Les religions, les systèmes dominateurs, le darwinisme et le
créationnisme vivent leur dernières heures. Même l’astronomie doit
réinterpréter ses théories et ses conclusions. Le XXI siècle sera une
révolution des esprits de par la fin de ces dogmes qui ont anéanti la
conscience de l‘humanité en faveur d‘une élite toujours identique ; si
la politique et la finance remplacent les religions, ces dernières
continent malgré tout d’œuvrer dans l’inconscient, il est donc urgent
d’instaurer une vraie démarche spirituelle.
Ainsi
les nouveaux exégètes, paléontologues, paléographes, paléoanthropologues,
mythographes, astrophysiciens, historiens et archéologues nous invitent,
dans de nombreux ouvrages, en librairie, à reconsidérer nos
connaissances imposées par l’orthodoxie régnante et à balayer d'un
revers de la main ces trop nombreux sophismes qui nous ont fait nous
égarer, nous éloigner de la vérité et qui ont permis tant d'abus et
d’injustices à l'encontre des peuples.
Un travail impossible pour certains, car
nous ne pouvons concevoir une autre réalité qu’en fonction de
l’élargissement de notre propre conscience.
Depuis
plus de 120 ans des découvertes importantes ont été passées sous
silence comme celles des Tablettes d’argile retrouvées dans l’ancienne
Mésopotamie, Sumer, Ur, Ninive, Uruk, (les + anciennes écritures à ce
jour) celles de Nag Hammadi en Égypte, celles du désert de Taklamakan en
Chine, au Pérou et au Mexique, l’histoire incroyable des Dogons du Mali
qui connaissaient déjà comme les Sumériens (3800ans) toutes les planètes et leur composition, celle des Hopis d’Arizona et, bien
d’autres, sur tous les continents.
Un silence coupable s’est abattu sur nos
écrans et dans nos livres de peur que tous les enseignements acquis ne
s’écroulent dans la conscience collective et qu’un séisme ravageur ne
vienne détruire la vie de ceux qui ont menti, qui continuent de nous
mentir et de ceux qui se sont tout bêtement trompés.
Nous apprenons que l’histoire du Livre
des Hébreux, le Tanakh, n’est que la copie falsifiée de textes retrouvés
en Mésopotamie, en Akkad, en Babylonie et en Égypte. Un scribe, enfin
des scribes sans scrupule (ils seraient quatre ou cinq sur plusieurs
siècles) ont pioché dans l’Enuma Elish, l’épopée de Gilgamesh, celle
d’Atrahasis, dans le Code d’Hammourabi, dans les croyances et les codex
de l’ancienne Égypte pour se construire une identité et pour modifier à
leur convenance les récits dits, mytho-graphiques par certains, et
évéméristes par d’autres.
Ces scribes misogynes ont en premier
lieu éradiqué le culte féminin pour l’ériger en un culte monothéiste,
masculin, profondément phallocrate et dominateur ; puis ils ont viré les
nombreux dieux de Sumer, d’Akkad, de Babylonie et d‘Égypte ; même si la
Genèse reste sans équivoque quand elle parle d’Elohim, désignant un
pluriel et des Néphilims.
Il faut bien reconnaître que depuis les premières versions en araméen, en hébreu,
les traductions de la Septante, celle de la Vulgate, celle de
l’Historiale et les divers conciles qui ont fait de très nombreuses manipulations
à l’avantage du clergé, et non pour celui des croyants, avec des
retraits et des ajouts successifs, il faut avouer que la Bible nous en
fait perdre notre latin.
Le Christianisme reprendra à son compte
plus tardivement les mêmes récits ; avec tout autant d‘irrespect envers
les femmes dans l’écriture d’évangiles, de lettres et d’épitres comme
ceux de saint Augustin, saint Paul et par d’autres écrits comme ceux de
Tertullien par exemple, pour ne citer qu‘eux. Mais le livre apocryphe
d’Enoch, aussi très violent, retiré du canon biblique car jugé dangereux
par la théocratie, est clair. Les princes, les rois et les puissants
(Clergé compris) doivent se faire du mouron pour s’être rendus
coupables d’abus sur les faibles, en déshonorant et en ensanglantant la
Terre et en bafouant le vrai Dieu. La Justice sera rendue.
