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Les chrétiens furent également embrigadés :
« Il y a 5.000.000 de juifs en Europe centrale et orientale face à la faim (…) Cinq millions de juifs actuellement dans une détresse désespérée – 2.225.000 en Russie, 2.225.000 en Pologne et 500.000 en Bessarabie, Lithuanie et dans les pays avoisinants. » (15)
Les années 30 : Chaïm Weizmann
Le tapage continua dans les années 30. Exemple : Le 25 novembre 1936, Chaim Weizmann, lequel devint le premier président de l’Etat juif, fut appelé à témoigner en tant que président de l’Organisation Sioniste Internationale devant la Peel Commission. L’objet en était la partition de la Palestine entre juifs et Palestiniens. Il déclara : « Il n’est pas exagéré de dire que six millions de juifs sont condamnés à être internés dans cette partie du monde, dans laquelle ils ne sont pas désirés, et cela par des pays qui se partagent entre ceux où ils sont indésirables et ceux où ils ne sont pas admis. » On relèvera en outre le fait que, trois ans avant le déclenchement de la guerre, Weizmann exploitait déjà le mythe de l’holocauste à venir dans la lutte pour le contrôle de la Palestine ! (16)
Weizmann s’était déjà signalé par ses extravagances lors de la Conférence de la paix de Paris de 1919 : « En tant que groupe, les juifs ont été plus durement frappés par la guerre (de 14-18) que tout autre. » En novembre 1932, au congrès annuel de l’Organisation Sioniste Mondiale à Londres, le même Weizmann déclarait :
« Eretz Israël se construit sur les décombres de la diaspora (…) Les pertes infligées au monde juif ont considérablement stimulé la croissance rapide du Foyer national à cette époque (…) Et Eretz Israël intégrera les rares rescapé de cette entreprise de destruction et de dévastation. » (17)
Arrivée au pouvoir des nazis
L’arrivée au pouvoir des nazis en 1933 fut une aubaine pour la propagande juive et elle entraîna un changement de discours : l’holocauste se poursuivait, bien entendu, mais, progressivement, ses auteurs changèrent ; ainsi, en 1938, Jacob Tarshis, représentant du Joint, parlait encore (dans le NYT, cela va sans dire) de « l’image déprimante de 6.000.000 de juifs d’Europe centrale et orientale privés de protection, mourant lentement de faim, sans espoir » mais, aussitôt et dans le même article, il actualisait son discours : « La tragédie juive a commencé avec l’arrivée au pouvoir de Hitler en 1933. Maintenant, l’antisémitisme s’est étendu à 13 pays européens et menace l’existence de millions de juifs européens. » (18)
Les années 40 : Nahum Goldman et le rabbin Wise
En 1940, Nahum Goldman, président du World Jewish Congress, déclarait à l’Hôtel Astor que
« Six millions de juifs européens seraient condamnés à la destruction, si les nazis devaient vaincre. (…) Les possibilités d’une émigration massive et d’une réimplantation des juifs européens semblent s’éloigner et ils courent le danger d’une extermination physique. Même les 4.000.000 de juifs soviétiques, quoique exempts de discrimination raciale, ne sont pas sauvés en cas de victoire finale des nazis. » (19)
L’inventeur du concept des six millions, le rabbin Wise, était encore actif. Ainsi, le NYT publia-t-il le 25 novembre 1942 un article intitulé « Himmler a programmé le massacre des juifs polonais. (…) Les autorités polonaises publient des informations – Le Dr. Wise en reçoit confirmation auprès du Département d’Etat. ». La première partie de l’article se fondait sur un rapport diffusé par le gouvernement polonais de Londres (qui se fondait sur un article paru dans une revue palestinienne) ; d’après ce rapport, Himmler, en visite à Varsovie, avait ordonné que la moitié des juifs polonais fussent tués avant la fin de l’année et la tuerie était en cours dans toute la Pologne, surtout à Treblinka, Belzec et Sobibor (A l’époque, Auschwitz n’était pas encore entré dans la rhétorique juive et alliée.). La suite était inspirée par Wise, lequel affirmait que, selon une source confirmée par le Département d’Etat,
« la moitié des 4.000.000 juifs de l’Europe occupée par les nazis avait été abattus dans une campagne d’extermination » et que « le plan avait été établi par Herman Backe, Secrétaire d’Etat pour l’économie et approuvé par Hitler l’été passé. »
La propagande de guerre du New York Times
Comme on l’a vu, l’influent journal juif The New York Times était (et est toujours, ainsi qu’on l’a vu dans la campagne d’intoxication préalable à l’invasion de l’Irak) le principal vecteur de la propagande juive. Au cours de cette période, il servit donc journellement la fable des 6 millions à tout qui savait lire.
