccinées. Ce phénomène ne fait que confirmer ce que dénonce la communauté scientifique depuis un an et les mises en garde contre la vaccination des femmes enceintes, pour lesquelles les vaccins n’ont jamais été évalués.
- Toxicité et biodistribution des nanoparticules lipidiques : les récentes déclarations du Dr P. McCullough sur la contamination de l’ensemble des organes par les nanoparticules lipidiques injectées, dont la toxicité et la circulation dans l’organisme sont déjà largement documentées, et sur la production incontrôlée de protéine Spike par les cellules du corps sont hautement inquiétantes. Il dénonce un risque majeur : « Après les autopsies nous pouvons voir la trace du vaccin dans toutes les parties du corps. Dans le cerveau, le cœur, la moelle osseuse, les organes reproducteurs et les ganglions lymphatiques… Ça n’est jamais arrivé avec d’autres vaccins. »
- Maladie de Creutzfeldt-Jakob postvaccinale : Marc Doyer dit avoir dénombré plus de 60 cas en 6 mois de déclenchement de cette maladie rarissime (versus 28 cas de vMJC recensés en 27 ans, en France) dans les 15 jours suivant une injection de vaccin Pfizer, plus de 57 études étayent ce qui n’est pour l’heure qu’une hypothèse.
- Flambée de cancers postvaccinaux : les récentes déclarations du Dr Ryan Cole sont corroborées par la découverte de plusieurs mécanismes pathogènes qui ne peuvent plus être ignorés aujourd’hui, notamment après la publication des premières données cliniques des essais conduits par Pfizer. Le lien entre la vaccination contre le COVID-19 et l’apparition de cancers lymphomateux, notamment, est documenté depuis mai 2021 (Brumfiel et al.).
- Hépatites aiguës d’étiologie inconnue : un nombre inquiétant de cas a été rapporté chez l’enfant depuis le 16 avril. Signalés pour la première fois en Angleterre et en Espagne, des cas sont aujourd’hui recensés en Irlande, aux Pays-Bas, au Danemark et en France.
Trois études sèment particulièrement le doute sur la lucidité et l’intégrité d’Emmanuel Macron, et plus particulièrement sur les raisons de son acharnement vaccinal. Car quel responsable politique peut décemment vouloir injecter une quatrième dose et imposer une vaccination obligatoire, a minima sous la forme du passe face à un tel niveau de risque ? Les dernières publications en date auraient dû en effet déclencher un moratoire immédiat :
- Les preuves d’une rétrotranscription de l’ARN vaccinal en ADN et sa possible inscription dans le génome humain ont été apportées cette année (Zhang et al., Chandramouly et al,). Une nouvelle étude (Aldèn et al.) confirme ce mécanisme et suggère une altération définitive de l’ADN avec pour conséquence, la réactivation chronique du COVID et de ses effets secondaires des années après l’injection :
- Une épidémie de syndromes d’immunodéficience en Europe, Australie et Nouvelle-Zélande, assimilable à un COVID chronique, avec pour conséquence une persistance de l’infection au COVID longtemps après la résolution des symptômes inquiète particulièrement dans ce contexte. Est-ce le COVID qui est en cause ou bien son inscription dans le génome via la vaccination ? Pour mémoire, Olivier Véran a toujours nié ce risque, notamment en février dernier, alors qu’il a été mis en évidence par l’Agence britannique de santé en octobre dernier.
- La consolidation des preuves suggérant la présence de dioxyde de graphène à de hauts niveaux de concentration dans les quatre vaccins anti-COVID aujourd’hui administrés, encapsulé dans les nanoparticules lipidiques. Le docteur en santé publique, Laurent Aventin publie aujourd’hui un dossier de 30 pages dans lequel il explique que cette substance cancérogène, proscrite par la législation européenne, est retrouvée dans le cerveau et le placenta 15 minutes après l’injection. À quelles fins a-t-elle été introduite dans les injections ?
- Une étude publiée en preprint il y a plusieurs mois, publiée définitivement il y a quelques jours, décrit un mécanisme pathogène induit par la vaccination (l’altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I) avec un ensemble de conséquences délétères (Seneff et al.) :
« La protéine de pointe est neurotoxique et altère les mécanismes de réparation de l’ADN.
