Dans le texte écrit par Ibn Khaldoun [1] il y a 6 siècles, j’ai remplacé les mots « arabe » par « islamiste » et « arabes »
par « terroristes islamistes ».
Vous constatez alors que ce texte décrit exactement ce que les pays du Maghreb et du Moyen-Orient subissent comme avanies, massacres et destructions, depuis plus de 13 siècles, perpétués par les hordes bédouines arabes. Proclamant sa fierté d'être arabe, Ibn Khaldoun ne peut pas être taxé de racisme anti arabe. On ne peut pas non plus lui reprocher de décrire la réalité vécue à travers les pays dans lesquels il a vécu : Andalousie, Maghreb, Égypte, Syrie (rencontre avec Tamerlan).
Se déclarant partout et à tout instant les dignes héritiers des conquérants arabes du 7ème siècle, par leur comportement sauvage inhumain, les islamistes d'aujourd'hui démontrent qu'il sont bien les héritiers des bédouins arabes d'hier, tels que décrits Ibn Khaldoun.
Vous constatez alors que ce texte décrit exactement ce que les pays du Maghreb et du Moyen-Orient subissent comme avanies, massacres et destructions, depuis plus de 13 siècles, perpétués par les hordes bédouines arabes. Proclamant sa fierté d'être arabe, Ibn Khaldoun ne peut pas être taxé de racisme anti arabe. On ne peut pas non plus lui reprocher de décrire la réalité vécue à travers les pays dans lesquels il a vécu : Andalousie, Maghreb, Égypte, Syrie (rencontre avec Tamerlan).
Se déclarant partout et à tout instant les dignes héritiers des conquérants arabes du 7ème siècle, par leur comportement sauvage inhumain, les islamistes d'aujourd'hui démontrent qu'il sont bien les héritiers des bédouins arabes d'hier, tels que décrits Ibn Khaldoun.
Hannibal GENSERIC
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En raison de leur nature sauvage, les terroristes islamistes sont des pillards et des destructeurs.
Ils pillent tout ce qu'ils trouvent sans combattre ou sans s'exposer. Puis ils se replient sur leurs pâturages au désert. Ils n'attaquent ou ne combattent que pour se défendre. Ils préfèrent éviter les forteresses ou les positions difficiles: ils ne les attaquent pas. Les tribus que protègent d'inaccessibles montagnes sont à l'abri de la malfaisance et des déprédations des terroristes islamistes. Ceux-ci ne franchiront pas de collines ou ne prendront pas de risque pour aller chercher les montagnards. Au contraire, les plaines sont livrées à leur pillage et en proie à leur avidité, si leur dynastie est faible ou qu'elle n'ait pas de troupes pour les défendre. Alors, les terroristes islamistes y fond des incursions, des pillages, des attaques répétées, parce qu'il s'agit de territoires accessibles. Les habitants peuvent succomber et devenir les jouets des changements de pouvoir, jusqu'à ce que leur civilisation disparaisse.
En raison de leur nature sauvage, les terroristes islamistes sont des pillards et des destructeurs.
Ils pillent tout ce qu'ils trouvent sans combattre ou sans s'exposer. Puis ils se replient sur leurs pâturages au désert. Ils n'attaquent ou ne combattent que pour se défendre. Ils préfèrent éviter les forteresses ou les positions difficiles: ils ne les attaquent pas. Les tribus que protègent d'inaccessibles montagnes sont à l'abri de la malfaisance et des déprédations des terroristes islamistes. Ceux-ci ne franchiront pas de collines ou ne prendront pas de risque pour aller chercher les montagnards. Au contraire, les plaines sont livrées à leur pillage et en proie à leur avidité, si leur dynastie est faible ou qu'elle n'ait pas de troupes pour les défendre. Alors, les terroristes islamistes y fond des incursions, des pillages, des attaques répétées, parce qu'il s'agit de territoires accessibles. Les habitants peuvent succomber et devenir les jouets des changements de pouvoir, jusqu'à ce que leur civilisation disparaisse.
Les terroristes islamistes sont une communauté sauvage (umma washiyya), aux
habitudes de sauvagerie invétérées.