St Thomas : Le royaume de Dieu est en
toi et tout autour de toi. Pas dans les édifices de bois et de pierre.
Fend le morceau de bois et je suis là. Soulève la pierre et tu me
trouveras.
Évangile apocryphe de la paix du disciple Jean qui honore la Mère au même titre que le Père ici
Évangile apocryphe de la paix du disciple Jean qui honore la Mère au même titre que le Père ici
Le texte de la Création, celui du
Déluge, ceux sur la Cosmogonie (Tiamat, Nibiru pour Sumer), l’Astronomie
et la présence du ou des serpents évoquant une race reptilienne,
de dieux venant du ciel se retrouvent dans des récits i-den-tiques sur
tous les continents (dans 244 cultures). Ils le sont sur le fond
uniquement, car, sur la forme les noms sont différents en fonction des
civilisations et des pays.
Ces découvertes montrent également que
des sociétés antédiluviennes ont permis de transmettre leurs savoirs aux
homo-sapiens et que les dieux et les déesses n’étaient en fin de compte
que des hommes et des femmes très évolués technologiquement et ayant
des pouvoirs psychiques et cosmo-telluriques, perdus depuis.
Mais revenons à notre génie juif. Comme
la sauce n’était pas encore assez épaisse et indigeste pour le commun
des mortel pour que celle-ci l’empoisonne, le clergé devait imposer une
théocratie sans faille, une monarchie religieuse qui dominerait le
peuple par une foi aveugle pour conquérir et s’installer dans un pays.
Le fondamentalisme, dans l’interprétation des textes, ne devait surtout
pas être remis en question et, pour cela, la culpabilité et la peur
devaient être les deux éléments fondamentaux, les deux piliers, les deux
leviers par lesquels la domination
allait s’exercer dans les esprits et par laquelle un obscurantisme
allait s’abattre implacablement sur les peuples, pour y régner encore de
nos jours.
Afin
que le peuple ne puisse se rebeller, s’émanciper et s‘interroger sur
ses origines, il devait avoir peur et obéir aveuglément à un Dieu
puissant, cruel à la main destructrice. La Genèse est révélatrice sur ce
sujet, elle est un texte plus qu’intéressant à étudier en tentant une
lecture herméneutique des faits pour se rendre compte de la violence et
de la cruauté de ce dieu, de certains de ses anges et de certains de ses
fils.
Un
dieu de l’Ancien Testament qui a usurpé les créations inscrites sur des
tablettes d’argile antérieures de 2000ans à Moïse, celle d’une grande
déesse sumérienne en y ajoutant sa propre vision délétère de la relation
au Divin qui, en fait, nous en éloigne dans les trois religions
monothéistes de la réelle Source divine et de la Création. Puis les
dieux tels qu’An, Enki, Enlil et les déesses telles que la très grande
Nammu (mère primordiale de la Terre et du ciel ), Innana (Isis) et
Ninhursag disparaitront pour donner naissance à ce dieu unique. Et
Atrahasis sera tout simplement remplacé par Noé, le Dilmun par
l’Eden. Enki lui mange les plantes défendues par la déesse Ninhursag et
sera remplacé par Eve et Adam pour la faute originelle. Le décalogue de
Moïse et le Mosaïsme, puis le Judaïsme seront inspirés, non pas par
Dieu, mais par le code Hammourabi babylonien.
Difficile à admettre car nos esprits se
heurtent et s’enferment dans des croyances millénaires et comment abolir
une vérité, plutôt un sophisme, répété durant deux millénaires sans
que sa propre dignité ne soit atteinte ?.
Pour que Galilée fasse admettre la
sphéricité, l’héliocentrisme et non le géocentrisme de la Terre ,
beaucoup de sang a coulé , c’est vrai ; mais aujourd’hui personne ne
risque de procès pour croire à un autre début, à une autre origine.
En
y introduisant un péché originel, incombant en premier à la femme,
puis, à Adam, ensuite un enfer pour ceux qui ne respectaient pas la Loi,
et une culpabilité de tous les instants avec une épée de Damoclès en
permanence au dessus de nos têtes, pour ceux qui s‘éloignaient de ce
dieu, ces hébreux refoulés, ayant quand même quelques troubles de la
personnalité, pour n’employer qu’un euphémisme, et leurs descendants,
sont parvenus depuis presque 3000 ans pour les Juifs, 2000 ans pour les
Chrétiens et 1400 ans pour les Musulmans
à entretenir le mensonge pour conserver leur pouvoir sur les peuples.