Seneff S, et al. Suppression immunitaire innée par les vaccinations par ARNm du SRAS-CoV-2 : le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN. Food Chem Toxicol. 2022 Apr 15;164:113008. DOI: 10.1016/j.fct.2022.1130.
La suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée.
Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer.
L’optimisation des codons donne un ARNm riche en G qui a des effets complexes imprévisibles.
Nous identifions également des perturbations profondes potentielles dans le contrôle réglementaire de la synthèse des protéines et la surveillance du cancer. Ces perturbations ont potentiellement un lien de causalité avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, une immunité adaptative altérée, une réponse aux dommages à l’ADN altérée et la tumorigenèse. »
Comment expliquer que des citoyens ou des journalistes soient mieux informés qu’un président et son ministre, qui auront déboursé des centaines de millions d’euros en prestation de conseil pour déterminer la meilleure stratégie vaccinale pour les Français ? Est-ce entendable aujourd’hui ? Non, personne ne peut le penser.
De manière plus confidentielle, les
thanatopracteurs, les notaires, les fleuristes alertent sur les réseaux
sociaux pour signaler une explosion de décès, notamment chez des
personnes jeunes.
Cette information n’a pas de valeur
scientifique, mais elle révèle quelque chose d’éminemment inquiétant :
les risques vaccinaux ne sont apparemment plus une légende que l’on peut
évacuer d’un revers de la main en affirmant que la pharmacovigilance ne
signale rien d’inhabituel (Olivier Véran), ils commencent à se voir.
Un article publié dans la presse italienne le 23 avril 2022 faisant état de 40 décès soudains (morts subites) survenus en cinq jours étaye dramatiquement ce constat. Il relate :
« Le chef du Mouvement des droits civiques, Franco Corbelli, dénonce, aujourd’hui à La Verità, ce qu’il appelle “le massacre de Pâques” , soit 40 morts subites en seulement cinq jours, pendant la période de Pâques, du 16 au 20 avril (et beaucoup d’autres qui sont connus se sont également produits au cours des quarante-huit dernières heures).
Calabria.it, 40 morts subites en cinq jours, suspension du vaccin anti-Covid demandée, 23 avril 2022
“Au cours des soixante derniers jours, il y a eu plus de 200 victimes. Toutes les personnes, pour la plupart jeunes, vaccinées en bonne santé et négatives au COVID. Beaucoup d’autres ont été, miraculeusement, sauvés grâce à l’utilisation de défibrillateurs. Nous demandons qu’il y ait des défibrillateurs partout, dans les écoles, sur le lieu de travail, sur les moyens de transport. À Naples, ces outils vitaux, les défibrillateurs, sont également à bord des premiers taxis, prêts, si nécessaire, pour les clients et même les passants”, affirme Corbelli qui poursuit sa bataille, dénonçant cette tragédie, demandant “la suspension immédiate de la vaccination, du moins pour les moins de 40 ans (qui ne courent pas de risques pour le COVID et qui continuent plutôt, malheureusement, beaucoup d’entre eux, à mourir si soudainement !)”.
Les chiffres sont de plus en plus alarmants : pendant la période de Pâques, en seulement cinq jours, de 16 à 20, 40 autres décès se sont produits. Les chiffres commencent à faire peur. Au-delà des milliers de réactions indésirables graves (de personnes qui, après avoir été forcées de se faire vacciner, se voient maintenant abandonnées par l’État, forcées d’essayer de se guérir d’une manière ou d’une autre et aussi à leurs dépens), il y a maintenant des centaines de victimes, hommes et femmes, beaucoup de garçons, beaucoup de jeunes.