La
sauvagerie est devenue leur caractère et leur nature.
Ils s'y complaisent, parce qu'elle signifie qu'ils sont
affranchis de toute autorité et de toute soumission au pouvoir. Mais cette
attitude naturelle est incompatible (mund-fiya) et en contradiction (munâqida)
avec la civilisation ('ùmrân). Toutes les habitudes des terroristes islamistes
les conduisent au nomadisme et au déplacement. Or, c'est là l'antithèse et la
négation de la sédentarisation (maskûn), qui produit la civilisation. Par
exemple: si les terroristes islamistes ont besoin de pierres pour leurs foyers
et leur cuisine, ils les prennent aux maisons, qu'ils détruisent dans ce but. S’ils
ont besoin de bois pour leurs tentes, pour les étayer et en faire des piquets:
ils abattent les toits, pour en tirer le bois dans ce but. La véritable nature
de leur existence est la négation de la construction (binâ'), qui est le
fondement de la civilisation. Tel est, généralement, leur cas. De plus, c'est
leur nature de piller autrui. Ils trouvent leur pain quotidien à l'ombre de
leurs lances (rizqu- hum fi zilâl rimâ-i-him). Rien ne les arrête pour prendre
le bien d'autrui.
Que
leurs yeux tombent sur n'importe quel bien, mobilier ou ustensile, et ils s'en
emparent. S'ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils
pillent tout à leur aise. Il n'y a plus rien pour protéger la propriété et la
civilisation est détruite.
D'autre part, étant donné qu'ils font travailler de force
les artisans et les ouvriers, le travail leur paraît sans valeur et ils
refusent de le payer. Or, comme on le verra plus loin, le travail est le
fondement du profit (al- a'mâl, aslu I-makâsib). Si le travail n'est pas
apprécié, s'il est fait pour rien, l'espoir de profit disparaît, et le travail
n'est pas productif. Les sédentaires se dispersent et la civilisation décline.
Autre chose encore : les terroristes islamistes ne portent aucun intérêt ('inâya) aux lois (ahkâm).
Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l'ordre public. Ils ne s'intéressent (hammu-hum) qu'à ce qu'ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d'impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s'occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n'aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l'amende est insignifiante.
En régime islamiste, les sujets vivent sans lois, dans l'anarchie (fawda). L'anarchie détruit l'humanité et ruine la civilisation.
En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l'homme. C'est lui qui garantit l'existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ'). On a déjà vu cela au début du chapitre.
Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l'ordre public. Ils ne s'intéressent (hammu-hum) qu'à ce qu'ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d'impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s'occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n'aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l'amende est insignifiante.
En régime islamiste, les sujets vivent sans lois, dans l'anarchie (fawda). L'anarchie détruit l'humanité et ruine la civilisation.
En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l'homme. C'est lui qui garantit l'existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ'). On a déjà vu cela au début du chapitre.
Et puis, tout Islamiste veut être le chef : Aucun ne veut
s'effacer devant un autre, fût-il son père, son frère ou l'aîné de sa famille.
Il ne s'y résout que rarement, et parce qu'on lui fait honte (-ayâ'). Aussi y
a-t-il, chez eux, beaucoup de chefs et de princes, et les sujets doivent-ils
obéir à plusieurs maîtres - pour les impôts et pour les lois. C'est ainsi que
la civilisation décline et disparaît. …
On
remarquera que la civilisation s'est toujours effondrée avec la poussée de la
conquête islamiste : les établissements se sont dépeuplés et la terre devint
toute autre que la terre (tabaddalati l-ard ghayra l-ard).
Le Yémen,
où vivent les Terroristes islamistes, est en ruine, à part quelques villes.
La civilisation persane
en Irak est complètement ruinée.
Il en est de même, aujourd'hui, en Syrie.
Il en est de même, aujourd'hui, en Syrie.
Quand les Hilâliens et les Banû Sulaym ont poussé jusqu'à
la Tunisie et au Maroc, au début du Xème siècle, et qu'ils s'y sont
débattus pendant 350 ans, ils ont fini par s'y fixer et les plaines en ont été dévastées.
