mardi 12 décembre 2017

Le mentor du jeune Trump était un avocat de la mafia



Dans sa jeunesse, Trump avait un mentor, le fameux avocat homosexuel juif de la mafia new-yorkaise nommé Roy Cohn (1927-1986) qui lui a appris comment être une brute et un tyran. Heureusement pour notre bien à tous, Cohn n’a pas totalement réussi, car  Trump a mieux appris.

« Lorsque vous êtes en présence de Cohn, vous savez que vous êtes en présence du mal à l’état pur ». Victor A. Kovner, avocat, qui a connu Cohn pendant des années.
Roy Cohn, l'avocat de la mafia, était plus qu’un simple "consigliere" (conseiller)  dans l'histoire de Trump. Il était le mentor de Donald, son parrain. Si Trump a reçu une éducation au-delà de ses deux années à Fordham et en tant qu'étudiant occasionnel à Wharton («Je suis une personne intelligente, je suis allé à la Wharton School of Finance»), c'était de son guide dans les cercles de l'Inferno (l’enfer) qu’il a reçu sa maîtrise en méchanceté et en malice.
Trump était un élève apte à l'agressivité. «Je ne pense pas que Roy m'ait donné ça», a déclaré Trump au Washington Post. « Je pense que j'ai un instinct naturel pour ça ».
Il n'avait pas vraiment besoin d'une éducation « sans cœur », mais il en a appris les subtilités de Cohn. Offrant à son maître son plus grand éloge, Trump l'a appelé «un génie total ... il est prêt à  brutaliser pour vous».
Roy Cohn, le mentor de Donald Trumpt-roy-cohn-donald-trump-08-17.jpg
Qui est COHN ?
Comme Trump, Roy Cohn était le fils choyé d'une famille de New York politiquement active. Son père, Albert Cohn, était un acteur important dans le Parti démocrate du Bronx. Il était un procureur adjoint de district,  a été nommé à la division de la Cour suprême de New York, et  présidait le Bronx.
Roy Cohn était un enfant prodige; Diplômé de la Columbia Law School à l'âge de vingt ans, il a été nommé assistant du procureur des États-Unis pour le district sud de New York. Il s'est fait connaître pour sa propre publicité  en donnant de fausses fuites au New York World Telegram. Il a été chargé de poursuivre les agents communistes, organisant plusieurs procès importants, y compris l'un des 11 fonctionnaires du Parti communiste pour subversion.
En 1951, il a pris le contrôle effectif du procès de Julius et Ethel Rosenberg, accusés d'avoir volé des secrets atomiques. Il a tiré les ficelles pour nommer à la fois le procureur en chef et le juge, et a ensuite exhorté le juge à imposer la peine de mort, bien que la preuve contre Ethel Rosenberg fût fragile. Le tour de force de Cohn le porta à l'attention du sénateur Joseph McCarthy, qui l'engagea comme avocat principal dans ses enquêtes sur la chasse aux rouges. Après la Peur-des Rouges  est venue la Peur-Violette une vague de persécution des homosexuels, quand Cohn a lancé une campagne contre les homosexuels dans les emplois du gouvernement, même si il était lui-même un homosexuel renfermé et honteux.
AVOCAT de la  MAFIA
Cohn ouvrit un cabinet à New York, prenant pour clients des chefs de la mafia Tony Salerno, Paul Castellano, John Gotti et Carmine 'The Cigar' Galante, sous-chef de la famille Bonanno - ainsi que l'archidiocèse catholique de New York et les Yankees de New York.
Donald Trump a rencontré Roy Cohn à une discothèque privée de New York, Le Club, en 1973, quand Trump avait 27 ans et avait un sérieux problème. Le ministère de la Justice le poursuivait lui et son père pour discrimination raciale (refus de louer aux Noirs) dans leur immeuble sis 100 Central Park South. [Source]
Roy Cohn et Donald Trump, lors de l’inauguration de la tour Trump en 1983
Roy Cohn et Donald Trump, lors de l’inauguration
de la tour Trump en 1983
"Mon point de vue est de leur dire d'aller en enfer", a conseillé Cohn, "et de combattre la chose au tribunal." A partir de ce moment, Cohn et Trump étaient devenus inséparables. Cohn se rappela que Trump l'appelait plus d'une douzaine de fois par jour. Avec Cohn comme leur avocat, les Trump ont intenté une contre-attaque contre le gouvernement fédéral pour avoir utilisé des «tactiques semblables à la Gestapo». Leur procès a été immédiatement rejeté et deux ans plus tard, les Trump avaient été contraints de signer un document leur interdisant de s'engager dans des pratiques discriminatoires.
Cohn était le sorcier et Trump l'apprenti. 
Donald a appris de Roy comment le monde  fonctionne. Ce dernier était non seulement un brillant avocat, mais aussi un stratège brillant qui a compris le système politique et comment en jouer comme un violon. Pour Trump,  Roy était plus que son avocat personnel.
"Attrape chattes" au studio 54
Cohn a initié Trump à la "vie mondaine" dans le club le "plus chaud" de la ville, le Studio 54. 
«Ce qui s'est passé au Studio 54 ne se reproduira plus jamais», a déclaré Trump à un journaliste beaucoup plus tard. Il a dit aussi :
« j'ai vu des choses qui se passent là-bas que je n'ai jamais revu, je regarderais des mannequins se faire défoncer, des mannequins bien connus. Elles se font baiser sur un banc au milieu de la pièce, il y en a sept et chacune se fait baiser par un mec différent, c'était au milieu de la pièce, des trucs qui ne pouvaient pas arriver aujourd'hui à cause de problèmes de mort par le Sida. "