Le chiffre total des soixante derniers jours (plus de 200 décès, de fin février au 20 avril) est suffisant pour donner une idée de cette tragédie qui représente aujourd’hui la véritable urgence nationale dont, à l’exception de La Verità et de très peu de journaux en ligne, aucun grand média, écrit, radio et télévision, n’en parle. Je demande : comment pouvons-nous continuer à ignorer et à essayer de cacher ce drame, qui cause des centaines de morts et des douleurs dévastatrices et irréparables chez tant de familles ? […]
Une fois de plus, je ne fais aucune supposition ou corrélation, mais je dis avec force que vous ne pouvez pas et ne devez pas mourir comme ça, s’effondrant soudainement malgré votre jeune âge. C’est quelque chose de froid. Tout doit être fait pour tenter de mettre fin à ce massacre. Les gens meurent dans la rue, au travail, en faisant du sport, en entrant dans un magasin, en dormant, en conduisant, causant également de graves accidents.” […]
La toxicité des vaccins est confirmée par la pharmacogiliance
La question qui se pose donc aujourd’hui est la suivante : depuis quand le Gouvernement sait-il qu’il expose les Français à un niveau de risque que rien ne justifie ? Le Dr Peter McCullough expliquait il y a près d’un an :
« La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 25 décès, ils ont tout arrêté. On a 200 rapports de décès en moyenne par an aux États-Unis tous vaccins confondus. Nous avons plus de 4000 rapports de morts aux États-Unis ! C’est de loin l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain dans l’histoire de l’Amérique […]. Sur la base des données de sécurité disponibles, je ne peux plus le recommander. Je ne peux pas le recommander. Il a dépassé tous les plafonds pour être considéré comme un produit sûr. »
Peter McCullough
Pourquoi les injections se poursuivent-elles en France alors que la responsabilité du vaccin a été formellement établie dans plusieurs décès, notamment d’enfants ? Les récentes données de pharmacovigilance sont littéralement vertigineuses :
- près de 4 000 000 d’événements indésirables observés dans le monde (VigiAccess/OMS), dont 25 % seraient des effets secondaires graves (taux décalaré par l’ANSM) ;
- en Europe, l’Agence européenne des médicaments (EMA) dénombre 1 746 550 d’effets secondaires (EudraVigilance), dont plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus ;
- en France, l’ANSM recensait en décembre 2021 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations, 680 invalidités, 1 300 mises en jeu du pronostic vital. Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois ;
- le taux de déclaration estimé se situe entre 1 % (Lazarus) et 5 % des effets réellement survenus (Pantazatos, Kirsch, Rose). Cela signifie que ces chiffres sont à multiplier par 20 ou par 100. Le nombre de morts ou de mutilés associés aux vaccins contre le COVID équivaut à celui d’une guerre ;
- la majorité de ces effets sont relevés chez les 18-44 ans (40 %) et les 45-64 ans (30 %), c’est-à-dire chez ceux qui ne sont pas la population cible du virus.
Ces effets secondaires, notamment ces décès sont-ils pour autant tous induits par les vaccins puisqu’Olivier Véran a affirmé devant la représentation nationale qu’un d’eux ne peut leur être imputé ? Non en l’absence d’autopsies réclamées par la communauté scientifique, mais :
- l’ANSM n’a pas été en mesure d’expliquer 44 % des décès sur lesquels elle a enquêté,
sachant qu’elle a exclu de ses investigations 75 % de ceux recensés
dans sa base, soit tous les décès survenus après l’âge de 50 ans et les
morts in utero, ce qui signifie que ces 44 % de décès sont potentiellement attribuables aux vaccins.
Si l’on considère que seul 1 décès sur 100 est effectivement déclaré en pharmacovigilance, on peut estimer à environ 66 000 le nombre de morts induits par les injections. Quel sera le bilan final de la vaccination comparé à celui du COVID sachant que le virus a perdu de sa létalité mais que, a contrario, les effets secondaires sont majorés à chaque nouvelle dose (ce phénomène fait partie des effets secondaires recensés par l’ANSM), et que chaque nouvelle injection est l’occasion de s’exposer à nouveau à un risque d’effet secondaire ; - une équipe de pathologistes allemands a montré que les injections étaient la cause du décès dans 90 % des corps qu’ils ont autopsiés, notamment ceux des adolescents ;
- le Sénat a refusé sans fournir la moindre explication de donner aux chercheurs un accès aux données des décès toutes causes confondues selon le statut vaccinal. Pourquoi une telle obstruction ?