Autrefois, toute la région entre la Méditerranée et le Soudan était peuplée,
comme le montrent les
vestiges de civilisation, tels que monuments, sculptures monumentales, ruines
de villages et d'agglomérations.
Les terroristes islamistes, plus qu'aucune autre communauté,
sont enracinés dans la vie bédouine et s'enfoncent profondément dans le désert.
Ils ont moins besoin, pour leur vie rude et dure, des produits et des céréales
des collines. Ils peuvent donc se passer des autres. Il leur est difficile de
se soumettre les uns aux autres, parce qu'ils sont un peuple sans loi, à l'état sauvage. ...
Comme les terroristes islamistes, par nature, s'emparent
des biens d'autrui, de même, ils s'abstiennent de tout arbitrage et de
maintenir l'ordre public. Quand
ils ont conquis une nation, leur objectif est d'en profiter pour s'emparer des
biens de celle-ci. De plus, ils se passent de loi. Ils punissent
parfois les crimes par des amendes, pour accroître les revenus du fisc et en
tirer, financièrement, avantage. Mais ce n'est pas là un frein pour le crime.
Ce serait même plutôt un encouragement, car le mobile d'un crime doit être
assez puissant pour compenser le simple paiement d'une amende insignifiante.
Ainsi, les méfaits
deviennent de plus en plus nombreux et la civilisation décline. Une
nation dominée par les islamistes est dans un état voisin de l'anarchie, où
chacun s'oppose à l'autre. Ce genre de civilisation ne peut durer: il court à
sa perte, aussi vite que l'anarchie elle-même.
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"Mille ans après [les invasions hilaliennes], de nouvelles invasions barbares submergent le Maghreb. Au prix de centaines de milliers de morts, l’Algérie a pu y résister. Dignes héritiers de ces hordes bédouines arabes, les islamistes mettent des pays maghrébins (Tunisie, Libye) en coupe réglée, aidés en cela par les esclavagistes arabes du Golfe, sous la protection de l’Axe du Mal Washington / Tel-Aviv. En Tunisie, les villes côtières, autrefois prospères, se clochardisent de plus en plus. Le touriste se fait rare. L'économie périclite. L’insécurité, le vol à la tire ou sous la menace d’armes blanches, les agressions de type maffieux y sont quotidiens, sous l’œil goguenard d'une police amorphe, voire complice. La saleté et les détritus de toute nature jonchent le sol. Les régions à l'origine de la pseudo révolution (en réalité, un coup d'état islamiste, ourdi avec la CIA) sont encore plus à l'abandon que sous le précédent régime. C’est sur cette accumulation de misère et d’immondices que l’islamisme prospère ; car être islamiste aujourd’hui, c’est avoir le statut de l’hilalien d’antan."
Cinq ans après, rien n'a changé.
NOTES
Ibn Khaldoun et Tamerlan : Le face-à-face
Depuis la nuit des temps, la Syrie et l'Irak, berceaux, avec l'Egypte, des civilisations, ont attiré la convoitise des Empires, tout comme aujourd'hui.
à l'époque d'Ibn Khaldoun, le monde musulman était, comme aujourd'hui, dévasté par les guerres et les conflits.
C’était inespéré, un
face-à-face entre l’un des plus grands savants du monde musulman et l’un
des plus terribles conquérants, Tamerlan. En plus de donner un duo
probable, cela a aussi donné l’occasion à Ibn Khaldoun d’écrire
l’Histoire du Maghreb. Récit.