Cet obscurantisme a privé les êtres humains de leur source Originelle
divine et non simiesque, de leur libre-arbitre, de la quête du véritable
Dieu ou Tout unifié et du chemin spirituel qui y mène.
Ces mensonges ataviques et millénaires
sont encore aujourd’hui le sceau, la marque innée avec laquelle nous
naissons. La faute originelle, qui n’a jamais existé, a conduit des
centaines de générations à avoir peur, à vivre dans la peur des
géhennes, à expier des péchés qui n’en étaient pas, et à faire mourir de
trop nombreux croyants qui pensaient avoir offensé Dieu.
Cet
artéfact divin a conduit la plus grande partie de l’Humanité dans
l’obscurité, à la perte de la Connaissance ou de la Lumière originelle, à
la haine des autres, aux guerres sanglantes et destructrices, à la
confiscation de la Vérité par quelques-uns, aux pillages et aux
injustices les plus dures.
Il serait temps de rendre à César ce qui
est à César. Le génie du Judaïsme ne se résume donc qu’à un simple
pillage et en une simple falsification d’anciens textes venant de
Mésopotamie, et ce, pour s‘approprier le pouvoir et exiger par le sang
une terre qui ne leur a jamais été promise par Dieu.
Pas très glorieux ni pour eux, ni pour
les Chrétiens d‘ailleurs. La Terre de Palestine appartient bien en
premier aux descendants des indigènes, les vrais Sémites qu’ils soient
aujourd’hui musulmans, hébreux ou chrétiens, mais en aucun cas aux
juifs venant pour l’ensemble de l’Europe ou des USA qui composent leur
majorité. Ces croyants ou ces athées nommés injustement, le Peuple élu de Dieu pour la Terre promise,
est une des plus grandes hérésies qui perdure. D’ailleurs le concept de
Terre promise est bien antérieur au judaïsme puisqu’il émane de l’Inde
et plus précisément de l’Himalaya et des prêtres Naacal. Ce qui n’a rien
à voir avec les Sémites.
La Terre promise appartient à tous et
est partout, et aucun dieu ne peut décider de choisir une poignée de
croyants, sauf s'il est totalement humain et profondément injuste et
calculateur, pour lui offrir le bien d’autrui. La paix est donc
possible. Que la Vérité se fasse.
Certaines erreurs ou mensonges (source : http://sites.google.com/site/)
11:6 « Vous ne mangerez pas le lièvre, qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue » V’la que le lièvre est un ruminant !
Deutéronome :
20:16 « Mais dans les villes de ces peuples dont l’Éternel, ton Dieu,
te donne le pays pour héritage, tu ne laisseras la vie à rien de ce qui
respire. » Étrange Dieu qui commande d’exterminer les hommes, les
femmes et les enfants…
34:5 La mise en terre de Moïse. Sachant que c’est lui qui est censé avoir écrit ce récit, ça pose un problème sémantique…
Josué :
6:5 Les murailles de Jéricho, dont les murailles d’enceinte se seraient
écroulées au son des trompettes de guerre, A l’époque citée par la
Bible, Jéricho n’était pas encore fortifiée!
1 Samuel :
28 Inspiré du poème sumérien où l’on voit l’ombre d’Enkidu sortir du Kur et se jeter dans les bras de Gilgamesh.
Cantique des cantiques :
Une suite empruntée au chant sumérien du mariage sacré: même style, même
thèmes, détails, vocabulaire, mêmes personnages, monologues, dialogues,
même langage fleuri et redondant. Voir par exemple le chant d’amour de
Shu-Sin au chapitre XXI. Shu-Sin qui ressemble fort au roi Salomon dont l’existence n’est pas certaine et, s’il a existé, son règne n’a rien à voir avec celui décrit dans la Bible.
1Rois :
1:34 Les remparts de Jérusalem sous le roi Salomon: à cette époque là, Jérusalem, un modeste village, n’était pas fortifié
2Rois :
3:19 « vous frapperez toutes les villes fortes et toutes les villes
d’élite, vous abattrez tous les bons arbres, vous boucherez toutes les
sources d’eau, et vous ruinerez avec des pierres tous les meilleurs
champs. » Quel est ce Dieu qui ordonne de semer la désolation?
Esther :
L’Esther du livre d’Esther vient de la déesse babylonienne Ishtar. Mardochée est le dieu assyrien Mardukéa.
Le livre de Job :
Le thème de Job découle directement des tablettes sumérienne de Nipur.
Il utilise les termes même du « poème de la Création » qui décrit le
combat de Mardouk contre Kingou: Yahvé brise le crâne de Léviathan comme
Mardouk celui de Tiamat.
Isaïe :
2:4 « Il sera le juge des nations, L’arbitre d’un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, Et l’on n’apprendra plus la guerre. » Des milliers d’années plus tard, toujours des guerres (dont beaucoup sont des guerre de religions): encore une prédiction ratée…
2:4 « Il sera le juge des nations, L’arbitre d’un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, Et l’on n’apprendra plus la guerre. » Des milliers d’années plus tard, toujours des guerres (dont beaucoup sont des guerre de religions): encore une prédiction ratée…
7:14 Une des nombreuses falsifications
de la Bible de Jérusalem: pour augmenter le nombre de prophéties
réalisées: »la jeune femme » a été remplacée par « la vierge ». Ce qui
montre au passage que l’évangile de Matthieu a été rédigé très
tardivement, par un non-juif qui n’avait pas accès aux textes hébreux.
9:11: largement inspiré du texte sumérien qui décrit la descente aux enfers du monarque Ur-Nammu qui arrive dans le Kur.
11:6-9 « Le loup habitera avec l’agneau,
Et la panthère se couchera avec le chevreau; Le veau, le lionceau, et
le bétail qu’on engraisse, seront ensemble, Et un petit enfant les
conduira. La vache et l’ourse auront un même pâturage, Leurs petits un
même gîte; Et le lion, comme le bœuf, mangera de la paille. Le
nourrisson s’ébattra sur l’antre de la vipère, Et l’enfant sevré mettra
sa main dans la caverne du basilic. Il ne se fera ni tort ni dommage Sur
toute ma montagne sainte; car la terre sera remplie de la connaissance
de l’Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. ». A
peu près 3000 ans plus tard, toujours rien…
24:1 « La face de la Terre » ici, la Bible nous dit clairement que la Terre est plate….
Jérémie :
31:34 « Celui-ci n’enseignera plus son prochain, Ni celui-là son frère, en disant : Connaissez l’Éternel ! Car tous me connaîtront, Depuis le plus petit jusqu’au plus grand, dit l’Éternel; Car je pardonnerai leur iniquité, Et je ne me souviendrai plus de leur péché. » Toujours rien.
31:34 « Celui-ci n’enseignera plus son prochain, Ni celui-là son frère, en disant : Connaissez l’Éternel ! Car tous me connaîtront, Depuis le plus petit jusqu’au plus grand, dit l’Éternel; Car je pardonnerai leur iniquité, Et je ne me souviendrai plus de leur péché. » Toujours rien.
48:10: L’Éternel tend un piège à David.
Forcément, David tombe dedans et il est puni : L’Éternel est content: il
a couillonné un mortel !
49:36 « Les quatre coins de l’horizon » ici aussi, la Bible nous dit clairement que la Terre est plate….
Lamentations de Jérémie :
Ces lamentations sont reprises de « La lamentation sur la destruction de Nippur », récit sumérien.
Ces lamentations sont reprises de « La lamentation sur la destruction de Nippur », récit sumérien.
4:20 « Le souffle de nos narines, l’oint
du seigneur a été pris dans leurs fosses, lui dont nous disions: A son
ombre, nous vivons parmi les nations » directement inspiré du pharaon
Ramsés II : « Toi qui est le souffle de nos narines »… »faucon qui
protège ses sujets de ses ailes et répand l’ombre sur eux »
Ézéchiel :
Inspiré de la déesse babylonienne Ishtar. Les sumériens l’adoraient sous le nom d’Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la Bible.
Inspiré de la déesse babylonienne Ishtar. Les sumériens l’adoraient sous le nom d’Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la Bible.