À titre de comparaison :
- Les vaccins contre le COVID ont induit aux États-Unis (VAERS) 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain ;
- Le Royaume-Uni a enregistré 5 fois plus de décès en 12 mois suite à la vaccination contre COVID que de décès dus à tous les autres vaccins combinés en 21 ans ;
- Les effets secondaires enregistrés par l’OMS (VigiAccess) représentent 13 fois le volume de ceux recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe. Une étude récente a confirmé ce que l’on sait depuis août 2021 :
« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »
Diego Montano, Fréquence et associations des effets indésirables des vaccins COVID-19 signalés aux systèmes de pharmacovigilance dans l’Union européenne et aux États-Unis. Front Public Health. 2022 Feb 3;9:756633. DOI : 10.3389/fpubh.2021.756633
Qui peut encore douter de la toxicité des injections ?
Pour les plus sceptiques, l’association Vérity (France), Où est mon cycle ? (France) le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins.
Les indemnisation de victimes ont déjà débuté dans de nombreux pays où les médias alertent
Cette toxicité est aujourd’hui reconnue par plusieurs États (Japon où les médias alertent et relatent les histoires des victimes, Taïwan, Australie, Thaïlande, Singapour, Québec…) qui ont commencé à indemniser les victimes. L’Australie évoquait en début d’année plus de 80 000 demandes d’indemnisation, celles-ci atteignant jusqu’à 600 000 $, elle parle aujourd’hui d’une facture possible de 50 millions de dollars. Plusieurs pays (Vietnam, Taïwan, Brésil) commencent à renoncer à vacciner une partie de leurs concitoyens, la Pologne refuse d’injecter de nouvelles doses et réclame la suspension de l’approvisionnement en vaccin imposé par l’Union européenne.
Seuls les outrances verbales d’Emmanuel Macron, l’omerta du corps médical et le déni du ministre de la Santé, entretenu notamment par le fait que les contrats ont transféré vers l’État la responsabilité des laboratoires en cas de dommages corporels, rendent cette réalité inaudible pour une majorité de Français. Le contexte sanitaire et l’efficacité des vaccins, réaffirmée par Emmanuel Macron il y a encore quelques jours, justifient-ils une telle mise en danger de la population ?
Pour rappel, les gouvernements ont été autorisés à administrer les vaccins contre le COVID sans attendre la fin des essais cliniques (08 février 2024 pour le vaccin Pfizer) sur la base d’une double promesse : endiguer de futures vagues pandémiques et pallier l’hémorragie de décès chez les personnes âgées. Ils ne seront ou non homologués définitivement que lorsque les laboratoires auront fourni les données de sécurité des essais cliniques.
Un an après, force est de constater que le miracle vaccinal n’a pas eu lieu. Les documents divulgués par le laboratoire Pfizer sur ordre de la justice autorisent au contraire à parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée.
Affirmer que les vaccins sont efficaces est un mensonge d’État
On savait dès décembre 2020 que les vaccins anti-COVID ne peuvent empêcher ni l’infection ni la transmission (Bleier et al.), ces paramètres n’ayant d’ailleurs jamais été évalués lors des essais cliniques (Desbiolles). On sait aujourd’hui qu’ils n’ont eu aucun impact sur l’évolution de l’épidémie :
- Les CDC, l’OMS et des dizaines d’études l’ont démontré : le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale (Subramanian et al.), les pays vaccinés sont au contraire ceux où le virus circule le plus.
- On parle désormais d’une efficacité vaccinale négative face au variant Omicron induite par les anticorps facilitants, dont le risque est suspecté depuis le début par les laboratoires (– 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna).
La Belgique le confirme aujourd’hui : les communes les plus vaccinées sont celles qui enregistrent le plus de cas. - L’étude israélienne concernant la 4e dose montre une disparition encore plus rapide de l’efficacité que pour les deux précédentes doses, à la fois contre l’infection (négative à partir de la 4e semaine) et les formes graves (diminution à partir de la 6e semaine), associée à une flambée des cas dans les 7 premiers jours.
- À titre de comparaison, la durée de l’efficacité du vaccin Pfizer était évaluée à seulement 3 mois en juillet 2021(Favresse et al.) le niveau d’anticorps diminuant de manière significative à l’issue de cette période, justifiant l’injection d’une nouvelle dose.
