Une autre attaque ukrainienne s’est enlisée dans un champ de mines.
Dans de futures négociations, suite à la défaite de l'OTAN/Ukraine, la Russie insistera pour obtenir
les droits sur l’ensemble du territoire situé à l’est du Dniepr et un
statut spécial pour Odessa. La Russie exigera aussi le démantèlement des
systèmes de missiles Aegis de l’OTAN en Pologne et en Roumanie et
l’interdiction pour les troupes américaines ou de l’OTAN d’être postées
dans les pays qui partagent une frontière avec l’Ukraine.
La Russie exigera également la levée de toutes les sanctions à son encontre.
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- 3 Leopard 2R finlandais avec équipement de déminage
- 1 char de dépannage allemand Bergepanzer III (basé sur le châssis du Leopard 2) avec équipement de déminage
- 2 Leopard 2M6 allemands
- 2 véhicules de combat d’infanterie américains M2 Bradley
- 1 véhicule de transport blindé américain MaxxPro
- 1 véhicule de transport blindé américain HMMWV
- 1 véhicule non identifié
Ces pertes font suite à d’autres pertes importantes survenues récemment.
Le coût total de remplacement des véhicules susmentionnés, en valeur actuelle, est d’environ 60 à 70 millions de dollars.
Au cours du printemps et de l’été 2022, les forces russes ont détruit l’armée ukrainienne régulière d’avant-guerre. Elle a été remplacée par du matériel de l’ère soviétique provenant d’États d’Europe de l’Est et des conscrits ukrainiens. En début d’année, cette seconde armée a également été détruite.
Nous assistons actuellement à la démilitarisation de la troisième armée ukrainienne.
Comme je l’ai expliqué en janvier, les stocks de deux armées complètes ont été démantelés :
Les stocks de deux armées complètes ont maintenant été détruits en Ukraine. Les ressources d’une troisième armée, plus petite, seront livrées lors des prochaines séries de livraisons d’équipements “occidentaux” au cours des prochains mois. La Russie détruira la troisième armée ukrainienne comme elle a détruit la première et la deuxième. Il est peu probable que l’Occident dispose encore de suffisamment de matériel pour fournir à l’Ukraine une quatrième armée.
Il ne reste donc que deux options. Envoyer des armées “occidentales” avec l’équipement dont elles disposent encore ou déclarer la victoire et rentrer chez soi.
Je ne sens aucune envie de la part des États-Unis ou de l’Europe d’envoyer leurs soldats en Ukraine. Il est évident que leur sort ne sera pas différent de celui des Ukrainiens.
Les négociations restent donc la seule option possible. Les hésitations seront nombreuses, car le prix que la Russie demandera pour mettre fin à cette guerre sera élevé :
Pour commencer, la Russie insistera-t-elle pour obtenir les droits sur l’ensemble du territoire situé à l’est du Dniepr et un statut spécial pour Odessa ? Je pense que oui. Odessa ne serait plus gouvernée par l’Ukraine. Je m’attends également à ce que la Russie exige (ce ne sera pas pas négociable) l’arrestation et la poursuite des responsables du meurtre de 42 Ukrainiens russophones en 2014, ceux qui avaient cherché refuge dans la Maison des syndicats d’Odessa.
Je m’attends également à ce que la Russie exige le démantèlement des systèmes de missiles Aegis de l’OTAN en Pologne et en Roumanie et l’interdiction pour les troupes américaines ou de l’OTAN d’être postées dans les pays qui partagent une frontière avec l’Ukraine. Compte tenu de l’objectif déclaré de dénazification de la Russie, je ne serais pas surpris que la Russie exige que les lois de l’Ukraine soient modifiées et que les partis et symboles affiliés aux nazis soient interdits.
Je pense que la Russie voudra que toutes les régions russes historiques, du moins celles que Lénine et Khrouchtchev, pour quelque raison que ce soit, ont cédées à l’Ukraine, repassent sous son contrôle. La Russie exigera également la levée de toutes les sanctions à son encontre.
L’Occident ne comprend pas que la Russie est convaincue qu’elle gagnera la guerre en Ukraine et qu’elle ne subira pas de dommages économiques ou politiques chez elle. En outre, sur la scène internationale, la guerre s’est révélée être une aubaine pour les efforts russes visant à contribuer à la création d’un nouveau système financier et commercial international qui contourne le contrôle de Washington. En d’autres termes, la Russie n’a guère intérêt à envisager des négociations qui l’obligeraient à faire des concessions.