Dans la vie, il y a parfois des rencontres dont on se passerait
volontiers, si la curiosité ne nous y poussait pas. C’est un peu ce
qu’il s’est produit entre Ibn Khaldoun et Tamerlan, l’empereur des
Mongols, dont le pouvoir de conquête s’est étendu de l’Asie occidentale
et orientale jusqu’à Damas et Baghdad. Une rencontre entre deux géants
de l’histoire : l’un des plus brillants historiens du monde musulman et
l’un des plus impitoyables conquérants de l’époque. « Un historien a
rarement la chance de s’entretenir avec un géant de l’histoire, et c’est
encore plus rare quand l’intervieweur est lui-même une figure
exceptionnelle », souligne Frances Carney Gies, spécialiste américaine
de l’histoire médiévale, dans «The man who met Tamerlane». Pour Ibn
Khaldoun, cet épisode a été sans conteste «le plus spectaculaire de son
existence », insiste Yves Lacoste, géographe né au Maroc. L’épisode le
plus inattendu aussi et sans doute le plus redouté. Voir la suite dans : La marche sur Damas : Tamerlan et Ibn Khaldoun
Rencontre d'Ibn Khaldoun avec Tamerlan |
Conclusion
Nous reprenons ici la conclusion que nous avons écrite le vendredi 29 juin 2012, dans : Arabisation du Maghreb : qu'en est-il au juste ? :"Mille ans après [les invasions hilaliennes], de nouvelles invasions barbares submergent le Maghreb. Au prix de centaines de milliers de morts, l’Algérie a pu y résister. Dignes héritiers de ces hordes bédouines arabes, les islamistes mettent des pays maghrébins (Tunisie, Libye) en coupe réglée, aidés en cela par les esclavagistes arabes du Golfe, sous la protection de l’Axe du Mal Washington / Tel-Aviv. En Tunisie, les villes côtières, autrefois prospères, se clochardisent de plus en plus. Le touriste se fait rare. L'économie périclite. L’insécurité, le vol à la tire ou sous la menace d’armes blanches, les agressions de type maffieux y sont quotidiens, sous l’œil goguenard d'une police amorphe, voire complice. La saleté et les détritus de toute nature jonchent le sol. Les régions à l'origine de la pseudo révolution (en réalité, un coup d'état islamiste, ourdi avec la CIA) sont encore plus à l'abandon que sous le précédent régime. C’est sur cette accumulation de misère et d’immondices que l’islamisme prospère ; car être islamiste aujourd’hui, c’est avoir le statut de l’hilalien d’antan."
Cinq ans après, rien n'a changé.
NOTES
[1] Selon Wikipédia. Ibn Khaldoun, en arabe ابن خلدون (Ibn Khaldoûn), de son nom complet Abū Zayd ‘Abd ar-Raḥmān ibn Muḥammad ibn Khaldūn al-Ḥaḍramī (né le à Tunis et mort le au Caire), est un historien, philosophe, diplomate et homme politique ifriqiyen, (de l'actuelle Tunisie) issu d'une famille andalouse d'origine arabe.
Sa façon d'analyser les changements sociaux et politiques qu'il a observés dans le Maghreb et l'Espagne de son époque a conduit à considérer Ibn Khaldoun comme un « précurseur de la sociologie moderne ».
Ibn Khaldoun est aussi un historien de premier plan auquel on doit la Muqaddima (traduite en Prolégomènes), qui est en fait son Introduction à l'histoire universelle et à la sociologie moderne, et Le Livre des exemples ou Livre des considérations sur l'histoire des Arabes, des Persans et des Berbères.
Dans ces deux ouvrages résolument modernes dans leur méthode, Ibn
Khaldoun insiste dès le début sur l'importance des sources, de leur
authenticité et de leur vérification à l'aune de critères purement rationnels. Georges Marçais affirme que « l'œuvre d'Ibn Khaldoun est un des ouvrages les plus substantiels et les plus intéressants qu'ait produit l'esprit humain ».
VOIR AUSSI :
Génétiquement, les Maghrébins ne sont pas des Arabes
La langue maghrébia date de plus de 25 siècles !!
Islamisme et Bédouinisme
« Le grand nomade a les instincts exactement inverses
[de ceux du sédentaire]. Politiquement, c'est un anarchiste, un nihiliste, il a
une préférence profonde pour le désordre qui lui ouvre des perspectives. C'est
le destructeur, le négateur» Dans (Histoire et historiens de l'Algérie,
p. 31). Par Émile-Félix Gautier (1864 - 1940), géographe et
ethnographe français, spécialiste de l'Afrique du Nord.
Hannibal GENSERIC