L’efficacité du vaccin est une illusion d’optique hormis tout au plus sur l’infime catégorie de la population pour laquelle il est indiqué
On sait aujourd’hui que les injections ne protègent ni des formes graves ni des décès, cette illusion d’efficacité (hormis tout au plus pour une infime partie de la population) repose sur l’évolution naturelle de l’épidémie et l’effet moisson de la première vague :
- Ces risques n’ont jamais été évalués lors des essais cliniques, qui se sont « exclusivement focalisés sur le nombre d’infections symptomatiques confirmées par test PCR positif » (Desbiolles). Les personnes âgées, fragiles ou immunodéprimées n’ont d’ailleurs pas été incluses au même titre que les femmes enceintes. Leur vaccination au nom de la protection contre les formes graves est littéralement criminelle.
- Gibraltar, pays le plus vacciné au monde (98 % de la population triplement injectée) affiche aujourd’hui un excès de mortalité de 157,23 % (OurWorldInData).
A contrario, le Nigeria, pays l’un des moins vaccinés au monde (10 %), enregistre moins de 15 morts par million d’habitants versus 2 140 pour la France (144 274 mors au total), soit 142 fois moins de morts que la France malgré un taux de vaccination 8 fois moins élevé.
Madagascar, avec une couverture vaccinale à 4 %, totalise moins de 50 morts par million d’habitants, soit 43 fois moins que la France malgré un taux de vaccination 20 fois moins élevé.
Ont-ils besoin des besoins ou avons-nous plutôt besoin qu’ils expliquent à Emmanuel Macron que les traitements précoces fonctionnent ? Il le sait parfaitement, c’est un secret de polichinelle : les hommes politiques vont se soigner à l’IHU de Marseille. Brigitte Macron l’a d’ailleurs avoué discrètement lorsqu’elle a contracté le COVID : elle a été soignée. Avec quoi ?
- L‘agence écossaise de santé, entre autres, a clairement démontré le rôle des anticorps facilitants (ce risque, mentionné comme important ou très important dans tous les documents d’évaluation des données du vaccin Pfizer, est aujourd’hui parfaitement documenté) dans l’aggravation de la maladie (VAED), puisque dans ses données de septembre 2021, elle relève que 80 % des décès COVID-19 survenus en août 2021 sont survenus chez des personnes vaccinées.
- On dénombre 6,20 millions de décès induits par le COVID dans le monde au 18 avril 2022 versus 1,88 au 31 décembre 2020, soit 2 fois plus de morts survenus après l’introduction des vaccins qu’avant leur déploiement.
- Les études cliniques réalisées à 6 mois sur le vaccin Pfizer ont montré que les personnes du groupe vacciné avaient connu une augmentation des maladies et des décès par rapport au groupe placebo : + 300 % d’effets secondaires, + 75 % d’effets secondaires graves, + 43 % de décès.
Les inoculations répétées ne sont justifiées que par leur inefficacité
Cinq vagues plus tard, affirmer que les vaccins seraient efficaces relève donc au mieux du scientisme ou de la foi : aucun gouvernement ne peut encore croire aujourd’hui ni que les injections apportent le moindre bénéfice collectif – que ce soit en termes de propagation de l’épidémie ou de d’allègement de la pression hospitalière – ni que les dispositifs de contrôle qui visent à rendre son inoculation obligatoire remplissent une quelconque fonction sanitaire.
Le pathologiste Ryan Cole comme des centaines de milliers de médecins ont mis un terme définitif à ce débat :
Dans ce contexte, la volonté assumée d’Emmanuel Macron d’ostraciser les personnes non vaccinées et de réactiver à la fin de l’été le passe sanitaire (dont le Gouvernement n’a pourtant pas été en mesure de fournir la moindre preuve de l’efficacité) s’apparente au mieux à de l’obscurantisme, ce que le Pr Raoult résume en ces termes : « C’est un truc de neuneus ».