Il faudra encore du temps pour que le public “occidental” cesse d’avaler la propagande disant “l’Ukraine gagne” et reconnaisse la réalité. Malheureusement, il faudra encore des pertes ukrainiennes et russes.
Mais je crois fermement, peut-être avec trop d’optimisme, que la fin de cette guerre est désormais en vue.
Par Moon of Alabama – Le 12 juin 2023
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Vladimir Zelensky, héros russe
Par Dmitry Orlov – Le 7 juin 2023 – Source Club Orlov
Au cours de son mandat de président de (ce qui reste de) l’Ukraine, Zelensky a détruit l’Ukraine, mais a accompli beaucoup de grandes choses… pour la Russie. Voici ses principales réalisations, sans ordre particulier :
– En se faisant élire avec la promesse de mettre fin aux hostilités, puis en procédant immédiatement à l’escalade du conflit dans l’est, il a profondément compromis ce qui restait de la démocratie ukrainienne. Il a encore démoli le domaine civique de l’Ukraine en interdisant tous les médias publics à l’exception d’une chaîne gouvernementale, en interdisant toute opposition et toutes les sources d’information russes et, en fait, en instaurant une dictature totalitaire.
– En bombardant sans relâche les civils des régions russes de Donetsk et de Lougansk, puis, au printemps 2022, en les menaçant d’un assaut génocidaire, il a fourni à la Russie une raison irréfutable de lancer l’opération militaire spéciale : sauver des vies civiles. Ce faisant, il a contribué à étendre le territoire russe de quatre provinces très précieuses (Donetsk, Lougansk, Zaporozhye et Kherson) et a préparé le terrain pour l’ajout éventuel, entre autres, des régions de Nikolaev, d’Odessa, de Kharkov et de Kiev.
– Il a dilapidé 150 milliards de dollars d’aide étrangère (dont une grande partie par le simple fait de la voler), a dépensé une énorme quantité d’équipements militaires et de munitions sans rien montrer, et a tué 350.000 soldats ukrainiens (dont beaucoup étaient des criminels de guerre nazis), avec peut-être deux fois plus de blessés.
– Il a réduit la population de son pays de près de la moitié, une partie d’entre eux s’installant en Russie, devenant des citoyens russes et s’intégrant de manière productive à la population russe, tandis que le reste se rendait dans l’Union européenne, devenant un fardeau majeur pour les budgets sociaux des pays de l’UE.
– En ordonnant aux troupes ukrainiennes de bombarder des écoles, des jardins d’enfants, des hôpitaux et des immeubles d’habitation dans des régions russes universellement reconnues telles que Belgorod et en lançant des attaques de drones directement sur le Kremlin, il a déclaré que son gouvernement était une organisation terroriste, excluant toute possibilité de forcer la Russie à négocier une paix qui ne serait pas entièrement à ses propres conditions.
– Il a démontré la supériorité des armes et des techniques militaires russes sur celles de l’OTAN, notamment en détruisant l’une des batteries de missiles Patriot fournies par les États-Unis. Presque tous les équipements que l’Occident a pu fournir aux Ukrainiens se sont révélés inférieurs à leurs équivalents russes.
– Il a donné à l’armée russe de nombreuses occasions de perfectionner ses techniques pour vaincre les forces de l’OTAN, en s’aventurant dans les nouveaux domaines de la guerre des drones et de la surveillance du champ de bataille à partir de satellites géostationnaires. Cela sera sans aucun doute très utile à la fois pour s’opposer à l’OTAN et pour stimuler les futures ventes d’armes aux nations non occidentales qui souhaitent se libérer de l’oppression et de l’ingérence de l’Occident.
– Il a vendu certaines des armes qu’il avait reçues des États-Unis aux cartels mexicains de la drogue, ne laissant aux autorités américaines d’autre choix que de fermer les yeux et de faire comme si rien ne s’était passé. Peut-être seront-ils également contraints de fermer les yeux lorsque ces cartels utiliseront ces armes pour s’emparer d’un nombre croissant de villes américaines.