Arthur Butz en a donné quelques autres exemples :
• 13 décembre 1942 :
« (…) d’authentiques rapports chiffrent à 2.000.000 le nombre de juifs qui ont déjà été tués de diverses manières sataniques et barbares et prévoient la totale extermination de tous les juifs tombés aux mains des Allemands. Le massacre d’un tiers de la population juive des territoires contrôlés par Hitler (soit 6.000.000) et le massacre à venir des autres juifs est un holocauste sans égal. »
• 2 mars 1943 :
« Une intervention immédiate des Nations Unies pour sauver un maximum des cinq millions de juifs menacés d’extermination (…) a été demandée lors d’une manifestation de masse (…) à Madison Square Garden hier soir. / (Selon le rabbin Hertz) il est épouvantable que ceux qui proclament les Quatres Libertés aient fait si peu pour assurer le droit à la vie de 6.000.000 de leurs coreligionnaires juifs en se tenant prêts à secourir ceux qui ont pu échapper aux tortures et à la boucherie nazies. » On notera qu’au cours du même meeting, les chiffres de cinq et six millions ont été cités.
• 10 mars 1943 :
« Quarante mille personnes ont regardé la nuit dernière la représentation de « We Will Never Die » en hommage dramatique aux 2.000.000 de juifs tués en Europe.  (…) L’orateur a dit : ‘Il n’y aura pas de juifs en Europe pour regarder la pièce quand la paix sera revenue. Les quatre millions restant à tuer sont en train d’être tués selon le plan.’ »
Michael Dov Weissmandel et Ilya Ehrenbourg en 1944
En Europe, la guerre n’était pas terminée que, déjà, certains, à l’Est, avançaient aussi le chiffre sacré. Ainsi, dans une lettre du 31 mai 1944, le rabbin slovaque Weissmandel écrivait :
« Jusqu’à ce jour, six fois un million de juifs d’Europe et de Russie ont été détruits. » (20) De son côté, le journaliste judéo soviétique, Ehrenbourg citait également le chiffre de six millions dans l’hebdomadaire londonien Soviet War News du 22 décembre 1944.
Retour à Nuremberg
D’après David Irving, en juin 1945, Robert Jackson, qui allait être désigné pour diriger l’accusation américaine à Nuremberg, reçut les représentants des associations juives américaines ; il leur demanda combien de juifs avaient été tués et, alors que personne n’avait encore pu faire un bilan sérieux, il lui fut répondu « Six millions ». Restait (C’est notre thèse mais nous ne pouvons la fonder valablement, il est vrai.) à souffler ce chiffre à Höttl et nous voilà revenus à l’affidavit que ce fabricateur remit en novembre 1945 aux services de … Robert Jackson lui-même !