La réitération des injections s’apparente à un empoisonnement
La toxicité liée à l’accumulation des doses (notamment des nanoparticules lipidiques) est aujourd’hui documentée, puisqu’on sait que les anticorps facilitants s’accumulent dans l’organisme, favorisant l’infectiosité (Liu et al.), et que la réexposition au même antigène entraîne une fatigue du système immunitaire :
« Des maladies auto-immunes systémiques semblent être la conséquence inévitable de la surstimulation du système immunitaire de l’hôte par une immunisation répétée avec l’antigène, à des niveaux qui dépassent la criticité auto-organisée du système. »
Ken Tsumiyama et al., Self-Organized Criticality Theory of Autoimmunity, 31 décembre 2009.
Les études prouvant l’efficacité des vaccins sont un « simulacre de science »
Persister à soutenir que les injections seraient efficaces pour forcer les Français à se faire vacciner est en soi malhonnête : dans la mesure où elles ne le sont pas, il est illégitime de considérer au contraire qu’il s’agit d’un vaccin. Est-ce le but de ce mensonge ? Or on sait désormais que leur homologation repose sur une gigantesque escroquerie :
- La publication de documents classifiés montre que le Pentagone savait depuis avril 2020 qu’il existe des traitements efficaces, contrairement à ce qu’affirme l’autorisation de mise sur le marché (AMM) des vaccins. Or c’est précisément en raison d’un tel vide thérapeutique qu’ils ont été homologués avant la fin des essais cliniques, sur la base d’une présomption de sécurité.
- L’homologation des vaccins est entachée de multiples conflits d’intérêts : les aveux du directeur général de la FDA, confirmés par un versement de 2,8 millions de dollars à l’attention de la scientifique principale de la FDA également épouse du vice-président de la R&D clinique des vaccins chez Pfizer, ou encore la « commission de performance » de 760 millions d’euros dont aurait bénéficié la négociatrice de l’achat des vaccins, Ursula Van der Leyen, de la part de Pfizer.
- Les essais cliniques conduits par Pfizer seraient frauduleux de la tête aux pieds : selon l’auditrice Brook Jackson ayant supervisé les essais, ils sont « truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. » L’ancien trader de BlackRock, Edward Dowd, confirme ces accusations pour Pfizer et Moderna dont il prédit l’effondrement boursier.
- On dénombrait fin décembre 2021 a minima 6 fraudes avérées impliquant Pfizer, la FDA et l’EMA (Borie). Les CDC peuvent désormais être ajoutés à cette liste, comme le suggèrent deux médecins. Le Dr Michel de Lorgeril, ancien chercheur au CNRS, qualifie les études sur l’efficacité des vaccins de « simulacres de science » et estime que ces entorses à l’éthique compromettent la sécurité des vaccins.
Pfizer savait dès les essais cliniques que son vaccin est inutile, qu’il peut blesser et tuer
La publication des documents sur lesquels la FDA s’est basée pour homologuer le vaccin Pfizer confirme aujourd’hui ces allégations. Les données des essais cliniques montrent en effet que :
- le vaccin n’apporte aucun bénéfice chez ceux ayant déjà contracté le COVID, l’immunité naturelle fonctionne donc (150 études l’ont prouvé) ;
- les effets secondaires sont plus graves et plus fréquents chez les jeunes adultes ;
- le vaccin induit une immunosuppression entre le 3e et le 7e jour post-injection ;
- le risque de myocardite est connu depuis le départ ;
- les personnes complètement vaccinées ont un risque de décès accru (EpochTimes).
Les données relatives aux 90 jours qui ont suivi le déploiement des vaccins en population générale montrent un volume de décès (1 223) et d’événement secondaires graves hors norme, notamment :
- plus de 20 000 handicaps potentiellement permanents ;
- déclenchement de maladies auto-immunes chez 8,5 % des personnes vaccinées ;
- 1 291 types d’effets indésirables potentiels (Les Décodeurs).
Enfin, si la composition des vaccins est toujours inconnue, car protégée par le secret de fabrication (20 % du contenu serait concerné selon la Commission européenne qui a pourtant homologué provisoirement les vaccins), des mails échangés en interne entre des cadres de Pfizer prouvent l’utilisation de cellules fœtales et la volonté de dissimuler à tout prix cette information : « Nous voulons éviter que les informations sur les cellules fœtales ne circulent. »
Arrêter la folie vaccinale d’Emmanuel Macron : une question de survie pour tous les Français
Dans ce contexte, imposer de nouvelles injections aux Français dans le but de pallier leur inefficacité relève d’une volonté de blesser. La question n’est donc plus de savoir si le vaccin est sûr et efficace et si l’on peut tolérer que des personnes non vaccinées le restent au prétexte moral que 80 % des Français auraient accepté de « jouer le jeu », mais s’il est humain de continuer à injecter des citoyens et à exposer l’hôpital à un risque de saturation hospitalière compte tenu de l’ampleur des effets secondaires graves induits par le vaccin.