Source : www.diatala.org
Une autre hypothèse : Les secrets de l’Exode, l’Origine égyptienne des hébreux
de Messod et Roger Sabbah,
une thèse, qui prolonge les intuitions de Champolion et de Freud sur
l’origine Egyptienne des hébreux.
une thèse, qui prolonge les intuitions de Champolion et de Freud sur
l’origine Egyptienne des hébreux.
Peu après la disparition d’Akhenaton, le pharaon adorateur d’Aton, vers 1344 av. J.C., sa capitale Akhet-Aton, l’actuelle Tell el-Amarna, est désertée. C’est la fin du monothéisme en Egypte. Ce n’est pas pour autant la fin du Dieu unique
Messod et Roger Sabbah, deux chercheurs hébraïsants, ont découvert après vingt ans d’études le message caché de la Bible : le peuple Hébreu, celui de l’Exode, celui dont on ne trouve aucune trace dans l’Egypte historique, n’est autre que la population d’Akhet-Aton chassée par le Grand Vizir, qui régna peu après Toutankhamon sous le nom de pharaon Aï. Déportés en Canaan, province égyptienne située à quinze jours de marche de la vallée du Nil, les prêtres et les notables monothéistes fondent, quarante années après la campagne militaire de Toutankhamon, le royaume de Yahouda (la Judée).
Messod et Roger Sabbah découvrent de troublantes analogies entre l’alphabet hébreu et l’écriture hiéroglyphique, entre la Genèse et la cosmologie égyptienne. Ils montrent que les noms des personnages de la Bible, Abraham, Moïse, Aaron, Josué, Sarah, Laban, dissimulent les noms et les titres royaux des pharaons de la XVIIe dynastie. Ils retrouvent transcrit le nom d’Akhenaton dans la Bible, notamment grâce à l’histoire de l’ânesse de Balaam qui proclame : « Anokhi Atone-Kha », ce qui veut dire : "Je suis ton Dieu Aton« , qui deviendra »Anokhi Adonaï", Je suis l’Eternel ton Dieu". Grâce à la Bible, la quintessence de la sagesse égyptienne est parvenue jusqu’à nous, portée par la tradition orale de ceux qui se firent appeler les Hébreux.
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Existe en poche
Résumé
Jadis, Freud avait pensé que Moïse n’était peut-être pas hébreu, mais
plutôt égyptien. Depuis lors, les progrès de la recherche archéologique
ont ratifié cette audacieuse hypothèse. Pour les auteurs du présent
ouvrage, non seulement Moïse n’était pas hébreu mais Abraham ne l’était
pas davantage. L’un et l’autre, de surcroît, étaient des pharaons.
Les Hébreux ne furent jamais esclaves des Egyptiens et le « peuple élu » était tout simplement composé des habitants (égyptiens) de la ville sainte d’Akhet-Aton.
Messod et Roger Sabbah montrent bien que la Genèse reproduit la cosmologie égyptienne, que l’alphabet hébreu tire son origine des hiéroglyphes égyptiens et que les personnages historiques de l’Ancien Testament sont en fait des personnalités de l’histoire égyptienne. En creusant l’histoire du monothéisme, les auteurs ont exhumé des épisodes fort romanesques : récits d’amour et d’aventures, de meurtres et de trahison, non exempts de fanatisme, qui se déroulèrent dans le grand royaume de la Vallée du Nil. Les Secrets de l’Exode nous convient à une lecture nouvelle de l’Ancien Testament et à la découverte de l’histoire véritable, incluse au sein de la tradition biblique.
Les Hébreux ne furent jamais esclaves des Egyptiens et le « peuple élu » était tout simplement composé des habitants (égyptiens) de la ville sainte d’Akhet-Aton.
Messod et Roger Sabbah montrent bien que la Genèse reproduit la cosmologie égyptienne, que l’alphabet hébreu tire son origine des hiéroglyphes égyptiens et que les personnages historiques de l’Ancien Testament sont en fait des personnalités de l’histoire égyptienne. En creusant l’histoire du monothéisme, les auteurs ont exhumé des épisodes fort romanesques : récits d’amour et d’aventures, de meurtres et de trahison, non exempts de fanatisme, qui se déroulèrent dans le grand royaume de la Vallée du Nil. Les Secrets de l’Exode nous convient à une lecture nouvelle de l’Ancien Testament et à la découverte de l’histoire véritable, incluse au sein de la tradition biblique.