– Il a accueilli de nombreux hauts fonctionnaires occidentaux à qui il a offert, lors de leur visite à Kiev, des cadeaux somptueux tels que des valises contenant l’argent de l’aide étrangère qu’il avait blanchi et que ces fonctionnaires ont ensuite ramené chez eux dans leurs bagages diplomatiques, recueillant ainsi des éléments de chantage sur chacun d’entre eux.
– Il a donné l’exemple à d’autres Juifs russes qui, par malchance, s’étaient retrouvés en Ukraine plutôt qu’en Russie, en installant ses parents dans un quartier chic d’Israël. Mais il a gardé sa femme à ses côtés, où elle a fait du bon travail en démoralisant la population ukrainienne en dilapidant plus d’argent en une seule séance de shopping en Europe que la plupart des Ukrainiens n’en voient en plusieurs vies, le tout payé par le contribuable américain. Elle s’est également efforcée d’éclairer les responsables occidentaux en leur faisant accepter et répéter des histoires ridicules, comme celle selon laquelle les troupes russes recevaient du viagra pour mieux violer les femmes ukrainiennes.
– Zelensky est parfois imprudent ; par exemple, il s’est fait prendre à nommer des agents du service fédéral de sécurité russe (ancien KGB) à des postes sensibles au sein de l’establishment de la défense ukrainienne, bien qu’il ne soit pas certain que ce qui reste du système judiciaire ukrainien soit capable de le poursuivre en justice.
– L’une de ses plus grandes réussites a été de placer les États-Unis et l’OTAN dans une situation de “zugzwang http://www.jouer-aux-echecs-en-ligne.com/blog/utilisation-zugzwang.php “. Il s’agit d’un terme d’échecs désignant une situation dans laquelle un joueur a le choix entre plusieurs mouvements, qui mènent tous à la défaite. Les États-Unis et l’OTAN peuvent soit continuer à soutenir l’Ukraine, soit cesser de le faire ; dans les deux cas, ils perdront.
– Sa plus grande réussite a peut-être été d’aider la Russie à se détourner de ses voisins hostiles de l’Ouest et à se tourner vers des pays amis d’Asie, du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique latine, en coupant ses liens économiques, financiers et culturels avec l’Occident et en se libérant des influences occidentales. Son soutien indéfectible aux nazis ukrainiens, dont les emblèmes, les insignes et les slogans sont inspirés de l’Allemagne nazie et dont les héros sont des collaborateurs nazis, associé au soutien généreux qu’ils ont reçu de l’Occident, dont les dirigeants ont choisi de fermer les yeux sur leurs penchants fascistes, a cimenté dans l’esprit des Russes la vision de l’Occident comme leur ennemi existentiel : une entité fasciste et raciste déterminée à détruire la Russie, mais trop faible et trop lâche pour faire le travail elle-même.
Tout cela soulève une question : Qui Vladimir Zelensky sert-il ?
La réponse semble évidente : Vladimir Zelensky sert la Russie. C’est tout à fait logique puisqu’il est, en fait, russe. Plus précisément, c’est un juif russe, mais les juifs russes, comme toutes les autres ethnies russes, sont d’abord des Russes et ensuite des juifs. Sa langue maternelle est le russe et il n’a appris l’ukrainien (ainsi que l’anglais) qu’après être devenu président, dans le cadre de sa formation sur le tas. Il est culturellement russe et, avant de devenir président, ses numéros comiques étaient très populaires parmi les Russes, tant en (ancienne) Ukraine qu’en Russie proprement dite. Il n’est pas drôle du tout, tant en ukrainien (qu’il parle passablement) qu’en anglais (qui est encore plutôt écrit et guindé). De toute évidence, ce n’est pas là qu’est son cœur.
Pour les actes héroïques de Vladimir Zelensky au service de la Russie, j’aimerais recommander à Vladimir Poutine de le déclarer Héros de la Fédération de Russie et de lui remettre la plus haute décoration russe, l’Étoile d’or… peut-être à titre posthume, mais c’est souvent le destin des héros russes de mourir héroïquement au service de leur pays.
Source : Le Saker Francophone
La plus grande victoire de Zelensky, sera aussi probablement la chute de l'Europe mafieuse de Bruxelles.
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