La vaccination obligatoire a été déclarée illégale par plusieurs pays : pourquoi s’entêter ?
La vaccination obligatoire a été à ce titre abrogée en Nouvelle-Zélande le 9 avril dernier, elle est contraire au droit européen qui l’assimile à un essai clinique pour lequel le consentement libre et éclairé ne peut être effacé sous aucun prétexte, et elle a été rejetée en Allemagne grâce à la mobilisation d’un collectif de magistrats. Ils considèrent en effet qu’« au moyen de l’obligation vaccinale, l’État tue avec préméditation. […] » dans la mesure où « dans le cas présent (rendre obligatoire les injections anti-COVID — ndlr), la survenue de la mort n’est pas simplement une éventualité, c’est une certitude statistique ». Les calculs de coût/bénéfice de la vaccination établis par S. Seneff (MIT) le confirment sans la moindre ambiguïté.
Une plainte pour empoisonnement, une autre pour dérive sectaire ont été récemment déposéee à l’encontre du Gouvernement, mais il est urgent que les médias s’emparent de la question des effets secondaires et prennent la mesure de la crise sanitaire à laquelle la vaccination expose l’ensemble de la société pour forcer la représentation nationale à mettre un terme à cette spirale mortifère. Car il est acquis qu’aucune exemption ne sera accordée aux victimes d’effets secondaires dès lors que ces derniers ne sont pas reconnus, comme ce fut le cas lorsque le passe était en vigueur pour un grand nombre de Français.
Vacciner quoi qu’il en coûte : la stratégie McKinsey
Ce n’est donc pas à cette minorité de Français réfractaires, dont un certain nombre savent qu’ils ont un terrain héréditaire qui les prédispose à développer une pathologie ou un handicap s’ils se font injecter, qu’Emmanuel Macron déclarera la guerre demain s’il met en actes ses paroles, mais à l’ensemble de ses concitoyens, c’est-à-dire également aux Français vaccinés, qu’ils souhaitent ou non continuer à se faire injecter. C’est ce que suggère clairement le rapport sénatorial sur le recours aux cabinets de conseil : les dernières doses ont été commandées « sur l’hypothèse de “100 % d’adhésion à la 4e dose” et donc sur le fait qu’une personne déjà vaccinée acceptera un nouveau rappel », et les contrats signés avec les laboratoires prévoient que les doses commandées ne peuvent pas être reprises.
Ni le doute sur la réalité d’un effet secondaire développé lors d’une précédente injection, ni l’inutilité de se faire réinjecter pour cause de COVID, parfois sévère, ne constitueront demain une excuse valable pour sortir du jeu : Emmanuel Macron et Olivier Véran ont chois de vacciner en priorité les publics pour lesquels le vaccin n’est pas recommandé par Pfizer (femmes enceintes, personnes immunodéprimées), les effets secondaires ne sont pas un sujet.
Peut-on dans ces conditions continuer à remettre la santé des Français entre les mains d’un homme dont plus personne ne peut plus ignorer qu’il est l’obligé du cabinet de conseil américain également actionnaire et client du laboratoire qui produit les vaccins, condamné il y a moins d’un an par la justice américaine pour sa responsabilité dans le scandale sanitaire le plus meurtrier de l’histoire ? Malgré les 500 000 morts provoqués par la crise des opioïdes, Emmanuel Macron n’a pas hésité à reconduire les contrats signés avec McKinsey.
Quel ministre de la Santé demain pour remplacer Olivier Véran ?