Cohn a « huilé les rouages » avec des faveurs. «Je dois connaître tout le monde», a déclaré Trump. Cohn s'arrangea pour que la mafia construise les tours de Trump et fournisse une protection contre les « perturbateurs » du travail. «Vous savez combien d'avocats à New York représentent et défendent  des personnalités du crime organisé? Cela signifie-t-il que nous ne sommes pas censés les utiliser? » a demandé Trump. 
Cohn a écrit l'accord prénuptial de Trump, stipulant que sa femme Ivana  retournerait tous les cadeaux en cas de divorce, et l'a forcée à signer. Cohn a même suggéré à cette dernière un associé pour lui servir d'avocat. « Je n'achèterais jamais de bijoux ou de tableaux décents à Ivana, pourquoi lui donner des biens négociables? » dit Trump à ses amis, d'après Vanity Fair.
Quand quelqu'un résistait aux demandes de Trump, il le menaçait en agitant la photo de Cohn dans son visage.  Préféreriez-vous avoir affaire avec lui? Disait-il.
L'État de New York a radié Cohn en 1986 pour comportement non éthique et non professionnel décrit dans l'arrêt comme «particulièrement répréhensible». Cohn fut presque constamment en conflit avec le fisc, ce dernier ayant contrôlé ses déclarations d’impôts pendant vingt années consécutives, et collecté plus de 300.000 dollars en arriérés. Le fisc lui réclama plus d’un million de dollars pour la seule année 1979 […] . Au total, le fisc avait déposé contre lui, sur une période de vingt-cinq ans, des droits de rétention pour un montant de 3,8 millions de dollars. [Source]
Un mois plus tard, il est mort du SIDA, une maladie qu'il a essayée de dissimuler (il a dit à Trump qu'il avait un cancer). Il était un raciste scandaleux et un juif dégoûté de lui-même, répandant librement des épithètes injurieux sur les «nègres» et les «youpins». Il était aussi un homosexuel honteux qui se détestait, qui dénonçait obsessionnellement les «pédés» et se battait contre les droits des homosexuels.
Quand il était en train de mourir, Trump se détourna de lui, transférant son affaire à d'autres avocats. «Je n'arrive pas à croire qu'il me fasse ça, Donald pisse l'eau glacée. » a dit Cohn.
Cohn a appelé Trump pour lui demander de trouver une chambre dans un de ses hôtels pour l'ancien amant et assistant de Cohn, près de mourir  du SIDA. Trump lui a donné une chambre «minable» et a envoyé les factures à Cohn. Cohn a refusé de payer. Les sicaires de Trump ont jeté à la rue le mourant. 
Ancien conseiller de Nixon, Reagan, Bush père et Bob Dole, Roger Stone fut également le conseiller de Donald Trump lors de la campagne de 2016, ainsi que lors de la tentative avortée de Trump de se présenter à l’élection de 2000. Stone fut le lobbyiste de Trump dès les années 80.
Stone rencontra Cohn en 1979 :
Je fus invité à une fête par une mondaine du nom de Sheila Mosler, et Roy Cohn était présent. […] Roy était un démocrate, mais il était anti-communiste, et un maître des relations publiques, et il voulait m’aider avec Reagan. Il me dit donc de venir le voir dans sa maison du centre-ville. […] Roy n’était pas gay. […] C’était un homme qui aimait avoir des relations sexuelles avec des hommes. Les gays sont faibles, efféminés. Il semblait toujours avoir de jeunes garçons blonds autour de lui. Ce sujet n’était tout simplement jamais abordé. Il m’a dit que son but ultime était de mourir complètement ruiné et de devoir des millions au fisc. Il a réussi sur ce point. [Ibid.]
Stone avait lui-même des penchants sexuels qui sortaient de l’ordinaire :
The National Enquirer révéla, dans un article intitulé Un conseiller de premier plan de Dole impliqué dans un réseau de sexe de groupe, que les Stone avaient apparemment publié des annonces personnelles dans le magazine Local Swing Fever [La fièvre de l’échangisme] et sur un site internet qui avait été monté avec la carte de crédit de Nydia [l’épouse de Stone]. L’annonce du site internet disait : « Femme chaude et insatiable, et son très bel époux body-builder, échangistes expérimentés, recherchent couples similaires ou homme seul […] exceptionnellement musclé. » Les annonces recherchaient des athlètes ou des militaires, et décourageaient les hommes en surpoids ; elles contenaient également des photographies des Stone. 
Roger Stone
Roger Stone
Voilà donc un bref aperçu sur les personnes qui ont permis l’ascension de Donald Trump jusqu’à la présidence des États-Unis. Il y aurait également beaucoup de choses à dire sur ses relations avec le milliardaire pédophile Jeffrey Epstein [1] (Trump a déclaré : « Cela fait quinze ans que je connais Jeff. C’est un type super. […] On s’amuse bien avec lui. Il se dit même qu’il aime les belles femmes autant que moi, et certaines d’entre elles sont très jeunes »), ou sur sa nomination d’Alexander Acosta au poste de secrétaire d’état au travail , l’ancien procureur de Floride qui permit à Jeffrey Epstein de s’en sortir avec une peine de seulement 13 mois de prison pour avoir eu des relations prohibées avec des jeunes filles mineures. On pourrait aussi s’intéresser aux liens entre son gendre Jared Kushner, époux d’Ivanka et devenu le plus proche conseiller de Trump depuis son accession à la présidence, et le milliardaire « progressiste » George Soros ou la secte extrémiste juive Loubavitch.

