Le Ministère de la Défense
russe a rapporté , ce 14 mars 2015, que la Fédération est désormais en « état de guerre », activant totalement
ainsi l’ordre nucléaire de la « Main Morte »
du président Poutine présenté le 29 Juillet
2014 aux forces des fusées stratégiques de
la Fédération de Russie. Les armées russes de l'Arctique et de l'Est
sont, actuellement, en état d'alerte maximum.
Selon ce rapport, l’activation complète de l’option nucléaire tant redoutée « Main Morte »
a été autorisée en vertu de l’ordre précédemment lancé par le
président Poutine, en raison de la découverte que les forces nucléaires
du Royaume-Uni (RU) prépareraient une première frappe contre des cibles
militaires et civiles situées au sein de la Fédération de Russie.
L’intention des forces nucléaires du Royaume-Uni préparant une
première attaque contre la Fédération, dit le rapport, a été révélée par
les Services de sécurité fédérale (FSB) des experts du renseignement électroniques de travail en collaboration avec Kaspersky Lab qui ont découvert le mois dernier un gigantesque programme de cyber espionnage américain de la NSA, ciblant non seulement la Russie, mais l’ensemble de la Terre.
Les experts FSB et Kaspersky Lab, rapporte le ministère de la
Défense, ont tous deux été en mesure de décoder le(s) code(s)
informatique(s) impliqué(s) dans cette opération d’espionnage massive de
la NSA qui leur a ensuite permis d’obtenir électroniquement les codes
de lancement et les coordonnées de toutes les armes nucléaires du
Royaume-Uni, démontrant ainsi leur plan de lancer une première frappe
contre la Fédération au cours de la semaine du 15 Mars.
Bien que l’information récupérée par cette opération de
renseignements du FSB et de Kaspersky a été supprimée en occident,
quelques sites de contre-information l’ont rapportée, dont The verge qui
a publié un article intitulé « Une erreur de réseau a redirigé du trafic pour l’agence d’armes nucléaires du RU via les Télécoms Russes », où l’on peut en parti lire:
« Depuis la semaine dernière, quelque chose d’étrange s’est passé sur l’Internet européen. Pendant cinq jours, le trafic Web reliant le Texas à certaines adresses au Royaume-Uni a été acheminé dans les réseaux de télécommunications ukrainiens et russes, faisant ainsi un grand détour de plusieurs milliers de kilomètres. Le trafic prend souvent un détour en raison de congestions dans le réseau ou de difficultés de connexion, mais ni l’une ni l’autre n’a été nécessaire pour prendre en considération ces nouveaux itinéraires. C’était plutôt le résultat d’un mauvais itinéraire informatique annoncé par Vega Telecom en Ukraine, qui s’est inséré entre les deux.
C’est particulièrement déconcertant en raison de la nature sensible de la plupart des sites concernés. Parmi les dizaines de sites concernés se trouvaient l’Atomic Weapons Establishment du Royaume-Uni, qui est chargé de la gestion des ogives nucléaires du Royaume-Uni, ainsi que le service de courrier officiel du Royaume-Uni, le Royal Mail. L’entrepreneur de défense américain Lockheed Martin a également effectué une connexion via un VPN qui a été prise dans la redirection ».
Poutine : voici comment j’ai fait plier l’Occident
La
Russie était « prête » à mettre en état d’alerte ses forces nucléaires
en mars 2014 en cas d’intervention militaire occidentale en Crimée,
l’ancienne et actuelle péninsule russe, il y a un an par Moscou, déclare
Vladimir Poutine dans une émission diffusée dimanche 15 mars 2015.
« Nous étions prêts à le faire », a dit
M. Poutine dont des déclarations ont été reproduites par écrit par la
chaîne publique de télévision Rossia-1. La direction russe était prête à faire face
« à la tournure la plus défavorable qu’auraient pu prendre les
événements », ajoute M. Poutine.
Il indique notamment que l’armée russe
avait positionné en Crimée des batteries de missiles de défense côtière
« Bastion », des armes susceptibles de dissuader un navire de guerre
américain qui était alors en mer Noire d’intervenir. « C’est la batterie
de défense côtière la plus efficace à ce jour. Et à un certain moment,
pour que tout le monde comprenne que la Crimée est bien défendue, nous
avons transféré là-bas ces batteries », a-t-il déclaré selon la chaîne.
« On ignorait alors » si l’Occident
allait intervenir militairement, poursuit Vladimir Poutine dans ces
déclarations. « C’est pourquoi j’ai été obligé de donner les
instructions qu’il fallait à nos forces armées (…), de donner des ordres
sur l’attitude de la Russie et de nos forces armées en toutes
circonstances ».
Obama et consorts ont eu peur quand le président russe leur a dit la vérité.
« J’ai parlé avec mes collègues et je leur ai dit que c’était notre
territoire historique, que des Russes habitaient là-bas, qu’ils étaient
en danger et que nous ne pouvions pas les abandonner », a
raconté le président russe. « C’était une position franche et ouverte.
Et c’est pourquoi, je ne pense pas que quelqu’un ait eu envie de
déclencher un conflit mondial », a ajouté M. Poutine.
La Russie peut réduire les États-Unis "en cendres radioactives" prévient la TV publique russe
"La Russie est le seul pays au monde capable de transformer les États-Unis en cendres radioactives",
a déclaré Dmitri Kisselev, le présentateur vedette de la télévision
publique Russie 24, ce dimanche 15 mars.
Le Parlement de l’UE opte pour la guerre contre la Russie
Madame Mogherini se range
avec la ligne extrémiste des Etats-Unis. Le Parlement Européen,
désormais une congrégation de bellicistes déments, vote à une grande
majorité pour que l’Europe se prépare à la guerre contre la Russie.
Comme l’écrit Paul Craig Roberts, la propagande américaine contre la
Russie et son président est désormais « la copie du même scénario » qui
fut adopté contre l’Afghanistan et Osama ben Laden; contre l’Irak et
Saddam Hussein; contre la Libye et Mouammar Kadhafi.
Qu’est-ce que cela signifie? Qu’ils
s’apprêtent à attaquer la Russie les premiers? La question de Roberts,
en soi, indique une situation monstrueuse. Mais elle est légitime. Les
néocons, qui sont au pouvoir à Washington, et qui se sont écorchés les
mains pour applaudir le nazi-sioniste Netanyahou, sont en plein délire. Ceux qui
raisonnent en ces termes de « politiquement correct » finissent par ne
pas comprendre qu’ils sont sérieux.
Vladimir Poutine « a compris l’extrême sérieux de la situation », mais Washington est en train de couper un pont derrière l’autre. Les demandes (et Mme Mogherini les reprend toutes, à la lettre, en montrant une totale soumission irresponsable) de Washington sont maintenant celles-ci : Poutine doit restituer la Crimée et la base militaire de la flotte de la Mer Noire; renoncer à défendre les droits des Russes dans le sud-est de l’Ukraine; accepter les bases Otan en Ukraine.
Ces demandes équivalent à la capitulation de la Russie.
Peut-on penser que Poutine, je ne dis pas veuille, mais puisse, capituler ?
Si la réponse est non, alors préparons-nous au pire. La France et l’Allemagne ont compris qu’à Washington c’est le docteur Folamour qui a pris le pouvoir.
Vladimir Poutine « a compris l’extrême sérieux de la situation », mais Washington est en train de couper un pont derrière l’autre. Les demandes (et Mme Mogherini les reprend toutes, à la lettre, en montrant une totale soumission irresponsable) de Washington sont maintenant celles-ci : Poutine doit restituer la Crimée et la base militaire de la flotte de la Mer Noire; renoncer à défendre les droits des Russes dans le sud-est de l’Ukraine; accepter les bases Otan en Ukraine.
Ces demandes équivalent à la capitulation de la Russie.
Peut-on penser que Poutine, je ne dis pas veuille, mais puisse, capituler ?
Si la réponse est non, alors préparons-nous au pire. La France et l’Allemagne ont compris qu’à Washington c’est le docteur Folamour qui a pris le pouvoir.
Conclusion
Après le criminel de guerre Tony Blair, voici maintenant que David Cameron, en docteur Folamour, est prêt à "brûler la Russie". Ne sait-il pas que la surface de la Russie est 74 fois plus étendue que celle de la Grande Bretagne (17 millions de KM2 contre 0,23 millions de KM2) et qu'il est infiniment plus facile à la Russie de brûler la GB que l'inverse ? Les grandes villes britanniques sont si proches les unes des autres, que leur destruction totale serait "un jeu d'enfants".
Aujourd'hui, "la vieille Europe",
menée avec des nuances différentes par l'Allemagne et la France, refuse
de plus en plus de suivre l'Amérique et la GB dans la montée irresponsable vers
une guerre nucléaire avec la Russie, entreprise il y a un an par le
putsch dit de la place Maïdan contre le gouvernement alors légitime de
l'Ukraine. S'affranchissant, avec une prudence il est vrai toute
diplomatique, de la tutelle de Washington, Angela Merkel et François
Hollande ont pris l'initiative de réunions avec Vladimir Poutine dont le
résultat fut, entre autres, l'accord dit Minsk2. Les États ouest européens sont de plus en plus nombreux à suivre l'Allemagne et la
France. Les anglo-américains les accusent de trahir "la cause de la civilisation" défendue par l'Amérique.
Le soutien britannique à la guerre atomique s'est encore manifesté lors de la récente visite à Londres de John Kerry auprès
du Premier ministre David Cameron. Ils ont convenu que Vladimir Poutine
était l'ennemi n°1 de l'Occident, bien plus redoutable que l’État
islamique (on s'en serait douté. Daech est leur pion).
Hannibal GENSERIC