Les rumeurs d’une possible nomination de Claude Malhuret au poste de ministre de la Santé sont un signal hautement toxique adressé par Emmanuel Macron tant personne ne peut douter qu’il exaucera son souhait de rendre la vaccination obligatoire dès qu’une reprise de l’épidémie lui donnera ce prétexte. Il est probablement l’un de ceux qui a eu les mots les plus durs et les plus menaçants à l’encontre des non-vaccinés :
« Contrairement à ce que prétendent depuis des mois les trafiquants de fake news, les résistants des boulevards, les has not been de la chanson française et les Sakharov de la dictature sanitaire, nous avons aujourd’hui trois certitudes : 1) Le vaccin empêche l’immense majorité des formes graves. 2) La probabilité d’un séjour en réanimation est dix fois supérieure chez les non-vaccinés. 3) Les services d’urgence sont remplis par la petite minorité qui refuse la vaccination. La conclusion est d’une simplicité biblique : il faut vacciner le plus de monde possible, le plus vite possible. »
Claude Malhuret, 11 janvier 2022
Nous pourrions rajouter : tant que les vaccins ne sont pas homologués définitivement, autrement dit, tant que Pfizer n’a pas rendu ses données, et même si Omicron ne tue que les personnes fragiles, immunodéprimées ou boostées, car saturées d’anticorps facilitants.
Voici a contrario ce que montrait la Drees à la même date :
On savait pourtant à l’époque, selon une étude américaine conduite en janvier 2022 sur près de 5 millions d’assurés sociaux, que le variant Omicron n’avait entraîné aucune admission en réanimation mais au contraire une réduction massive des admissions en soins critiques (– 74 %) et des décès (– 91 %).
Les non-vaccinés ne représentent plus aujourd’hui que… 17,2 % des admissions en soins critiques alors qu’ils représentent 20 % de la population (Source : OurWorldInData). Il était donc judicieux d’attendre, en fait.
L’hubris d’Emmanuel Macron : un risque majeur pour chaque Français, notamment pour les enfants
On sait depuis plus de six mois que l’immunité collective est un mythe (Nature, Oxford Vaccine Group), qu’elle ne pourra jamais être atteinte dans le cas du COVID (les animaux sont un réservoir infini et incontrôlable). On sait également que la vaccination obligatoire est inefficace (47 études le démontrent), non scientifique, socialement délétère, coûteuse (Allon Friedman) et contraire à l’éthique (Martin Kulldorff), mais surtout qu’elle expose l’ensemble de la société à un risque de mutation du virus par pression de sélection en une forme potentiellement plus létale : « L’évolution antigénique conduira à de nouvelles variantes du SRAS-CoV-2 avec une gravité imprévisible » (Markov et al.).
C’est ce qu’explique le Pr de virologie Geert Vanden Bossche, ancien employé de GSK, Novartis, GAVI, de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui rappelle par ailleurs, comme l’a toujours explique le Pr Luc Montagnié, que les non-vaccinés sont une chance et non un problème :
« On ne doit jamais jamais utiliser un vaccin qui n’arrête pas la transmission quand l’épidémie est active et qu’on est au cœur de la bataille. Si vous avez un vaccin qui n’empêche pas la transmission, vous ne pourrez pas contrôler cette pandémie, le virus s’échappera. Vous ne pourrez pas gagner, c’est impossible. Donc, dans d’autres termes, avec cette vaccination de masse, vous faites exactement l’inversement de l’objectif visé. Vous générez un terreau fertile pour la réplication de variants encore plus infectieux. Scientifiquement, il n’y a aucune rationalité à vacciner les enfants ? cela ne peut pas être justifié, il n’y a aucune valeur ajoutée d’aucune sorte four les enfants. »
Dr. Geert Vanden Bossche
Arrêter de parler de vaccin pour l'injection d'un poison qui tue toutes races, sexes, âges confondus et pour les miraculés, c'est simplement que l'injection était un placebo comme dans toutes expérimentations animales, il y a les rats que l'on teste et qui meure pour la plupart quand l'expérience qui se termine mal et les rats qui ne meurent pas car non injecté d'un poison.
RépondreSupprimer"Arrêter de parler de vaccin"
RépondreSupprimerC'EST LA MOINDRE DES CHOSES EN EFFET !
En raccourci, on peut donc dire que les électeurs de maqueron sont des complices d'assassinats d'enfants...
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