SOURCE :
 de : Sydney Blumenthal

Avertissement : S. Blumenthal est un supporter fanatique de la Clinton, néanmoins les faits rapportés sont exacts et corroborés par ailleurs. H.G.
Hannibal GENSERIC


L’antéchrist Trump reconnait Jérusalem comme capitale d’Israël
Cette foi-ci Trump a déchiré le voile d’hypocrisie qui cachait l’objectif ultime du nouvel ordre mondial en reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël. Il n’y a jamais eu volonté nette d’une solution à deux états en Palestine occupée mais bien d’une unification juive d’Israël comme n’a cessé de répéter Nethanyahou. Israël est une terre sacrée…juive qu’on se le dise.
La mafia khazare déclare officieusement l’ouverture du début de la fin de ces temps.
En ce 6 décembre 2017 , Donald Trump dont certains n’ont toujours pas compris pourquoi il avait été élu. Alors que les Clinton commencent à être rattrapés par les affaires de pédophilie, Trump était le seul candidat disponible pour les sionistes (que l’on peut appeler la mafia Khazare pour être plus précis) qui le tiennent dans le creux de leur main. Trump n’existerait plus sans Rothschild, il a donc été élu pour parfaire l’agenda Rothschild, y mettre le point final au grand œuvre satanique.
Il faut se souvenir qu’à peine élu il désignait l’Iran comme l’ennemi à abattre ce qui en dit long sur sa supposée neutralité d’avec l’état profond…Trump comme je l’ai rappelé dans un billet sera l’antéchrist annonciateur de la bête à venir. Il va mettre tout en œuvre pour que l’Armageddon survienne. C’est à cela que sert cette annonce satanique de reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l’état juif d’Israël. Car dans la tête de ses dirigeants il n’est pas question d’une solution à deux états ni même à reconnaître la légitimité arabe. C’est un pays tellement sacré aux yeux du monde qu’il refoule ses réfugiés en toute impunité et personne n’y trouve à redire.
Il ne vous a pas échappé que Trump a signé le plus gros budget militaire de tous les temps, qu’il a passé des commandes militaires pour des sommes astronomiques, bref que la première chose qu’il ait faite c’est de renforcer toujours plus le complexe militaro-industriel aux USA. Concernant les banques il veut leur donner toujours plus de libertés alors qu’il faudrait les contrôler! Et donc sur la géopolitique il va encore plus loin que ses prédécesseurs.
Reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël est la condition sine qua non pour que Jérusalem puisse être dans le futur reconnue comme capitale mondiale tel que le souhaite un Attali par exemple. C’est aussi reconnaître qu’il va falloir dans le futur expurger toutes références islamiques et chrétiennes dans la future capitale de l’état juif bien qu’on nous dise le contraire. Ou bien il faudra rendre compatible au judaïsme ces religions. C’est déjà le cas de la religion chrétienne qui reconnaît être soumis à son maître juif via Vatican II. C’est aussi le cas du wahhabisme islamiste (qui contrôle le pétrole et le gaz d’Arabie et de tous les émirats) qui n’est qu’une secte créée par un juif « converti » (voir : Origines de la connivence wahhabisme-sionisme) . C’est ce qui se joue en ce moment. Le sunnisme doit se réformer en wahhabisme pour devenir la religion juive de l’Islam ou être détruite. Le Chiisme est plus solide car étant une composante unie et indivisible le combat sera inévitable d’autant que l’Iran est issue de l’ancien empire perse qui a dominé le monde oriental. L’objectif étant de faire reconnaître la suprématie de la religion originelle, le judaïsme.
Source ;
http://laveritetoutecrue.fr/2017/12/06/lantechrist-trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-disrael/

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