Des rapports arrivent d'Ukraine affirmant que l'essentiel de la contre-offensive ukrainienne semble avoir commencé, au sud d'Orikhiv.
Après un barrage d'artillerie massif, des formations massives de chars et de véhicules de combat d'infanterie (IFV) attaquent les positions russes le long d'un front de 50 km, entre les villes de Lobkove et Novokarlivka.
Cela SEMBLE être "ça".
Nous saurons dans les 48 à 72 heures s'ils y parviendront ou non.
Carte évolutive :
OBJECTIF APPARENT :
De
toute évidence, la cible immédiate de cette offensive est la ville de Tokmak, à
près de 30 km derrière les lignes, avec quatre grandes lignes de fortification
russes sur le chemin.
Si Tokmak tombe - un grand "si" à ce stade - la route de Melitopol
s'ouvre.
MISE À JOUR 10h50 HAE --
Les
brigades ukrainiennes confirmées engagées dans cet assaut le sont ;
- La 65e brigade mécanisée
- La 115e brigade mécanisée
- La 116e brigade mécanisée
- La 117e brigade
- mécanisée La 118e brigade mécanisée
- La 106e brigade de défense
territoriale
- La 128e brigade d'assaut en montagne
Environ 30 000 hommes avec 150 chars.
Cependant . . . des sources en Russie me disent "Environ 14 brigades ukrainiennes au total sont engagées. Cela pourrait représenter entre 50 000 et 70 000 soldats en tout."
En octobre dernier, la Fédération de Russie a alerté les Nations Unies qu'elle avait découvert un complot de l'Ukraine pour faire sauter le barrage et avait commencé à évacuer environ 80.000 personnes de Kherson pour éviter qu'elles ne soient TUÉES lorsque le barrage explosera. La Russie a demandé à l'ONU d'intervenir pour empêcher ce qui deviendrait une catastrophe si l'Ukraine procédait à l'attaque du barrage.
De plus, un article paru dans le numéro du 29 décembre 2022 du Washington Post rapportait à l'époque que le commandement militaire ukrainien avait envisagé la possibilité d'élever artificiellement le niveau de l'eau dans le Dnipro dans le cadre de l'opération de libération de Kherson, le major-général Andriy Kovalchuk. , qui a mené la contre-offensive, a déclaré dans une interview au Washington Post le 29 décembre.
Les Ukrainiens, a-t-il dit, ont même mené une frappe d'essai avec un lanceur HIMARS sur l'une des vannes du barrage de Nova Kakhovka, faisant trois trous dans le métal pour voir si l'eau du Dnipro pouvait être suffisamment élevée pour contrecarrer les passages russes, mais sans inonder villages voisins.
La frappe sur le barrage a été un succès, a-t-il dit, mais sa destruction est restée un dernier recours, qui a finalement été évité.
Selon Kovalchuk, sa tâche n'était pas seulement de libérer le territoire. "Ma tâche depuis le début était d'occulter et de détruire la force [ennemie]", a-t-il déclaré.
Ainsi , en octobre dernier , la Russie a prévenu l'ONU que l'Ukraine prévoyait cette destruction d'un barrage civil qui provoquerait une catastrophe. En décembre dernier , un général de l'armée ukrainienne a admis au Washington Post qu'ils avaient l'intention, en « dernier recours », de bombarder le barrage.
Les données du service satellite français montrent que l'Ukraine a artificiellement élevé le niveau de l'eau derrière le barrage pendant des mois avant que le barrage ne saute , logiquement pour augmenter le débit d'eau, les inondations qui s'ensuivent et la mort.
Enfin, alors que vous lisez ce rapport aujourd'hui, 7 juin 2023, les vannes de la centrale hydroélectrique de Dnepro en amont de Kakhovka sont toujours entièrement ouvertes , ce qui est un indicateur certain que l'Ukraine n'est pas intéressée à ralentir l'inondation causée par la destruction de Barrage de Kakhovka.
Les vannes de la centrale hydroélectrique de Dnepro en amont de Kakhovka sont toujours entièrement ouvertes, ce qui est un indicateur certain que l'Ukraine n'est pas intéressée à ralentir l'inondation causée par la destruction du barrage de Kakhovka. pic.twitter.com/3h1EkIGf6I
– Olga Bazova (@OlgaBazova) 7 juin 2023
Donc, des mois AVANT l'attaque, il y avait des preuves et des inquiétudes que l'Ukraine allait faire cela. Des mois AVANT l'attaque, l'armée ukrainienne a admis qu'elle planifiait cela en "dernier recours". Des mois AVANT l'attaque, les données prouvent que l'Ukraine a augmenté artificiellement le niveau d'eau derrière le barrage (pour aggraver l'inondation après l'attaque qu'ils prévoyaient) et en ce moment, aujourd'hui, l'Ukraine a laissé d'autres portes de barrage ouvertes, en amont, pour s'assurer que l'inondation reste catastrophique.
Ainsi, les preuves indiquent - du moins pour moi - que l'Ukraine a perpétré cette attaque. Pourtant, les gros titres des médias de masse américains crient que "les agences de renseignement américaines disent que la Russie a fait sauter le barrage"
Il semble que les agences de renseignement américaines soient loin d'être "intelligentes" car elles ignorent/nient les preuves réelles.
La Russie a aussi donné toutes les occasions à l'occident pour que ce dernier la détruise.
RépondreSupprimerQuelque part oui , mais les impératifs de guerre que la Russie c'est imposée , nous nous donne pas un Irak ni un Afghanistan pour ne citer que c'est deux guerres, d'autre par la Russie n'a pas déclaré ses objectifs publiquement mais les occidentaux ont une idée de ce que veut la Russie et ils paniquent
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