jeudi 25 mai 2017

USA. L’assassinat de Seth Rich, qui a fait tomber Comey, le directeur du FBI, pourrait causer d’autres surprises



Un autre rapport intriguant Service de renseignement extérieur (SVR) circulant dans le Kremlin le 24/05 détaillant la montée de la guerre menée par le « Deep State » contre le président Donald Trump,  affirme que le « gambit-piège » Seth Rich, qui a « détruit » la carrière de  l'ancien directeur du FBI, James Comey, semble prêt à jaillir dans son intégralité cette fois. Ses effets seront la destruction complète de la propagande des grands médias américains et de leurs maîtres au sein du Parti Démocrate, qui n’avaient cessé, depuis des mois, de broder sur d’imaginaires « hackers russes » [1].

Seth Rich a été le directeur adjoint pour la protection de données de vote. Il avait contribué à l'élaboration d'un programme informatique pour le Comité National Démocrate (DNC) qui permet aux gens de taper leur adresse et d’obtenir une carte situant leur bureau de vote. Mais comme il était un supporter de Bernie Sanders, et constatant les manipulations malhonnêtes et illégales des partisans d’Hillary Clinton (afin de faire éliminer Sanders au profit d’Hillary), il décida de fournir  des dizaines de milliers de documents secrets et d’e-mails du DNC à WikiLeaks.
Par ailleurs, comme le directeur de campagne d’Hillary Clinton, John Podesta,  avait émis une menace à peine voilée, le 22 Février 2015, en disant qu'il allait « certainement faire un exemple d'un fuiteur présumé, avec ou sans preuves », il ne fallait pas être Sherlock Holmes pour deviner qui sont les commanditaires de l’assassinat de Seth Rich.
 
D’ailleurs, le SVR est devenu  très préoccupé quand, au début de Juillet 2016, le trafic de signaux qu’il a intercepté aux États-Unis  a suggéré que la vie de Seth Rich pourrait être en danger. C’est alors que le Directeur du SVR, Mikhail Fradkov, a autorisé un contact d'urgence entre son agence et le Département d'État des États-Unis pour lui révéler les détails de cette découverte. Mais lorsque les diplomates russes ont présenté ces résultats des écoutes du SVR aux autorités des États-Unis, le 7 Juillet, ils ont été immédiatement et scandaleusement expulsés des États-Unis, comme nous l'avions indiqué dans notre rapport du 13 Juillet 2016 intitulé USA. Hillary fait encore assassiner un témoin gênant
Trois jours plus tard, le 10 Juillet, Seth Rich a été assassiné. Ceux qui sont soupçonnés d'être officiellement les assassins, et qui ont été capturés le 12 Juillet par la police fédérale américaine, sont : Keyante Edwards (19 ans), Alpha Jalloh (18 ans), et, Keith Jones (20 ans).  Mais voilà que tous les documents les concernant  ont complètement disparu des archives officielles des États-Unis alors qu’ils étaient accusés de crimes.
Le plus important parmi ces trois accusés est Alpha Jalloh, auquel les documents à charge donnent un âge de 18 ans, alors que le SVR l’avait déjà identifié en 2015, comme ayant 26 ans, ayant un profil de gangster,  appartenant une organisation criminelle basée à New York et au New Jersey, spécialisée dans le vol international de voitures automobiles de luxe.
En fait, c’est grâce à la surveillance électronique d’Alpha Jalloh que le SVR a découvert le complot d’assassinat de Seth Rich. Ainsi, au début de Juillet 2016, le SVR a découvert qu’Alpha Jalloh était un criminel international (qui avait été bizarrement libéré après son arrestation en 2015, et qu’on soupçonne d’être un informateur du FBI), était en contact direct avec le bureau de campagne d’Hillary Clinton à New York et avec celui du DNC à Washington D.C.
C’est grâce à son partenariat avec l'entrepreneur Internet germano-finlandais, Kim Dotcom, que  Seth Rich a pu envoyer des dizaines de milliers de documents secrets et d’e-mails à WikiLeaks.
Or, depuis 2012, Kim a été dans une longue bataille juridique avec les États-Unis à partir de son domicile en Nouvelle-Zélande. La bataille de Kim Dotcom contre le gouvernement des États-Unis, a été initiée par le régime Obama, qui avait été menacé par ses puissants bailleurs de fonds élitistes d'Hollywood. Ceux-ci voulaient fermer Megaupload [2], un site Internet  de partage de fichiers. Ces  lobbys hollywoodiens ne voulaient pas de la concurrence d'un système de téléchargement gratuit et légal des films et des émissions de télévision que Megaupload s’apprêtait à mettre en place.
Dès que Trump est devenu président, Kim Dotcom a entamé des négociations avec la nouvelle administration de Trump, qui déteste Hollywood et ses élites pédophiles et corrompues. Kim Dotcom proposa de fournir à l’Administration US les preuves que c’est bien Seth Rich, et non pas la Russie, qui a donné tous les documents et les courriels à WikiLeaks. Pour cela, ils ont convenu d’une réunion secrète en Nouvelle-Zélande le 23 Avril, entre d’une part Kim Dotcom, et d’autre part le directeur du FBI Comey, et le directeur de la CIA, Mike Pompeo,
Cependant cette réunion secrète a capoté parce que le directeur du FBI Comey arriva en Nouvelle-Zélande avant le directeur de la CIA Pompeo, pour entamer seul les négociations. Mais Dotcom refusa de rencontrer Comey en l’absence de Pompeo. Informé de cela, le président Trump a été scandalisé par cette louche manœuvre et vira Comey du FBI. Quinze jours plus tard, disant aux Russes que le directeur du FBI était un « cinglé ». 
 
Deux jours après que le président Trump a viré Comey pour sa tentative de  sabotage des négociations avec Kim Dotcom,  le SVR a rapporté qu'un contrat offrant 198 millions $ a été publié sur le “dark web” ou « web sombre » à celui qui tuera le président Trump.
Cependant, le SVR ne désire pas diffuser en public une conversation hautement codée, enregistrée par ses services  sur le « web sombre », et qui a été tenue entre environ 5 des conspirateurs de « État profond », parmi les communautés de renseignement des États-Unis, à propos de ce complot en vue d'assassiner le président Trump.
Ce filou (Brad Bauman) est aussi un chef du Parti Démocrate. Il se dit prêt à attaquer quiconque osera faire un effort pour enquêter sur l'assassinat de Seth Rich,  en le qualifiant de « psychopathe ». Mais Kim Dotcom, contrairement à Sean Hannity, n'est pas intimidé par les menaces de Bauman. Au contraire, il y a quelques heures, il a ouvertement déclaré son intention de faire connaître la vérité aux États-Unis mêmes  en indiquant sur son site:
« Je sais que Seth Rich a été impliqué dans le fuitage du DNC.
Je le sais parce qu’à la fin de 2014, une personne m'a contacté pour m’aider à démarrer une branche du Parti Internet aux États-Unis. Elle se faisait appeler Panda. Je sais maintenant que Panda était Seth Rich. Panda m'a informé qu'il travaillait sur des outils d'analyse des électeurs et d'autres technologies que le Parti Internet peut trouver intéressants. J’ai communiqué avec Panda sur un certain nombre de sujets, y compris la corruption et l'influence de l'argent des entreprises en politique. « Il voulait changer cela de l'intérieur. »
Je faisais allusion à ce que je savais quand j’avais fait une interview avec Bloomberg en Nouvelle-Zélande en mai 2015. Dans cette interview, j’ai laissé entendre que Julian Assange et WikiLeaks libéreraient des informations sur Hillary Clinton lors de la prochaine élection.
La famille de Rich m’a contacté pour me demander  d’être sensible à leur perte dans mes commentaires en public. Cette demande est entièrement raisonnable.
J’ai consulté mes avocats. J’accepte que ma déclaration complète soit fournie aux autorités américaines  et  je suis prêt à le faire afin qu'il puisse y avoir une enquête complète. Mes avocats parleront avec les autorités en ce qui concerne le  bon processus.
Si ma preuve doit être donnée aux États-Unis, je  serais prêt à le faire si les dispositions appropriées sont prises. J’aurais besoin d'une garantie de l'avocat spécial MUELLER, au nom des États-Unis,  pour un passage sûr et sécurisé de la Nouvelle-Zélande vers les États-Unis et pour mon retour. Dans les prochains jours, nous communiquerons avec les autorités compétentes afin de prendre les dispositions nécessaires. Entre-temps, je ne ferai aucun autre commentaire ".

NOTES
 
[1] Résumé des articles précédents
Le 10 juillet 2016, le membre du Congrès National Démocrate, Seth Rich, était tué de deux balles près de son domicile au nord-ouest de Washington, dans la banlieue de Washington. En août 2016, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange avait fortement laissé entendre que Seth Rich était la source des fuites d’e-mails provenant du Comité National Démocrate [DNC]. Des rapports récents donnés par investigateur/détective privé Rod Wheeler et surtout par Fox News, ont réactivé un intérêt significatif pour ces investigations concernant la mort de Seth Rich.
D’après une nouvelle entrevue, l’envoyé de WikiLeaks et ancien ambassadeur britannique Craig Murray, a déclaré qu’il avait personnellement filé aux États-Unis, et s’était vu transmettre à la fois les e-mails du CND est et les e-mails de [John] Podesta.
Murray a dit au Daily Mail que les e-mails provenaient d’une source au sein [insider] du CND, disposant d’un accès légal à ces e-mails, et qui avait connaissance de la corruption existante au sein de la Fondation Clinton, et qui avait délibérément fait fuiter les e-mails parce qu’il était frustré du trucage des primaires démocrates au sein du DNC, trucage dirigé contre Bernie Sanders.
1) les Russes n’ont en aucun cas a piraté le CND afin d’influencer les élections.
2) Trump n’a eu aucune  collusion avec Vladimir Poutine.
3) Debbie Wasserman Shultz devrait être démise de ses fonctions [ancienne Directrice du CND], n’est plus aujourd’hui membre du Congrès.
4) Bernie Sanders a en fait été trompé par  Hillary.
5) La police a aidé Hillary Clinton en n’enquêtant pas sérieusement  sur la mort de Seth Rich.
6) une dissimulation et collusion massive des médias avec le CND
7) et plus encore… quel narratif suivant a besoin d’être discrédité, à l’allure de ces nouvelles infos ?

[2] Megaupload est un site web, créé en 2005 par Kim Dotcom et fermé le 19 janvier 2012 par la justice des États-Unis, qui proposait un service d'hébergement de fichiers en un clic. Basé à Hong Kong, il possédait ou louait des serveurs aux États-Unis (à Ashburn et à Washington), aux Pays-Bas, au Canada et en France et stockait 25 Po de données. Selon le créateur, Kim Dotcom, le site sera rouvert : il serait alors « indestructible », avec du « chiffrement à la volée ». Megaupload permettait à un internaute de mettre en ligne n'importe quel type de fichier dans la limite de 1 Go pour les utilisateurs libres, et sans limite pour les utilisateurs Premium. Le fichier était alors disponible à n'importe quel internaute au moyen d'un lien qui était attribué au fichier. Les utilisateurs non Premium ne pouvaient pas télécharger des fichiers de plus de 1 Go. Megaupload ne possédait pas de système de recherche de fichiers interne.

[3] Murdoch a menacé Sean Hannity de laisser tomber l'histoire de Seth Rich
L'un des fils de Rupert Murdoch a menacé l'hôte de Fox News, Sean Hannity, de laisser tomber sa couverture de l'enquête sur le meurtre de Seth Rich.
Le dénonciateur du  DNC, qui a été assassiné,  a été lié à un complot impliquant les patrons du Parti Démocrates qui auraient voulu le réprimander pour avoir fuité des courriels vers WikiLeaks.
Selon Thepoliticalinsider.com, l'une des personnes les plus éminentes pour enquêter sur l'histoire de Rich était Hannity, mais la famille de la victime et de nombreux utilisateurs de réseaux sociaux l'imploraient d’arrêter, l'animateur Fox a donc annoncé, que, pour le moment, il ne couvrirait plus l'histoire.
Maintenant, il semble que l'un des fils de Murdoch ait également joué un rôle dans cette décision de silence de Hannity.
À la suite de l'embarrassant fléchissement de Sean Hannity sur la couverture de l'affaire Seth Rich, les sources de Fox News ont déclaré à Big League Politics qu'il avait été obligé par l'un des Murdochs.
Lors d'une diffusion de son spectacle mardi soir, Hannity a déclaré qu'il avait parlé avec la famille de Seth Rich plus tôt dans la journée et que «par respect pour les souhaits de la famille, pour l'instant, je ne discuterai pas de cette question en ce moment. »
Après le spectacle diffusé cependant, il a affirmé qu'il se rapprochait toujours de "la vérité" derrière le meurtre de l'agent de la DNC, et il ne n'arrêterait pas avant d'atteindre le but.
"Je ne vais pas arrêter d'essayer de trouver la vérité", a déclaré Hannity à son public.
Un des fils de Murdoch peut lui avoir dit autrement, cependant. Certains ont spéculé qu'ils étaient également derrière le licenciement d'une autre grande vedette Fox, Bill O'Reilly.

Hannibal GENSERIC