Conclusion
Depuis 1900, à en croire les propagandistes juifs, « six millions » de juifs sont occupés à souffrir, à saigner, à mourir dans un « Holocauste » à nul autre pareil dû, selon la saison, au régime tsariste, aux Polonais ou à d’autres, à la première guerre, aux épidémies, enfin aux Allemands. La déportation des juifs par ces derniers (déportation dont nous ne nions pas qu’elle se termina de façon tragique pour la majorité des déportés) fut une aubaine pour les leaders juifs : ils eurent ainsi l’occasion de faire (enfin) mourir ces six millions de coreligionnaires et engranger au passage toutes sortes de considérables bénéfices politiques et pécuniaires.
Initialement, le chiffre de six millions de juifs souffrant, saignant, etc. correspondait sensiblement à la population juive de l’empire russe, autant dire à la population juive européenne. Il a donc été retenu par la suite pour quantifier les victimes puis les morts juifs de l’Holocauste incessant qui aurait frappé les juifs européens. Le chiffre de six millions de juifs morts de la main des Allemands n’a donc aucun fondement sérieux ; c’est un chiffre symbolique qui n’est qu’un des éléments de la liturgie juive. Il est bien digne de figurer dans un prochain chapitre de la Bible.

(1) Arthur R. Butz, « La Mystification du XXe siècle », La Sfinge, 2002 ; Mark Weber, « Wilhelm Höttl ou les ‘six millions’ introuvables », Etudes Révisionnistes, Vol. 3, p.124 ; Robert Faurisson, notamment « Procès Amaudruz (…) », Etudes Révisionnistes, Vol. 1, p. 89 ; Don Heddesheimer, The First Holocaust, Castle Hill Publishers, Jan. 2007.
(2) Rudolf Aschenauer, « Ich, Adolf Eichmann », Druffel, 1980, p. 460.
(3) Voyez http:Ilwww.nara.govliwgldeclasslhoettl.html, site des U.S. National Archives.
(4) Gregg Ivers, « To Build A Wall. The American Jews and the Separation of Church and State », University Press of Virginia, 1995, p 36. Le Congress représentait les juifs d’origine est-européenne, l’American Jewish Committee représentant plutôt les juifs d’origine allemande.
(5) « Rabbi Wise’s Address », New York Times, 11 juin 1900, p. 7.
(6) « The Jews in the Eastern War Zone », 1916
(7) Martin H. Glynn, « The Crucifixion of Jews Must Stop ! », The American Hebrew, 31 oct. 1919, p. 582f.
(8) Yehuda Bauer, « My Brother’s Keeper. A History of the American Joint Distribution Committee 1929-1939 », The Jewish Publication Society of America, Philadelphia, 1974.
(9) Nathan Schachner, « The Price of Liberty. A History of The American Jewish Committee », The American Jewish Committee, New York, 1948, p. 60.
(10) « Felix M. Warburg Tells Sad Plight of Jews », NYT, 29 sep. 1919, p. 7.
(11) « Five Million Face Famine in Poland », NYT, 3 déc. 1919, p. 24.
(12) NYT, 21 avril 1920, p. 8.
(13) « The Jewish War Sufferers », NYT, 3 mai 1920, p.12.
(14) NYT, 21 avril 1926
(15) The American Christian Fund, déc. 1926.
(16) Thomas Mann, « Sieben Manifeste zur jüdischen Frage », Meizer, Darmstadt, 1966, p. 18. Voir aussi Don Heddesheimer, « The First Holocaust », Theses & Dissertations Press, Chicago, 2003, p.
(17) Benny Morris (Tr. Claire Drevon), « Réaction des quotidiens juifs d’Eretz Israël à l’accession d’Hitler au pouvoir en 1933 », Le Monde Juif, jan./juin 2005, p. 31.
(18) « Jewish Teachers Chided By Isaac », NYT, 23 fév. 1938.
(19) « Nazi Publicity Here Held Smoke Screen », NYT, 25 juin 1940.
(20) Lucy Dawidowicz, A Holocaust Reader, Behrman House, New York, 1976, p. 327, citée par R. Faurisson.

NOTES de H. Genséric
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSÉRIC